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80e anniversaire de l'ONU : Le Burkina Faso veut contribuer à la construction d'un monde plus juste et solidaire

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 22:50

Le Premier ministre Jean Emmanuel Ouédraogo est à New York, où se tient le 80e anniversaire de l'Organisation des Nations unies (ONU). En y participant, le Burkina Faso veut contribuer "activement au renforcement du multilatéralisme et à la construction d'un monde plus juste et solidaire", lit-on sur la page Facebook de la Primature du Burkina.

Ce lundi 22 septembre 2025, à la réunion de haut niveau consacrée à cet événement qui réunit la quasi totalité des pays du monde, un documentaire retraçant les grandes réalisations de l'institution a été projeté, histoire de rappeler le travail abattu par l'ONU, depuis sa création en 1945, jusqu'à nos jours.

Selon la nouvelle présidente de l'Assemblée générale des Nations unies, Annalena Baerbock, cette célébration est, dit-elle : "une occasion unique de mettre en avant les réalisations accomplies par l'ONU et ses agences spécialisées, mais aussi d'explorer les actions nécessaires pour relever les défis majeurs qui se posent aujourd'hui à l'humanité".

Le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a, lui, appelé à une refonte de la coopération internationale, en insistant sur l'urgence de renforcer la solidarité mondiale ; cela dans un contexte de plus en plus marqué par les divisions géopolitiques et la multiplication des conflits dans le monde.

Lefaso.net
Source : Primature du Faso

Categories: Afrique

Burkina/Agriculture : Issa Ilboudo, le paysan-entrepreneur qui table sur la traction animale pour bâtir son succès à Loumbila

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 22:45

À Loumbila, dans la région d'Oubri (ex-Plateau central), Issa Ilboudo s'impose comme un paysan-entrepreneur pas comme les autres. Grâce à la traction animale, il a su transformer une pratique traditionnelle en activité rentable, au point de bâtir une véritable entreprise locale. Rencontre avec un homme qui a fait de ses bœufs des alliés économiques et sociaux.

À première vue, sa carrure pourrait faire penser à un homme de tenue. Pourtant, Issa Ilboudo est bien un paysan, mais pas un agriculteur ordinaire : il a su tirer profit de son métier pour en vivre dignement. Ce fils de Loumbila (région d'Oubri) s'est spécialisé dans la traction animale et en a fait une véritable entreprise florissante.

Le 21 juillet 2025, nous le retrouvons de bon matin dans l'un des champs de ses clients, dans une zone non lotie de Loumbila. À 8 h 45, l'« entreprise Ilboudo » était déjà à plein régime. Ses « tracteurs » – ses bœufs de labour – s'affairaient, pendant que lui arrivait sur une moto rutilante, prisée par la jeunesse urbaine. Venu superviser, il lança en mooré quelques remarques à ses employés : « Vous n'avez pas encore fini ? » Manière de rappeler que le temps presse et qu'il faut satisfaire la demande.

Clés en main et sourire franc, il nous salue avec une poignée de main, suivie d'une génuflexion, signe de politesse en pays moaga. Le ton est donné : Issa Ilboudo est un paysan « boss », comme aiment le dire les habitants. Sa stabilité financière, il la doit à la traction animale, qu'il pratique aussi bien dans les champs que dans le maraîchage, à Loumbila et dans les villages voisins.

Vue du labour superficiel effectué par les enfants d'Issa Ilboudo

Une intuition transformée en entreprise

L'aventure d'Issa Ilboudo avec la traction animale a débuté dans les années 2010. Selon ses dires, au fur et à mesure que les années passaient, il s'est aperçu que les villageois n'avaient plus d'ânes pour cultiver leurs champs et les bras valides qui pouvaient le faire ont tous fui pour la ville. « Donc je me suis dit que je pouvais répondre au moins à ce besoin en leur proposant mes services. Parce que j'avais déjà mes bœufs et quand je finissais de cultiver mes champs, les bœufs étaient oisifs à la maison. Et en lieu et place des machines qui demandent beaucoup de moyens et de technicité, je leur proposais le service avec mes bœufs à un moindre coût », raconte-t-il avec une certaine fierté.

Un pari gagnant. Aujourd'hui, Issa Ilboudo vit confortablement de ce métier peu attractif en apparence, mais en réalité très rentable. « Par jour, nous pouvons labourer quatre à cinq champs. Chaque prestation rapporte au minimum 15 000 francs CFA », confie-t-il.

Des revenus quotidiens conséquents

Sur ses revenus exacts, il reste discret, comme tout entrepreneur prudent. Il admet toutefois gagner entre 30 000 et 75 000 francs CFA par jour, parfois plus, selon les conditions de travail et la performance des animaux. Sur cette somme, il rémunère ses employés, entre 3 000 et 5 000 francs par jour, en fonction de l'âge et de l'expérience.

Les enfants tractant les bœufs pour labourer le champ d'arachide d'une agricultrice de Loumbila au mois de juillet 2025

À cela s'ajoutent les frais d'entretien du matériel et l'alimentation des animaux. D'après lui, ses bœufs de labour mangent beaucoup du fait de leurs poids et de la force qu'ils doivent déployer pour labourer les champs, tout en ajoutant que c'est au minimum un sac par jour pour les quatre bœufs.

