Le Projet national « Africa Minigrids Program » (PN-AMP), en collaboration avec l'Agence nationale des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique (ANEREE), a organisé ce mardi 15 avril 2025, un atelier de formation sur l'intégration de la dimension genre dans le domaine de l'électrification rurale par mini-réseaux. Cette rencontre vise à renforcer les capacités des acteurs privés du secteur de l'énergie et plus particulièrement du cluster solaire et des acteurs des mini-réseaux sur la thématique.
Au Burkina Faso, le taux d'électrification national est faible avec seulement 26,29 %. Il existe une forte disparité entre le milieu rural et celui urbain avec 7,02 % contre 87,04 %, selon des chiffres datant de 2023. Ce qui a un impact négatif sur les populations et plus particulièrement les femmes. L'État et ses partenaires veulent inverser la tendance.
Un mini réseau est un système électrique qui est conçu pour alimenter les populations qui sont très éloignées du réseau électrique national.
Il s'appuie parfois sur des sources d'énergie renouvelable telles que le solaire et l'éolien, souvent associées à des systèmes de stockage d'énergie pour garantir une alimentation électrique autonome. La vulgarisation de cette méthode va permettre d'illuminer la vie de millions de Burkinabè vivant dans les zones rurales, surtout les femmes.
Conscient de cette opportunité pour les populations, le PN-AMP et l'ANEREE ont décidé d'outiller les acteurs. Les participants à cette formation sont des professionnels du secteur privé de l'énergie tels que des installateurs, des développeurs, etc. Des acteurs du public sont également présents afin de s'assurer que les politiques qui sont élaborées et mises en œuvre prennent en compte le volet genre.
« Nous avons une stratégie nationale en matière d'électrification rurale. La question du genre est centrale dans cette stratégie. C'est pour cette raison que nous avons jugé opportun d'organiser cette formation avant que les femmes qui sont des actrices essentielles en milieu rural puissent être des parties prenantes de cette stratégie, afin de contribuer au développement économique local. Les femmes doivent être au début de la conception du projet, de l'élaboration du document, de son implémentation et de son évaluation.
En milieu rural, les femmes sont plus dynamiques et participent plus à la vie économique dans les localités. « Mettre en œuvre une stratégie sans leur implication est voué à l'échec », a fait comprendre le coordonnateur du PN-AMP, Roger Ouédraogo.
Roger Ouédraogo (en tenue verte) a rappelé l'intérêt pour un pays d'inclure les femmes dans les projets d'électrification en milieu ruralLes résultats attendus après la formation
Dans son intervention, le directeur général de l'ANEREE, Tobouré Gandré, a déclaré :
« La problématique de l'intégration du genre dans le domaine de l'électrification rurale par les mini-réseaux est d'une importance capitale pour la réussite de la stratégie nationale de l'électrification rurale et en matière de développement socioéconomique durable.
L'électrification rurale par des mini-réseaux verts utilisant l'énergie solaire joue un rôle clé dans le développement durable des localités isolées. Il est essentiel pour les acteurs (publics et privés) d'intégrer une approche inclusive en matière de genre et de développer des stratégies efficaces de gestion des déchets d'équipements électriques et électroniques générés par ces infrastructures.
Le résultat ultime attendu à l'issue de cet atelier est que les acteurs du domaine, en l'occurrence le privé, ayant pris connaissance de l'importance de l'intégration de la dimension genre dans les projets d'électrification rurale et de gestion des déchets d'équipements électriques et électroniques, convaincus aussi des bien-fondés de cela, changent de comportement en intégrant effectivement le genre dans toutes les phases des projets, depuis leur conception jusqu'à leur mise en œuvre effective, y compris les D3E (déchets d'équipements électriques et électroniques) », a-t-il dit.
« L'accès aux services énergétiques modernes de qualité est essentiel pour garantir l'amélioration des conditions de vie des populations », a souligné Tobouré Gandré (au milieu)Les spécificités liées au genre
L'une des formatrices à cet atelier, la sociologue et consultante Armande Sawadogo, a expliqué qu'elle allait mettre l'accent sur des échanges constructifs avec les acteurs présents, car ils sont sur le terrain.
Elle a souligné que « dans les projets d'électrification rurale, on ne prend pas toujours en compte les besoins des femmes. Et pourtant, dans les zones rurales, elles jouent un grand rôle dans les travaux domestiques, agricoles et sur le plan social. Il faut absolument prendre en compte leurs besoins. Elles ont plusieurs types de besoins. Il existe, par exemple, le besoin pratique, à savoir tout ce qui est en rapport avec le ménage. On peut citer entre autres la cuisson des repas, la collecte de l'eau, l'éclairage, la ventilation…
Les besoins ne sont pas forcément identiques pour les femmes et les hommes. Il existe aussi les besoins sociaux tels que l'éducation, la santé, la formation, etc. À titre d'exemple, si on éclaire une maternité, cela va plus profiter aux femmes qu'aux hommes, même s'il faut souligner que les hommes vont également être des bénéficiaires parce qu'ils sont des pères.
Armande Sawadogo a précisé que les besoins des femmes en matière d'électrification sont spécifiques en milieu ruralAutre besoin, celui productif qui permet de créer des activités génératrices de revenus. Nous allons mettre l'accent sur cette thématique parce qu'il faut attirer les femmes en leur disant que l'électrification rurale va leur permettre de gagner plus d'argent.
