The development of China’s Internet attracted great attention among foreign observers in 2016. This was due to record sales in Internet trade, extensive hacker attacks on private companies and government agencies, huge investment programmes for start-ups, a new controversial Internet law and the growth of government Internet censorship. China 4.0 stands for both control and creativity. How does that work? What is the Chinese public saying about the opportunities and risks of the digital transformation? What goals is the government pursuing, particularly with their Big Data and Internet Plus strategies? And what are the consequences of a new law on Internet security which comes into force in June 2017? New frameworks are being defined that could shape long-term cooperation with China on issues surrounding digitisation. An analysis of opinions emanating from Party members, economists, the military and scientists sheds light on the positions that are currently dominating Chinese discourse on the subject. It also poses the question to what extent China might become a laboratory for the global digital future.
Seit Donald Trump sein Amt als US-Präsident angetreten hat, scheint ein Ende des Jemen-Konflikts in weite Ferne gerückt. Der damalige US-Außenminister Kerry hatte in den letzten Monaten seiner Amtszeit versucht, eine diplomatische Lösung zu finden. Dabei hatte er auf direkte Gespräche zwischen den Hauptkonfliktparteien gesetzt, den jemenitischen Huthis und Saudi-Arabien. Nun aber stellt sich das Weiße Haus wieder vorbehaltlos hinter das Königreich. Die neue US-Administration sieht in den Huthis fälschlich nur einen Stellvertreter Irans, dessen Einfluss in der Region zurückgedrängt werden soll. Washingtons Unterstützung für die saudische Militärallianz droht indes nicht nur die katastrophale humanitäre Lage weiter zu verschlimmern. Die USA schaden damit auch ihren eigenen Anti-Terror-Operationen gegen al-Qaida, die sie seit 2002 im Jemen betreiben. Deutschland und die EU sollten vor diesem Hintergrund zu einer eigenständigen Position finden und zwischen den Konfliktparteien vermitteln.
Sébastien Maillard Les affaires judiciaires de François Fillon ont affaibli sa capacité à contenir la percée du Front national, vers qui s’est tournée une partie de l’électorat. D’autres électeurs regardent vers Emmanuel Macron, à qui a profité la dénonciation de l’épuisement des partis. Il reste cinquante jours aux Républicains pour convaincre. François Fillon, en […]
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Lors de son élection à la présidence des États-Unis en 2008, Barack Obama avait déclaré vouloir appuyer sur le bouton « reset » des relations américano-russes : maintien du programme de défense antimissiles, intervention en Libye et crispation russe l’en ont empêché.
Donald Trump, élu à la présidence en 2016, a confessé son admiration pour Vladimir Poutine. Il pensait – à la grande frayeur des milieux atlantistes – réussir là où son prédécesseur avait échoué. Cela n’en prend pas le chemin.
Établir une nouvelle relation avec la Russie devait être le point fort de la nouvelle présidence. En fait, les choses patinent car rien se ne passe comme prévu et la Russie est plutôt un « boulet » que traîne le nouveau président. Après la démission forcée, pour contact non autorisé avec des émissaires russes au cours de la campagne électorale, de son conseiller national à la Sécurité, Michael Flynn, c’est désormais son ministre de la Justice, Jeff Sessions, qui est sous pression : les Démocrates réclament sa démission pour avoir menti au sujet de ses contacts avec l’ambassadeur russe au cours de la campagne. Bien sûr, ces derniers veulent appuyer là où ça fait mal. Le Congrès, contrairement au président élu, ne regarde pas Poutine avec les yeux de Chimène.
Au-delà, on pourrait s’étonner que de simples contacts suscitent autant de problèmes. Finalement, Jeff Sessions, sénateur, pouvait légitimement rencontrer un ambassadeur. Mais, mentir et parjurer sous-serment lors de sa confirmation, en affirmant qu’il n’avait eu aucun contact, est plus grave. Aux États-Unis, bien plus qu’en France, le mensonge est une affaire sérieuse. Être pris en flagrant délit conduit à démissionner. Or, c’est davantage le fait d’avoir eu des relations avec les Russes que d’avoir menti qui est reproché à Jeff Sessions.
Les Démocrates estiment que les Russes, en s’immisçant dans la campagne électorale, sont à l’origine de leur défaite. Cela leur permet d’occulter leurs propres erreurs de campagne et les faiblesses de leur candidate, Hillary Clinton. Sur le fond, on peut penser qu’établir des contacts avec un pays étranger important, fut-il rival, est un processus normal dans la préparation d’une élection.
L’histoire des États-Unis a montré des bassesses bien plus graves encore. On se rappelle qu’en 1980, Ronald Reagan a intrigué pour que les otages américains en Iran ne soient pas libérés, afin de faire plonger Jimmy Carter, complètement piégé par cette affaire. Effectivement, cette affaire est devenue l’une des causes majeures de la défaite de Carter et de la victoire, plutôt surprise à l’époque, de Reagan. Si on remonte plus loin dans le temps, il y eut encore pire. Richard Nixon, bien qu’il l’ait toujours démenti (ce sont des faits désormais avérés) avait œuvré pour que les Vietnamiens du Sud ne viennent pas à des négociations qui auraient pu aboutir à un accord de paix en 1968. Il ne voulait pas que le président Johnson puisse se targuer d’être à l’origine de ce succès. Hubert Humphrey, candidat démocrate contre Nixon, aurait pu bénéficier de cet accord et le priver d’un argument majeur. Ce dernier a fait capoter les accords de paix au Viêtnam, qu’il a par la suite signés lui-même comme président. La poursuite de la guerre a entraîné des victimes supplémentaires, ce qui est hautement plus dramatique que la dissimulation de contacts avec l’ambassadeur d’un pays, rival ou non.
La reactivación de la seguridad europea se desarrolla entre el deseo de afrontar un contexto geopolítico convulso y la carencia de elementos esenciales para alcanzar su autonomía estratégica.
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