Diversification dans le maraîchage

Comme la saison agricole est limitée dans le temps, Issa Ilboudo se tourne vers les cultures maraîchères pendant la campagne sèche. Là aussi, son activité ne connaît pas de répit.

Cependant, il ne cache pas les difficultés. Le premier problème, dit-il, c'est le manque de main-d'œuvre. Les jeunes ne veulent pas de ce travail exigeant physiquement, assure-t-il en ajoutant que souvent, il doit lui-même mettre la main à la pâte. Et puis, il y a les pannes de charrues. Il n'existe pas de spécialistes formés, seulement des amateurs qui n'assurent pas un travail de qualité. C'est pourquoi l'homme dit avoir appris à faire le travail lui-même. Il y a souvent des conflits d'agendas. « Quand, je ne suis pas là et qu'il y a une panne, le travail est bloqué en attendant mon retour, ce qui fait qu'on n'arrive pas à honorer toutes les demandes », regrette-t-il.

Malgré ces défis, Issa Ilboudo reste optimiste et reconnaissant. Sa réussite repose sur une idée simple mais ingénieuse : valoriser les ressources locales et leur donner une dimension entrepreneuriale.

Y.Z
Lefaso.net

Categories: Afrique

Trump says Ukraine can ‘win’ all territory back from Russia

Euractiv.com - Tue, 23/09/2025 - 22:42
The US president dismissed Russia as a "paper tiger" in economic peril
Categories: European Union

EcoloApp : Une solution numérique pour un Burkina Faso sans plastique

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 22:40

Avec EcoloApp, l'entrepreneur burkinabè Mélénick Sawadogo et sa start-up Ecology House révolutionnent la gestion des déchets plastiques. L'application rend leur collecte à la fois ludique et rémunératrice, tout en mobilisant citoyens et entreprises autour d'une cause commune : réduire la pollution, valoriser les déchets et bâtir une économie circulaire innovante.

Lefaso.net : Pouvez-vous présenter brièvement Ecology House et les principaux problèmes environnementaux qu'elle cherche à résoudre ?

Mélénick Sawadogo : Ecology House est une start-up spécialisée dans la collecte de déchets plastiques par une application mobile.

Notre particularité est que notre application récompense ses utilisateurs dans le but de créer de l'engouement pour la collecte des déchets plastiques. Une fois ces déchets collectés, nous avons mis en place une unité de transformation 3.0 pour transformer ces déchets plastiques en matériaux réutilisables.

Le principal problème que nous cherchons à résoudre est un problème crucial qui ne fait que prendre de l'ampleur au fil des années. C'est le problème de la pollution plastique. Parce que non seulement elle salit notre beau pays, le Burkina, mais aussi elle a des conséquences climatiques néfastes.

Quels types de produits sont déjà disponibles sur le marché et comment se passent les ventes jusqu'à présent ?

Nous avons un catalogue de différents types de matériaux. Nous avons d'abord des matériaux de construction qui se décrivent en pavés, en coffrage pour les poutres histoire de limiter la coupe abusive du bois, et des revêtements de nuit. Au-delà de ces matériaux de construction, des tables-bancs pour les écoles et les maisons, des bacs à culture au sol pour favoriser la culture urbaine et des poubelles. Nous avons également eu l'honneur de fournir les poubelles lors de la réouverture du stade du 4-Août. Cette activité nous a permis d'avoir un impact significatif sur notre environnement. Elle nous a aussi permis de collecter près de 400 000 déchets usagers, sans compter les autres types de déchets plastiques.

Quel est l'état actuel du prototype de l'application mobile et quelles fonctionnalités sont déjà intégrées ?

Actuellement, l'application mobile EcoloApp est prête à être mise sur le marché et nous avons déjà passé les étapes de test. Nous ajoutons d'autres fonctions au fur et à mesure. La dernière fonction que nous avons ajoutée, c'est la boutique en ligne. C'est-à-dire qu'il est possible de changer les points cadeaux collectés contre d'autres produits directement dans notre boutique en ligne. Mais dans notre boutique en ligne, les produits ne se limitent pas seulement aux produits écologiques. C'est-à-dire qu'actuellement au Burkina, il est aujourd'hui possible d'échanger ces déchets plastiques contre des mégas, des sacs de riz et des produits divers.

Avez-vous testé l'application mobile auprès de clients ou partenaires ? Si oui, quels retours avez-vous reçus ?

Nous avons principalement réalisé des tests auprès des fast-foods, des petites entreprises productrices constantes de déchets plastique et les retours ont été très positifs.

Comment l'application mobile complétera-t-elle l'offre physique de produits recyclés ?

Je dirais que ces deux aspects se complètent. Parce qu'on ne peut pas parler de transformation sans collecte. Ce n'est qu'une chaîne et comme on aime le dire, nous sommes dans une économie circulaire. C'est dans une boucle que nous sommes. C'est-à-dire que nous avons forcément besoin de collecter pour transformer. Ça ne sert à rien de collecter et de ne pas transformer. Comme ça ne sert à rien de transformer sans collecter.

Quels sont les principaux défis techniques ou opérationnels que vous rencontrez pour le déploiement de l'application ?

