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Union européenne

Terrorisme: un an après l'attentat du marché de Noël, l'Allemagne mieux préparée

RFI (Europe) - Tue, 19/12/2017 - 14:51
Un an après l'attentat du marché de Noël à Berlin le 19 décembre 2016, une plaque de commémoration a été inaugurée ce mardi midi sur les lieux de l'attentat. Anis Amri, le terroriste, était connu des services de police. L'Allemagne a depuis amélioré son système si décrié de sécurité.
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Attentat de Berlin: un an après, les Allemands entre deuil et amertume

RFI (Europe) - Tue, 19/12/2017 - 14:19
Un an jour pour jour après l’attentat au camion-bélier qui a fait 12 morts et une centaine de blessés sur un marché de Noël de Berlin, Angela Merkel a inauguré ce mardi 19 décembre 2017 un mémorial devant la célèbre église du Souvenir, dans la capitale allemande. Si l’heure est au recueillement, beaucoup de questions se posent encore après le drame. Les proches des victimes ont l’impression d’avoir été négligés par les autorités et pensent que l’attentat aurait pu être évité. Plusieurs responsables allemands reconnaissent des erreurs, mais il n’est pas sûr que cela suffise à éteindre les polémiques.
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Indépendance de la Catalogne: l'économie catalane souffre

RFI (Europe) - Tue, 19/12/2017 - 14:10
Les Catalans décideront ce jeudi 21 décembre si les séparatistes doivent revenir au pouvoir ou au contraire s'il faut ouvrir la porte à une majorité différente. Face à cette incertitude politique, l’économie catalane souffre. Le tourisme tourne au ralenti, la consommation en berne et les entreprises quittent la région.
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Espagne: en Catalogne, la bataille fait rage avant le scrutin régional anticipé

RFI (Europe) - Tue, 19/12/2017 - 11:49
La campagne pour le scrutin régional anticipé en Catalogne se trouve dans sa dernière ligne droite avant le vote du jeudi 21 décembre. Les représentants des partis indépendantistes, unionistes ou autres s’affrontent par meetings interposés et lors de débats télévisés, comme lundi soir sur la chaîne catalane TV3. L’un des enjeux consiste notamment à séduire les nombreux indécis.
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L’énergie solaire dans une App

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 11:26
La société française « Sunna design » (Bordeaux) produit des panneaux solaires pour l’éclairage public dans plusieurs pays du monde.
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IKEA dans le collimateur fiscal de Bruxelles

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 11:26
La Commission européenne a annoncé le 18 décembre qu’elle enquêtait sur des aides illégales, allant jusqu’à un milliard d’euros, accordées par les Pays-Bas au géant du mobilier suédois.
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Les ministres européens accordent leurs violons sur les renouvelables

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 11:15
Les ministres de l’Énergie ont discuté pendant plus de 15 heures pour trouver une position commune sur quatre projets législatifs liés à l’énergie. Un dernier trilogue avec le Parlement et la Commission aura lieu en 2018.
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Bruxelles réclame de nouvelles concessions sur le rachat de Monsanto par Bayer

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 10:43
La Commission européenne réclame de nouvelles concessions afin d'approuver le rachat du géant américain des pesticides et OGM Monsanto par le groupe allemand de chimie-pharmacie Bayer.
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L’Europe prend un tournant «dangereux» vers l’«ethno-nationalisme»

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 10:24
L'entrée de l'extrême droite dans la nouvelle coalition au pouvoir en Autriche est un tournant « dangereux », a déclaré le Haut-Commissaire aux droits de l'Homme de l'ONU, mettant en garde contre « l'exploitation de la peur » en Europe.
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«Nous voulons nous diriger vers une indépendance négociée »

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 09:43
Exclusif. Pour Antoni Comín, un des quatre conseillers du gouvernement catalan renversé ayant fui à Bruxelles aux côtés de Carles Puigdemont, la déclaration unilatérale d’indépendance le 27 octobre doit maintenant être mise en oeuvre.
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La médiatrice européenne veut le Conseil sur le registre de transparence

Euractiv.fr - Tue, 19/12/2017 - 09:28
La médiatrice européenne a demandé au président du Conseil européen, Donald Tusk, d’envisager de publier des informations sur les réunions organisées entre son cabinet et les groupes d’intérêt, dans le cadre de la stratégie européenne pour plus de transparence.
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Ukraine: inquiétude après le retrait russe d'un poste militaire conjoint europe-RFI

