You are here

Union européenne

De Malte à Washington, l’Europe est plus importante que jamais

EU-Logos Blog - Sun, 12/02/2017 - 21:42

Comme le fait remarquer l’éditorialiste du journal Le Monde en date du 5 et 6 février, l’Europe « n’est pas seulement une nécessité pratique. Elle est un modèle de relations civilisées entre Etats. C’est sans doute ce que Donald Trump n’aime pas ».

 A Malte, l’Union européenne a temporisé et su éviter pour l’instant de « trumpériser » sa politique migratoire. Elle a donc pris ses distances par rapport à ce qui reste inacceptable, comme le montre l’avertissement très clair lancé à Washington par Federica Mogherini.

Au lendemain du sommet de Malte, que dire ? Un sommet qui reste en demi teinte, et certainement pas une réplique à Donald Trump, malgré les espoirs d’une partie de l’opinion publique. Cette réplique est enfin venue de Washington, où se trouvait Federica Mogherini qui « a su mettre les points sur les i ». Quelques jours auparavant, Angela Merkel, François Hollande et Donald Tusk n’avaient pas mâché leurs mots en mettant leurs collègues devant leurs responsabilités. François hollande les a ainsi interpelés vigoureusement : « Beaucoup devraient croire que leur avenir est d’abord dans l’UE, plutôt que d’imaginer je ne sais quelle relation bilatérale avec les Etats-Unis (…) Ce qui se joue c’est l’avenir même de l’Union ». Sur un ton plus engageant, plus mobilisateur, la chancelière allemande s’est placée sur la même ligne en assurant que, si les vingt-huit définissent collectivement « leur rôle dans le monde, ils parviendront aussi à prendre en charge la (nouvelle) relation transatlantique ». Le message du Président du Conseil européen est tout aussi clair : « la désintégration de l’UE ne conduirait pas à la restauration des souverainetés nationales chimériques (…) mais au contraire à une dépendance accrue au profit des superpuissances que sont les Etats-Unis, la Chine ou la Russie ».

Déclaration de François Hollande : 

François Hollande a invité vendredi l’Union européenne à refuser toute « pression » des Etats-Unis et à réfléchir, unie, à son avenir en toute indépendance, notamment en matière de défense, de commerce et dans ses relations avec la Russie.

Pour ce faire, une Europe « à plusieurs vitesses » peut se concevoir, a-t-il expliqué lors de la conférence de presse qui a suivi le Sommet européen informel de Malte destiné à préparer celui du mois prochain qui marquera les soixante ans du Traité de Rome.

La déclaration du 25 mars doit affirmer les valeurs et les objectifs d’une Union prête à avancer malgré des dissensions, les élections en France et en Allemagne, la perspective du « Brexit » et le trouble créé par l’entrée en fonctions du président américain Donald Trump.

« Ce qui se joue, c’est le destin même de l’Union européenne« , a déclaré François Hollande dès son arrivée au sommet de la Valette.

« Qu’est-ce que l’Europe peut faire elle-même, et par elle- même? C’est là-dessus que nous pouvons converger« , a-t-il renchéri en fin de journée devant la presse.

Une partie des débats a concerné l’attitude à adopter face à Donald Trump, qui a notamment salué la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne et proposé de désengager son pays de l’Alliance atlantique.

Une « pression » jugée inacceptable par le Président français.

« Il ne peut pas être accepté qu’il y ait, à travers un certain nombre de déclarations du président des Etats-Unis, une pression sur ce que doit être l’Europe ou ce qu’elle ne doit plus être, puisqu’en l’occurrence c’est ce qu’il prétend« , a-t-il dit.

François Hollande a reconnu que les Européens n’étaient « sans doute pas » tous d’accord sur la relation à entretenir avec le nouveau locataire de la Maison Blanche, considéré avec inquiétude par des pays comme la France et l’Allemagne, mais avec plus de « bienveillance » selon lui dans certains pays de l’Est.

« L’Europe n’est pas un tiroir-caisse » : A ses yeux, ces divergences ne sauraient empêcher les Européens de s’unir sur l’essentiel.

« Il peut y avoir au sein des 28 des opinions différentes (…) mais il y a une unité de l’UE pour prendre toute la mesure de ce qui est en train de se produire« , a-t-il considéré.

« Il ne s’agit pas de savoir ce que nous pensons les uns autres mais ce que nous faisons les uns avec les autres, notamment par rapport à ce que doit être une réponse européenne« , a-t-il ajouté, citant les intérêts commerciaux, la sécurité et les rapports avec la Russie de Vladimir Poutine.

L’avenir de l’Europe, aujourd’hui mis en danger par la montée des populismes et un environnement international très incertain, peut selon lui se bâtir à « plusieurs vitesses ».