Les principaux obstacles que nous rencontrons sont d'ordre technique. Nous visons la mise sur le marché de notre application qui est prête. Mais pour ce faire, nous devons régler quelques aspects pour que la population burkinabè puisse pleinement en profiter. EcoloApp fonctionne de la façon suivante. Une fois téléchargée, vous avez droit à un bac à tri gratuitement chez vous. Et c'est de là que vous commencez votre activité de collecteur. Et pour mettre l'application sur le marché, nous avons besoin d'un premier stock de poubelles de tri à distribuer à la population, aux utilisateurs. Ce sont ces petits aspects qui retardent un petit peu notre déploiement sur le marché.

Avez-vous envisagé des partenariats ou des collaborations pour accélérer le développement ou la commercialisation de l'application ?

Nous avons déjà un partenaire de téléphonie mobile qui nous soutient. Et nous travaillons à trouver les fonds et les moyens nécessaires pour mettre l'application sur le marché. Afin que chaque Burkinabè puisse changer de paradigme. Et savoir qu'on peut avoir chez nous ce qu'on a l'habitude de voir ailleurs.

Quel impact positif avez-vous constaté sur la gestion des déchets ou la sensibilisation environnementale grâce à vos produits ?

Depuis la mise sur le marché des produits de Ecology House il y a deux ans de cela, nous avons pu collecter près de 400 tonnes de déchets plastiques. Et comme innovation en plus, notre application est dotée d'un système de sensibilisation. Et rien que par le test de l'application qui a touché 200 personnes, nous avons déjà pu sensibiliser pas mal de personnes sur les dangers de la pollution plastique et aussi sur les bons gestes à adopter pour éradiquer définitivement ce fléau.

Quelles améliorations ou nouvelles fonctionnalités prévoyez-vous pour l'application dans les prochains mois ?

La nouvelle fonctionnalité que nous prévoyons d'intégrer pour les prochains mois est celle des défis entre collecteurs. Pour faire en sorte que la collecte soit plus engageante pour la population. C'est-à-dire qu'il sera possible de voir la quantité de déchets plastiques que tout un chacun a pu collecter. Et de là, on pourra retrouver le meilleur collecteur et le récompenser. On se dit que cette nouvelle fonctionnalité va encore engendrer plus d'engouement pour la collecte et que notre pays sera libéré de déchets plastiques. Et tout cela ne pourra se faire qu'avec l'appui des partenaires et de toute la communauté burkinabè.

Est-ce que vous avez déjà défini un modèle économique pour votre application ?

L'application EcoloApp a un modèle économique viable qui s'inscrit dans du donnant-donnant et qui a été validé par les incubateurs. Une fois que l'utilisateur a pris la photo du déchet qu'il souhaite collecter, la photo est envoyée pour analyse. Et de là, nous voyons approximativement quelle est la quantité de déchets plastiques que l'utilisateur souhaite collecter. Nos collecteurs ne se déplacent que pour une quantité minimum de 7 kg.

Ces déchets plastiques que l'utilisateur souhaite collecter seront donc échangés soit par des points cadeaux, soit par de l'argent en espèces. Il a également la possibilité d'échanger ses points collectés dans notre boutique en ligne et de valoriser ses déchets.

Qu'est-ce que vous, vous gagnez dans ce donnant-donnant ?

Quand vous nous appelez pour 7 kilos de déchets, la rétribution qui vous sera donnée sera une rétribution de 3 à 4 kilos. Et c'est de là que nous aussi, nous tirons nos bénéfices.

Quels sont vos prochains objectifs pour le projet, tant sur le marché que sur le plan numérique ?

Sur le plan numérique, je dirais que nous sommes une équipe de jeunes Burkinabè qui ont soif de savoir, de découverte et de créativité. Et je peux vous dire que l'application EcoloApp ne va pas manquer d'innovation. Sur le volet produit, nous voyons grand avec la nouvelle démarche du gouvernement.

Nous voulons carrément aller sur des produits un petit peu plus robustes. Des polytanks que nous pourrons mettre à la disposition de chaque Burkinabè pour la rétention d'eau, de sorte que les agriculteurs puissent faire de l'agriculture hors sol avec la rétention d'eau. Car nous savons qu'au Burkina, il y a des zones où les populations souffrent du manque d'eau. Et nous savons aussi que les polytanks coûtent cher.

Vous avez amené avec vous un prototype. Est-ce que vous pouvez nous le présenter ?

Je me suis permis d'apporter un petit prototype, pour non seulement présenter le type de produit que nous confectionnons, mais aussi montrer la matière que nous avons découverte. Là, nous avons un tabouret plastique passe-partout. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Anita Mireille Zongo (stagiaire)
Lefaso.net

Categories: Afrique

Burkina/Gospel : Chantre Jean Tamini, messager d'amour et de paix dans un monde en perte de repères

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 22:35

Avec son tout nouveau single An ka barika da qui signifie « Rendons grâce à Dieu », le chanteur gospel burkinabè Jean Tamini revient sur le devant de la scène musicale chrétienne. Entre passion, foi et engagement, il a accepté de se livrer dans une interview à Lefaso TV. Parcours, inspirations, ambitions et message au monde, découvrez l'univers singulier d'un artiste qui mêle traditions musicales et spiritualité dans ses créations.

