Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdessalem Bouchouareb, a affirmé dimanche en Jordanie que les réformes menées par l’Algérie ces dernières années étaient aujourd’hui « impératives et nécessaires », soulignant que la nouvelle constitution avait permis à l’Algérie d’entamer la deuxième génération des réformes tant au plan politique qu’économique.
M. Bouchouareb qui participait à une séance de dialogue sur les réformes de la région MENA tenue en marge du Forum économique mondial en Mer Morte en Jordanie, a déclaré que la nouvelle Constitution en 2016 « a ancré politiquement une démocratie flexible en Algérie et octroyé une identité spéciale à l’économie nationale à travers de nouvelles lois ayant accompagnées davantage et d’une manière efficace la croissance économique actuelle notamment la loi sur les investissements à laquelle on avait introduit 22 articles en vue de faciliter les investissements étrangers et locaux ».
Cette loi « est aujourd’hui reconnue par la Banque mondiale et le FMI, vu ses avantages et motivations qui tiennent compte de la mutation profonde et effrénée dans le monde, à laquelle notre économie doit s’adapter si nous voulons avoir la place qui nous revient parmi les nations », a-t-il soutenu.
M. Bouchouareb a également mis l’accent sur « la nécessité de considérer ces réformes économiques en Algérie pour pouvoir prétendre à la compétitivité internationale » qualifiée par le ministre de « rude ».
Evoquant les perspectives de réussite des réformes en Algérie et leur contribution à développer et diversifier l’économie nationale, le ministre a mis l’accent lors de ce Forum économique mondial sur « l’importance de la stabilité et la sécurité pour la réussite de toute opération politique et économique », rappelant à l’occasion les démarches du président de la République, Abdelaziz Bouteflika à atteindre cet objectif depuis son investiture en 1999.
Il a évoqué dans ce sens, le pacte social conclu entre le Gouvernement, le Patronat et les syndicats, lequel a fait l’unanimité vis-à-vis des réformes politiques et économiques engagées par l’Algérie, affirmant que le citoyen algérien était totalement convaincu de l’importance d’aller de l’avant en faveur de la réalisation des réformes.
Il a expliqué, en outre, que la stabilité et la sécurité « nous ont permis d’engager des réformes et des mutations de deuxième génération sur le plan politique, à travers l’amendement de la Constitution, qui a consacré la démocratie et le pluralisme équitable et a permis, pour la première fois, d’ériger l’économie nationale en économie libre à caractère social ».
Le ministre a ajouté que « les réformes et l’amendement de la Constitution ont permis également de promulguer plusieurs lois, considérées comme une base juridique permettant de promouvoir l’économie, à même de changer toutes les lois financières » précisant que ces réformes « ont amélioré le climat d’investissement et offert des opportunités aux entreprises pour qu’elles assurent leur continuité et garantissent une compétitivité internationale à leurs produits ».
En effet l’attaquant du Borussia Dortmund, Pierre-Emerick Aubameyang, s’est battu face à Robert Lewandowski, attaquant du Bayern Munich, pour le titre de meilleur buteur de Bundesliga. Grâce à un doublé, lors de la dernière journée de championnat, l’international gabonais a élevé son compteur à 31 buts pour finir à la tête du classement des buteurs. La compétition a été rude puisque l’international allemand a fini sa saison à 30 buts.
Dans des propos relayés par Le 10 Sport.com, Robert Lewandowski évoque sa rivalité avec Pierre-Emerick Aubameyang au classement des buteurs : « La compétition avec Pierre-Emerick Aubameyang a été exceptionnelle. Toute la saison, bien sûr que je me suis battu. J’ai aussi rencontré des soucis avec mon épaule. J’ai eu la chance de pouvoir continuer à jouer. Continuer à marquer. Je suis très heureux. Une nouvelle saison avec au moins 30 buts au compteur. C’est pour moi un très bel accomplissement. »
Keita (18e) avait pourtant ouvert le score pour les Biancocelesti, mais Andreolli (31e), Hoedt (37e) contre son camp, et Eder (74e), ont permis aux Nerazzurri de s’imposer face à une formation romaine réduite à neuf après les expulsions de Keita et Lulic en seconde période. Source : Maxifoot.fr.
La sélection nationale olympique composée, essentiellement de joueurs dont la tranche d’âge ne dépasse pas les 20 ans, même renforcée par deux joueurs seniors, dont le portier du MOB, Chamseddine Rahmani, a réussi à décrocher hier en milieu de journée la médaille de bronze aux jeux de la Solidarité islamique qui se déroulent actuellement à Bakou, en Azerbaïdjan. Les Verts se sont imposés face aux Lions indomptables du Cameroun sur le score de deux buts à zéro. Ahmed Gagaâ a ouvert le score sur penalty à la 55’. Huit minutes plus tard, Abderahim Hamra a doublé la mise. Pour rappel, les Algériens avaient été éliminés en demi-finale par le pays hôte, l’Azerbaïdjan, suite à une défaite sur le score de deux buts à zéro. Il est à rappeler que cette équipe a été mise en place par l’ancien DTN, Taoufik Korichi qui avait dirigé la prospection ainsi que les premiers stages de préparation, avant qu’il ne démissionne.
Ameur Chafik : «Les joueurs voulaient gagner»
Le sélectionneur national des Olympiques, Ameur Chafik, était content en fin de rencontre, après la victoire de l’EN qui a décroché la médaille de bronze. Il s’est exprimé au micro de l’APS : «Je remercie les joueurs qui ont appliqué mes consignes. Nous aurions aimé disputer la grande finale ce soir. Avec trois joueurs absents, je me suis retrouvé sans véritable attaquant de pointe, il fallait donc évoluer en bloc, évitant au maximum les longues passes. L’équipe s’est sentie lésée, après ce qui s’est passé en demi-finale contre les Azéris, à cause de l’arbitrage à sens unique. Les joueurs se sont parlés et ont décidé de tout donner pour revenir en Algérie avec une médaille. On fera le bilan avec la fédération pour discuter de la préparation de cette équipe appelée à disputer les éliminatoires des Jeux olympiques 2020 de Tokyo».
Gagaâ : «Le premier but nous a mis en confiance»
Le milieu de terrain du Paradou AC, Ahmed Gagaâ, s’est exprimé lui aussi en fin de rencontre : «On savait que la rencontre allait être difficile. Nous avons fait jeu égal avec les Camerounais durant les 45 premières minutes. Après notre premier but, nous avons pris conscience que nous étions capables de gagner le match. Je souhaite que les seniors fassent de même (en qualifications du Mondial-2018).»
Le message de félicitations de Zetchi
Le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, était très satisfait du résultat. Une première consécration très encourageante pour cette équipe qui se prépare pour les jeux Olympiques Tokyo 2020. Le site officiel de la FAF a indiqué dans son communiqué : «Après l’excellent parcours des U23 algériens aux Jeux de la Solidarité islamique (3 victoires, un nul et une défaite), le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, a félicité les joueurs, le staff technique ainsi que les accompagnateurs, leur souhaitant d’autres succès à l’avenir».