« Ce sera d’ailleurs une des voies possibles pour qu’à Rome nous puissions dire ce que nous voulons faire tous, et puis [pour] certains en Europe, davantage« , a-t-il expliqué.

« Même avec des coopérations structurées ou renforcées, l’unité de l’Europe est indispensable et s’en écarter comporte des risques« , a-t-il poursuivi à l’adresse de ceux qui considèrent l’Europe comme un « restaurant self-service où on vient chercher ce dont on a besoin, où on prend des fonds structurels, où on accède à un marché intérieur » et où « on est solidaires de rien« .

« Non, l’Europe c’est fait pour être plus fort ensemble et c’est cette règle, ce principe-là qui devra être rappelé plus fort en mars« , a-t-il considéré.

François Hollande a, de la même manière, mis en garde les pays européens tentés d’engager un dialogue exclusif avec Washington.

« Beaucoup de pays devraient penser que leur avenir est d’abord dans l’Union européenne plutôt que d’imaginer je ne sais quelles relations bilatérales avec les Etats-Unis, même s’il est normal que chacun parle avec le président des Etats-Unis, je l’ai fait moi-même« , a-t-il dit.

« Nous devons avoir une conception européenne de notre avenir sinon il n’y a, à mon avis, pas d’Europe et pas nécessairement de projet pour chacun des pays de pouvoir peser dans le monde« . (Version diffusée par Reuters. cf. Pour en savoir plus le texte diffusé par la représentation française auprès de l’Union européenne).

Points de départ et points d’arrivée : 

Dans une Europe prise en tenaille entre les Etats-Unis d’un Président ouvertement hostile et soucieux de littéralement détruire l’Union européenne, et une Russie aux visées expansionnistes, les dirigeants européens commencent à prendre la mesure de l’importance d’avancer dans l’Union en rangs serrés. Sur ce plan, la démonstration n’est pas totalement convaincante, mais des progrès ont été réalisés. Autre constat : les questions migratoires figurent parmi les principales causes de désunion, une amélioration sensible doit être notée et dans ses conclusions le Sommet de Malte l’a indiqué avec soin et de façon détaillée. Mais l’Union n’est pas encore parvenue à mettre un terme à la crise migratoire alors qu’il s’agissait du défi central lors de l’ouverture du Sommet. Il le reste d’ailleurs au moment où la Commission rend public son neuvième rapport en matière de relocalisation et de réinstallation. Si une solution a été trouvée en partie pour la route de la Méditerranée orientale, celle passant par la Méditerranée centrale demeure un sujet de préoccupation majeure avec le chaos sévissant en Libye. Plusieurs solutions ont été avancées par les Etats membres : l’une d’entre elle consistait à transposer l’accord UE-Turquie qui fonctionne pour l’instant plutôt bien, mais il est bien vite apparu qu’il n’y avait pas de réelles possibilités d’étendre l’accord, notamment du fait des violations répétées des droits de l’homme. Autre sujet des plus sensibles : le plan de relocalisation de 160 000 migrants entre les Etats membres dont les objectifs sont loin d’être atteints en partie du fait de l’opposition féroce des pays du groupe de Visegrad. Dans le même temps, on ne peut oublier complètement la Grèce et la route de la mer Egée, l’aide à la formation des gardes côtes libyens (les premiers diplômes viennent d’être délivrés en présence de Federica Mogherini), de même de l’aide au développement socio-économique des pays d’origine et de transit. Cette dernière thématique prend une importance grandissante, le soutien des projets de l’Organisation internationale pour la migration (OIM) et du Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés prennent une place de plus en plus importante. Enfin en ce qui concerne la lutte contre les trafiquants et passeurs n’a jamais été réellement prise à bras-le-corps. Cette problématique est cependant mentionnée à plusieurs reprises dans la déclaration finale de Malte, ce qui témoigne d’une prise de conscience affirmée de la gravité du problème et de sa dimension stratégique dans la maitrise de la crise migratoire.

En effet, les chefs d’Etat ont adopté dans une déclaration une série de mesures pour tenter de contenir la migration. Les Vingt-huit ont affirmé qu’un des éléments-clés d’une politique migratoire soutenable réside dans la gestion effective des frontières extérieures ainsi que la baisse des flux migratoires. Ils ont réitéré leur soutien à l’accord UE – Turquie ainsi qu’aux actions prises pour fermer la route des Balkans occidentaux. Ils ont noté que les flux orientaux et centraux n’étaient pas strictement de même nature, les premiers étant des réfugiés éligibles à une demande d’asile, les seconds plutôt, mais pas toujours, des migrants économiques. En attendant, les mesures actées restent limitées. Dans la liste d’actions, le Conseil insiste sur la formation et l’équipement des gardes-côtes libyens qui devraient être capables à la fois d’empêcher les individus de prendre la mer et de les secourir, afin de diminuer le nombre de morts en méditerranée toujours aussi impressionnant. Encore 1500 personnes avaient été secourues la veille du Sommet. Parmi les mesures retenues, l’UE veut poursuivre les actions de démantèlement des réseaux de passeurs, et aider à développer là où c’est possible les communautés locales, en particulier dans les zones côtières ou sur les routes empruntées par les migrants. L’objectif serait d’améliorer la situation économique et sociale dans ces communautés. Les Européens veulent aussi soutenir l’Organisation internationale des migrations(OIM) et le Haut Commissariat au Nations Unies (HCR) dans leurs efforts pour développer les centres d’accueil des migrants et aider l’OIM dans ses programmes de retours volontaires des migrants.