Lefaso.net : Vous venez de lancer un nouveau single intitulé An ka barika da. Que signifie cette chanson pour vous ?

Chantre Jean Tamini : An ka barika da, c'est une expression de reconnaissance envers Dieu. C'est un chant d'action de grâce pour l'année écoulée et une prière pour l'année nouvelle. Il nous rappelle de toujours remercier Dieu pour ses bienfaits, pour ce qu'il fait dans nos vies personnelles, mais aussi pour notre pays, le Burkina Faso. La chanson est sortie en décembre dernier, un moment symbolique pour dire merci et remettre la nouvelle année entre les mains de Dieu.

Quelle est la particularité de ce clip ?

Le clip a été conçu pour plonger l'auditeur dans une ambiance d'adoration et de gratitude. Il mêle modernité et éléments traditionnels, à l'image de mon style musical. On y retrouve des instruments locaux, une atmosphère chaleureuse et un message universel de foi et de remerciement.

Vous vous définissez comme artiste musicien chanteur gospel. Quelle est, selon vous, la différence entre un artiste classique et un artiste gospel ?

Un artiste musicien, c'est quelqu'un qui exprime son art par la musique. Mais un artiste musicien gospel ou chantre va au-delà. Il véhicule un message spirituel. Il conduit le peuple de Dieu dans l'adoration, mais aussi touche les cœurs au-delà de l'église.

Le chantre est un ministre consacré, appelé par Dieu pour servir dans le sanctuaire (l'Église). Il n'est pas simplement un chanteur, mais un adorateur en esprit et en vérité (Jean 4:23-24). Sa voix devient un instrument de guerre spirituelle, de guérison et de visitation divine. Il ne recherche pas le succès, mais l'obéissance à Dieu et la soif de sa présence.

Son style de vie est marqué par la prière, la sanctification, la méditation de la Parole divine et la soumission à une autorité spirituelle. Même en dehors de la scène, il mène une vie cachée avec Dieu. Ses chants sont souvent prophétiques, porteurs d'onction et capables d'ouvrir les cieux.

C'est un communicateur de la foi, un chanteur chrétien engagé dans l'univers musical. Il met son talent au service d'un message inspiré de l'Évangile, destiné à un public plus large.

Il est important de souligner qu'un chantre peut être artiste, mais un artiste ne devient chantre que s'il reçoit l'appel, l'accepte, s'y consacre et exerce ce ministère dans le cadre de l'Église. À travers nos créations, nous faisons passer l'évangile, l'amour de Dieu, la paix, l'espoir. C'est une mission artistique et spirituelle à la fois.

Combien de titres avez-vous à votre actif aujourd'hui ?

J'ai officiellement quatre singles, “Yesu Bwani'', “EAC BF Centenaire'', “Ala yi wélé'', et An ka barika da. Il y a aussi Jehova Senouma, un titre que j'ai produit pendant la pandémie, mais qui n'est pas inclus dans mon catalogue officiel. Un album est en préparation, et il contiendra ces morceaux et de nouvelles compositions.

Quel est votre parcours musical ? La musique est-elle venue à vous ou l'inverse ?

La musique, c'est à la fois une passion et une vocation. Je viens d'une famille pastorale, et dès mon jeune âge, j'étais déjà attiré par les instruments traditionnels. Je jouais dans la chorale de l'église avec le quatre carrés, parfois même sans toucher le sol tant j'étais petit ! Ensuite, après mon baptême, j'ai commencé à composer. Ma toute première chanson parlait des démons et des offrandes… je m'interroge encore sur ce choix. Puis est venu le temps des studios, notamment pendant la Covid.

À quels instruments jouez-vous aujourd'hui ?

Je suis un passionné des instruments traditionnels comme le quatre carrés communément le goumbé, le djembé, maracas... Et je me débrouille un peu à la guitare. J'aime fusionner le son traditionnel avec des rythmes modernes pour donner une identité à ma musique.

Quel message portez-vous à travers votre art ?

Mon message est simple. C'est l'amour, la paix, la tolérance, le vivre-ensemble. Je crois profondément que l'amour est la clé pour un monde meilleur. La Bible dit que Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils. Si nous vivons cet amour au quotidien, malgré les épreuves et la noirceur du monde, alors nous pouvons espérer un avenir plus serein et plus uni.

Quelle est l'actualité musicale de Jean Tamini ?

Actuellement, je suis en pleine promotion de An ka barika da. Mais de nouvelles sorties se préparent, et surtout, mon premier album arrive bientôt. Nous travaillons activement dessus pour offrir quelque chose de fort, à la fois musicalement et spirituellement.

Un mot de fin pour vos fans et ceux qui vous suivent ?

Un immense merci à tous ceux qui nous soutiennent, à Lefaso.net et à Lefaso Web TV. Continuez de nous accompagner, de partager notre musique, de prier pour nous. Ce que nous faisons, ce n'est pas juste de la musique, c'est aussi un ministère. Suivez-nous sur nos réseaux sociaux pour ne rien manquer de l'actualité à venir.

Interview réalisée par Hamed Nanéma et Auguste Paré
Lefaso.net

Categories: Afrique

Trump to U.N.: ‘Your Countries Are Going to Hell’

Foreign Policy - Tue, 23/09/2025 - 22:33
Read Trump’s full address at the U.N. General Assembly. 

