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Diplomacy & Defense Think Tank News

Made in Havana: How Colombia and the FARC Decided to End the War

European Peace Institute / News - Mon, 27/02/2017 - 23:03

On November 24, 2016, the government of Colombia and the biggest guerrilla group in the country, the Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia–Ejército del Pueblo (FARC-EP), signed a final peace agreement. This accord put an end to the longest armed conflict in the Western Hemisphere and to long and convoluted peace talks.

Timeline of the peace process in Colombia (Click to view full graphic)

What elements of the process contributed to its success? While it may be too early to properly speak of “lessons learned,” IPI’s latest paper highlights the key elements that seemed to have worked and those that made progress difficult. Over the course of the process, several factors emerged as central, both to its successful resolution and to the problems likely to arise during implementation:

  • A limited agenda: Previous talks with the FARC-EP had been burdened by an extremely long agenda that included many issues the public believed should not be settled in a negotiation with an insurgent group. Reflecting this experience, the agreed final agenda addressed just six issues.
  • A peace process removed from Colombia: Cuba’s hosting of the negotiations buffered the talks from the daily occurrences of war and politics in Colombia and provided a controlled environment. While this proved to be essential for the parties to come to an agreement, it left many Colombians feeling removed from the process and limited their sense of ownership.
  • A strategic use of the international community: The dialogue was guided by a central premise: this would be a process “for Colombians, by Colombians.” This meant that the government tightly controlled the process and excluded the possibility of an external mediator. Nonetheless, the Colombian government reached out to and mobilized the international community. Although the involvement of these actors was essential to the successful outcome of the talks, it did not translate into wider legitimacy inside Colombia.

This report will be available in Spanish shortly.

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Primaire de la gauche

Institut Montaigne - Mon, 27/02/2017 - 14:27
Date: Dimanche 29 Janvier 2017

Primaire de la droite et du centre : le grand décryptage

Institut Montaigne - Mon, 27/02/2017 - 14:13
Date: Dimanche 27 Novembre 2016

Les pays d’Amérique latine dans l’incertitude face à Trump

IRIS - Mon, 27/02/2017 - 12:53

Par bien des égards, Donald Trump est un président avec un profil inédit dans l’histoire des Etats-Unis. Concernant les relations avec l’Amérique latine, en quoi sa ligne de politique étrangère marque-t-elle une rupture avec ses prédécesseurs ?

Donald Trump représente un profil nouveau dans le panorama des élections américaines car il est le premier président élu, depuis les années 1990, qui n’affiche aucun projet déterminé pour l’Amérique latine. Depuis la fin de la guerre froide, chaque candidat républicain ou démocrate avait un projet pour l’Amérique latine. Il s’agissait de l’intégrer, via un ou des accords de libre-échange, aux chaînes de valeurs économiques et financières de la première puissance mondiale. Manière par ailleurs de garder la région dans son giron. Mais Trump est le premier président à n’avoir pas soutenu un tel projet, ni durant sa campagne où la région a été quasiment inexistante, ni maintenant qu’il est à la Maison-Blanche. Aujourd’hui, sa politique se limite essentiellement à deux questions : l’immigration et le protectionnisme commercial. Les deux concernent surtout le Mexique, l’Amérique centrale et la Caraïbe.

Précisément, l’immigration a été un sujet central dans la campagne de Trump, qui entend renforcer une politique de répression. Concrètement, quelles seraient les mesures à sa disposition susceptibles de bouleverser les schémas migratoires du continent ? Qu’a-t-il déjà commencé à mettre en place ?

Trump a déjà mis en place plusieurs mesures concernant le Mexique mais d’autres politiques moins évoquées dans les médias existent aussi, à destination des pays centre-américains et de Cuba. Il compte essentiellement mettre en place des mesures de répression migratoire sous plusieurs formes. La mesure la plus médiatisée reste la construction d’un mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique (de plus de 3 000 kilomètres), dont il souhaite imposer l’essentiel du financement au Mexique.