Enfin, il existe des besoins stratégiques qui consistent à rendre la femme disponible afin qu'elle puisse participer au développement local et à la sauvegarde de l'environnement. Cela va permettre de nommer des femmes dans les sphères de décision dans les comités de gestion afin qu'elles soient plus mises en avant », a développé la formatrice.
A noter que le projet de mini-réseaux pour l'Afrique est un programme d'assistance technique pour les mini-réseaux. Il a été développé par le PNUD avec l'accompagnement financier du Fonds pour l'environnement mondial (FEM). Ce programme est mis en œuvre dans 21 États africains, dont le pays des hommes intègres. Au Burkina Faso, il s'implémente à travers le PN-AMP, dont la mise en œuvre a été confiée à l'Agence burkinabè de l'électrification rurale (ABER).
Des échanges sont prévus pour permettre aux participants de partager leurs expériencesL'objectif du projet est d'accroître l'accès des populations à l'électricité en améliorant la viabilité financière et en promouvant les investissements commerciaux à grande échelle dans les mini-réseaux solaires photovoltaïques dans le pays.
En rappel, l'ANEREE a pour mission d'assurer les services de conseil, de mise à niveau et d'accompagnement dans le domaine des énergies renouvelables.
SB
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L'ambassadeur du Royaume de Belgique au Burkina Faso, Erwin De Wandel a effectué une tournée dans les régions du Centre-Est et du Plateau-Central. C'était le 14 avril 2025. Cette tournée visait à apprécier les retombées concrètes des projets soutenus par la coopération belge, à travers Enabel, Agence belge de coopération internationale.
Ce déplacement sur le terrain, en compagnie de Maria-Goretti Nyirarukundo, cheffe de coopération à l'ambassade, et d'une délégation, a permis de mettre en lumière une coopération engagée, multisectorielle et résolument orientée vers les besoins locaux.
Au cours de cette tournée, il y a eu des échanges avec les autorités locales, bénéficiaires et partenaires. Il y a également des visites d'infrastructures sanitaires, éducatives, agricoles et d'innovation.
De l'unité d'oxygène du CHR de Tenkodogo au Centre d'innovation pour l'emploi des jeunes, en passant par les réalisations en matière d'éducation, de gouvernance, ou encore les initiatives portées par les femmes à Karin, chaque étape a mis en lumière la vitalité d'un partenariat centré sur les besoins réels des populations.
Parmi les étapes marquantes de la visite, le Centre d'innovation de Tenkodogo a particulièrement retenu l'attention. Les membres de la délégation ont pu échanger avec les responsables et bénéficiaires de ce centre, véritable incubateur d'idées entrepreneuriales pour les jeunes.
Outre l'innovation, les résultats dans les domaines de l'agriculture, de l'éducation, de l'action humanitaire et de la gouvernance ont été présentés par les directeurs régionaux.
À Dialgaye, par exemple, Enabel a soutenu la mise en valeur de 20 hectares de bas-fonds au profit de 258 bénéficiaires, dont 205 femmes et 20 personnes déplacées internes.
Dans le secteur de l'éducation, 60 infrastructures scolaires ont été construites et équipées dans le Boulgou et le Kourittenga. L'appui a également porté sur la formation de plus de 500 enseignants et la dotation en kits scolaires des élèves vulnérables.
À l'issue de la mission, l'ambassadeur belge s'est dit fier des avancées constatées sur le terrain.
« Les actions d'Enabel sont le fruit d'une co-construction avec le Burkina Faso. Nous sommes là pour accompagner les priorités fixées par le pays, dans un esprit de partenariat, d'écoute et de respect mutuel », a-t-il souligné.
Il a également rappelé que le programme bilatéral est en cours jusqu'en 2027, avec des volets complémentaires dans les domaines de l'éducation, de la culture et des échanges académiques.
À travers cette tournée, la Belgique réaffirme son engagement auprès des populations burkinabè, dans un contexte où les défis liés à la paix, à la stabilité et au développement durable exigent des partenariats solides, ancrés dans les réalités locales.
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Source : page Facebook Koupela start-up international
(Ouagadougou, 15 avril 2025). Le Président du Faso, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE a reçu en audience ce mardi, le comité des Chefs d'État-major généraux des armées de la Confédération des États du Sahel (AES).
Présents à Ouagadougou, dans le cadre de la continuité des engagements communs des trois États d'éradiquer le terrorisme, les Chefs d'État-major généraux des armées ont fait le point des conclusions de leur rencontre au Capitaine Ibrahim TRAORE.
« Nous ressortons très satisfaits et ragaillardis par les orientations et les directives qui ont été données par le Président du Faso. A chaque fois, quand on vient voir le politique, ça nous donne aussi beaucoup d'ardeur dans la mise en œuvre de la force unifiée de l'AES, objet de notre rencontre à Ouagadougou », se réjouit le Général de division Oumar DIARRA, Chef d'État-major général des Armées (CEMGA) de la République du Mali, président du Comité des Chefs d'État-major de l'AES.
Montée en puissance des forces de l'AES pour une victoire certaine sur le terrorisme
Selon le Général DIARRA, la délégation a également rendu compte au Chef de l'État de l'examen du protocole additionnel de la force de l'AES et des deux opérations Yéréko 1 et 2 menées dans la zone des trois frontières ainsi que des perspectives d'autres opérations.
Les Chefs d'État-major généraux des armées de l'AES invitent les populations de la Confédération à toujours faire confiance aux trois Chefs d'États et aux forces de l'AES. « Nous sommes décidés et déterminés. Nous rassurons que la force de l'AES est en train de monter en puissance. Les terroristes changent de mode d'action quotidiennement. Nous nous adaptons aussi à ce mode d'action. Je puis vous dire que la victoire est au profit des forces de l'AES », rassure le CEMGA du Mali.