Burkina/SAMAO 2025 : Un pré-atelier pour tracer la voie d'une industrie du ciment respectueuse de l'environnement

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 22:30

Le ministère de l'Énergie, des Mines et des Carrières a tenu un pré-atelier en prélude à la Semaine des activités minières d'Afrique de l'Ouest (SAMAO). Il est placé sous le thème « Développement d'une industrie du ciment respectueuse de l'environnement à partir des ressources locales du Burkina Faso : défis technologiques et opportunités économiques ». La cérémonie d'ouverture a eu lieu ce mardi 23 septembre 2025 à Ouagadougou sous la présidence du ministre Yacouba Zabre Gouba.

La SAMAO va se tenir du 24 au 26 septembre à Ouagadougou. Ce pré-atelier vise à faire connaître et à cartographier le potentiel des substances de carrières, à renforcer les capacités techniques et réglementaires des professionnels, à favoriser le partage d'expériences et à proposer des orientations de politiques publiques pour accompagner la transformation du secteur.

Selon le directeur général des mines et des carrières, Touobèkourè Stanislas Meda, les défis du secteur des mines et des carrières sont nombreux. Il s'agit, entre autres, d'adapter les technologies aux spécificités locales des matériaux, de renforcer les compétences des acteurs pour de nouvelles pratiques de production, d'élaborer des cadres réglementaires incitatifs et clairs et de mobiliser les parties prenantes autour d'une stratégie commune et inclusive.

Le directeur général des mines et des carrières, Touobèkourè Stanislas Meda

Malgré les défis persistants à relever, il existe des opportunités : diversifier les matières premières (argile calcinée, calcaire dolomitique, tufs, poudre de basalte, granite) pour produire des ciments à moindre empreinte environnementale. Stimuler l'économie locale en réduisant les importations et en créant des emplois dans les filières amont et aval. Renforcer la recherche et l'innovation pour positionner le Burkina Faso comme acteur régional de référence en ciment durable, a souligné le directeur général des mines et des carrières.

« Le Burkina Faso connaît une urbanisation rapide et une demande croissante en infrastructures. Malgré l'abondance de nos substances de carrières, une part importante des matériaux de construction demeure importée. Il est temps de convertir notre potentiel géologique en un levier de développement durable, d'emploi et de souveraineté industrielle », a indiqué M. Meda.

Pour le ministre en charge des Carrières, Yacouba Zabre Gouba, l'importance du secteur du ciment n'est plus à démontrer

Pour le ministre en charge des Carrières, Yacouba Zabre Gouba, l'importance du secteur du ciment n'est plus à démontrer parce que c'est un secteur qui participe de façon active au développement des infrastructures. « Comme vous le savez déjà, la vision du gouvernement est d'asseoir un développement endogène. Qui parle de développement endogène parle nécessairement de tirer profit de nos valeurs et de nos ressources afin qu'il y ait davantage de valeurs ajoutées. Le Burkina Faso, à l'instar de bien d'autres pays africains, connaît une croissance urbaine soutenue, accompagnée d'une demande sans cesse croissante en infrastructures et en logements, occasionnant des besoins considérables de matériaux de construction d'une manière générale et de ciment en particulier.

Parallèlement, notre pays dispose d'un important potentiel en substances de carrières qui peuvent et doivent être valorisées pour soutenir son développement socio-économique. Cette valorisation est d'autant plus un impératif qu'elle permettra de réduire significativement les importations de matériaux de construction et d'être en phase avec la vision du gouvernement, celle d'un développement endogène », a laissé entendre le ministre.

Photo de famille

Il a confié aux experts du domaine que les résultats de leurs travaux seront précieux pour orienter les politiques et renforcer la souveraineté industrielle

D'après le président de l'Association des cimentiers du Burkina, Jacques Amiong, l'utilisation des matériaux locaux peut être très rentable pour eux. Et cela va leur permettre de réduire considérablement les importations, de créer des emplois et de revaloriser les matières locales.

Rama Diallo
Lefaso.net

Categories: Afrique

« C’est ça le pillage », Sifi Ghrieb lève le voile sur les dérives de l’ancien régime à Jijel

Algérie 360 - Tue, 23/09/2025 - 22:26

La mise en service du complexe de trituration des graines oléagineuses de Jijel a mis en évidence la face cachée des grands projets confisqués par […]

L’article « C’est ça le pillage », Sifi Ghrieb lève le voile sur les dérives de l’ancien régime à Jijel est apparu en premier sur .

Categories: Afrique

Trump Slams the United Nations in Its Own Backyard

Foreign Policy - Tue, 23/09/2025 - 22:25
Between shots at immigration and climate change, the U.S. president expressed his disappointment with the multilateral body.

Le Burkina Faso, le Mali et le Niger se retirent de la CPI

France24 / Afrique - Tue, 23/09/2025 - 22:18
Sans surprise, le Niger, le Mali et le Burkina Faso ont annoncé lundi leur retrait de la Cour pénale internationale. Ces pays, gouvernés par des militaires, qualifient l'instance "d'instrument de répression néo-coloniale". Les trois États annoncent une décision à effet immédiat, mais dans les faits le retrait n'est effectif qu'un an après le dépôt du dossier devant l'ONU.
Categories: Afrique

Trump Issues Reversal in U.S. Ukraine Policy

Foreign Policy - Tue, 23/09/2025 - 22:05
The U.S. president suggested that Ukraine can win back all of its territory from Russia.