Il faut retenir cependant, et tout particulièrement, les propos très politiques de Federica Mogherini tenus en marge du Sommet : ils font le point sur le plan conjoint d’action concernant les migrations, dit plan de la Valette, qui date de plus d’un an : « La migration ne peut être gérée efficacement que par la coopération et le partenariat » entre les pays européens et africains a souligné d’emblée la Haute Représentante. Construire des murs ne fait pas donc bien sûr pas partie de la méthode européenne. Elle développe ensuite : « Il y a des forces partout dans le monde qui poussent à une approche totalement différente : une approche basée sur la confrontation plutôt que sur la coopération, sur la construction de murs plutôt que sur la construction de partenariats, sur les fermetures et les interdictions plutôt que sur le dialogue. Ce n’est pas la voie africaine. Ce n’est pas la façon que nous partageons autour de cette table ». Cette déclaration qui vise clairement Donald Trump concerne également certains dirigeants européens qui rejoignent globalement sa pensée. C’est aussi une manière de répondre à certaines attaques, venues d’ONG ou même de responsables africains, accusant l’Europe de ne pas vouloir prendre sa part du fardeau des migrations et de se décharger sur d’autres de cette tâche.

Un déni des droits de l’Homme…

Ce n’est pas la première fois que la Haute représentante de l’Union exprime ses fortes réticences par rapport à l’administration Trump. Au Parlement européen, début février, juste après la publication des premiers décrets du nouveau Président américain, elle s’était écriée : « Personne ne peut être privé de ses droits à cause de son lieu de naissance, de sa religion ou de son ethnie. C’est dans toutes nos constitutions, dans l’Union européenne (comme) aux États-Unis. L’Union européenne ne tournera pas le dos contre quiconque a le droit à la protection internationale. Et nous, nous continuerons de le faire. »

Federica Mogherini lance un avertissement solennel et ferme aux Américains : « Je crois que l’unité de l’Union européenne est plus manifeste aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a quelques mois et cela doit être clairement compris ici », a-t-elle indiqué à Washington, après avoir vu jeudi 9 février le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson et les conseillers du nouveau Président. Une fois de plus en peu de mots, elle a dit l’essentiel : L’UE demande aux Etats-Unis de ne « pas interférer dans sa politique ». Elle a de plus mis en garde vendredi 10 février l’administration de Donald Trump contre toute « interférence » dans la politique de l’UE : « Nous n’interférons pas dans la politique des Etats-Unis (…) Et les Européens comptent sur le fait que l’Amérique n’interfère pas dans la politique européenne« .

Devant quelques journalistes, La haute Représentante était notamment interrogée sur la volonté prêtée au site d’informations américain Breitbart, proche de l’extrême droite et anciennement dirigé par le conseiller du président Trump, Steve Bannon, d’influencer les élections cette année en France et en Allemagne.

« Je crois que l’unité de l’Union européenne est plus manifeste aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a quelques mois et cela doit être clairement compris ici », a-t-elle encore averti, après avoir vu jeudi le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson et les conseillers du nouveau président, Michael Flynn et Jared Kushner.

Mme Mogherini a encore exhorté la nouvelle administration américaine à « respecter l’Union européenne qui n’est pas seulement une institution mais une Union de 28 Etats membres, toujours à 28 et à 28 pour encore plusieurs mois« , en allusion à la sortie programmée du Royaume-Uni.

Fin janvier, le président Trump avait estimé, aux côtés de la Première Ministre britannique Theresa May, que le Brexit était « une chose merveilleuse » et avait vanté la « relation spéciale » entre Washington et Londres.

« Huit mois après le référendum au Royaume-Uni, nous n’avons même pas été notifiés du début de la négociation. Si bien que le Royaume-Uni restera membre de l’Union européenne pendant encore au moins deux ans (…) et ne sera pas en mesure de négocier un traité commercial avec un pays tiers« , a en réponse souligné Mme Mogherini.