En marge de la rencontre de Ouagadougou des Chefs d'État-major généraux de l'AES, les Chefs d'État-major de l'armée de l'air de la confédération sont réunis à Bamako au Mali pour mutualiser les moyens à mesure de défendre l'espace AES.
Direction de la Communication de la Présidence du Faso
La sixième session du dialogue structuré national sur le Fonds vert pour le climat se tient du 15 au 17 avril 2025. Elle est co-organisée par le Fonds d'intervention pour l'environnement et le Secrétariat exécutif du Fonds vert pour le climat au Burkina Faso et a pour objectif de renforcer la synergie d'actions entre les parties prenantes pour une mobilisation plus accrue des financements climatiques au profit du Burkina Faso.
Au cours de cette sixième session du dialogue structuré national sur le Fonds vert pour le climat, les participants issus des structures étatiques, des institutions privées et des ONG et associations vont prendre connaissance des innovations au sein du Fonds vert pour le climat et de ses engagements avec le Burkina, et faire le point sur l'état de mise en œuvre des projets et programmes impliquant le pays et financés par le Fonds vert. Ils vont aussi échanger sur la stratégie de mobilisation des ressources pour la création de bosquets et le reverdissement du pays et sur les perspectives pour une mobilisation plus accrue de la finance climat au profit du Burkina.
Le ministre a fait le tour des stands des projets financés par le Fonds vert climatLe Fonds vert pour le climat est le principal instrument financier multilatéral, dédié à l'appui des pays en développement dans leurs efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et renforcer leur résilience face aux effets du changement climatique. Pour faciliter les échanges, le pays a mis en place son Autorité nationale désignée, qui constitue une interface entre le secrétariat du fonds basé à Songdo et les institutions burkinabè. Le secrétariat exécutif du Fonds vert climat pour le Burkina travaille à faciliter l'accès aux financements du Fonds vert pour le climat de divers acteurs tels que les administrations publiques, les collectivités territoriales, le secteur privé, les organisations de la société civile, etc.
Grâce à l'accompagnement du Fonds vert pour le climat, le pays des hommes intègres a pu bénéficier d'un accompagnement financier pour la mise en œuvre de projets transformateurs au profit des communautés. Selon Lamech Nebyida Kaboré, Autorité nationale déterminée, à ce jour, ce sont 14 projets et programmes qui ont été financés à hauteur de 93 milliards de FCFA.
Nebyida Lamech Kaboré, Autorité nationale déterminéeLe fonds dédié à la subvention à la préparation, qui relève également du Fonds vert, a aussi permis de financer 9 projets à hauteur de 3 milliards de FCFA. « Le Fonds a également permis au pays de proposer à l'accréditation le Fonds d'intervention pour l'environnement en tant qu'entité nationale d'accès direct et l'accréditation a été acceptée. Il a aussi permis de renforcer l'expertise des acteurs au niveau national et ceux-ci ont pu élaborer des projets climat à soumettre au Fonds vert climat », a-t-il ajouté.
Parmi les projets financés par le Fonds vert climat figure le projet Hydromet, qui, à travers le don d'ambulances, a permis de renforcer les capacités nationales pour la riposte aux risques climatiques. Le Fonds vert a aussi apporté un appui financier à l'Agence nationale de météorologie pour lui permettre d'affiner l'information climatique au profit des producteurs.
photo de familleLa présente session du dialogue structuré national se tient sous le thème « Vision du chef de l'État dans le secteur de l'environnement, en matière de création de bosquets de plantes médicinales et de reverdissement du Burkina Faso : quelle contribution du Fonds vert pour le climat ? ». Le ministre de l'environnement, Roger Barro, représentant le Premier ministre, a laissé entendre que le Fonds vert climat est appelé à jouer un rôle déterminant dans la mise en œuvre de cette vision. « Son appui permettra de renforcer les capacités institutionnelles communautaires, de financer les projets porteurs et structurants dans le domaine de la reforestation, la conservation des plantes médicinales et de soutenir l'innovation, la recherche pour la valorisation des savoirs endogènes », a-t-il expliqué.
Roger Barro, ministre de l'environnementMême si les acquis engrangés en termes d'adaptation aux changements climatiques sont fort appréciables, le ministre de l'environnement a invité l'ensemble des acteurs à redoubler d'efforts pour mobiliser davantage de ressources et à mettre en œuvre des solutions concrètes, durables et inclusives.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Un drame s'est produit le dimanche 13 avril à Batondo, dans la commune de Ténado, province du Sanguié. Un père a ôté malencontreusement la vie de son fils âgé de 10 ans, selon l'Agence d'information du Burkina (AIB).
L'enfant, élève en classe de CE1, a été mortellement atteint par une hache lancée par son géniteur, furieux après avoir constaté la disparition de plusieurs chèvres du domicile familial.
La victime a été inhumée le lundi 14 avril 2025 dans une atmosphère de grande tristesse. De nombreux messages de compassion ont été adressés à la famille endeuillée.
Ce drame a suscité une vive émotion au sein de la population, qui appelle à une prise de conscience sur la gestion de la colère et la prévention de la violence dans les ménages.