Comment ? Plusieurs pistes. Trump compte renégocier – peut être dissoudre – l’ALENA (Accord de libre-échange nord-américain). Dans ce cadre, si le Mexique souhaitait continuer à avoir des rapports commerciaux privilégiés avec les Etats-Unis, il devrait accepter de prendre en charge le financement du mur. Le président américain annonce également vouloir taxer tous azimuts les envois de fonds (remesas) des Mexicains vivant aux Etats-Unis vers leur famille restée au pays. Actuellement, 12 millions de Mexicains vivent aux Etats-Unis, une famille mexicaine sur deux a un parent qui vit aux Etats-Unis et 20% des familles mexicaines bénéficient de ces envois de fonds (estimés à la somme colossale de 26 milliards de dollars en 2016). Trump menace ainsi de taxer chacun de ces transferts à hauteur de 5% de manière à financer le mur. En fait, il semble formuler les termes d’un chantage au gouvernement mexicain : soit celui-ci accepte de financer une enveloppe de 5 à 10 milliards de dollars pour ce mur – dont le coût annoncé par Trump s’élève à 8 milliards de dollars, alors que le Département de sécurité nationale considère qu’il coûterait en réalité plus de 21 milliards ! – soit le nouveau président américain taxera les remesas.

Enfin, un autre volet de la politique de répression consiste en la signature, il y a quelques semaines, d’un décret présidentiel renforçant les moyens financiers et humains américains à la frontière mexicaine en augmentant les effectifs des patrouilles policières et garde-frontières à hauteur de 15 000 personnes. Dans l’attente du potentiel mur, ce décret prévoit de construire des centres de détention pour migrants. Il faut rappeler qu’il existe déjà une barrière métallique étalée sur plus du tiers de la frontière entre les deux pays.

Concernant les pays centre-américains, en particulier le Guatemala, El Salvador et le Honduras qui forment le Triangle Nord, Trump a confirmé l’enclenchement des programmes élaborés par Barack Obama (notamment l’Alliance pour la prospérité disposant d’une enveloppe de 750 millions de dollars votée par le Congrès en 2015). Ils consistent, entre autres, à financer des plans de contrôle et de sécurisation des frontières, de formation policière et militaire, ainsi que des projets de développement. Le but est d’empêcher les migrants de quitter ces pays disloqués par la pauvreté, la criminalité, la corruption, le narcotrafic et par les problèmes politiques et institutionnels.

A noter également que Barack Obama avait levé, avant la fin de son mandat, une loi dite « Pieds sec pieds mouillés » qui permettait aux Cubains quittant l’île pour rejoindre le sol américain de bénéficier d’un statut privilégié et de résident. Cette loi datait de l’époque de la guerre froide. La Havane a toujours considéré qu’il s’agissait d’une incitation à l’exil pour ses ressortissants et exigeait donc son retrait dans le cadre du processus de normalisation amorcé en 2014. Chose faite. Aujourd’hui, avec la fin de cette loi, tout Cubain parvenant illégalement aux Etats-Unis sera considéré comme n’importe quel autre clandestin. Cette mesure va donc influencer la migration cubaine vers les Etats-Unis.

Le protectionnisme affiché de Trump va certainement redéfinir les relations diplomatiques et commerciales en Amérique latine. Serait-il plus judicieux pour les dirigeants sud-américains d’en profiter pour créer une nouvelle dynamique collective ou s’agit-il au contraire de se tourner vers des partenaires extérieurs comme la Chine ?

L’arrivée de Donald Trump confère très clairement à l’Amérique latine un statut de laboratoire concernant les politiques commerciales. On peut qualifier les politiques protectionnistes du président américain comme relevant d’un « protectionnisme de copains », dans le sens où Trump ne s’attache à aucune doctrine. Il exige simplement une loyauté intégrale de la part des pays qui souhaitent établir un partenariat avec les Etats-Unis. Ceux qui obtempèreront seront récompensés, tandis que les autres seront sanctionnés. Dans cette optique, il souhaite remplacer les cadres de négociation multilatéraux par des cadres bilatéraux, qui permettraient aux Etats-Unis – comprendre à leurs entreprises et classes dirigeantes – de tirer le maximum de bénéfices. En face, les chancelleries et les capitales sud-américaines sont en pleine hésitation et en redéploiement stratégique, qui reste encore aléatoire. La tendance est à l’émergence de nouveaux débats car la position du président américain encourage les pays latino-américains à diversifier leurs partenariats, à la fois avec les Etats-Unis mais également avec la Chine et les autres pays émergents.