Dans un entretien accordé à la Dernière Heure, Sofiane Hanni est revenu sur son sacre décroché avec son team d’Anderlecht en Jupiler Pro League. «Ma famille est peut-être plus excitée que moi. On chantait, on dansait. J’ai un peu mis l’ambiance mais il y a des plus acharnés que moi. Teo, Boeckx, Nuytinck et Acheampong sont toujours chauds (rires)» a-t-il déclaré avant d’ajouter : «J’ai été champion en D2 turque mais jamais en D1. À l’époque, je pensais faire ma carrière là-bas mais j’ai eu ma chance et je l’ai saisie.» Hanni est revenu sur les difficultés rencontrées en début de saison avec Anderlecht et son brassard de capitaine : « A la base, Steven Defour devait l’être et j’ai pris le choix du coach comme un compliment. Cela ne m’a pas mis de pression supplémentaire car je suis venu à Anderlecht pour prouver sur le terrain. Brassard ou non. La saison a été marquée par des hauts et des bas mais au final, je savoure. (…) J’ai appris à gérer la pression et à jouer sans ballon. Je défends beaucoup plus, sans pour autant moins attaquer. Je pense pouvoir encore davantage m’affirmer.»
Il a été passeur décisif hier face à Ostende
Déjà assuré de remporter le titre de la Jupiler Pro League, Anderlecht s’est imposé hier sur le score de trois buts à deux face à la formation d’Ostende. Pour ce match, sans réel enjeu pour Anderlecht, Hanni a débuté la rencontre sur le banc des remplaçants avant de faire son entrée en jeu à la 56’ à la place de Tielemans. Le joueur de l’EN a délivré une passe décisive à la 78’ pour son coéquipier, Acheampong.
C’est une première depuis sa désignation à la tête du club de Bejaia, le nouveau président, Mustapha Rezki, en compagnie de l’actionnaire, Akli Adrar, ont profité de la présence des joueurs avant que ces derniers croisent le fer avec le MCO, pour les rencontrer brièvement. Une forme de prise de contact avec le nouveau boss, en attendant le reste puisque les joueurs du MOB ne le connaissaient pas encore.
Il les a rassurés pour leur argent
Profitant de la petite réunion de prise de contact avec les joueurs, le nouveau président du MOB, Mustapha Rezki, a aussi saisi l’occasion pour évoquer les finances et tenter de rassurer les Yaya et autres quant à leur dû en promettant de les payer très prochainement.
Les militaires à Bejaia
Etant sous les drapeaux cette année, les quatre joueurs du MOB, Rahal, Belkacemi, Khadir et Yaya, qui ont rejoint leur lieu de regroupement avec les instances militaires à Alger, après le match face au MCO, pour une réunion, ont par la suite pris la route de Bejaia.
Reprise mardi après-midi
Après deux jours de repos accordés par l’entraîneur Allou, les joueurs du MOB vont reprendre les entrainements en prévision de la prochaine rencontre de championnat. Une reprise prévue mardi après-midi vers 17h. Il faut rappeler que les joueurs du MOB ont effectué un voyage fatiguant par route pour rejoindre Oran.
Bira proposé
Selon une source proche du club de Bejaia, on a appris que la direction aurait eu des propositions pour entrainer le club la saison prochaine. Notre source affirme qu’il s’agit de plusieurs pistes, entre autres, Abdelkrim Bira, qui vient de démissionner de son poste de manager général de l’USMA.
22h20: Le bilan s’alourdit à cinq soldats tués.
Trois personnes ont été tuées dans le crash ce soir d’un hélicoptère de l’Armée nationale populaire (ANP) dans la wilaya de Tipaza, à appris ALG24.
Le crash est survenu après que l’hélicoptère ait touché un câble électrique de haute tension.
Selon nos sources, il s’agit d’un hélicoptère de type Merlin, appartenant à la Marine algérienne.
Le showroom « Premium » de la société sud-coréenne LG a été inauguré hier à Bordj El Kiffan, dans la banlieue est d’Alger.
Cette inauguration a eu lieu en présence du directeur générale de la société au Moyen-Orient et en Afrique, Jung Pilwon, du directeur du «Premium» d’Alger, Abdelnacer Hamana, et du P-DG Mohamed Hamana du groupe du même nom que composent les huit frères de la fratrie.
Ce premier concept de représentation en Algérie, le second en Afrique après celui du Caire, répond aux besoins d’une clientèle demanderesse de produits haut de gamme et de technologie novatrice en tous points. Cet espace de représentation est unique en Algérie. on y retrouve une «zone d’expérience» un espace où la clientèle a la possibilité de tester les différents produits de la marque, (sauf les cuisinières pour absence de gaz et conformément aux règles sécuritaires régissant les lieux publics ou à forte concentration publique comme les showrooms).
Il existe neuf «Premium» dans le monde dont celui d’Alger. On retrouve d’autres magasins de ce type en Iran, à Dubaï aux Emirats arabes unis (EAU), en Arabie saoudite, en Egypte, au Qatar, au Liban et en Jordanie.
Le Premium du Lido est habilité à poursuivre ses promotions «clients VIP» lancées en mai 2016. Le groupe Hamana assure une livraison gratuite de tous ses produits, en assure la garantie et la fiabilité et ne résigne point à se déplacer à domicile pour installer certains produits spécifiques commandés dans ces «Brandshops».
L’entrée en ce jour d’inauguration était libre et beaucoup de badauds y ont fait un tour à l’occasion. Le local, d’une superficie de 330 mères carrés, barré d’une baie vitrée de 25 mètres linéaires, offrait une invitation, comme un clin d’oeil, au passant pour y pénétrer.
Par ailleurs, un autre « Premium » ouvrira prochainement à Oran.
Se sentant probablement minoritaire face aux partisans de la participation au gouvernement au sein des instances du parti, Makri étale ses positions personnelles sur la place publique et prend l’opinion à témoin.
Dans une tribune publiée sur sa page Facebook et sur le site du parti, le président du MSP s’est livré à une docte analyse pour justifier son refus de répondre positivement à l’offre faite par Sellal à son parti pour participer au gouvernement. «Le MSP ne veut pas prendre un train qui se dirige vers l’inconnu. On n’est pas contre la participation au gouvernement, mais on ne veut pas prendre un train qui jusque-là s’est trompé de direction et qui compte se diriger encore dans la mauvaise direction», a-t-il écrit en précisant que seul un gouvernement légitime et qui place les intérêts de l’Algérie au-dessus de toute autre considération pourra l’intéresser.
