CDU gewinnt die Wahl im Saarland mit 40,7 Prozent deutlich • Hohe Wahlbeteiligung • AfD kann eigene hohe Erwartungen nicht erfüllen • Absage an rot-rot-grün • Regierungserfolge und Kompetenz des politischen Personals werden honoriert
Date: Jeudi 23 Mars 2017Description: Jeudi 23 mars, à l’Académie de médecine, la Convention on Health Analysis and Management (CHAM), l’Institut Montaigne et Santé au 55 Faubourg réunissaient les responsables Santé des principaux candidats à l'élection présidentielle de 2017 : Olivier Véran pour En Marche!, Noam Ambrourousi pour France Insoumise, Nicolas Leblanc pour le Parti socialiste / EELV et Valérie Boyer pour Les Républicains. Mickaël Ehrminger (Front national) a annulé sa participation.4 thèmes ont été débattus à cette occasion :- Comment fédérer les professionnels au service du patient ? Avec Gérard Raymond, Président, Fédération française des diabétiques- Comment attirer les professionnels de santé dans les territoires ? Avec Pierre de Haas, Ancien Président, Fédération française des maisons et pôles de santé,- Comment profiter des innovations et mettre en lien hôpitaux et médecine de ville ? Avec Michel Claudon, Président, conférence nationale des présidents de commission médicale d'établissement (CME) de CHU- Urgences et territoires : comment concilier proximité, compétence et rapidité ? Avec Pierre Carli, Médecin chef, Samu de Paris. Déserts médicaux : de quoi parle-t-on ?L’accès aux soins est aujourd’hui la première priorité en matière de santé. Les déserts médicaux désignent des zones du territoire où la concentration de professionnels de santé est insuffisante par rapport aux besoins du territoire. Cette désertification est croissante compte tenu des départs à la retraite de nombreux médecins non remplacés, de la baisse du temps médical disponible, de la hausse des délais d’attente et de la croissance des besoins de la population. Elle ne touche pas que les zones rurales et périurbaines mais commence également à être une réalité dans les grandes villes. Le dispositif de lutte contre les déserts médicaux mis en place par le ministère de la Santé touche près de 12 millions de Français. La situation s’aggrave notamment dans la médecine générale et d’après le Conseil de l’Ordre, si rien n’est fait, la France aura perdu un quart de ses généralistes entre 2007 et 2025.Les déserts médicaux : un enjeu prioritaire pour tous les candidatsPour tous, le politique doit accompagner, voire coordonner les acteurs du monde de la santé et donner une impulsion et une cohérence aux politiques de santé, afin d'assurer le respect du principe de continuité territoriale. Dans chaque territoire doit être mis en place un système de santé adapté et choisi par les professionnels de santé du territoire, au service des patients.A part Nicolas Leblanc (PS), les autres représentants des candidats s’accordent sur l’inefficacité du numerus clausus en France jugé décourageant et inadapté, notamment par Olivier Véran (EM). Celui-ci qui souligne que ce système encourage les étudiants français à "délocaliser leurs études" avant de revenir exercer sur le territoire. Maisons de santé et centres de santé : le regroupement des professionnels en débatUnanimement, les candidats proposent de regrouper les professionnels pour rendre leur exercice plus attractif. Olivier Véran (EM) comme Noam Ambrourousi (FI) souhaitent 2 000 maisons de santé de plus sur le territoire, Nicolas Leblanc (PS) en vise 1 500.Les modalités sont en réalité assez différentes : là où l’exercice libéral et les statuts plus souples sont mis en avant par Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM), Nicolas Leblanc (PS) indique que l’exercice salarié est à envisager pour permettre de lutter contre les déserts médicaux. Le recours au salariat et aux médecins fonctionnaires au sein de centres de santé est mis en avant par le représentant de France Insoumise.Mesures coercitives ou liberté des médecins ?Valérie Boyer (LR) et Olivier Véran (EM) affirment la ferme opposition de leurs candidats face aux mesures coercitives. Ils jugent primordial de préserver le caractère libéral de la médecine en laissant aux médecins le choix du lieu de leur installation.Les représentants de France Insoumise et du Parti socialiste n’excluent pas l’intervention de l’Etat et le recours aux mesures coercitives. Nicolas Leblanc (PS) envisage ainsi de retirer leurs conventionnements