La question de l’intégration régionale se pose à nouveau également. Cette intégration économique régionale est actuellement faible en Amérique latine. En effet, l’économie intrarégionale représente à peine 15% des échanges des pays latino-américains, l’essentiel de leur production étant exporté sur les grands marchés mondiaux. Ce sujet revient donc dans l’agenda des capitales latino-américaines mais il est encore beaucoup trop tôt pour savoir s’il se concrétisera. Tout dépendra aussi de l’attitude du Mexique, selon qu’il soit prêt ou non à se redéployer vers l’Amérique latine. Ces questions restent ouvertes et sans réponse. Mais il est évident que l’intégration régionale aurait beaucoup de vertus pour les Sud-Américains, tant pour compenser les chocs de l’économie mondiale que pour se protéger des aléas de la politique nord-américaine.

Pierre-François GOUIFFÈS – L’actif épargne logement, Concilier mobilité et propriété

Fondapol / Général - Mon, 27/02/2017 - 12:23

À l’heure où la révolution de l’économie collaborative semble remettre en cause le concept même de propriété au profit de l’usage et de l’expérience, il est utile de rappeler l’organisation de la propriété du logement en France et de voir si cette organisation atténue ou au contraire renforce les deux maux économiques et sociétaux que […]

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Christophe de Voogd présente sa note « Réformer : quel discours pour convaincre ? »

Fondapol / Général - Mon, 27/02/2017 - 12:14

Christophe de Voogd présente sa note « Réformer : quel discours pour convaincre ? »

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España en el mundo en 2017: perspectivas y desafíos

Real Instituto Elcano - Mon, 27/02/2017 - 11:04
Elcano Policy Paper 1/2017 - 27/2/2017
Ignacio Molina (coord.)

Trabajo colectivo del Real Instituto Elcano que pretende hacer un análisis prospectivo de la posición internacional de España de cara a 2017 y cierto balance de lo ocurrido durante 2016.

1er tour de l'élection présidentielle 2017

Institut Montaigne - Mon, 27/02/2017 - 11:03
Date: Dimanche 23 Avril 2017

« Or, argent et folies des grandeurs » – 3 questions à Alessandro Giraudo

IRIS - Mon, 27/02/2017 - 10:47

Alessandro Giraudo est Chief Economist du groupe international Tradition. Enseignant à l’ISG-Paris, il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « Or, argent et folies des grandeurs », aux Éditions Economica.

Comment expliquer que l’or et l’argent influencent la vie des hommes depuis plus de 8000 ans ?

Les deux métaux sont rares et résistent à l’usure du temps, en particulier l’or. C’est surtout ce dernier, produit par les supernovas, qui, par ses qualités, alimente et exacerbe l’imaginaire des hommes. Pour les Égyptiens, le métal jaune était la chair du dieu Râ et, pour les Incas, il représentait les larmes du soleil. Des civilisations très différentes, dans des lieux géographiques très éloignés, sans la possibilité de communiquer et dans des époques diverses, ont toujours choisi les mêmes métaux et leur ont attribué une grande valeur. Les textes religieux dans le monde entier et presque toutes les images de la mythologie de plusieurs pays parlent systématiquement de ces métaux précieux. Les temples, les églises et les centres du culte religieux contiennent est exposent de l’or et de l’argent. Les hommes ont toujours été à la recherche d’Ophir et de Tharsis, les villes mythiques où furent trouvé l’or et l’argent. Les mythes de l’Eldorado, de la Ville de l’Or, de Quivira, de Cibola, de la Sierra de la Plata et de l’Île de l’Or dans l’océan Pacifique peuplent l’imaginaire et les rêves des hommes. Ils attirent des expéditions, qui sont rarement fructueuses et souvent dangereuses. Des milliers d’esclaves meurent de soif dans les mines nubiennes, d’autres sont sacrifiés dans les mines d’argent du Laurion pour financer le siècle d’or d’Athènes : les damnata ad metalla meurent dans les mines romaines ; beaucoup d’esclaves sont engloutis dans les mines des califats ; les mitayos andins et les esclaves africains tombent comme des mouches dans les mines à Potosí et à Huancavelica (le mercure utilisé pour extraire l’argent). Les bandierantes et les garimpeiros au Brésil, les prisonniers politiques et ordinaires en Sibérie, les Johnny newcomers en Californie, les coolies chinois et les mineurs noirs en Afrique du Sud ont des vies très courtes.