Auparavant, il a même menacé de quitter la présidence du parti si jamais le conseil consultatif décidait de participer au gouvernement. Signe de panique? Tout porte à le croire même si, subtilement, il essaie de convaincre les responsables du parti que les enjeux sont beaucoup plus profonds qu’ils ne le pensent. «Il nous faut remercier ceux qui nous ont proposé de participer au gouvernement, y compris ceux qui l’ont fait pour des considérations tactiques. Mais ceux auxquels s’adresse mon texte, ce sont ceux-là qui dessinent les stratégies d’avenir pour l’Algérie sans que les gens ne les voient, ceux-là qui insistent tant pour nous faire entrer au gouvernement, y compris en recourant à des méthodes peu politiques et peu nobles. L’objectif de ces gens n’est pas de servir les intérêts de l’Algérie, mais d’avoir un contrôle sur son avenir comme ils ont toujours eu un contrôle sur son passé et qui contrôlent aujourd’hui son présent afin de servir des desseins de pouvoir et d’intérêt et, partant, idéologiques», a-t-il affirmé sans citer de nom.
En effet, selon Abderrezak Makri, les gens qu’il évoque et qu’on appelle communément «les décideurs», «savent que l’Algérie va entrer dans une crise économique et sociale qui va générer d’énormes troubles sociaux et désillusions» et, à cet effet, ils entendent avoir le plein contrôle sur cette situation. «Il est connu que ceux qui paient la facture dans des situations de crise sont naturellement les partis qui représentent la façade du pouvoir. Ce qui intéresse ces gens-là, ce n’est pas la façon d’éviter la crise, mais qui dirigera l’Algérie?», a-t-il asséné avant de souligner que «les puissances occidentales ne veulent pas que les forces politiques qui agissent pour l’intérêt du pays prennent le pouvoir comme cela s’est produit en Grèce, au Venezuela, en Turquie», et que «leur unique objectif est de mettre main basse sur les pays, quitte à les fragmenter».
Et Abderrezak Makri d’expliquer: «Pour continuer à dominer, les forces dominantes à l’échelle nationale et internationale préfèrent, dans le cas où elles n’arrivent pas à construire leur propre alternative, que celle qui se présente soit extrémiste ou échoue ou carrément qu’elle se présente sous une forme monstrueuse qui fait peur aux partisans du changement et les pousse à se complaire dans l’ancien ordre». Abderrezak Makri est convaincu que «les décideurs» savent que la prochaine crise qui soufflera sur le pays emportera avec elle «les partis traditionnels» et que ces mêmes «décideurs» ne veulent pas que «le MSP se positionne en alternative face à la crise».
«Ils ne veulent pas que le MSP soit une alternative et prenne le pouvoir non pas parce que c’est un parti islamiste comme ils disent, mais parce que c’est un parti national soucieux des intérêts de l’Algérie et non assujetti au système impérialiste mondial et aux réseaux de corruption au niveau national», a-t-il ajouté en précisant que «pour eux, le MSP, au même titre que les partis de l’Alliance, doit subir une banqueroute» pour que la société reste sans alternative et, par conséquent, sera prête à accepter celle qu’on lui «fabriquera» sur mesure en cas de besoin. Autrement dit, «le MSP serait, selon Abderrezak Makri, sollicité pour faire partie du gouvernement pour être cassé et décrédibilisé parce qu’il représente l’unique alternative nationale dans la situation actuelle du pays».
Dans ce sens, Makri écrit sans ambages, et avec beaucoup d’optimisme, que «le MSP est devenu la seule alternatives nationale sérieuse au système actuel et est le seul parti en mesure d’atteindre une majorité parlementaire dans les tout prochains temps». En effet, selon son président, le MSP serait la première force politique du pays sans la fraude» et ceci est dû à ses efforts.
«Notre mouvement a pu sortir indemne d’une guerre qui a duré plus de quatre ans qui visait à l’effacer, l’affaiblir, à le transformer en un simple objet de décor dans le paysage politique national ou à en faire une agence de recrutement rattachée au pouvoir. Aujourd’hui, même avec la fraude, nous sommes la troisième force politique du pays et l’offre faite par Sellal pour participer au gouvernement est révélatrice de notre force», a-t-il indiqué. Mais pourquoi Makri s’exprime-t-il aussi abondamment sur la question de participation ou non du MSP au gouvernement et en son nom personnel?
Pourquoi n’attend-il pas le verdict du conseil consultatif du parti? Décidément, le président du MSP, connu pour la constance de ses positions, est dans de mauvais draps. Se sentant probablement minoritaire face aux partisans de la participation au gouvernement au sein des instances du parti, il essaie soit de rallier les militants et cadres du parti à sa position à travers un travail de marketing politique, soit, et c’est un signe de grande panique, de prendre l’opinion publique à témoin. Dans les deux cas, un chose sonne comme une évidence: Abderrezak Makri est acculé dans ses derniers retranchements et il n’est pas exclu qu’il soit contraint à quitter la présidence du parti.
La première à annoncer sa…nouvelle couleur a été la chaîne El Djazairia TV. Dans une ambiance de fête, elle a présenté, il y a deux jours, sa grille des programmes, devant une pléiade de journalistes et d’artistes.
Comme chaque année à l’approche du Ramadhan, le téléspectateur algérien va se réconcilier avec sa Télévision nationale. Et depuis 2012, l’Entv l’ex-Unique n’est plus la seule à occuper le paysage audiovisuel algérien, mais doit partager avec une dizaine de télévisions privées dont cinq proposent des programmes de qualité.
La première à annoncer sa…nouvelle couleur a été la chaîne El Djazairia TV. Dans une ambiance de fête et en couleurs, elle a présenté, il y a deux jours, sa grille des programmes, devant une pléiade de journalistes et d’artistes. En effet, la chaîne qui est toujours placée dans le top 10 des audiences grâce à la série satirique Jornane Gosto, va occuper une bonne place dans les sondages en raison de la qualité des productions présentées. En effet, avec les deux sitcoms Bibiche et Bibicha et Taht El mourakaba, qui ont déjà un public, l’audience sera au rendez-vous, mais il y a aussi Not Found qui réalise de bonnes productions grâce au savoir-faire de ses techniciens tunisiens formés dans des écoles de cinéma comme l’Isac (L’Institut supérieur audiovisuel et cinéma) de Siham Belkhodja.
Elle va surprendre le téléspectateur algérien avec deux nouvelles productions Casbah City, un sitcom avec des personnages sortis de nulle part dans la vieille cité algéroise. Et surtout le feuilleton dramatique El Khawa réalisateur Madih Belaïd, qui est considéré comme l’un des techniciens les plus talentueux en Tunisie. Ce feuilleton sera un concurrent sérieux pour le drama algérien de Amar Tribèche, qui doit sûrement miser sur le talent immense de ses comédiens. El Dajzairia TV a également un cinquième, produit par Not Found, c’est le short programme Ana wiyak avec les deux comiques les plus rentables du moment Mohamed Khassani et Nassim Hadouche.