« De la Pologne au Portugal, de la Finlande à Malte, les Européens ont le sentiment et pensent que leurs intérêts sont mieux protégés et défendus par notre Union« , a encore répété la Haute Représentante de la diplomatie de l’UE. A l’issue de la rencontre, elle a d’ailleurs invité son homologue, Rex Tillerson à « venir s’adresser au Conseil des affaires étrangères le plutôt possible », invitation annoncée dans un communiqué du Service européen pour l’action extérieure qui rappelle qu’ils ont discuté de « l’intérêt mutuel de faire avancer la coopération existante de longue date entre l’UE et les Etats-Unis sur les principaux dossiers internationaux ». Parmi ses dossiers figurent la lutte contre le terrorisme, un renforcement de la défense européenne, la Russie, l’accord nucléaire iranien, l’Ukraine, et la Syrie. (cf. « Pour en savoir plus » : communiqué du service extérieur).

Cette déclaration vient à son heure, beaucoup commençait à douter après le sommet de Malte : seul François Hollande avait été ferme : « Trump n’a pas à se mêler de la vie de l’UE, c’est à elle de décider ». Angela Merkel avait en effet été plus nuancée par rapport à ses propos antérieurs et avait comme Donald Trump modéré ses propos, modération qui révèle les difficultés des Européens à faire bloc et préserver leur unité : « la coopération transatlantique demeure une priorité absolue, car jusqu’à présent, elle a été un des piliers du monde libre ». C’est cette modération qui a suscité la colère de Guy Verhofstadt qui dans le journal L’Opinion décrit un Conseil peu sûr de lui et le fustigeait sans retenue : « il ressort plutôt une panique générale, hésitant entre la collaboration, la reddition et surtout la neutralité (…) faire croire à nos concitoyens que la soumission est la seule alternative serait la plus catastrophique erreur du Conseil européen, pourtant cumulard en la matière. Ce serait dégoûter définitivement de l’idée européenne, d’une Europe libre, forte et fière de ses valeurs ».

Quelques constats :

Les conclusions ne peuvent être que fragiles et tiennent en réalité davantage du simple constat. La presse relaye assez mal le débat actuel et d’ailleurs, peut-on réellement parler de débat ? Comment donc engager, mobiliser les citoyens européens ? c’est un premier handicap.

Deuxième handicap l’Union européenne a été secouée, elle a certes résisté, mais reste fragile. De cette unité Federica Mogherini prend acte : « nous sommes plus unis que nous ne l’étions il y a quelques mois ». Mais que ne ferions-nous pas si nous restions réellement unis ? Appeler au respect de l’accord de Minsk et des sanctions visant la Russie depuis l’annexion de la Crimée constituerait un bon début. Appeler au maintien de l’Accord sur le nucléaire iranien,  à la concrétisation de l’Accord de Paris sur le climat le serait tout autant, de même que l’égalité de traitement et ainsi répondre indirectement au décret anti-immigration américain. Nous pourrions faire avancer le dossier Israël/Palestine,  réaffirmer les grands principes des droits fondamentaux sur lesquels se base notre politique européenne en réponse à la nouvelle politique américaine.

Tout cela se trouve dans la déclaration de Federica Mogherini.

Poursuivons l’énumération en l’empruntant à Maros Sefcovic, Commissaire européen à l’Union de l’énergie, qui à la veille du sommet de Malte déclarait au nom de la Commission européenne après avoir rappelé combien l’héritage des relations transatlantiques était un bien précieux : « l’Europe doit constituer une ancre de stabilité dans un monde en mutation (…). Nous n’avons jamais été autant submergés par les appels de toute part à faire preuve de leadership en particulier en matière de changement climatique, de transition énergétique, d’échanges commerciaux libres et équitables, de fourniture d’aide au développement ciblée et de lutte pour un multilatéralisme effectif basé sur le droit, sur des valeurs modernes et un système efficace d’organisations internationales ».

L’Europe est dès lors plus importante que jamais.

Pour en savoir plus : principales sources d’information :

     -. Déclaration de Federica Mogherini à l’ouverture du Sommet de Malte (3 février 2017) https://eeas.europa.eu/headquarters/headquarters-homepage/19867/remarks-hrvp-federica-mogherini-upon-arrival-informal-malta-summit-2017_en

     -. Déclaration du sommet de Malte (3 février 2017)par les membres du Conseil européen (FR) http://www.consilium.europa.eu/fr/press/press-releases/2017/02/03-malta-declaration/ (EN) http://www.consilium.europa.eu/en/press/press-releases/2017/02/03-malta-declaration/

     -. Journal le Temps : le commerce des migrants reste très lucratif au sud de la Méditerranée https://www.letemps.ch/monde/2017/02/02/commerce-migrants-tres-lucratif-sud-mediterranee

     -. Déclaration de François hollande http://www.rpfrance.eu/sommet-de-malte-nous-devons-avoir#Declaration-du-President-de-la-Republique-a-son-arrivee-au-sommet-de-Malte-nbsp