Deka Unternehmerstrategie Europa: Erfolg in Sicht

The European Political Newspaper - Tue, 23/09/2025 - 21:46

Die Deka Unternehmerstrategie Europa setzt auf gezielte Investitionen, um den europäischen Markt zu erschließen. Durch die Förderung von innovativen Projekten im Technologiebereich und dem Ausbau lokaler Partnerschaften und Kooperationen können wertvolle Synergien entstehen.

Besonderes Augenmerk liegt auf der verbesserten Kundenbindung durch maßgeschneiderte Angebote. Der Einsatz digitaler Technologien für Wachstum und detaillierte Marktanalysen zur Identifikation neuer Trends bieten ein solides Fundament, um ungenutzte Branchen und Sektoren erfolgreich zu erschließen.

Anpassungsfähigkeit und effektives Risikomanagement runden die Deka Unternehmerstrategie Europa ab und ermöglichen nachhaltigen Erfolg in einem sich ständig wandelnden Marktumfeld.

Das Wichtigste in Kürze

  • Gezielte Investitionen in vielversprechende europäische Regionen und Branchen zur Markterschließung.
  • Förderung innovativer Projekte und Technologien durch Zusammenarbeit mit Start-ups und etablierten Unternehmen.
  • Ausbau lokaler Partnerschaften zur besseren Marktvernetzung und Nutzung von lokalem Know-how.
  • Verbesserte Kundenbindung durch maßgeschneiderte Angebote basierend auf Kundenvorlieben und -wünschen.
  • Einsatz digitaler Technologien und detaillierte Marktanalysen zur Identifikation von Trends und Wachstumschancen.
Markterschließung durch gezielte Investitionen in Europa

Die Deka Unternehmerstrategie Europa setzt auf eine gezielte Markterschließung durch Investitionen in Europa. Dabei werden spezifische Regionen und Branchen identifiziert, die besonders vielversprechend sind. Durch fokussierte Kapitalzuflüsse können diese Märkte effektiv erschlossen werden. Das Ziel ist es, Wachstumspotenziale zu maximieren und langfristige Erfolge sicherzustellen. Lokale Expertise spielt hierbei eine wesentliche Rolle, um kulturelle und wirtschaftliche Besonderheiten optimal zu nutzen.

Nützliche Links: Villaggio Europa Rezensionen: Urlaub pur

Förderung innovativer Projekte im Technologiebereich Deka Unternehmerstrategie Europa: Erfolg in Sicht

Deka Unternehmerstrategie Europa fördert gezielt innovative Projekte im Technologiebereich. Dies beinhaltet nicht nur die Unterstützung von Start-ups, sondern auch die Zusammenarbeit mit etablierten Unternehmen. Durch die gezielte Investition in cutting-edge Technologien werden neue Entwicklungsmöglichkeiten geschaffen und Wachstum unterstützt.

Die Zukunft des Wachstums liegt in der Innovation. Durch gezielte Investitionen in aufstrebende Technologien können wir neue Märkte erschließen und nachhaltiges Wachstum sichern. – Satya Nadella

Ausbau lokaler Partnerschaften und Kooperationen

Die Deka Unternehmerstrategie Europa setzt auf den Ausbau lokaler Partnerschaften und Kooperationen, um eine tiefere Marktvernetzung zu erreichen. Durch die Zusammenarbeit mit örtlichen Unternehmen und Institutionen wird die Akzeptanz gesteigert und das Know-how vor Ort genutzt.

Verbesserte Kundenbindung durch maßgeschneiderte Angebote

Deka Unternehmerstrategie Europa setzt auf eine verbesserte Kundenbindung durch maßgeschneiderte Angebote. Indem spezifische Kundenwünsche und Präferenzen berücksichtigt werden, können individuelle Lösungen entwickelt werden, die genau auf die Bedürfnisse der einzelnen Kunden abgestimmt sind. Dies erhöht nicht nur die Zufriedenheit, sondern auch die Loyalität der Kunden gegenüber der Marke.

Ergänzende Artikel: Die schönsten Inseln Europas

.table-responsiv {width: 100%;padding: 0px;margin-bottom: 0px;overflow-y: hidden;border: 1px solid #DDD;overflow-x: auto;min-height: 0.01%;} Strategiebereich Maßnahmen Erwartetes Ergebnis Markterschließung Gezielte Investitionen in vielversprechende Regionen und Branchen Maximierung der Wachstumspotentiale und langfristige Erfolge Förderung von Technologie Investition in innovative Projekte und Zusammenarbeit mit Start-ups Schaffung neuer Entwicklungsmöglichkeiten und Unterstützung des Wachstums Kundenbindung Entwicklung maßgeschneiderter Angebote Erhöhte Kundenzufriedenheit und -loyalität Einsatz digitaler Technologien für Wachstum Einsatz digitaler Technologien für Wachstum – Deka Unternehmerstrategie Europa: Erfolg in Sicht

Der Einsatz digitaler Technologien kann das Wachstum erheblich vorantreiben. Durch den gezielten Einsatz von künstlicher Intelligenz und Big Data-Analysen können effizientere Geschäftsprozesse entwickelt werden, die zu einer Steigerung der Wettbewerbsfähigkeit führen. Deka Unternehmerstrategie Europa nutzt diese Ansätze, um innovative Lösungen zu implementieren, die Kunden mehr Flexibilität und individuellen Service bieten.