Les transfuges de Jornane Gosto ont reconduit un créneau qu’ils avaient exploité dans le passé avec Imed Benchenni: Allo Oui et ont replacé les deux principaux personnages la vieille Oranaise et le vieux Algérois. Enfin, il y a l’émission de jeu de Salima Souakri, qui a émigré d’Echourouk TV vers El Djazaria TV avec un nouveau concept Le code. Avec un new look, des couleurs tendance, une priorité absolue aux programmes nationaux et surtout une équipe jeune, dynamique très enthousiaste, cette chaîne promet de s’installer durablement dans le paysage audiovisuel national.
Achour El Acher le roi suprême d’Echourouk TV
La chaîne Echourouk TV a également un riche programme durant ce Ramadhan: la Saison deux de Achour El Acher, avec notre star nationale: Souileh. La chaîne de Ali Fodil reste la télévision qui a investi le plus dans les programmes internationaux de divertissement. Elle présentera ce soir sa grille des programmes. Le sitcom historique Achour El Acher a été la seule production algérienne qui a été tournée en Tunisie cette année.
Avec un décor somptueux, des comédiens talentueux à l’image de Sid Ahmed Agoumi ou de Yasmine Amari, la série est sûre de son succès durant ce mois sacré. Soutenu par un important opérateur, il bénéficiera d’une campagne d’affichage grandiose. La chaîne Echourouk TV prépare également une Caméra cachée époustouflante produite par Rym Ghazali. Et comptera sur Sofiane Dani et son nouveau programme de divertissement Vendredi tout est permis version algérienne de Vtep d’Arthur. La chaîne Echourouk TV envisage également de présenter Jornane Gosto, ce qui va lui offrir encore plus de points dans l’audience. La bataille du petit écran Ramadhan sera rude entre ces trois chaînes: Entv, El Djazairia TV et Echourouk Tv.
Ennahar TV reconduit sa caméra cachée politique
Mais les autres chaînes réservent de belles surprises. La plus attendue demeure bien sûr la chaîne Ennahar TV, la télévision la plus regardée durant l’année, qui a relancé sa caméra cachée politique Rana Hkamnak VIP. Cette fois la chaîne a changé seulement d’animateur pour accentuer l’effet de surprise. Sans oublier le maintien du groupe de podcasteurs Zenga Crazy avec leur programme très intéressant Bin el barah oua el youm. Enfin, Numidia News va tenter de prendre quelques espaces d’audience avec le sitcom de Nassim Boumeiza: Zoheir Pas de chance. Sans oublier la chaîne de la table gastronomique Samira Tv qui sera imbattable dans les recettes ou encore la Caméra cachée sportive d’El Haddaf, avec sûrement Ali Bencheikh comme victime. En définitive, le Ramadhan sera chargé pour le téléspectateur algérien qui doit garder la télécommande à portée de main pour choisir son programme préféré.
L’Entv mise sur la production nationale à 100%
L’Entv qui possède sa machine audiovisuelle importante, mise également sur le feuilleton historique et le drama: le feuilleton historique Ibn Badis, réalisé par Amar Mohsen sera au rendez-vous durant ce mois sacré. Mais le feuilleton le plus attendu est Le silence des innocents (Samt El Abriya) réalisé par Amar Tribèche, adapté d’un feuilleton turc, avec la star du petit écran Sara Lalama, la reine du drama Khadidja Mezini, le grand Mohamed Adjaymi, l’étoile montante Djamel Aouane et surtout le grand comédien Nouredine Boussouf.
Ce feuilleton dramatique, qui est une production interne, a nécessité plus de trois mois de tournage et de préparation, sera diffusé durant 30 jours du mois sacré sur les trois chaînes principales du groupe Eptv: A3, Canal Algérie et la terrestre. L’Entv demeure la seule entreprise qui possède une machine audiovisuelle encore forte, dirigée par le chef du département production Lyes Belaribi secondé par son responsable de la production exécutive Alla Gouami. Le DG de l’Entv Tawfik Khelladi présentera sa politique audiovisuelle générale dimanche prochain lors de la présentation officielle de sa grille. Le département de la production de l’Eptv avait dans un premier temps conclu un deal avec la société Not Found pour la livraison de deux sitcoms qui ont été diffusés l’année dernière sur la télévision publique Bibiche ou Bibicha et Taht El mourakaba avec Abdelkader Secteur. Mais à la dernière minute, la direction de l’Entv a retiré ses deux productions de qualité de leur grille des programmes.
CANICULE – Il fait chaud. Ce n’est pas encore la canicule mais ce début de semaine est marqué par une vague de chaleur avec des températures estivales. Ce mardi, les températures atteindront 34 à 42 degrés, a annoncé la Direction de la météorologie nationale (DMN) dans un bulletin spécial.
Vous n’étiez pas prêt pour une transition si rapide. Résultat, depuis quelques minutes, vous tentez en vain de garder vos mains sur les hanches en priant pour que votre chemise sèche à vitesse grand V. En vain. Mais au fait, qu’avez-vous mangé lors de votre dernier repas? Êtes-vous stressé ces temps-ci? Portez-vous du coton ou du synthétique? Et votre déodorant?
Ces questions importent beaucoup si vous voulez maîtriser un tant soit peu votre transpiration. Avant tout chose, dites-vous bien que transpirer est une bonne chose. La transpiration est la réponse naturelle et neurologique pour rafraîchir le corps. Quand la température du corps augmente, que ce soit à cause de la température extérieure, à cause d’un exercice physique ou de changements hormonaux, les 2 à 5 millions de glandes sudoripares de votre corps sont stimulées. Ces glandes sont présentes sur tout le corps, en plus grandes quantités à certains endroits comme les mains ou les pieds.
1. Faites attention à votre alimentation
Vous ne pouvez vous passer de caféine? Préférez un café décaféiné glacé plutôt qu’un cappuccino fumant. La caféine stimule le système nerveux et active les glandes sudoripares. Plus vous buvez de caféine, plus vous transpirerez. Manger épicé n’est pas non plus une bonne idée. Chez la plupart des gens, le piment fait s’activer votre cerveau en particulier la capsaicine (ce qui rend le piment piquant) qui pense que votre corps à besoin de se rafraîchir. Ainsi donc, votre système de glandes qui régissent la transpiration se met en action. Attention également à l’alcool. Lorsque vous consommez de l’alcool, les vaisseaux sanguins se dilatent et la pression artérielle diminue. La température du corps augmente. Encore une fois, le cerveau réagit en stimulant les glandes sudoripares.
2. Détendez-vous
Le stress n’arrange pas les problèmes de transpiration. Si la transpiration est un mécanisme naturel pour refroidir l’organisme lorsqu’il fait chaud, la transpiration due au stress reste encore très mystérieuse. Comme le rapporte le Wall Street Journal, certains scientifiques avancent le fait que cette sudation aurait un rôle d’avertissement envoyé aux personnes autour. L’odeur désagréable d’un inconnu agirait sur le cerveau comme un stimulus négatif.