aux médecins qui voudraient s’installer en zone surdotée. Noam Ambrourousi (FI) n’exclut pas non plus de recourir à des mesures contraignantes, en cas d’échec des dispositions incitatives, que Jean-Luc Mélenchon souhaite cependant privilégier. Il considère également que l’origine sociale des médecins est un facteur non-négligeable des déserts médicaux et pense donc que la mixité sociale au sein des études de médecines pourra jouer.Valérie Boyer (LR) veut mettre fin au tiers payant pour restaurer la confiance avec les professionnels de santé là où Olivier Véran (EM) souhaite le rendre "généralisable mais pas généralisé " afin de laisser la liberté aux acteurs de s’en emparer. Pour Nicolas Leblanc (PS), il s’agit d’une mesure qui va dans le sens de la simplification et d’un meilleur accès aux soins.Le numérique est une priorité pour l’ensemble des représentants des candidatsFédérer le monde médical au service du patient passe aussi par une meilleure utilisation du numérique et des nouvelles technologies dans le cadre de la télémédecine (gain de temps médical) ou encore du dossier patient numérique. Les professionnels de la santé doivent être formés à ces enjeux.Valérie Boyer (LR) considère que les nouvelles technologies peuvent faire le lien entre la médecine de ville et l’hôpital, et que celles-ci sont un important facteur de libération du temps médical. Nicolas Leblanc (PS) voit dans la télémédecine un important levier d’accès aux soins et encourage l’émergence de nouvelles pratiques telles que les télédiagnostics. Selon lui, l’hôpital doit être au centre de ces nouvelles pratiques et son financement doit être revu à cet effet.Olivier Véran (EM) déplore de son côté que la France soit toujours en retard sur les innovations et a pour objectif de mieux les anticiper. Il souhaite développer la recherche interventionnelle pour une meilleure organisation et développer les expérimentations. Comme Valérie Boyer (LR), il affirme que les nouvelles technologies peuvent permettre de désencombrer les urgences et rappelle qu’Emmanuel Macron a promis 5 milliards d’euros pour "numériser le système de santé". Noam Ambrourousi (FI) prône de son côté l’unification des systèmes informatiques pour faciliter les parcours patients. Des études médicales à réformerTous les les candidats s’accordent sur l’importance de former tous les professionnels de santé aux nouvelles technologies et à la médecine générale encore peu valorisée dans les parcours de formation des médecins.Olivier Véran (EM) et Valérie Boyer (LR) veulent encourager les stages dans les cabinets libéraux. Nicolas Leblanc (PS) s’est également exprimé sur la volonté de son candidat de développer les stages en ambulatoire, afin de faire connaitre et apprécier les différentes modalités d’exercice. Noam Ambrourousi (FI) déclare de son côté qu’il faut former les médecins aux traitements spécifiques, réformer les études et encourager les stages en médecine de ville pour l’ensemble des professionnels de santé (pas uniquement les médecins).Les urgences : comment concilier rapidité et qualité de soins ?Les urgences ont longtemps été cantonnées au seul périmètre hospitalier. La médecine générale et son rapport à l'urgence doivent aujourd'hui être repensés, d'un point de vue à la fois organisationnel et financier. Les mutations profondes qu'ont connu les urgences ces dernières années ont entraîné des attentes nouvelles de la part des patients (demande de prise en charge rapide, composante sociale, santé mentale, etc.). Ces demandes doivent être intégrées grâce à un meilleur continuum entre la ville et l'hôpital.Pour Olivier Véran (EM), l’enjeu de la tarification est central pour permettre un meilleur parcours de soin et une véritable coordination ville-hôpital. Le paiement à l’acte doit également être entièrement revu pour France Insoumise.Donner plus de temps aux professionnels de santéValérie Boyer (LR) rappelle que son candidat souhaite augmenter le temps de travail à l’hôpital et rétablir le jour de carence pour redonner des moyens aux hôpitaux. A l’inverse, Noam Ambrourousi (FI) est fermement opposé à l’augmentation du temps de travail et souhaite embaucher massivement à l’hôpital pour répondre aux besoins des patients.Valérie Boyer propose de libérer le médecin de certaines tâches en déléguant les compétences, notamment aux infirmières cliniciennes, et en réduisant les contraintes administratives.