RFI (Europe) - Tue, 19/12/2017 - 05:08
En Ukraine, l’arrivée de l’hiver n’a pas calmé les ardeurs des belligérants, dans le Donbass, où on observe ces derniers jours une recrudescence des combats. Dimanche 17 décembre, trois soldats ukrainiens ont été tués, et ce lundi ce sont des zones civiles qui ont été touchées par des tirs de missiles. Surtout, la Russie a décidé de se retirer du Centre de contrôle et de coordination du cessez-le-feu dans le Donbass, l’organe chargé d’éviter toute escalade à grande échelle.
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Macron marche seul

Coulisses de Bruxelles - Tue, 19/12/2017 - 01:27

REUTERS/Yves Herman

Pour son troisième Conseil européen, Emmanuel Macron a une nouvelle fois touché du doigt son isolement politique. Pendant que les 27 autres chefs d’Etat et de gouvernement se sont retrouvé, jeudi, dans une série de minis pré-sommets, les autres membres de leur famille politique afin de se coordonner, lui, il a fait antichambre en attendant le début formel de la réunion à 28. Car lui et son parti « La République en marche » n’appartiennent ni au Parti populaire européen (PPE), trop à droite, ni au Parti des socialistes européens (PSE), trop à gauche, ni à l’Alliance des libéraux et démocrates pour l’Europe (ALDE), trop libéral, ni aux Conservateurs et réformistes européens (ECR), trop eurosceptiques. Or l’Union, ce n’est pas seulement un groupement d’Etats, c’est aussi une vie politique foisonnante dont on ne peut rester impunément à l’écart, les affinités politiques l’emportant de plus en plus souvent sur les logiques étatiques. Emmanuel Macron le sait et ne veut pas marcher trop longtemps seul : il espère que la révolution En Marche emportera les vieux clivages politiques européens et que son parti s’imposera comme une force centrale dans l’Union. Un pari pour le moins audacieux, sans doute trop téméraire.

C’est peu dire que, pour l’instant, la nouveauté d’En Marche, qui fait sa force au niveau national, fait sa faiblesse au niveau européen. Au Parlement, on ne compte qu’un député étiqueté En Marche en la personne de Jean Arthuis, ancien ministre des Finances de Jacques Chirac, qui siège sur les bancs des libéraux de l’ADLE présidée par le Belge Guy Verhofstadt. Élu sur la liste Modem-UDI et rallié à Macron dès septembre 2016, il n’a entrainé aucun des autres 73 autres eurodéputés français dans son sillage. Un député sur 751, même président de la puissante commission des budgets, c’est peu pour peser réellement sur le travail législatif. Au sein de la Commission, même tableau : le commissaire français est un socialiste de « l’ancien monde », Pierre Moscovici, qui ne lui fera aucun cadeau.

Victime du calendrier

Le chef de l’Etat est surtout victime du calendrier, les dernières élections européennes ayant eu lieu en mai 2014, à une époque où LREM n’existait tout simplement pas. Il est donc condamné à attendre les prochaines élections, en mai 2019, pour disposer enfin d’un groupe de députés LREM au Parlement et de pouvoir désigner dans la foulée un commissaire français de sa famille. Durant les prochains dix-huit mois, il sera donc privé de relais au sein de l’Assemblée et de la Commission. Maigre consolation : l’élection présidentielle n’est pas restée sans effet sur les partis politiques français représentés au Parlement qui sont tous au bord de l’implosion. Ainsi, le PS, déjà réduit à la portion congrue après les élections de 2014, avec 13 députés, vient de perdre Isabelle Thomas et Guillaume Balas, partis rejoindre M1717 de Benoit Hamon ainsi que l’ex-aubryste, Gilles Pargneaux, qui s’apprête à sauter dans le train En marche.

Côté LR, le poids lourd – et juppéiste - Alain Lamassoure vient de claquer la porte avec fracas, ne se reconnaissant plus dans la dérive droitière et eurosceptique de son parti. Tokia Saïfi a suivi le mouvement en adhérant à Agir. Sur les 20 élus LR de 2014, il n’en reste donc que 17, Jérôme Lavrilleux ayant été mis sur la touche dès le début de l’affaire Bygmalion. L’élection de Laurent Wauquiez risque d’entrainer d’autres remous, plusieurs députés étant proches des Constructifs comme Arnaud Danjean, qui vient de rédiger un rapport sur la défense nationale à la demande de Macron, voire Élisabeth Morin-Chartier qui travaille main dans la main avec l’Élysée sur la révision de la directive sur le détachement des travailleurs. Mais il n’y aura, pas plus qu’au PS, de passage à LREM dans l’immédiat.