La transpiration causée par le stress, la peur, l’anxiété et l’excitation sexuelle est produite par les glandes apocrines que l’on trouve à certaines parties du corps comme les aisselles. En plus de l’eau et du sel, les principaux « ingrédients » de la transpiration due à la chaleur, la transpiration provoquée par le stress contient aussi des substances grasses et des protéines qui intéragissent directement avec les bactéries qui vivent sur la peau. Cette interaction créée cette mauvaise odeur.
3. Réfléchissez à votre tenue
Quand il fait chaud, oubliez les vêtements en polyester et en acrylique. Lorsque vous transpirez, les tissus synthétiques empêchent l’évaporation de la sueur. Mieux vaut privilégier le coton. Si vous êtes dans un contexte qui le permet, les vêtements de sport, spécialement imaginés pour laisser respirer la peau sont une bonne alternative.
De même, faites attention à la crème solaire. Pour protéger au mieux la peau du soleil, la crème solaire crée une barrière sur la peau qui contient la transpiration. Le corps ne se rafraîchit pas, on transpire d’autant plus. Bref, c’est un cercle vicieux, mais retenez qu’à la fin c’est toujours la sueur qui gagne. Ensuite, à choisir mieux vaut transpirer que d’attraper des coups de soleil.
4. Ayez une hygiène irréprochable
En cas de grosses chaleurs, ne sautez évidemment pas la case douche. C’est aussi le moment ou jamais d’entretenir votre épilation ou votre rasage sous les aisselles. Sans les poils, le déodorant agit plus efficacement et la transpiration sèche plus rapidement.
5. Choisissez soigneusement votre déodorant
Déodorant ou anti-transpirant? Avec ou sans alcool? Et les sels d’aluminium? Vous préférez la pierre d’alun? Beaucoup de questions à se poser avant d’acheter tel ou tel déodorant. Depuis quelques années, les déodorants sont montrés du doigt à cause de certains ingrédients qui entrent dans leur composition. En tout état de cause, mieux vaut éviter les déodorants avec alcool qui désèchent la peau en particulier lorsque celle-ci est irritée.
Concernant les sels d’aluminium, il faut rester prudent. Comme l’explique Aurèle Clémencin, directeur scientifique à l’institut Noteo, « les sels d’aluminium ont plus ou moins tendance à libérer l’aluminium qui peut ensuite pénétrer dans notre organisme. » Or, des doutes planent sur l’innocuité de cet aluminium. Irritations, atteinte du système nerveux et des os, anémie, cancer du sein, sont autant de risques possibles liés à une exposition à ce métal. D’autant plus que la peau des femmes, fragilisée par l’épilation, aurait davantage tendance à le laisser pénétrer dans l’organisme.
Dans un avis rendu en 2011, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) recommande de ne pas dépasser une concentration de 0,6% d’aluminium pur dans un produit cosmétique et d’éviter l’utilisation sur peau irritée. « Rapporté à une vie d’exposition, mieux vaut éviter d’y être trop exposé, » résume Aurèle Clémencin.
5 bis. Et si vous fabriquiez votre propre déodorant?
La blogueuse Antigonexxi propose sur son site une recette pour un déodorant maison.
Pour environ 200 ml. de produit, il vous faudra :
100g d’huile de noix de coco liquide
60 g de bicarbonate de soude (ultra fin)
40 g. de fécule ou d’arrow-root
10 gouttes d’huile essentielle de lavande officinale
10 gouttes d’huile essentielle de palmarosa
La parenthèse des élections législatives vient d’être fermée alors que la perspective des locales commence à s’esquisser sur fond des résultats de la dernière joute du 4 mai dernier.
Les vainqueurs se préparent dans une ambiance faite de nouvelle recomposition à la fois électorale et politique. Quant aux grands perdants, ils doivent se mettre au diapason, plus que ça, ils sont dans l’obligation de faire leur inventaire politique, voire leur mea culpa même.
Les élections communales et de wilayas pointent à l’horizon, il ne reste que six mois pour ce rendez-vous électoral qui diffère totalement des législatives. Les locales ont une caractéristique propre, leur dynamique électorale et leur contenu programmatique sont diamétralement opposés par rapport aux élections législatives, elles se distinguent par leur approche de proximité et de leurs préoccupations socio-économiques qui ont un rapport direct avec les citoyens.
C’est dire que les élections locales et de wilayas revêtent un caractère prépondérant de par ce qu’elles représentent comme enjeux politiques et stratégiques même.
L’opposition trouve toujours un moyen pour montrer du doigt les responsables de l’échec sans pour autant qu’elle fasse son autocritique et reconnaître qu’elle est responsable en grande partie de cet échec, dans la mesure où elle n’arrive pas à mobiliser autour d’elle les citoyens.
Les partis se lamentaient dernièrement à propos de sièges qu’ils ont glanés, en croyant que la moisson devrait être plus juteuse que ce qu’elle était réellement. Les partis qui se disent d’opposition doivent jouer le jeu sans recourir aux pleurnicheries relevant de l’infantilisme politique. Les communales verront une course effrénée des partis de la majorité pour asseoir les jalons d’un mandat qui va leur servir comme instrument pour préparer aisément la présidentielle de 2019 sans surprise. Les partis qui crient à la fraude, doivent saisir cette opportunité des locales pour séduire l’électorat sur des thèmes qui mobilisent au niveau local. On ne peut pas parler de la démocratie participative et de l’autre côté, on ne voit pas le brin d’une présence sur le terrain de ces partis à travers leurs militants pendant des années, et dès qu’il reste quelques mois pour l’approche du rendez-vous électoral on fait recours à des professions de foi pour montrer ainsi que l’activisme prime sur la stratégie et la tactique électorale.
Les observateurs politiques estiment que les élections locales et de wilayas pourraient remettre en cause la traditionnelle participation des partis politiques. Le travail de sensibilisation au niveau local, c’est-à-dire celui de l’action de proximité va permettre aux citoyens simples d’accéder aux mairies et aux Assemblées populaires de wilayas. Les indépendants pourraient créer encore la surprise de façon sensible plus que celle exprimée durant les élections législatives. Les partis de l’opposition sont dans l’obligation de se mettre à l’heure des communales avec des programmes locaux ficelés avec les citoyens des communes pour avoir une chance de se maintenir dans la carte politique et électorale nationale. Les locales de l’année 2017 se dérouleront sur fond de problèmes qui ciblent directement le citoyen simple.
Ce n’est pas facile de convaincre des citoyens qui vivent des situations déplorables sur le plan social et économique. Pour que cela puisse trouver le chemin facile qui mène vers la conscience du citoyen, il faut que les partis de l’opposition adoptent un discours concret et réaliste, loin des navrantes harangues qui n’intéressent pas le citoyen. Le faible taux de participation enregistré durant les élections législatives constitue un véritable spectre pour les élections communales et de wilayas de novembre prochain. Cette peur de voir ces élections locales connaître le même sort que celui des législatives, pourrait être expliquée comme de sérieux blocage et impasse politique qui guettent la société et le pays à la fois.