LeFaso.net
Source : AIB
CGE Immobilier a procédé le vendredi 11 avril 2025 au lancement officiel de son programme « WASSA, un toit pour tous », un projet immobilier de grande envergure qui prévoit la construction de 10 000 logements pavillonnaires et appartements sur cinq ans. La cérémonie s'est tenue sur le site de la ville nouvelle de Yennenga, à Kouba, en présence du ministre de l'urbanisme et de l'habitat, Mikaïlou Sidibé.
Pensé pour répondre à la problématique de l'accès au logement pour les Burkinabè à revenus modestes, ce programme se distingue par ses prix particulièrement accessibles. Les premières villas F3, bâties sur des parcelles de 200 m², sont proposées à partir de 11 500 000 FCFA TTC. Extensibles à l'arrière, ces logements seront également viabilisés (eau et électricité) et disponibles via un mécanisme de location-vente facilité par des partenariats bancaires, avec des mensualités proches des loyers courants.
Vue des logementsSelon le PDG de CGE Immobilier, Saïdou Tiendrebéogo, ce programme vise les jeunes, les fonctionnaires, les militaires, les paramilitaires, les salariés du privé comme de l'informel, en leur offrant des logements dignes, fonctionnels et durables. Il a également insisté sur l'impact économique du projet, qui devrait générer plus de 7 000 emplois directs et 21 000 emplois indirects.
Saïdou Tiendrebéogo, PDG de CGE ImmobilierPrenant la parole, le ministre de l'urbanisme et de l'habitat, M. Mikaïlou Sidibé a salué « le professionnalisme, l'engagement et le patriotisme » de CGE Immobilier. Il a encouragé les autres promoteurs à suivre cet exemple : « Construire des logements abordables, viabilisés, avec des services de base intégrés, c'est répondre à un besoin essentiel dans un contexte national difficile. »
Mikaïlou Sidibé, ministre en charge de l'urbanisme et de l'habitatLe ministre a également rappelé que les réformes du secteur visent à recentrer la promotion immobilière sur la production de logements, plutôt que sur la simple vente de terrains. Il a réaffirmé la disponibilité de son ministère à accompagner les promoteurs immobiliers qui s'inscrivent dans cette dynamique.
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La Jeune chambre internationale (JCI) Burkina Faso a reçu la visite du président mondial 2025 de la JCI, en la personne de Keisuke Shimoyamada. Au cours d'une conférence de presse tenue ce 14 avril 2025 à Ouagadougou, la JCI Burkina Faso a présenté les motivations de cette visite du japonais, qui entend durant son séjour, s'imprégner des actions posées par ses pairs au Burkina, mais aussi, œuvrer au renforcement des partenariats au sein de cette organisation, et échanger avec les premières autorités du pays, notamment le Premier ministre, sur la vie de leur institution et l'impact de ses actions pour la jeunesse. Ce tête-à-tête avec la presse a aussi été l'occasion pour la JCI Burkina Faso d'annoncer la date de célébration de son cinquantenaire, prévue se tenir du 24 au 27 juillet 2025.
Keisuke Shimoyamada est en visite à travers le monde, des différents pays qui abritent des représentations nationales de la JCI. Depuis janvier 2025, il a pu rencontrer ses pairs dans plus de 20 pays et cette fois-ci, c'est au tour du Burkina Faso de recevoir celui-là qui se donne pour mission durant son séjour au pays des hommes intègres, de renforcer la coopération internationale, œuvrer à la valorisation des actions des jeunes engagées, et mobiliser de nouveaux partenariats autour des projets structurants à fort impact social. Dans ses actions, la JCI prône bon nombre de valeurs. L'une d'elle est la paix. Cette visite est aussi l'occasion pour le président mondial de s'enquérir des actions posées par la JCI Burkina Faso, pour contribuer à son regain.
Quelques membres de la JCI présents au cours de la conférence de presse, ensemble sur la photo de famille« Le Burkina Faso est un pays qui regorge beaucoup de capacités. L'une d'elle est sa jeunesse, forte de plus de 40%. C'est un véritable potentiel pour ce pays. C'est ce sur quoi il faudrait investir pour relever le pays. Il faut créer des leaders, accorder aux jeunes des opportunités de développement. C'est une question de volonté, si l'on veut parvenir à faire émerger de ces jeunes-là, leur plein potentiel. Au niveau mondial, nous collaborons avec beaucoup d'acteurs, pour travailler à l'autonomisation des jeunes. Nous allons créer cette année des opportunités de développement passant par des accords pour booster les jeunes entrepreneurs », a annoncé le japonais, qui dit porter le Burkina Faso à cœur, malgré le contexte et les idées reçues faisant croire que le pays est infréquentable.
« Si ma présence peut inspirer des jeunes burkinabè, j'aurai accompli ma mission », Keisuke ShimoyamadaRappelons que cette conférence de presse a été l'occasion pour la JCI Burkina Faso d'annoncer la date de célébration de son cinquantième anniversaire. Il se tiendra du 24 au 27 juillet 2025. Il coïncide avec la célébration cette année, des 110 ans d'existence de la JCI. Au cours de ces trois jours, sont prévues se tenir des assises nationales et l'établissement d'un bilan avec toutes les générations qui ont travaillé en tant que leaders dans cette organisation. « Par ailleurs, la JCI Burkina Faso entend poser un acte qui devrait symboliser ces 50 ans. Il s'agit de la mise en place d'un centre d'excellence de citoyenneté, de leadership et d'entrepreneuriat. Il aura pour vocation d'inspirer la jeunesse burkinabè », a indiqué le président national de JCI Burkina Faso, Dr Ousséni Soré.