Entre-deux

Entre l’affaiblissement des partis traditionnels français et l’absence de représentants d’En Marche au niveau européen, cela signifie que l’influence de la France est proche de zéro au sein des familles politiques européennes. Ce qui oblige Macron et ses ministres à surcompenser au sein du Conseil européen et du Conseil des ministres en jouant les relations d’Etat à Etat. « On navigue dans un entre-deux pour l’instant », admet-on à l’Élysée : « ne pas être dans une famille politique nous donne des marges de manœuvre et on a des relais d’influence, beaucoup d’eurodéputés étant proches de nos idées comme Morin-Chartier », se rassure-t-on. Ainsi, Gilles Pargneaux aurait réussi à convaincre 70 eurodéputés représentant 21 nationalités issus du PPE, du groupe socialiste, des libéraux et des Verts (mais la liste n’est pas publique) de signer un appel baptisé « Refondation européenne », montrant ainsi qu’il existe un soutien transpartisan à la volonté de celui qui vient d’obtenir le prestigieux prix Charlemagne de réformer l’Europe. Mais ce n’est ni un intergroupe et encore moins un groupe politique structuré.

Curieusement, le président ne cherche pas à entretenir la sympathie qu’il suscite au Parlement : « lui qui parle de démocratie dans tous ses discours n’est toujours pas venu à Strasbourg, contrairement à ses prédécesseurs », note la socialiste Pervenche Berès : « au mieux on parle de janvier ». Tout se passe comme si Macron avait fait une croix sur l’actuel Parlement et préparait déjà 2019. Mais l’équation qu’il aura à résoudre ne s’annonce pas des plus simples.

Certes, « Macron qui devait perdre ces élections intermédiaires a de bonnes chances de les gagner. La gauche est éparpillée, la droite va virer eurosceptique, ce qui va lui donner du champ d’autant qu’il ouvrira sans doute sa liste à d’autres forces politiques comme le Modem et à la société civile », prédit Alain Lamassoure. D’autant que le FN ne devrait pas rééditer son exploit de 2014 lorsqu’il était arrivé en tête des partis français, comme en témoigne sa lente, mais inexorable désintégration au Parlement européen : il ne compte plus que 17 élus sur les 25 d’origine, soit une déperdition de 30 % notamment avec le départ du poids lourd Floriant Philippot, de Sophie Montel et Mirielle D’Ornano.

Des élections européennes européennes

Macron a bien l’intention de ne pas tomber dans le piège d’une nationalisation de l’élection européenne : « le clivage sera entre les europhiles et les europhobes, exactement comme au second tour de la présidentielle », explique l’un de ses proches. Car le 7 mai a montré un fort attachement des Français à l’Europe et le président compte bien capitaliser sur son fort engagement européen. L’élection de Wauquiez à la tête de LR donne encore plus de poids à cette stratégie. De même, il n’est pas question d’envoyer à Strasbourg des amateurs ou des dilettantes : « les élus devront travailler afin que notre influence soit aussi forte que celle des Allemands », martèle-t-on à l’Élysée. LREM peut espérer une trentaine d’élus pronostique Lamassoure, d’autant que la population française ayant augmenté, le nombre d’eurodéputés français passera de 74 à 78 ou 79. Surtout, ils seront élus sur une liste nationale comme vient de le décider le gouvernement, ce qui devrait faire les affaires d’En Marche vu son faible ancrage local.

Mais une fois élus, où siègeront les élus En Marche ? « Macron est un authentique démocrate-chrétien et sa place serait au PPE », estime Alain Lamassoure : « ça serait son intérêt d’intégrer le plus grand groupe, celui qui va sans doute gagner les élections de 2019 ». Mais l’ex-LR reconnaît qu’il n’y a aucune chance qu’il le fasse vu l’image trop marquée à droite de ce groupe : « il reste sur sa ligne ni droite, ni gauche, ce qui exclut aussi le groupe socialiste ». « Pendant longtemps, il a cru possible de fonder un « En Marche Europe » avec notamment la CDU d’Angela Merkel », raconte Lamassoure : « Joseph Daul, le président du PPE, est allé lui expliquer que c’était impossible, le PPE étant une création de la CDU et son principal relais d’influence en Europe ».