Seit die Leugnung des Klimawandels in etlichen Ländern wieder Fahrt aufnimmt, konzentrieren sich Kritiker des Klimaschutzes auf dessen internationale Finanzierung. US-Präsident Trump, der wiederholt bezweifelt hat, dass menschliches Handeln das globale Klima verändert, hat angekündigt, „Milliarden-Zahlungen an UN-Klimaschutzprogramme (zu) streichen“. In Deutschland will die rechtsstehende Alternative für Deutschland (AfD) alle Klimaschutzvereinbarungen einschließlich der finanziellen Verpflichtungen aufkündigen.
Wenn andere Länder den USA bei der Rücknahme ihrer Zusagen folgen, kann dies die Dynamik gefährden, die in den vergangenen Jahren in der internationalen Klimafinanzierung entstanden ist. Auf der Klimakonferenz von Kopenhagen 2009 haben sich die Industrieländer verpflichtet, den Entwicklungsländern zu helfen, die Treibhausgasemissionen zu senken und die Widerstandsfähigkeit gegenüber dem Klimawandel zu erhöhen, indem sie bis 2020 jährlich 100 Mrd. US-Dollar aus öffentlichen und privaten Quellen mobilisieren. Die Jahre bis zum wegweisenden Pariser Abkommen 2015 brachten eine Reihe neuer Institutionen, die die Klimafinanzierung regulieren. Öffentliche Entwicklungshilfe (ODA) spielte bei der Ausweitung der Klimafinanzierung eine wesentliche Rolle: Die OECD schätzt, dass 2014-15 ODA zu 20 Prozent klimabezogen war. Allerdings beanstanden Entwicklungsländer und NGOs, dass die Doppelzählung von Klimafinanzierung und ODA dazu führt, dass der tatsächliche Fortschritt überschätzt wird.
Wie anfällig ist das Klimafinanzierungssystem für die wechselnde politische Stimmung in den USA und darüber hinaus? Für eine Antwort benötigen wir eine bessere Kenntnis des Systems und der Kräfte, die es gestalten.
In einem neues Sonderheft von International Environmental Agreements: Politics, Law and Economics mit dem Titel „Managing fragmentation and complexity in the emerging system of international climate finance” untersuchen wir zusammen mit einer Reihe Gastautoren das System der Klimafinanzierung mit Fokus auf Governance und Möglichkeiten zur Verbesserung. Die Beiträge deuten darauf hin, dass das Klimafinanzierungssystem und seine Grundnorm – entwickelte Länder müssen zur Unterstützung von Klimaschutzmaßnahmen in Entwicklungsländern zahlen – inzwischen ausreichend stark und institutionalisiert sind, dass ein einzelner Akteur nicht ihren Zusammenbruch bewirken kann – auch nicht die USA, die zum Beispiel 30 Prozent des Green Climate Fund-Budgets tragen. Zugleich ist das System komplex und fragmentiert; klarere internationale Regeln würden es Aussteigern schwerer machen.