D’ailleurs, c’est là où les partis politiques de toutes les couleurs confondues doivent faire l’effort pour redonner à l’action politique sa véracité et son importance aux yeux des citoyens qui ne s’intéressent nullement à la chose politique à telle enseigne qu’ils ont de la frustration par rapport à cela.
Lutter contre l’abstention politique et électorale, c’est d’abord inciter les partis politiques à assumer leur mission historique qui consiste à éduquer politiquement les citoyens et les initier aux fondamentaux de la politique, à commencer par la gestion de la commune.
Mais comme les partis ont déserté le terrain social et économique pour choisir des solutions de facilité, à savoir courir derrière des strapontins et jouer le jeu de la cooptation. Les pouvoirs publics sont sommés de revoir de fond en comble la manière avec laquelle on approche l’acte électif. Il y va de la crédibilité des institutions du pays.
Les locales doivent être un moment de consécration du citoyen dans ses droits sociaux, économiques et politiques.
Les infections nosocomiales peuvent aisément prendre des proportions alarmantes faute de traitement de choc.
On ne sort souvent pas indemne des maladies après une hospitalisation, ne serait-ce que de courte durée. Se rendre dans les hôpitaux pour se soigner est paradoxalement synonyme d’une contamination par d’autres maladies contractées à l’intérieur de l’établissement ou encore ce que l’on appelle les infections nosocomiales. Les spécialistes tirent la sonnette d’alarme en faisant état d’un taux plus ou moins significatif des malades qui ont été traités pour les différentes pathologies qu’ils ont contractées après avoir été hospitalisés pour telle ou telle maladie.
Au niveau national, des recensements non exhaustifs font état de 13% des patients ayant été contaminés par des maladies nosocomiales juste après avoir été hospitalisés. C’est le professeur Tedjdine Abdelaziz, de l’établissement hospitalier spécialisé de Canastel qui met en exergue la nécessité de prendre en compte ces maladies que l’on peut facilement contracter dans un lieu censé prodiguer des soins aux hommes, femmes, vieux, jeunes et moins jeunes venant se soigner d’une maladie les terrassant et en sortent avec d’autres affections souvent difficiles à détecter très tôt. Le mal est beaucoup plus profond si l’on prend en compte le laisser-aller prenant dans les hôpitaux. Autrement dit, les infections nosocomiales peuvent aisément prendre des proportions alarmantes faute de traitement de choc, ce qui signifie que l’intérieur des enceintes hospitalières est devenu un véritable réceptacle de germes compliquant souvent aussi bien la mission du médecin traitant que l’état de santé du malade hospitalisé.
Ce qui semble inquiéter le plus les praticiens et les services médical et paramédical est, d’un autre point de vue, l’absence d’une vision claire ou encore d’un traitement de choc devant venir à bout des infections nosocomiales. Le professeur Tedjdine Abdelaziz, du service épidémiologique de l’EHS de Canastel n’en revient pas dans ses aveux, en soulignant qu’«il n y a pas eu d’études menées sur ce phénomène depuis 2005». Comme il a souligné «l’absence d’un cadre clair devant être pris en compte dans le but de mettre à plat cette problématique, venir à bout des infections nosocomiales circulant à vive allure dans les établissements hospitaliers».
Tenant de tels propos à l’occasion de la rencontre organisée hier, l’établissement hospitalier spécialisé de Canastel sur la propreté et l’hygiène en milieu hospitalier, le professeur Tedjdine est revenu sur les anciens bilans ayant été effectués auparavant entrant dans le cadre de l’évaluation du niveau d’hygiène marquant le secteur de la santé, très précisément les établissements sanitaires. En 2007, a-t-il expliqué, pas moins de 17,3% des malades admis contractent des pathologies nosocomiales après avoir été admis pour une hospitalisation.
Ce taux a toutefois été revu à la baisse pour qu’il se stabilise autour de 13%», dira le professeur Abdelaziz Tedjdine, tout en plaidant tout de même «la nécessité d’associer tous les acteurs de la santé aux fins de mettre à plat une telle problématique». L’épidémiologie est, dans un autre cadre, revenu sur le plan de «la propreté des hôpitaux» mis en place par le ministère de tutelle durant la période allant de 2005 à 2009. «Ce programme n’a pas été évalué ni reconduit après l’expiration du délai fixé», a déploré l’épidémiologiste Tedjdine Abdelaziz, regrettant que «l’Algérie ne dispose pas encore d’un programme global sur l’hygiène en le milieu sanitaire, sachant que certains virus sont très résistants aux antidotes». Cependant, une telle problématique n’est pas l’apanage exclusif des hôpitaux algériens. Ce phénomène, explique le professeur Tedjdine, est très répandu dans les enceintes hospitalières du monde entier. «Le malade se rend à l’hôpital pour traiter sa maladie et en sort avec une maladie», a souligné le professeur spécialisé dans les maladies épidémiologiques.
La baisse de la production de l’Opep et de ses alliés de près de 1,8 million de barils par jour, décidée le 10 décembre 2016, sera reconduite, le 25 mai, au moins jusqu’en mars 2018.
L’Arabie saoudite et la Russie sortent l’artillerie lourde et annoncent la couleur. Les deux pays proposent que la baisse de la production de l’Opep et de ses alliés de près de 1,8 million de barils par jour, décidée le 10 décembre 2016, soit reconduite, le 25 mai, au moins jusqu’en mars 2018. Une résolution qui découle directement de l’accord d’Alger conclu le 28 septembre 2016 en marge du 15ème Forum international de l’Energie. Les deux premiers producteurs d’or noir qui pèsent plus de 20 millions de barils par jour, soit la consommation quotidienne des Etats-Unis, viennent de se prononcer pour une prolongation de cette mesure pour permettre au marché de se rééquilibrer, à terme, et aux cours de l’or noir qui ont piqué du nez ces dernières semaines de rebondir.
Cette annonce, intervient après une rencontre à Pékin entre le ministre russe de l’Energie Alexandre Novak et son homologue saoudien Khaled Al-Faleh, et avant un sommet de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole qui doit se tenir le 25 mai prochain à Vienne.
«Les deux ministres sont tombés d’accord sur la nécessité, afin de parvenir au but souhaité d’une stabilisation du marché, d’une prolongation des accords (de réduction de la production) pour neuf mois, jusqu’au 31 mars 2018», indiquent les deux hommes dans un communiqué commun. Riyadh et Moscou ont vraisemblablement redonné du punch aux prix du pétrole.
Lundi aux environs de 11h15 à Alger ils ont bondi de près de 1,50 dollar à Londres. Hier vers 11h00 heure algérienne, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en juillet valait 52,00 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, grignotant 18 cents supplémentaires par rapport à la clôture de lundi dernier. Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» (WTI) pour le contrat de juin gagnait lui aussi 18 cents pour se négocier à 49,03 dollars. Les cours de l’or noir donnent l’impression d’avoir intégré cette information aussi forte qu’inattendue, émise de la capitale chinoise par deux poids lourds du marché pétrolier. Leur ascension est-elle irréversible? Les experts ne se prononcent pas catégoriquement, mais il y a comme un souffle nouveau qui indique que la courbe pourrait s’inverser.