Faire bouger les lignes

Reste donc les libéraux de l’ADLE dont une bonne moitié est Macron-compatible, dont son président, l’ancien premier ministre belge Guy Verhofstadt. Mais pour l’instant, ce dernier, qui a demandé à plusieurs reprises à être reçu par Macron, n’a reçu aucune réponse. « Ce groupe est hétéroclite et une partie pourrait se retrouver dans En Marche », reconnait Jean Arthuis. Ce qui passera par une recomposition du groupe, les libéraux allemands du FDP, trop eurosceptiques, n’y ayant alors plus leur place. En revanche, les Espagnols de Ciudadanos, un parti créé aussi après les élections de 2014 et qui pourraient arriver en tête en 2019, pourraient le rejoindre. Ne pas faire partie de l’un des deux grands groupes ne fait pas peur à Macron : « c’est mieux, mais ça n’est pas suffisant. Que pèsent LR et le PS au sein du PPE et du groupe socialiste ? », note-t-on méchamment à l’Elysée.

Macron pourrait aussi être tenté de créer un groupe entièrement nouveau. A l’Elysée on espère y arriver, le discours sur l’Europe prononcé à la Sorbonne le 26 septembre par Macron servant de plate-forme commune. Mais, être d’accord sur la nécessité de réformes institutionnelles ne signifie pas que l’on soit d’accord sur les politiques à mettre en place. Surtout, il faut réunir au minimum 25 députés provenant d’au moins 7 pays pour qu’il soit durablement viable. Le minimum serait d’attirer, à défaut de la CDU ou du SPD qui resteront là où ils sont, les Italiens du Parti démocrate. Ce qui s’annonce difficile : ainsi, Gianni Pittela, le patron du groupe socialiste, a tweeté, le 21 novembre, après une rencontre avec Matteo Renzi, que le PD resterait membre du groupe socialiste… « Même si beaucoup de gens au PPE, au PSE, chez les Libéraux ou chez les Verts se reconnaissent dans Macron, faire sauter les structures existantes, aussi hétéroclites soient-elles, est autrement plus difficile au niveau européen qu’au niveau national », met en garde Alain Lamassoure. Mais on veut croire à l’Élysée que c’est possible, Macron ayant démontré sa capacité à faire bouger les lignes.

N.B.: Article paru dans Libération du 14 décembre

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Première livraison de gaz naturel liquéfié russe au Royaume-Uni

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 11:45
Le Royaume-Uni va recevoir du gaz directement importé de Russie pour la première fois cette semaine. Et ce malgré les sanctions américaines visant l’usine d’extraction dont ce gaz est issu, en Arctique.  
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Macron veut « aller beaucoup plus fort en Europe  »

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 11:33
Le président Emmanuel Macron a estimé que la France avait « stupéfait l’Europe et le monde » en l’élisant en mai, et que cette victoire l’« oblige à aller beaucoup plus fort et vite en Europe et à l’international ».
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La France veut pousser le G20 à réguler le bitcoin

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 11:33
Difficile à réguler, la cryptomonnaie, qui entretiendrait un risque de bulle financière, servirait également à financer les réseaux mafieux. Bruno Le Maire souhaite que le sujet soit débattu au G20 en avril.  
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Une décision sur l’immigration attendue d’ici juin

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 11:10
Les dirigeants européens se préparent à un début d’année 2018 difficile sur la question de l’immigration. Le Conseil et la Commission sont toutefois d’accord sur un point : éviter un vote qui divisera les États.
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Macron impose une réflexion mais pas son calendrier sur la réforme de la zone euro

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 10:18
La discussion politique sur l’avenir de la zone euro est reportée au mois de mars, et la feuille de route en juin 2018.
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Nouvelle mise en demeure de la France sur le bruit

Euractiv.fr - Mon, 18/12/2017 - 10:13
La directive bruit peine à se concrétiser en France. Bruxelles vient de mettre Paris en demeure, notamment pour absence de plans d’action dans 58 agglomérations. Des découpages administratifs qui n’existent plus en droit français. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.  
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