     -. EURACTIV Commission bares teeth over refugee crisis https://www.google.be/search?hl=fr-BE&source=hp&biw=&bih=&q=the+brief+commission+bares+teeth+over+refugee&gbv=2&oq=the+brief+commission+bares+teeth+over+refugee&gs_l=heirloom-hp.12…8243.42219.0.71658.45.14.0.31.1.0.161.1893.1j13.14.0….0…1ac.1.34.heirloom-hp..31.14.1830.212utBj4AGI

Remise des diplômes aux marins dans le cadre des opérations navales Sophia https://eeas.europa.eu/headquarters/headquarters-homepage/20095/eunavfor-med-operation-sophia-hrvp-mogherini-attends-graduation-ceremony-first-training_en

Remarks by High Representative Mogherini at the press roundtable during the visit to the United States of America https://eeas.europa.eu/headquarters/headquarters-homepage/20408/remarks-high-representative-mogherini-press-roundtable-during-visit-united-states-america_en

 

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, MIGRATIONS ET ASILE Tagged: Angela Merkel, Federica Mogherini, François Hollande, Sommet de Malte, Trump, Union Européenne
Categories: Union européenne

De la Grèce à la Normandie, ces bombes que l’on continue de déterrer

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 21:42
Dimanche 12 février, plus de 70 000 personnes ont été évacuées de la ville grecque de Thessalonique, le temps qu’une bombe datant de la Seconde Guerre mondiale soit désamorcée. Au même moment, un scénario identique se déroulait à Granville, sur le littoral nord de la France. Ces découvertes sont très fréquentes et déclenchent souvent des opérations de déminage draconiennes.
Categories: Union européenne

Allemagne: Frank-Walter Steinmeier élu président

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 17:12
L'ancien ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a été élu ce dimanche 12 février président de l'Allemagne. Il a été désigné par une majorité de grands électeurs pour occuper cette fonction honorifique. Portrait d'un homme connu pour son franc-parler.
Categories: Union européenne

Espagne: Iglesias réélu à la tête de Podemos, la ligne contestataire l'emporte

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 14:16
Pablo Iglesias reste à la tête de Podemos. Le chef de la formation de la gauche radicale espagnole a été largement reconduit dans ses fonctions lors du congrès du parti qui s’est tenu à Madrid ces 11 et 12 février. Il recueille 89% des voix. Les militants ont aussi voté massivement en faveur de son programme. C’est donc la ligne contestataire et anti-système qui a fini par l’emporter.
Categories: Union européenne

Union européenne: le «blues» de Jean-Claude Juncker

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 12:05
Jean-Claude Jucker a le blues. Le président de la Commission européenne affiche son pessimisme quant à l’avenir européen dans un entretien à la radio publique allemande diffusé ce dimanche. Et il annonce qu’il ne briguera pas de deuxième mandat en 2019.
Categories: Union européenne

Suisse: référendum sur la naturalisation des petits-enfants d'immigrés

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 11:40
Les Suisses se sont rendus aux urnes ce dimanche 12 février pour se prononcer sur la proposition du gouvernement de simplifier la procédure de naturalisation des petits-enfants d'immigrés, après une campagne marquée par les propos anti-musulmans de la droite populiste. Les Suisses ont cependant voté favorablement. L'arrêté fédéral sera bien mis en oeuvre.
Categories: Union européenne

Deux ans après les accords de Minsk, la tension persiste dans l'est de l'Ukraine

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 06:50
Sur les onze premiers jours de février, neuf civils ont été tués dans des affrontements dans l’est de l’Ukraine et au moins 41 ont été blessés. Ces chiffres ne prennent pas en compte les pertes militaires, provoquées par une forte explosion de violences dans la région. Et pourtant, il y a deux ans exactement, les accords de paix de Minsk avaient été signés. Ils devaient mettre fin au conflit.
Categories: Union européenne

Turquie: l'impartialité de la campagne du référendum contestée

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 00:00
En Turquie, c’est désormais officiel, le référendum qui permettra de valider les réformes constitutionnelles voulues par le président Erdogan aura lieu le 16 avril prochain, la Commission centrale électorale l’a confirmé samedi. Une campagne référendaire qui risque d’être déséquilibrée en faveur du « oui », alors que le pays est notamment toujours sous un régime d’état d’urgence après la tentative de coup d’État en juillet dernier.
Categories: Union européenne

Turkménistan: une élection présidentielle jouée d'avance

RFI (Europe) - Sun, 12/02/2017 - 00:00
Ce dimanche 12 février, près de 5,5 millions de Turkmènes se rendent aux urnes pour élire leur président. Un scrutin sans surprise que l'actuel président autocrate a toutes les chances de remporter. Gourbangouly Berdymoukhamedov a fait modifier la Constitution lui permettant de briguer un nouveau mandat.
Categories: Union européenne