« La JCI a pu former beaucoup de monde qui sont des leaders à travers le monde », Dr Ousséni SoréDes précisions apportées par Dr Saïdou Sanou, élu en octobre 2024 vice-président exécutif mondial de la JCI, lors du congrès mondial qui s'est tenu à Taïwan, cette école sera soit une école public primaire déjà établie au Burkina Faso et sur laquelle la JCI Burkina Faso travaillera à faire des installations pour la moderniser ; soit un terrain nu sur lequel, la JCI Burkina Faso exigera des bâtiments pour la construction du centre. Le tout, selon ses dires, est de parvenir à inculquer les valeurs aux jeunes depuis le bas-âge pour qu'ils grandissent avec un esprit de leadership et soient prêts à travailler pour le développement de la société dans laquelle ils se trouveront, à apporter leur pierre à la construction d'une société meilleure.
« C'est un pôle d'excellence que nous voulons construire », Dr Saïdou SanouErwan Compaoré
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Les rideaux sont tombés sur les assises nationales sur le sport et les loisirs, le samedi 12 avril 2025, sur une bonne note et des perspectives ambitieuses. En plus des recommandations, l'engagement solennel a été pris pour mettre en œuvre de manière concertée et efficace les recommandations issues des assises, avec rigueur, transparence et esprit de redevabilité pour « le développement du sport et des loisirs dans un contexte de reconquête du territoire », thème de la présente rencontre.
Plusieurs recommandations ont été formulées par les participants aux assises nationales sur le sport et les loisirs, débutées officiellement le 10 avril 2025. En matière de gouvernance du sport et des loisirs, les participants ont souhaité l'opérationnalisation du Conseil national du sport et des loisirs prévu par la loi 050 ; le renforcement des capacités opérationnelles des structures du ministère en charge des sports à travers l'élaboration et la mise en œuvre d'un plan de formation du personnel et d'un plan d'équipement.
La directrice des sports et loisirs W. Valérie BadoloPour ce qui concerne le développement des infrastructures des sports et des loisirs, les congressistes ont recommandé la sécurisation de l'ensemble des espaces réservés au sport prévus dans les plans de lotissement ; la rétrocession des stades réalisés dans le cadre de la fête nationale de l'indépendance du Burkina Faso à Burkina Yin-wisgr Meta (BYM). Il a été également préconisé, en matière de développement de l'économie du sport et des loisirs, la réduction de la dépendance des acteurs du sport vis-à-vis du financement de l'État par la professionnalisation et l'industrialisation du domaine à travers l'adoption et la mise en œuvre d'un plan de développement de l'économie du sport et des loisirs ; l'organisation d'une table ronde des bailleurs en vue de la levée de fonds pour booster le domaine du sport et des loisirs.
L'ambassadeur pour le sport a pris part à ces assises nationalesQuid du développement de la relève sportive ?
Sur cette question, les participants aux assises nationales sur le sport et les loisirs ont prôné l'adoption et la mise en œuvre du Programme d'appui à la relève sportive (PARS) et le renforcement du cadre juridique et règlementaire du domaine de la relève sportive. En matière de promotion des activités de loisirs et des activités de sport pour tous : la mise en place des faîtières du sport pour tous ; l'institutionnalisation de la pratique du sport pour tous. Les participants aux assises nationales du sport et des loisirs ont pris l'engagement solennel de mettre en œuvre de manière concertée et efficace les recommandations issues des assises, avec rigueur, transparence et esprit de redevabilité. Ils sont animés d'une volonté commune de bâtir un écosystème sportif inclusif, dynamique et durable, au service de l'épanouissement de la population et du rayonnement international du Burkina Faso.
Le ministre des sports, Roland Somda, a déclaré que le sport et les loisirs s'imposent comme des instruments de reconquête de nos valeursDes perspectives ambitieuses
D'après le ministre en charge des sports, Roland Somda, ces trois jours d'intenses réflexions, de partages d'expériences et de confrontations d'idées ont permis de poser un diagnostic lucide et sans complaisance de l'état du sport et des loisirs dans notre pays. « Mais au-delà du constat, vous avez su esquisser des perspectives ambitieuses, réalistes et structurantes pour redonner à ce secteur toute sa dignité et son rôle stratégique dans notre développement », a-t-il ajouté. Le ministre en charge des sports est convaincu qu'il faut réinventer les voies de la cohésion nationale, du vivre-ensemble, de l'épanouissement de notre jeunesse et de la valorisation de notre capital humain. Et le sport et les loisirs, a-t-il analysé, s'imposent comme des instruments de reconquête de nos valeurs, de nos territoires, de notre dignité collective.
Obissa Juste Mien
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La Gendarmerie nationale a interpellé, dans la nuit du 12 au 13 avril 2025, 70 personnes et saisi 201 motos ainsi que dix machines à sous dans le quartier Zongo de Ouagadougou, plus précisément à « Allah Ti Kouman », une zone réputée pour la dépravation des mœurs et l'insécurité, selon l'agence d'information du Burkina (AIB). Ci-joint le communiqué de la Gendarmerie nationale
Mission de bouclage dans le quartier Zongo/Ouagadougou : plus d'une soixantaine de personnes interpellées par la gendarmerie
Le calme apparent du quartier Zongo précisément dans les environs de la zone dénommée ‘‘Allah Ti Kouman'' a été momentanément interrompu dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 avril 2025 par une opération de bouclage menée par les unités du Centre des Opérations de la Troisième Légion de Gendarmerie.