Empfehlung: Deka Unternehmerstrategie Europa CF: Erfolgsplan

Marktanalysen zur Identifikation neuer Trends

Durch fundierte Marktanalysen kann die Deka Unternehmerstrategie Europa gezielt neue Trends identifizieren. Dabei werden nicht nur aktuelle Marktbewegungen beobachtet, sondern auch kommende Entwicklungen antizipiert, um frühzeitig Wachstumschancen zu erkennen und zu nutzen.

Erschließung ungenutzter Branchen und Sektoren

Deka Unternehmerstrategie Europa setzt auf die Erschließung ungenutzter Branchen und Sektoren, um neue Wachstumsmöglichkeiten zu schaffen. Durch gezielte Analysen können Regionen identifiziert werden, in denen bislang iher noch ausgeschöpfte Ressourcen vorhanden sind. Dies ermöglicht es, maßgeschneiderte Investitionspläne zu entwickeln und profitable Nischenmärkte erfolgreich zu besetzen.

Risikomanagement und flexible Anpassungsfähigkeit

Um erfolgreich im europäischen Markt agieren zu können, ist es entscheidend, ein robustes Risikomanagement zu haben. Dieses hilft dabei, mögliche Gefahren frühzeitig zu erkennen und entsprechende Maßnahmen zu ergreifen.

Deka Unternehmerstrategie Europa setzt dabei auf eine flexible Anpassungsfähigkeit, die sicherstellt, dass das Unternehmen schnell und effizient auf interne und externe Veränderungen reagieren kann.

FAQ: Antworten auf häufig gestellte Fragen Wie kann man in die Deka Unternehmerstrategie Europa investieren? Investitionen in die Deka Unternehmerstrategie Europa können über zugelassene Finanzberater und Institutionen getätigt werden, die Deka-Produkte anbieten. Es wird empfohlen, sich vorab umfassend zu informieren und eine fundierte Beratungsleistung in Anspruch zu nehmen. Welche Kriterien werden verwendet, um vielversprechende Regionen und Branchen zu identifizieren? Die Deka Unternehmerstrategie Europa verwendet eine Kombination aus wirtschaftlichen Indikatoren, Marktanalysen und technologischen Trends, um vielversprechende Regionen und Branchen zu identifizieren. Lokale Expertise und kulturelle Unterschiede spielen ebenfalls eine bedeutende Rolle bei der Entscheidungsfindung. Wie fördert die Deka Unternehmerstrategie Europa Nachhaltigkeit? Die Deka Unternehmerstrategie Europa fördert Nachhaltigkeit durch gezielte Investitionen in grüne Technologien und umweltfreundliche Projekte. Ebenso wird Wert auf nachhaltige Geschäftsmodelle und ressourceneffiziente Prozesse gelegt. Welche Vorteile hat die Zusammenarbeit mit lokalen Partnern? Die Zusammenarbeit mit lokalen Partnern ermöglicht es, kulturelle und wirtschaftliche Besonderheiten besser zu verstehen und zu nutzen. Diese Partnerschaften fördern die Akzeptanz vor Ort und erleichtern die Markterschließung durch den Zugang zu lokalen Netzwerken und Ressourcen. Wie wird die Kundenzufriedenheit gemessen und verbessert? Die Kundenzufriedenheit wird durch regelmäßige Umfragen und Feedbackmechanismen gemessen. Auf dieser Basis werden maßgeschneiderte Angebote und Dienstleistungen weiterentwickelt, um den spezifischen Bedürfnissen der Kunden zu entsprechen und Ihre Zufriedenheit zu erhöhen. Was sind die Hauptvorteile von Investitionen in Start-ups? Investitionen in Start-ups bieten das Potenzial für erhebliche Renditen und die Möglichkeit, an der Spitze von Innovationen und neuen Technologien zu stehen. Sie fördern zudem ein dynamisches und kreatives Geschäftsumfeld, das zu weiteren Wachstumsmöglichkeiten führen kann. Welche Technologien werden besonders gefördert? Besonderer Schwerpunkt liegt auf Technologien wie künstlicher Intelligenz, Big Data, erneuerbare Energien und nachhaltigen Innovationslösungen. Diese Technologien versprechen nicht nur Wachstum, sondern auch nachhaltige und zukunftsfähige Geschäftsmodelle. Welche Maßnahmen umfasst das Risikomanagement der Deka Unternehmerstrategie Europa? Das Risikomanagement der Deka Unternehmerstrategie Europa umfasst kontinuierliche Risikoanalysen, Stresstests und das Aufstellen von Krisenplänen. Dies hilft, potenzielle Gefahren frühzeitig zu erkennen und bei Bedarf flexibel und schnell reagieren zu können. Gibt es ein Feedbacksystem für Kunden und Partner? Ja, die Deka Unternehmerstrategie Europa hat ein umfangreiches Feedbacksystem eingerichtet. Kunden und Partner können Ihre Erfahrungen und Vorschläge regelmäßig über verschiedene Kanäle teilen, um die Produkte und Dienstleistungen kontinuierlich zu verbessern.