Le baril serait en marche pour refaire une partie du terrain perdu. «Le marché a voté avec son portefeuille lundi quand l’Arabie saoudite et la Russie, les deux plus grands producteurs mondiaux, ont donné le signal le plus fort possible pour laisser entendre que les efforts actuels de limitation de la production seraient renouvelés au-delà de 2017», a estimé Tamas Varga, analyste chez PVM. «L’efficacité de cette décision dépendra en grande partie de la rapidité de la croissance de la production de pétrole de schiste aux Etats-Unis», a fait remarquer de son côté Olivier Jakob, analyste chez Petromatrix qui s’est référé au rapport mensuel de l’Agence internationale de l’Energie qui risque de tempérer la portée de l’annonce russo-saoudienne.
«L’Agence internationale de l’Energie (dans son rapport mensuel, ndlr) a légèrement revu à la baisse la croissance de la demande, de 1,32 à 1,30 million de barils par jour, tandis que la croissance de la production hors Opep a été revue à la hausse, de 490.000 barils par jour à 600.000 barils par jour», a-t-il souligné.
L’AIE reconnaît toutefois que le rééquilibrage du marché est en marche. «Les stocks mettent un certain temps à refléter l’offre plus faible alors que les volumes produits avant la mise en oeuvre des limitations de production par l’Opep et onze pays non-Opep continuent d’être absorbés par le marché», a expliqué l’AIE. Faut-il comprendre que le rebond des prix du pétrole n’est qu’une question de temps?
Le bras énergétique des pays de l’Ocde ne le dit pas. Ce n’est pourtant pas exclu.
Des plages propres constitueront une véritable attraction pour les estivants fidèles à la région.
Bien que le coup d’envoi officiel de la saison estivale 2017 connaîtra cette année un report de plus d’un mois à cause du mois de Ramadhan, il n’en demeure pas moins que les deux villes de Tigzirt et Azeffoun se préparent d’ores et déjà pour accueillir cette saison particulière qui métamorphose, chaque année, ces deux villes côtières et coquettes. Malgré ce report donc, les deux cités seront tout de même très animées durant les soirées de Ramadhan, tout au long du mois de juin. Il s’agit, estime les responsables locaux, d’instaurer de nouvelles traditions pour permettre aux estivants de passer d’agréables moments en bord de mer pendant le mois de Ramadhan car il a été constaté, ces dernières années, une grande affluence sur les plages après la rupture du jeûne.
D’ailleurs, pour permettre à la saison estivale d’être un tant soit peu animée pendant le Ramdhan, la direction de la culture de la wilaya de Tizi Ouzou est en train de préparer un programme de galas artistiques qui seront animés par de célèbres chanteurs kabyles dans les deux villes balnéaires de Tigzirt et Azeffoun, en attendant que la saison estivale prenne son envol après la fête de l’Aïd El Fitr et son coup d’envoi officiel qui a lieu chaque année au début de l’été. En tout cas, dans la localité de Tigzirt, les autorités locales, dont les services concernés à la mairie, s’attellent, depuis quelques jours, aux préparatifs de ladite saison. Ainsi, apprend-on, que le nettoyage des plages est à l’ordre du jour et constitue une priorité.
Des plages propres constitueront une véritable attraction pour les estivants fidèles à la région. Pour rappel, la ville de Tigzirt (autant que sa voisine Azeffoun) sont prises d’assaut chaque année, non seulement par les visiteurs qui vivent dans différentes wilayas du pays, mais aussi par les émigrés. Ces derniers sans doute par nostalgie, préfèrent souvent ces deux villes côtières malgré le manque de structures d’hébergement.
En effet, les hôtels qui existent dans la ville de Tigzirt, par exemple, se comptent sur les doigts d’une seule main. C’est pourquoi, d’autres solutions pratiques se présentent aux vacanciers.
Il s’agit de la location de logements pour de courtes durées allant d’une semaine à 15 jours. Les prix ne sont pas vraiment chers comparativement aux hôtels. Ainsi, une famille de cinq personnes pourrait opter pour un F3 ou un F4 équipé, qui a souvent les pieds dans l’eau, pour, par exemple, 7000 DA ou 8000 DA la nuitée. On devine aisément qu’on serait plus à l’aise dans un appartement spacieux que dans une chambre d’hôtel surtout concernant les familles nombreuses. Et c’est souvent le cas: les gens qui viennent séjourner à Tigzirt en été sont en majorité des familles avec enfants et même parfois accompagnées par les grands-parents. Ces trois dernières années, beaucoup d’efforts ont été consentis aussi bien à Tigzirt qu’à Azeffoun où les deux villes ont connu une progression, notamment dans l’activité commerciale. Des dizaines de nouveaux restaurants, travaillant selon les normes requises, ont ouvert leurs portes. Ils permettent aux vacanciers d’avoir l’embarras du choix entre les spécialités sardine et les restaurants qui offrent des menus plus variés.
Les enfants ne seront pas en reste cette année. Un manège a été érigé au niveau du port de Tigzirt (ancienne Petite Plage). Mais on devine d’ores et déjà que durant la saison estivale, ce manège débordera de monde et surtout d’enfants. Il aura du mal à faire face à la forte demande qui ne manquera pas de s’exprimer d’autant plus qu’il est le seul dans toute la région. D’où la nécessité d’en aménager d’autres. Surtout que ces derniers temps, ils sont à la mode et très convoités par les enfants qui en raffolent. Mais avec ou sans manège, les estivants aiment aussi bien Tigzirt qu’Azeffoun. C’est un amour inconditionnel. Ils viendront y séjourner quelles que soient les insuffisances. C’est ce qu’on remarque depuis plusieurs années.
QUÉBEC – Il ne fallait qu’un verre d’eau pour que le premier ministre québécois Philippe Couillard montre son côté givré.
Après 30 secondes passées à échanger des banalités sur une vidéo de Facebook Live, l’humoriste et le premier ministre prennent chacun une gorgée d’eau. Il fait chaud à Québec, après tout.
Puis, leur accent change du tout au tout.
« Ça gaze, Gad? », lance Philippe Couillard, imitant l’accent français.
« Heille, ç’a pas d’allure! Je parle de même », répond Gad Elmaleh, avec un accent québécois.
« Mais qu’est-ce qu’il dit? », se moque alors M. Couillard.
Les deux hommes décident alors d’échanger leurs verres d’eau et tout revient à la normale.
Un instant plein d’humour qui succède à un moment plus solennel, au cours duquel M. Couillard a remis, mardi, l’insigne de chevalier de l’Ordre national du Québec à l’humoriste et artiste multidisciplinaire Gad Elmaleh.
« Gad Elmaleh, vous êtes un exemple de persévérance et de réussite, mais aussi de capacité d’adaptation; la preuve étant que vous êtes bien parmi les rares à pouvoir imiter notre accent avec succès », a déclaré Philippe Couillard au Salon rouge de l’Assemblée nationale.