Les métaux jaune et blanc ont toujours financé les pouvoirs et les guerres, l’imaginaire et les caprices des hommes, les rançons, le commerce et les échanges de biens. Ils ont acheté le pardon du ciel et les caresses envoutantes des femmes de petite vertu. Un vieux proverbe persan affirme que l’or est la monnaie des rois, l’argent celle des marchands et la dette est la monnaie des pauvres ! Et le paradoxe de l’or, surtout, est d’être extrait dans les entrailles de la terra pour y retourner sous forme de lingot dans les coffres des banques centrales et dans les caveaux de Paradeplatz et de Banhofstrasse à Zurich !

La découverte de gisements est-elle une bénédiction ou une malédiction ?

Dans les premiers instants, la découverte de gisements représente la manne qui tombe du ciel et participe au développement du pays ou, tout seulement, en retarde la décadence, comme dans le cas du Portugal avec la découverte de l’or brésilien. Mais, ensuite, très souvent, ces découvertes se transforment en un cas classique de « malédiction des matières premières ». Il s’agit d’une condition qui tue à feu doux le futur d’un pays dont les dirigeants s’habituent à la dépense facile. Quand les ressources viennent à manquer, la chute est fracassante, comme dans le cas des pays pétroliers (2015-2016). Le cas le plus dramatique est illustré par l’Espagne qui a découvert l’argent américain au cours du XVIème siècle. Grands d’Espagne et hidalgos n’investissent plus dans des projets productifs et créateurs, mais placent leurs richesses dans les « juros », les bons du trésor que le roi s’engage devant Dieu à rembourser. En 90 ans, le trésor espagnol déclare six banqueroutes et le pays, ne produisant presque plus rien, doit importer beaucoup de biens. Il entre alors dans une décadence dorée mais inexorable.

L’or a-t-il favorisé toutes les folies humaines ?

L’or et l’argent ont financé beaucoup de folies des rois, des princes, des religieux… Les deux métaux ont contribué à la splendeur de Babylone (mines d’argent de la Mésopotamie), des Pyramides et des grands temples égyptiens (mines d’or nubiennes), du Parthénon (argent du Laurion), du Colisée (butin rapporté de Jérusalem par Vespasien), d’une partie de la muraille chinoise et du grand canal Beijing-Hangzhou (or et argent du Yunnan), des merveilles de Byzance (Sainte Sophie aurait couté 5 tonnes d’or et 11 tonnes d’argent), de l’essor de Bagdad de l’an mille (encore les mines iraniennes et afghanes de Benjahir). Et il ne faut pas oublier les cathédrales médiévales et les églises de l’Europe de la renaissance et de l’époque baroque (le fameux Gottes Geld), de la cité interdite de Beijing, du Taj Mahal (coût de 32 millions de roupies), des palais et des résidences des princes et des rois en Europe et dans le reste du monde.

Mais l’or et l’argent ont aussi financé les guerres. On peut citer l’expansionnisme égyptien des XVIIIème et XIXème dynasties (encore l’or nubien), les guerres d’Athènes (mines du Laurion) et du Péloponnèse partiellement financées par l’or et l’argent de l’Empire persan. Après avoir pillé le fabuleux trésor de Darius (190.000 talents de métaux précieux), Alexandre se lance à la conquête de l’Inde (et des mines d’or de Karnataka qui financent – plus tard – les Gupta et l’Empire Vijayanagara), les califats exploitent les mines espagnoles et les mines afghanes pour financer leur expansion. Les croisades et, ensuite, la guerre de Cent Ans sont financées par les mines d’argent du Devon et de l’Allemagne et par les banquiers italiens … Mais les rois (anglais et français) « oublient » de rembourser leurs dettes et le système bancaire des Lombards s’effondre vers 1340 ! La découverte de l’argent mexicain et péruvien finance les guerres de l’Empire espagnol, dirigées par deux « impresarios de la guerre », Charles V et son fils Philippe II. Les découvertes de l’or et de l’argent dans l’Empire russe arment les troupes des czars comme la découverte de l’or californien qui aide d’une façon importante la lutte des Nordistes contre les Sudistes. Les deux guerres des Boers sont aussi financées par l’or découvert en Afrique du Sud. Le Japon vend beaucoup d’or à la Réserve fédérale américaine entre mi-1937 et les mois précédant Pearl Harbour et Hitler peut prolonger la guerre grâce à l’or qu’il pille dans les pays conquis. Les SS organisent même les Devisenschutzkommandos, unités spéciales composées par des hommes travaillant dans le monde bancaire, capables de lire la comptabilité et de dénicher des métaux précieux à l’intérieur de la banque et chez les particuliers…