Die Fragmentierung hat mehrere Ursachen und Folgen. Erstens, haben sich die Vertragsparteien des UN-Rahmenübereinkommens über den Klimawandel noch nicht auf eine Definition geeinigt, was Klimafinanzierung ist und welche Standards für das Monitoring gelten, weil es weiterhin Konflikte über die Ziele der Klimafinanzierung gibt. Heftig umstritten ist, was bei der „Mobilisierung“ der 100 Mrd. US Dollar mitgezählt werden darf, und ebenso die Frage, ob Länder Fortschritte bei der Erreichung dieses Ziels machen.
Zweitens ist eine Fülle von Akteuren im Klimafinanzierungssystem tätig. Zu den speziellen Klimafonds wie dem Green Climate Fund kommen multilaterale Entwicklungsbanken, bilaterale Entwicklungsagenturen, der private Sektor und UN-Agenturen sowie das UN-Entwicklungsprogramm (UNDP) und die Internationale Organisation für Migration (IOM) hinzu. Die Beiträge der Sonderausgabe zeigen, dass diese Akteure unterschiedliche Auffassungen darüber haben, was Klimafinanzierung ist – zum Beispiel ob und wie Entwicklungsfinanzierung als Klimafinanzierung gezählt werden sollte. Auch untersucht die Sonderausgabe, wie die innenpolitische Dynamik in den Beitragsländern die Finanzzuflüsse verbessern oder verschlechtern kann.
Drittens, je fragmentierter und umstrittener internationale Regeln sind, desto größer ist der Raum für eigennützige Interpretationen und Absetzbewegungen. Ein Netz von Institutionen mit unterschiedlichen Rechnungslegungsstandards macht es schwierig zu verfolgen, wer an der Erhebung und der Verwaltung von Finanzmitteln beteiligt ist und die Akteure zur Rechenschaft zu ziehen. Zahlreiche Beiträge der Sonderausgabe verlangen daher klarere Definitionen, anerkannte Rechnungslegungsnormen und Überwachungsmechanismen.
Obwohl das Klimafinanzierungssystem durch seine Fragmentierung an einigen Schwächen leidet, ist es heute umfassender und institutionalisierter als noch vor zehn Jahren. Deshalb wird der Rückzug eines wichtigen Akteurs nicht das Ende der Zusammenarbeit derer anzeigen, die seinen Zielen verpflichtet bleiben. Aber es gibt keinen Grund zur Selbstgefälligkeit. Die Beitragszahler müssen mehr tun als nur den Zusammenbruch des Systems zu vermeiden. Es bleibt die Aufgabe, ein System zu schaffen, das fairer und verantwortungsvoller ist und die Bedürfnisse der Entwicklungsländer besser berücksichtigt.
Jakob Skovgaard ist wissenschaftlicher Mitarbeiter am Institut für Politikwissenschaft der Universität Lund. Jonathan Pickering ist Postdoctoral Research Fellow am Centre for Deliberative Democracy and Global Governance der Universität Canberra. Carola Betzold ist Akademische Rätin am Institut für Politikwissenschaft an der Universität Göttingen.
President of ELIAMEP, Professor Loukas Tsoukalis wrote an article in the Sunday edition of Kathimerini on the future of the EU. This article was published on 25 March 2017 and is available here (in Greek).
The Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) with the support of Raycap organises a Conference on “Greece and Europe in a changing world: Challenges and prospects”. The Conference will take place on Saturday 1st April 2017 at the Municipal Conservatory of Drama (218A Verginas str., Drama).
You can click here to register or contact Ms. Nina Papaioannou (Tel.: 210 7257 111, nina@eliamep.gr)
Les Citoyens pour le développement européen de la Bulgarie (GERB, parti du Premier ministre sortant (2009-2013 et 2014-2016) Boïko Borissov, sont arrivés en tête des élections législatives anticipées organisées le 26 mars en Bulgarie. Le chef du gouvernement a donc réussi son pari et...