Les anti-pape François ont encore frappé à Rome

RFI (Europe) - Sat, 11/02/2017 - 17:14
Une semaine après les affiches placardées dans la ville critiquant le souverain pontife, c’est cette fois-ci un faux numéro de l’Osservatore Romano, le quotidien du Saint-Siège qui a été envoyé par mail à plusieurs cardinaux et évêques. Un numéro qui prête au pape des propos factices pour le discréditer.
Categories: Union européenne

Espagne: parti antisystème ou de gouvernement, Podemos va devoir choisir

RFI (Europe) - Sat, 11/02/2017 - 14:23
Ambiance règlement de comptes au parti de la gauche radicale espagnole, Podemos. Des milliers de militants sont réunis jusqu’à dimanche 12 février à Madrid au congrès de cette formation, troisième force du pays, qui cherche sa voie. Au sein du parti, plusieurs courants s’affrontent : la ligne antisystème du chef de Podemos, Pablo Iglesias, est aujourd’hui contestée par une partie des militants.
Categories: Union européenne

Londres met fin à des centaines d'enquêtes sur des violences commises en Irak

RFI (Europe) - Sat, 11/02/2017 - 11:58
Le gouvernement britannique a décidé de supprimer l'organe chargé d'enquêter sur les accusations de violations des droits de l'homme par des soldats britanniques en Irak, a annoncé vendredi le ministère de la Défense britannique, laissant des centaines d'affaires irrésolues.
Categories: Union européenne

Soyez le changement: Unis pour un Internet meilleur

EU-Logos Blog - Sat, 11/02/2017 - 11:22

« Soyez le changement: Unis pour un Internet meilleur » (en anglais « Be the change: Unite for a better Internet») était le slogan du Safer Internet day 2017. Ce programme de sensibilisation des jeunes et de leurs parents aux dangers d’internet a eu lieu ce mardi 07 février 2017 et se poursuivra durant tout le mois de février. Cet événement mondial est devenu, au fil des années, une date incontournable dans le domaine de la sécurité en ligne. L’article propose de revenir sur ce projet, son origine et ses résultats. En effet, actuellement le monde numérique fait partie de notre quotidien. Malheureusement, mal utilisé internet peut devenir dangereux, en particulier pour les jeunes. La Commission européenne, consciente de ces dangers, s’est saisie de la problématique.

“Safer Internet day” au concret

Chaque année, au mois de février, le Safer Internet day  a pour but de sensibiliser à la sécurité en ligne par la mise en place d’actions afin d’améliorer le monde numérique pour tous. Cette campagne est particulièrement destinée aux jeunes, à leurs parents et à la communauté éducative. Actuellement, le monde numérique est très important, il constitue un outil indispensable. C’est pour cette raison que l’apprentissage des compétences informatiques devient essentielle. Cependant, toutes les opportunités que représente l’internet viennent avec certains risques pour lesquels les jeunes doivent être informés.

Concrètement, chaque pays participant met en place les dispositifs qu’il souhaite et qu’il considère comme pertinent. Cela prend généralement la forme de conférences ou d’ateliers. Chaque pays peut donc mettre en avant ce qu’il considère comme le plus important. Cette année, par exemple, la France s’est concentrée sur le Cyber harcèlement et la citoyenneté numérique. De plus, chaque pays dispose de relais internes, des centres nationaux pour un internet plus sécurisé , qui soutiennent l’événement. En Belgique c’est par exemple le cas de l’association Child Focus.

Origine du projet 

En 2002 la Commission européenne avait lancé un plan d’action pour un internet plus sûr (eSafe). Ce programme visait à promouvoir une utilisation plus sûre d’internet et des nouvelles technologies numériques. Dans le cadre de ce programme la Commission avait financé le projet SafeBorder, lequel avait lancé, en 2003, une campagne « Safer Internet ». C’est dans cette optique que le premier Safer Internet Day  eu lieu le 06 février 2004. L’objectif était de responsabiliser les enfants ainsi que les adolescents sur la bonne utilisation de internet. La campagne a alors été lancée avec comme mots d’ordre : éducation et prévention.

Par la suite, ce sont les réseaux INSAFE et INHOPE qui ont repris le projet. INHOPE est un réseau mondial de lignes directes traitant du contenu illégal en ligne et s’engageant à éradiquer les abus sexuels sur internet. Cela permet à toute personne de pouvoir rapporter anonymement tout ce qui semble suspect ou illégal. INSAFE est, quant à lui, un réseau européen de sensibilisation à la sécurité en ligne. Son principal objectif est de coordonner et de renforcer les actions entreprises par les organismes nationaux de sensibilisation à un Internet plus sûr et d’améliorer leur visibilité. Ce réseau avait été lancé dans le cadre de la conférence annuelle EMINENT organisée par European Schoolnet. Cet organisme réunit un réseau de 30 ministres européens de l’éducation ainsi que des experts dans le domaine de l’éducation. L’objectif est d’aider les écoles à appréhender l’innovation et la technologie dans l’éducation. Etant donné l’impact qu’Internet commençait à avoir sur notre société, il est alors apparu crucial de mettre la sécurité en ligne à l’ordre du jour.