Objectif : rétablir l'ordre, rassurer les populations et dissuader les comportements déviants.
Nantis d'informations précises et des plaintes récurrentes enregistrées ces dernières semaines, les gendarmes ont procédé à un bouclage suivi d'une fouille systématique de la zone.
Cette opération méthodique, rigoureusement exécutée, s'inscrit dans une stratégie globale de sécurisation du territoire en cette période où l'État intensifie la lutte contre toutes les formes d'insécurité, y compris la criminalité urbaine.
Les résultats sont sans appel : soixante-dix (70) personnes interpellées, deux cent une (201) motos saisies pour vérification et dix (10) machines à sous extraites des lieux.
Un bilan révélateur du niveau de dérive qui gangrène certaines zones urbaines.
Au-delà de l'action répressive, la mission s'est voulue pédagogique. Des échanges directs ont eu lieu avec les habitants.
La Gendarmerie en a profité pour sensibiliser sur les méfaits de certains comportements marginaux, en particulier ceux liés à la dépravation des mœurs ; un phénomène de plus en plus préoccupant et contre-productif dans un contexte national marqué par une mobilisation générale contre le terrorisme.
La Gendarmerie Nationale exprime sa gratitude envers les populations qui, dans leur grande majorité, ont collaboré de manière franche et constructive.
Elle appelle cependant à une vigilance accrue et surtout, à une dénonciation systématique de tout comportement ou individu suspect.
C'est ensemble, unis et solidaires, que le Burkina Faso triomphera des menaces qui pèsent sur sa stabilité.
Pour tout signalement, les numéros verts restent accessibles 24h/24.
•1010 pour le Centre National de Veille et d'Alerte,
•16 pour la Gendarmerie Nationale,
•17 pour la Police Nationale.
La sécurité est l'affaire de tous. Ne soyons pas complices par notre silence !
Lefaso.net
Source : AIB
N° 8386976
La Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), est une entreprise de coopération internationale pour le développement durable opérant sur tous les continents. Elle propose des solutions d'avenir pour le développement politique, économique, écologique et social dans un monde globalisé. Dans des conditions parfois difficiles, la GIZ soutient des processus complexes de changement et de réforme. Son objectif principal est Au Burkina Faso, depuis fin 2016, la crise sécuritaire oblige les populations à se déplacer vers des zones relativement plus sécurisées, perdant ainsi la plupart leurs moyens de subsistance.
Dans les localités d'accueil, la pression sur les terres et les ressources naturelles devient de plus en plus forte. Cette pression augmente également les risques de conflits liés à l'accès et à l'utilisation de ces ressources. Ce qui peut avoir pour conséquence la fragilisation de la cohésion sociale, l'augmentation de l'insécurité alimentaire et nutritionnelle, l'augmentation du niveau de pauvreté, accroissant ainsi les pressions sur les services déjà̀ déficitaires.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet, la GIZ prévoit la construction d'infrastructures au profit des communautés dans les zones d'intervention de l'Est du Burkina Faso (Diabo, Diapangou, Fada N'Gourma et Tibga). A cet effet, L'équipe du projet SARES chargée de la mise en œuvre du volet infrastructures a élaboré des concepts d'un bâtiment multifonctionnel et de quatre magasins qu'elle envisage réaliser et souhaite recruter deux cabinets pour l'élaboration des dossiers d'exécution de ces types d'infrastructures sur la base des concepts élaborés.
L'objectif général est d'élaborer cinq (05) dossiers d'exécution d'infrastructures prévues dans les communes de Diabo, Diapangou, Fada N'Gourma et Tibga dans le cadre de la mise en œuvre du SARES au Burkina Faso.
La participation à la concurrence est ouverte à égalité de conditions à toutes les structures remplissant les conditions énumérées dans le Dossier d'Appel d'Offres. Les prestataires intéressés peuvent obtenir le dossier d'Appel d'Offres en envoyant une demande à l'adresse BF_Inquiry@giz.de avec en objet « Dossier N°8386976_Elaboration de dossier infrastructures ». La date limite de soumission est fixée au 04 mai 2025.
« Faire en sorte que chaque Burkinabè sache faire quelque chose de ses dix doigts. » Voici résumé l'ambition de Burkina Suudu Bawdè (La maison des compétences en fulfuldé). Créée en juillet 2023, cette structure est le pivot de la formation professionnelle et contribue à doter les jeunes et les adultes de compétences pratiques adaptées aux besoins du marché du travail. Afin de permettre aux journalistes de connaître davantage ses missions et d'améliorer leur compréhension des fondamentaux de la formation professionnelle, elle organise un atelier de communication du 14 au 19 avril 2025, à Ziniaré, dans la région du Plateau central.
« La formation professionnelle doit être au cœur de nos préoccupations. Elle permet non seulement à chacun d'acquérir des compétences solides, mais aussi de garantir une insertion durable dans le monde du travail », a déclaré, lundi, le directeur général de Burkina Suudu Bawdè, Kèrabourou Palé.
Il a rappelé que sa structure a été créée en juillet 2023, suite à une instruction donnée en janvier 2023 par le chef de l'État, le capitaine Ibrahim Traoré, au ministre en charge de la jeunesse et de l'emploi de réformer le système éducatif en collaboration avec les ministères de l'Éducation nationale et de l'Enseignement supérieur, afin de favoriser l'apprentissage de métiers et l'insertion professionnelle rapide des jeunes.