Le 23 avril prochain, 46,6 millions d'électeurs français résidant dans l'Hexagone et 1,3 million vivant ailleurs dans le monde sont appelés aux urnes pour le premier tour de l'élection présidentielle. Les deux candidats qui arriveront en tête au soir du 23 avril s'affronteront lors d'un...
Les enjeux commerciaux du Brexit.
S'il est encore difficile de prévoir avec exactitude les éléments de négociation qui seront avancés, la position adoptée par le gouvernement britannique devrait être celle d'une sortie complète du marché unique. Londres ne cherchera pas non plus...
Le 23 avril prochain, les Français sont appelés aux urnes pour le 1er tour de l'élection présidentielle. Les deux candidats qui arriveront en tête alors s'affronteront lors d'un 2e tour de scrutin le 7 mai. Selon la dernière enquête d'opinion réalisée par l'institut IFOP entre les 21 et 24 mars dernier, Emmanuel Macron arriverait en tête du 1er tour avec 26% des suffrages devant Marine Le Pen qui en recueillerait 25%. Un tiers des personnes interrogées (35%) indiquent qu'elles pourraient changer d'avis. Enfin, 37% affirment qu'elles ne se rendront pas aux urnes
Les Citoyens pour le développement européen de la Bulgarie (GERB), parti de l'ancien Premier ministre (2009-2013 et 2014-2016) Boïko Borissov, sont arrivés en tête des élections législatives anticipées organisées le 26 mars en Bulgarie. Le GERB a recueilli 32,64% des suffrages devançant le Parti socialiste (BSP), qui obtient 27,12% des voix.
L'édition 2017 du "Rapport Schuman sur l'état de l'Union" vient de paraître aux éditions Lignes de Repères en français et en anglais. Retrouvez cet ouvrage indispensable pour tout comprendre sur l'Europe en librairie ou sur le site de la Fondation.
Selon un sondage publié le 25 mars de l'Ifop, pour la Fondation Robert Schuman et le Figaro, un français sur deux (46%) juge positivement la construction européenne et 72% des Français sont opposés au retour au franc.
L'Atlas de l'Union européenne est disponible en anglais ! C'est un ouvrage de référence qui présente l'Union, ses institutions, chacun de ses 28 Etats membres et - nouveauté - leurs territoires d'Outre-mer, à travers leur histoire, leur culture et leur réalité. Avec 50 cartes, des fiches historiques et les statistiques les plus récentes, ainsi que l'actualité politique des Etats membres, cet ouvrage pédagogique est un outil pratique et unique.
Selon les données PMI Flash le 24 mars, le renforcement de la croissance économique de la zone euro se poursuit en mars et atteint son plus haut niveau depuis 6 ans.
27 dirigeants de l'Union européenne ont renouvelé le 25 mars à Rome leur engagement européen, dans une déclaration solennelle, 60 ans après la signature des traités de Rome.
Les dirigeants des pays européens se réuniront le 29 avril, sans le Royaume-Uni, pour définir à 27 leur position dans la négociation du Brexit, a annoncé le 21 mars le président du Conseil européen Donald Tusk.
Le 22 mars à Bruxelles, lors d'un discours de Michel Barnier, le négociateur en chef pour la préparation et la conduite des négociations avec le Royaume-Uni a énoncé les conditions nécessaires à la réussite de ces mêmes négociations.
Le 24 mars, la Commission européenne a annoncé que plus de 1300 millions € issus des fonds de la politique de cohésion seront investis en Grèce dans les domaines du haut débit, des transports et de l'environnement.
Le 23 mars, la Commission expose des pistes pour offrir aux consommateurs un choix élargi de services financiers au meilleur prix. A l'occasion de la Journée du numérique, la Commission européenne a également publié un nouveau cadre d'interopérabilité européen qui devrait bénéficier aux administrations publiques en pleine transformation numérique.
Le 22 mars, la Commission européenne a proposé de nouvelles règles pour permettre aux autorités nationales de concurrence de mettre en œuvre plus efficacement les règles relatives aux pratiques anticoncurrentielles.
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