Une campagne nécessaire

Une étude lancée par le Centre britannique pour un Internet plus Sécurisé a été publiée a l’occasion du Safer Internet Day. Celle-ci démontre certains aspects négatifs que peut avoir internet sur les jeunes. En effet, 70% de jeunes âgés entre 8 et 17 ans ont déjà vu des images qu’ils considèrent eux-mêmes comme non-adéquates sur internet, et 45% d’entre eux (âgé entre 13 et 17 ans) ont déjà vu une photo nue d’une personne de leur entourage. Par ailleurs, plus d’un jeune interrogé sur 5 a déjà été victime de persécution à la suite d’une publication sur internet. Il est important de mettre ces différents éléments en avant lors du Safer Interet Day.

Quels résultats ?

Cette journée de sensibilisation a de plus en plus de succès chaque année. Depuis 2004, cette stratégie européenne s’est, en effet, transformé en un événement international. Actuellement l’évènement est célébré dans 120 pays à travers le monde dont les 28 Etats membres de L’Union européenne.

Malgré tout, mesurer l’impact d’une telle journée est difficile. On peut cependant affirmer qu’au niveau européen, le programme internet plus sûr de la Commission européenne a atteint bon nombre de ses objectifs. C’est notamment grâce à ce programme que des centres pour un internet plus sûr ont pu être installés dans chaque Etat membre. Par ailleurs, La stratégie européenne pour un internet mieux adapté aux enfants (stratégie BIK) qui a été lancée en 2012, a eu des répercutions positives sur les droits de l’enfant.

On ne peut que saluer ce genre d’initiatives qui tiennent compte des nouvelles technologies ainsi que du comportement des citoyens. De plus, en mettant l’accent sur l’éducation et la sensibilisation des jeunes ces programmes sont réalisés dans une optique de durabilité.

 

Margaux Etienne

 

Pour en savoir plus et principales sources d’information:

European Schoolnet:

http://www.eun.org/about;jsessionid=D848FB4A0089C9495A5E6054FF748CD2

http://etb.eun.org/eun.org2/eun/fr/magazine_eschoolnet/content.cfm?ov=33951&lang=fr&id_area=107

Better Internet for Kids:

https://www.betterinternetforkids.eu

Safer Internet Day:

https://www.saferinternetday.org/web/sid/home

http://www.internetsanscrainte.fr/le-projet/safer-internet-day-2017-presentation

Press release: Be the change: Unite for a better Internet

http://us6.campaign-archive1.com/?u=fcaa73d53911340a72d92d73f&id=dab7f1f644&e=7aa8d77529

Evaluation finale du programme pluriannuel de l’Union visant à protéger les enfants lors de l’utilisation de l’internet et d’autres technologies de communication (Internet plus sûr)

https://ec.europa.eu/transparency/regdoc/rep/1/2016/FR/1-2016-364-FR-F1-1.PDF

SafeBorders:

http://www.welcomeurope.com/news-europe/safeborders-awareness-campaign-safer-internet-11430+11330.html

 


Classé dans:Cybersécurité, Droits de l'enfant, Protection de la vie privée et des données personnelles Tagged: Europe, Internet, Sensibilisation
Categories: Union européenne

Pompéi, un baiser dévoilé pour la Saint-Valentin

RFI (Europe) - Sat, 11/02/2017 - 08:46
Un baiser pour la Saint-Valentin, un baiser antique, qui nous vient de Pompéi. La « Maison des chastes amants », habituellement fermée, va exceptionnellement ouvrir ce weekend et ce, jusqu'au jour de la Saint-Valentin. Une maison, et une fresque, préservées pendant près de 2 000 ans sous les cendres et la lave du Vésuve.
Categories: Union européenne

Des ONG européennes lancent une pétition contre le glyphosate

RFI (Europe) - Fri, 10/02/2017 - 20:35
L'herbicide le plus utilisé au monde, le glyphosate, est reconduit pour sept ans, mais une pétition européenne s'y oppose. Réunies à Paris la semaine dernière, des associations écologistes ont rappelé les dangers de ce désherbant chimique. Les risques de cancers sont avérés à long terme. Mais faute de consensus au sein de l'Union européenne, le Parlement de Bruxelles renouvèle le droit aux agriculteurs de traiter leurs parcelles.
Categories: Union européenne

#FaitduJour: La Cour d’appel a confirmé la suspension du décret migratoire de Trump

EU-Logos Blog - Fri, 10/02/2017 - 18:19

Aujourd’hui, la Cour d’appel fédérale de San Francisco a suspendu le décret anti-immigration du président américain Donald Trump interdisant l’entrée des réfugiés et des citoyens de sept pays musulmans, confirmant ainsi la décision d’un juge fédéral de Seattle. «Rendez-vous à la Cour […] c’est en jeu la sécurité de la nation», a écrit Donald Trump avec un tweet après la décision de la Cour d’appel fédérale pour confirmer la suspension du décret contre les musulmans.