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La députée provinciale Nanvano désapprouve l’éjection de Kamerhe à la tête de l’Assemblée nationale

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 23/09/2025 - 21:37


Élue du territoire de Walungu (Sud-Kivu), la députée provinciale Béatrice Nanvano désapprouve la démarche initiée par les députés nationaux contre Vital Kamerhe et certains membres du bureau de l’Assemblée nationale.


S’exprimant lundi 22 septembre sur les ondes de Radio Okapi, elle a déploré que les élus nationaux se livrent à des querelles politiques stériles, au lieu de se concentrer sur les enjeux majeurs du pays.

Categories: Afrique

New York : Jean Emmanuel Ouédraogo a exposé sur les réformes souverainistes du Faso au 7e ECAM

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 23/09/2025 - 21:30

"Les leaders africains pour le changement : renforcer la coopération dans les domaines de la santé, de l'éducation, de la recherche, de l'agro-industrie et de l'énergie verte". C'est sur ce thème que s'est tenue la rencontre organisée par le think tank The european house Ambrosetti (TEHA), au 7e Conseil européen des entreprises sur l'Afrique et le Moyen-Orient (ECAM), tenu à New York, aux Etats-Unis. Au cours des échanges, le président de l'ECAM, fondateur du groupe hospitalier privé GKSD Investment Holding et Gruppo San Donato, Kamel Ghribi, a souhaité nouer des partenariats avec l'Afrique sur bien de secteurs tels que la santé, l'agro-industrie et l'énergie.

Jean Emmanuel Ouédraogo de son côté a, dans son allocution, rappelé la vision portée par le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré ; une vision fondée sur la souveraineté nationale et le recours aux ressorts endogènes pour bâtir un développement durable. "Il a mis en lumière plusieurs initiatives présidentielles, parmi lesquelles l'Initiative pour la production agricole et l'autosuffisance alimentaire, qui vise à libérer le pays de la dépendance extérieure et à valoriser le travail des producteurs ; l'Initiative pour la santé, destinée à renforcer le système sanitaire national afin d'assurer un accès équitable à des soins de qualité ; et l'Initiative pour une éducation de qualité, qui ambitionne de former une jeunesse compétente, patriote et armée pour les défis du monde moderne", lit-on du compte rendu de la Primature.

Pour finir, le chef du gouvernement du Burkina Faso a marqué sa disponibilité à accueillir toute initiative internationale qui s'inscrit dans ce cadre de respect mutuel et de bénéfices partagés.

Lefaso.net
Source :
Page Facebook de la Primature du Faso

Categories: Afrique

La RDC élabore sa politique de gestion des catastrophes

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 23/09/2025 - 21:27


La vice-ministre de l’Intérieur, Eugénie Tshiela Kamba, a lancé, ce mardi 23 septembre à Kinshasa, l’atelier de validation de la politique nationale de gestion des risques de catastrophes de la RDC. Pendant trois jours, les experts de différents secteurs vont donc adopter ce document stratégique, devant permettre à la RDC de prévenir et bien gérer les catastrophes.

Categories: Afrique

Pakistan’s Flooding Underscores Misplaced Priorities

TheDiplomat - Tue, 23/09/2025 - 21:27
For the second time in three years, vast swathes of the country drowned, yet there's little government action.

Sensibilisation à la culture de la paix et à la lutte contre les violences à Beni

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 23/09/2025 - 21:25


Des acteurs des comités locaux de protection de la ville de Beni (Nord-Kivu) ont parcouru les avenues pour sensibiliser la communauté, en particulier les adolescents, à la culture de la paix et à la lutte contre les violences sous toutes leurs formes.


Cette campagne de sensibilisation s’inscrivait dans le cadre de la Journée internationale de la paix, célébrée le 21 septembre chaque année.

Categories: Afrique

Boeing to Convert USAF E-7 Rapid Prototypes in the UK

The Aviationist Blog - Tue, 23/09/2025 - 21:20
Boeing will transfer two 737-700 airframes to STS Aviation in Birmingham for E-7 conversion in 2026. Boeing will have two rapid-prototype E-7 Wedgetail Airborne Early-Warning & Control (AEW&C) aircraft converted in the United Kingdom, marking a rare instance of U.S. Air Force aircraft work being performed on British soil. However, questions persist over the program’s […]
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Fini les empreintes, place au digital : l’aéroport d’Alger change d’ère et passe au numérique

Algérie 360 - Tue, 23/09/2025 - 21:09

Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et des Transports, Saïd Sayoud, a insisté mardi sur la nécessité d’accélérer les projets liés à la modernisation […]

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À New York, Marie Nyange insiste sur la préservation des terres des autochtones

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 23/09/2025 - 20:55


Lors de son intervention, lundi 22 septembre, au cours d’une séance de travail de haut niveau à New York (États-Unis), la ministre de l’Environnement, Marie Nyange, a insisté sur la nécessité de préserver les terres des peuples autochtones.


Cette rencontre s’inscrivait dans le cadre de la 80ᵉ session de l’Assemblée générale des Nations unies.

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