Les élections législatives bulgares du 26 mars pourraient ne pas dégager de majorité

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Le 24 janvier dernier, le nouveau président de la République de Bulgarie Roumen Radev, élu le 13 novembre 2016, a dissous l'Assemblée nationale (Narodno sabranie), chambre unique du Parlement bulgare et convoqué des élections législatives anticipées pour le 26 mars. Celles-ci seront les...

Les entreprises et l'Europe face à l'économie de la donnée

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I. Les enjeux de l'entreprise face à l'économie de la donnée A l'heure de la révolution numérique les données sont devenues des ressources essentielles et précieuses. L'économie de la donnée - qui traduit l'impact global de la profusion de ces informations sur l'ensemble de l'économie...

Elections, Elections législatives en Bulgarie le 26 mars

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Le 26 mars, les Bulgares sont conviés aux urnes pour renouveler les 240 députés de leur Parlement. 12 partis et 9 coalitions sont en lice pour ces élections législatives. Selon la dernière enquête d'opinion réalisée par l'institut Trend, le GERB avec 29,7% serait au coude-à-coude avec le Parti socialiste (BSP) (28,7%).

Fondation, Prix Franco-Allemand du Journalisme

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Les inscriptions pour le Prix franco-allemand du journalisme 2017 sont ouvertes jusqu'au 1er mars et concernent des sujets qui contribuent à une meilleure compréhension entre la France et l'Allemagne dans le contexte européen.

Crise financière, La croissance économique de la zone euro s'accélère

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
La croissance de l'activité privée dans la zone euro s'est accélérée en février par rapport à janvier, selon la première estimation de l'indice PMI composite publiée le 21 février par le cabinet Markit.

Crise financière, Le PIB de la zone OCDE à 0,4% au 4e trimestre 2016

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Selon un communiqué publié par l'OCDE le 20 février, la croissance du PIB de la zone OCDE est en légère baisse à 0,4% au 4e trimestre 2016, comparé à 0,5% au 3e trimestre. Ceci le met sur un pied d'égalité avec le niveau du PIB de la zone euro au 4e trimestre.

Crise financière, Le Portugal rembourse la moitié de l'aide reçue du FMI

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Le FMI a salué le 22 février la stabilisation économique et financière du Portugal qui a réussi à limiter son déficit budgétaire à 2,1% du PIB en 2016. Le 20 février, le Portugal a effectué un paiement de 1,7 milliard € au FMI, remboursant ainsi la moitié de l'aide reçue.

Commission, Examen des progrès économiques et sociaux des Etats membres

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Le 22 février, la Commission européenne a publié un rapport sur les progrès de 27 Etats membres (excepté la Grèce) vers les objectifs économiques et sociaux du Paquet d'Hiver du Semestre européen, ainsi que sur le Pacte budgétaire (TSCG) et sur la dette italienne.

Commission, Discours de Jean-Claude Juncker sur l'avenir de l'Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Le 24 février, le Président de la Commission européenne a appelé les Etats membres au rassemblement et plaidé à ce qu'une réponse soit apportée à la question de savoir s'il ne faudrait pas que ceux en Europe qui veulent avancer plus rapidement puissent le faire.

Commission, Etude sur les accords commerciaux et le secteur agroalimentaire

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 27/02/2017 - 01:00
Le 27 février, la Commission européenne a communiqué les résultats d'une étude indépendante sur les accords commerciaux et le secteur agroalimentaire. Elle rapporte que les accords commerciaux ont contribué à stimuler les exportations agricoles et ont soutenu l'emploi dans le secteur agroalimentaire .

Parlement, Infographie sur les dépenses et contributions au budget européen par Etat membre

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Le 24 février, le Parlement européen a publié une infographie qui rend compte des dépenses et contributions de chaque Etat membre au budget européen et comment les fonds européens sont utilisés dans chaque pays.

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