Burkina Suudu Bawdè (BSB) étant très peu connu des journalistes et des Burkinabè en général, cet atelier de communication était donc le bienvenu. Il réunit une dizaine d'hommes et de femmes de médias de Ouagadougou et de la ville de Ziniaré. Objectif : renforcer leurs compétences sur les fondamentaux de la formation professionnelle, en constante évolution.
Kèrabourou Palé, directeur général de Burkina Suudu BawdèUne offre de formation de 144 métiers dans neuf domaines
BSB compte 31 centres dont 3 centres nationaux, 13 centres régionaux et 15 centres provinciaux qui offrent par an 4 781 places. L'offre de formation concerne 144 métiers dans neuf domaines, à savoir le génie civil, le génie mécanique, le génie électrique, le génie électronique, le textile-habillement-cuir, l'agro-alimentaire, la maintenance industrielle, l'hygiène et les soins corporels.
« Nous avons 304 formateurs sur l'ensemble de notre réseau, dont 146 permanents et 158 vacataires. C'est insuffisant au regard de nos ambitions et il faut toujours travailler à étoffer ce personnel », reconnaît le directeur général de BSB, M. Palé, pour qui la finalité de la formation demeure l'insertion professionnelle qui passe par l'auto-emploi.
Faso Kuna-Wili pour accompagner les projets « viables »
Même si Burkina Suudu Bawdè dit ne pas offrir d'équipements à ses apprenants formés, il précise qu'un certain nombre de kits sont remis aux meilleurs en fin d'année pour les encourager. « Le gouvernement a mis en place le fonds national de financement "Faso Kuna-Wili", qui propose un produit spécifique aux apprenants issus des centres de formation professionnelle, avec des conditions de prêt souples », rassure M. Palé. Grâce à une convention avec ce fonds, BBS pourra envoyer chaque année une liste d'apprenants avec des projets, dont la viabilité économique sera analysée par le fonds.
Les participants à l'atelier posant ici avec le premier responsable de BSBLes limites du système francophone
Dans son module sur les concepts, enjeux, défis et perspectives de la formation professionnelle, le directeur du centre d'ingénierie et de formation professionnelle de BSB, Boubakar Ba, considère la formation professionnelle comme « la voie royale » pour l'employabilité et note qu'elle doit être intensifiée, à l'heure où de plus en plus d'usines se créent et que l'offensive agro-sylvo-pastorale est en marche.
Selon lui, il ne faut plus considérer les apprenants de la formation professionnelle comme « des déchets » du système éducatif. Et l'une des limites du système francophone a longtemps consisté, regrette-t-il, à enfermer les apprenants dans des carcans où des employeurs ne jurent que par le diplôme et non la compétence réelle des apprenants.
La formation professionnelle revêt à la fois des enjeux politiques, économiques et sociaux, soutient Boubakar Ba. « C'est un moyen d'expression de la souveraineté nationale. C'est un levier de lutte contre le chômage, mais aussi un moyen de compétitivité des secteurs productifs et de performance de l'économie, et un puissant facteur de promotion des investissements », a-t-il expliqué.
Boubakar Ba, directeur du centre d'ingénierie et de formation professionnelle de BSBDes défis en matière de qualité et de financement
Toutefois, des défis doivent être relevés pour donner à la formation professionnelle une place de choix au Burkina Faso. Même si l'on assiste à un accroissement de l'offre de formation, avec 706 centres de formation professionnelle dont 88 centres publics et 618 centres privés, Boubakar Ba note qu'il faut améliorer l'accès à cette formation marquée par une insuffisance d'infrastructures surtout en milieu rural.
Un autre défi à relever, selon le communicateur, c'est l'amélioration de la qualité de la formation à travers le renforcement des capacités des ressources humaines, mais aussi l'élaboration de ressources et outils de formation de qualité et leur implémentation.
Selon le directeur général, les limitations financières ne doivent pas limiter les ambitions en faveur de la formation professionnelleLe communicateur n'oublie pas la qualité de la formation, son financement et l'insertion professionnelle qu'il considère comme d'autres défis à relever. À ce propos, M. Ba propose la mise en place d'un mode de financement alternatif à l'image d'un « Plan Marshall ». Car même si la formation professionnelle coûte assez cher au Burkina Faso, Burkina Suudu Bawdè pense que les limitations financières ne doivent pas être un frein pour « limiter ou sacrifier les ambitions ».
HFB
Lefaso.net
La grande famille KANÉ à Kouy, Tougan, Dédougou, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, Cotonou, Bamako, Abangoro, Abidjan, Bouaké, Dori Paris et Bangui ;
La grande famille TOE à Biba, Tougan, Houndé, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou, et Abidjan ;
La grande famille BITIBALY à Kouy, Tougan, Mali, Côte-d'ivoire, Bobo-Dioulasso, Dédougou, Belgique et Ouagadougou ;
La grande famille DRABO à Tougan, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et France ; La grande famille BORO à Tougan, Ouagadougou et Bobo-Dioulasso ;
La grande famille de Feu El Hadj Aboubacar Sangoulé LAMIZANA à Ouagadougou ;
Les familles alliées : DIAPA, ZERBO, SANOGO, DEMBELE, AGBOGBA, DICKO, SERME, PALENFO, KOUANDA, GANOU, DRABO, OUEDRAOGO, BORO, LAMIZANA ;
Les enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Très touchés par les nombreuses marques de compassions, de solidarité, de sympathie et de soutiens multiformes lors du rappel à Dieu de KANÉ Gouli Pierre, Instituteur certifié admis à la retraite, décédé à l'âge de 80 ans, le lundi 07 avril 2025 à Ouagadougou suivie de l'inhumation, le Samedi 12 avril 2025 à son domicile au secteur 6 de Tougan de leur très cher père, grand-père, arrière-grand-père, mari, beau-père, vous prie d'accepter leurs sincères remerciements.