Pour Donald Trump c’est un défi. La Cour suprême reste dans une situation de blocage (4 à 4), en attendant la confirmation de la part du sénateur Neil Gorsuch, le nouveau juge nommé par Trump. En cas d’égalité des voix, la décision d’aujourd’hui restera en vigueur et par conséquent le décret présidentiel resterait suspendu. Selon les juges d’appel, l’administration américaine n’a apporté aucune preuve sur le danger des personnes qui proviennent de sept pays dont il est question, car aucun de ces citoyens n’a commis d’attentat terroriste aux États-Unis. Pour les juges, il n’y a pas d’explication réelle par rapport à l’urgence de la mesure.  Selon la Cour, le droit de circuler librement, afin d’éviter la séparation des familles ainsi que la discrimination doit prévaloir (au moins dans l’état actuel des choses) sur la capacité du président à mettre en œuvre ses politiques.

Un juge de Seattle avait déjà contesté le décret, cependant le Département de la Justice avait rejeté sa contestation, car selon eux, le décret n’entrait pas, à moins de violer la Constitution, dans les pouvoirs et les compétences de Trump. En effet, le Département justifiait la décision du président par la nécessité de protéger le pays contre les menaces terroristes. Par contre, la Cour d’appel fédérale de San Francisco, composée de trois juges (dont deux démocrates, et un républicain) avait avancé plus d’une objection sur la thèse du Département, soulevant des questions sur les véritables pouvoirs du président dans une question délicate, qui touche le principe constitutionnel de la liberté religieuse. Sans parler de la façon de l’adoption du décret: l’absence d’avertissement a causé des inconvénients à des milliers de personnes et de familles, le chaos dans les aéroports et de manière plus générale, dans les transports aériens.

Donald Trump a annoncé son intention de poursuivre le combat pour son décret devant les tribunaux. Lui et son administration peuvent décider soit de livrer bataille devant le tribunal de première instance dans quelques jours soit de demander l’intervention de la Cour suprême en contestant rapidement la décision rendue par la Cour d’appel fédérale de San Francisco.

 

Maria Elena Argano

En savoir plus :

Site RTBF: https://www.rtbf.be/info/societe/detail_decret-migratoire-de-trump-ce-qu-a-dit-la-cour-d-appel-de-san-francisco?id=9526375

Site de Libération : http://www.liberation.fr/planete/2017/02/10/une-cour-d-appel-federale-maintient-la-suspension-du-decret-anti-immigration-de-trump_1547557


Classé dans:Fact of the day, MIGRATIONS ET ASILE, Uncategorized Tagged: migration, Trump
Categories: Union européenne

Highlights - DROI Delegation to Vietnam, 20-24 February 2017 - Subcommittee on Human Rights

The European Parliament’s Subcommittee on Human Rights will be in a mission to Vietnam from 20-24 February 2017 and the main objective of the DROI mission is to assess the human rights situation in the country. The DROI delegation will hold meetings with National Assembly committees, government ministries, UN agencies, and NGOs.

Vietnam adopted a new constitution in 2013 and in 2015 the National Assembly passed new laws on the Penal Code, Criminal Procedure Code, Law on Custody and Detention and Law on investigative bodies. However, their application has been postponed.

The Delegation will also raise the EU-Vietnam Free Trade Agreement and the human rights impact assessment with the Vietnamese authorities.


Source : © European Union, 2017 - EP
Categories: Union européenne

Les pays asiatiques se tournent vers Bruxelles plutôt que Londres

Euractiv.fr - Fri, 10/02/2017 - 15:41
Le 8 février dernier, les principales économies asiatiques ont annoncé leur intention de continuer à renforcer leurs liens avec l'Union des 27 après le Brexit, et ce, en dépit d'une possible ouverture du marché britannique.
Categories: Union européenne

«Amphitryon», une coproduction théâtrale franco-russe

RFI (Europe) - Fri, 10/02/2017 - 15:34
Des comédiens russes dirigés par un metteur en scène français, cela donne un « Amphitryon » de Molière décapant, drôle, que le public moscovite a déjà adopté, en attendant que le public français ne le découvre au mois de mai au Théâtre du Nord à Lille puis au Théâtre Gérard Philippe à Saint Denis. Une coproduction avec l’Atelier Piotr Fomenko à Moscou.
Categories: Union européenne

Pages