La famille se réserve de citer des noms de peur d'en oublier. Que Dieu rende à chacun le centuple de ses bienfaits.
UNION DE PRIERES
« Nul ne disparaît, si sa mémoire reste gravée dans nos esprits. »
La famille de feu Colonel Lacanapè Lamizana Vincent de Paul, ses frères et sœurs, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants à Nouna, Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Dédougou, Côte d'Ivoire, Mali, France, Etats – Unis, Canada ;
La famille de feu El hadj Abdoulaye Lamizana, ses frères, ses sœurs, ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants à Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Banfora, Côte d'Ivoire, Mali, France, Suisse, Etats – Unis ;
La famille de feu, El hadj Aboubacar Sangoulé LAMIZANA, ancien Président, ses frères, ses sœurs, ses enfants, ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants, à Tougan, Dianra, Bobo Dioulasso, Ouagadougou, Banfora, Côte d'Ivoire, Cameroun, Mali, France, Suisse, Etats – Unis, Canada ;
La famille de feue DRABO Dièlo Bernadette, à Tougan, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Nouna ;
Les frères et sœurs du défunt : Marie épouse TEBI, Nestor, Martine épouse Tamboura, Robert, Solange épouse KADEOUA, Joachim et Sylviane épouse GEORGES ;
La famille de feu Colonel Mamadou DJERMA, Ancien Grand chancelier, à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Nouna et Bamako ;
Le Chef Coutumier de KOGNINGA ;
La veuve LAMIZANA/ZOUNDI Marie Monique et enfants : Marie Joséphine Bernadette épouse SANGARE, Lacanapè Louis Oscar Joachim, Florence Marie Pierre épouse NICOLE, Ina Suzanne et Sarah ;
Les petits enfants Aboubacar, Malika, Adrian, Arthur et Raphael ;
Les familles alliées : ZOUNDI, SANGARE, HERNANDEZ, NICOLE à Ouagadougou (Kologh-Naaba), Bobo Dioulasso, Bezannes, Saint-Priest (France), Montréal (Canada), Singapour (Singapour), New Waverly (USA) ;
Les parents, amis et connaissances ;
ont la profonde douleur de vous faire part du décès de leur fils, frère, père, beau-père, oncle, cousin et grand-père :
Médecin Colonel Major à la retraite Pierre LAMIZANA,
survenu le mardi 08 avril 2025 à son domicile, sis à Zagtouli (Ouagadougou – Arrondissement 7) dans sa 71ème année.
Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
– Mercredi 16 avril 2025 : veillée de prières à son domicile sis à Zaktouli ;
– Jeudi 17 avril 2025 à 08h : levée du corps à la morgue du Camp Général Aboubacar Sangoulé Lamizana sis à Gounghin et transfert à sa Résidence, sise à Zagtouli (Ouagadougou) ;
– 08h45 à 09h : recueillement ;
– 09h : prière ;
– 10h : inhumation à sa Résidence, sise à Zagtouli (Ouagadougou) ;
Que par la miséricorde de Dieu, son âme repose en Paix.
Unions de prières.
Né le 26 février 1975 à Ouagadougou, Sidbéwendin Issouf KABRE est avocat inscrit au Barreau du Burkina Faso, après une courte carrière de Magistrat. Il exerce à Ouagadougou.
Le lit est l'endroit le plus dangereux au monde. C'st ce qu'on raconte à Pitmoiga où 55% des femmes meurent au lit. C'est également ce que Sombdèbda, fille femme de Ouili Nanga, ne va pas tarder à apprendre à ses dépens.
Mais ce qu'elle ignore encore, c'est que les hommes les plus dangereux sont ceux qui frappent leurs femmes tout en les persuadant qu'ils les aiment. Précipité dans un ménage qui la broie alors que rien, ni dans son éducation ni dans sa personnalité, ne l'a préparée à une semblable épreuve, Sombdèbda doit subir le joug féroce de son mari toujours imaginatif lorsqu'il s'agit du pire. Coups, excuses, pardon, coups encore…Le plan diabolique de Ouilli Nanga Semble Imparable.
Sombdèbda souffre en silence le martyre, jusqu'au jour où son chemin croise celui de Maître Monrimda, avocat de renom. Celle-ci décide de s'adjoindre les compétences du roi de la presse lui-meme, Yimmio Fa pour alerter l'opinion et sauver l'épouse malheureuse. Mais réussiront-ils à arracher Sombdèbda des griffes de Ouili Nanga ? car il est établi que certains prédateurs ne lâchent jamais leur proie.
Les familles NACRO, NIGNAN et alliées
Les enfants : Nafissa, Awa, Wassiatou et Rachide
Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de sympathie et de solidarité à leur endroit lors de la maladie, du décès et de l'hunimation le samedi 12 avril 2025 de leur épouse, grande sœur, mère, tante, grand-mère et arrière grand-mère, madame NACRO/NIGNAN Damata Ortense dit Bébé, secrétaire à la retraite au quartier Karpala de Ouagadougou, épouse de Feu NACRO Seydou, vous réitèrent leur gratitude et leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes dont ils ont bénéficié.
Nous ne pouvons citer de noms de peur d'en oublié. Que Dieu vous rende au centuple vos bienfaits.
Union de prières.