« C’est à Montréal, au Cabaret Juste pour Rire, que vous vous êtes produit pour la toute première fois; c’était en 1994. C’est dire que nos liens amicaux ne datent pas d’hier. Puis, au cours des années, cette relation s’est raffermie, si bien qu’aujourd’hui, j’ai le plaisir, au nom du peuple québécois, de vous faire chevalier de l’Ordre national du Québec. »
L’Ordre national du Québec est la reconnaissance la plus prestigieuse décernée par l’État québécois. Depuis sa fondation en 1984, 917 personnalités québécoises et 68 étrangères ont été nommées au grade de grand officier, d’officier ou de chevalier.
Gad Elmaleh participera par ailleurs aujourd’hui à un spectacle qui célébre le 375e anniversaire de Montréal.
Gad Elmaleh reçoit l'insigne de chevalier de l'Ordre national à l'Assemblée nationale. #polqc #assnat pic.twitter.com/NSo85mqdyO
— Mathieu Dion (@Mathieu_Dion) 16 mai 2017
Soleil, chlore, sel, nos cheveux ont la vie dure au cours des beaux jours. Grâce à leur texture crémeuse et leur concentration élevée en actifs, les masques capillaires peuvent nous sauver la mise lorsque notre crinière crie: à l’aide!
Voici 5 astuces pour bien les utiliser et profiter de leurs bienfaits.
1. Choisir la bonne formule
On la choisit en fonction de la sécheresse et de l’épaisseur du cheveu. Si un masque au karité convient parfaitement aux longueurs abîmées, il risque d’alourdir des cheveux fins. On opte alors pour une formule plus hydratante que nourrissante.
2. Point trop n’en faut!
Entre deux et quatre noisettes, pas plus! Sinon les cheveux risquent de s’alourdir, voire de graisser. De plus, un masque s’applique une fois par semaine pour les cheveux secs et tous les quinze jours pour les autres types de cheveux.
3. Jamais sur le cuir chevelu
On évite d’appliquer son masque au niveau du cuir chevelu au risque de le faire graisser. Afin que la formule pénètre parfaitement, on masse mèche par mèche le masque jusqu’à ce que la fibre absorbe totalement les actifs. Si l’on souhaite traiter le cheveu à la racine, on choisit un masque spécifique avec des actifs assainissants comme l’argile ou apaisants comme la menthe poivrée.
4. On prend le temps
On met de côté les soins express car leurs formules à base de silicones ne font qu’enrober les cheveux pour les lisser en peu de temps. On leur préfère les soins qu’on laisse poser pendant au moins 10-15 minutes. Les pros recommandent de laisser le masque agir en enveloppant sa chevelure d’une serviette chaude. La raison? La chaleur va ouvrir les écailles et favoriser la pénétration des actifs.
5. Bien rincer surtout!
C’est une étape particulièrement importante, car mal rincée, la fibre capillaire a tendance à s’alourdir et à capter la poussière. Comme on le fait pour son shampooing, on rince méticuleusement son masque en l’émulsionnant avec le bout des doigts. Si on souhaite ajouter un effet de brillance, on le rince avec un vinaigre de rinçage. En plus son pH acide va aider à refermer les écailles.
Accusé d’avoir été trop bavard avec le chef de la diplomatie russe, Donald Trump a revendiqué mardi le droit de partager des renseignements, affirmant l’avoir fait pour que Moscou s’implique avec plus de détermination dans la lutte contre le groupe Etat islamique.
« En tant que président, je voulais partager avec la Russie, comme j’en ai absolument le droit, des faits concernant (…) le terrorisme et la sécurité aérienne », a écrit Donald Trump sur Twitter dans deux messages matinaux.
Il a expliqué l’avoir fait « pour des raisons humanitaires » et vouloir « en plus que la Russie renforce nettement sa lutte contre l’EI (groupe Etat islamique, ndlr) et le terrorisme ».
Après s’être ainsi justifié, le président américain a contre-attaqué en dénonçant à nouveau « les fuites » venant selon lui du monde du renseignement, faisant référence, toujours sur Twitter, à l’ex-chef du FBI James Comey qu’il a récemment limogé.
« J’ai demandé au directeur Comey et à d’autres, depuis le début de mon administration, de trouver les RESPONSABLES DES FUITES dans la communauté du renseignement », a-t-il souligné.
Donald Trump entretient des relations tendues avec les services de renseignement, qu’il a vertement critiqués lors de sa campagne présidentielle.
La méfiance est telle, selon des médias américains, que des agents avaient prévenu après sa victoire des homologues étrangers qu’il pourrait être dangereux de donner des informations à l’administration Trump, sous peine de les voir partagées avec d’autres pays comme la Russie.
Pour l’ancien chef de la CIA Leon Panetta, proche des démocrates, cette nouvelle affaire « entame la crédibilité de la présidence ».
« C’est le président des Etats-Unis, pas une star de la téléréalité », a-t-il asséné sur CNN, en référence au passé médiatique de Donald Trump.
Selon le Washington Post, M. Trump a, lors d’une rencontre récente à la Maison Blanche avec Sergueï Lavrov, évoqué des informations ultra sensibles concernant une opération du groupe Etat islamique en préparation.
Ces renseignements avaient été communiqués par un partenaire des Etats-Unis qui n’avait pas donné l’autorisation à Washington de les partager avec Moscou, selon le journal.
Le général H.R. McMaster, qui dirige le Conseil de sécurité nationale et a assisté à la réunion, a démenti que des sources ou des méthodes de renseignement aient été évoquées lors de cette conversation, sans toutefois explicitement contester que des informations classifiées aient été divulguées par le président américain.
Des experts soulignent que la seule révélation de ces informations pourrait permettre aux Russes de remonter à la source et d’en déduire la façon dont les renseignements ont été recueillis.
Selon le général, MM. Trump et Lavrov ont passé en revue « les menaces posées par des organisations terroristes à nos deux pays, y compris les menaces pesant sur l’aviation civile ».
De son côté, le Kremlin a qualifié mardi de « grand n’importe quoi » cette affaire, son porte-parole, Dmitri Peskov, déclarant qu’il s’agissait d' »un sujet que nous ne voulons ni démentir ni confirmer ».
Selon un responsable américain cité par le Washington Post, les informations communiquées par M. Trump à M. Lavrov ainsi qu’à l’ambassadeur de Russie aux Etats-Unis Sergueï Kisliak, également présent, avaient l’un des degrés de classification les plus élevés utilisés par les agences de renseignement américaines.
‘Grave accusation’
Le président américain « a révélé plus d’informations à l’ambassadeur russe que nous n’en avons partagé avec nos propres alliés », a indiqué ce responsable, sous couvert d’anonymat.
La question de ses relations avec la Russie plane sur Donald Trump et son entourage depuis bien avant son arrivée à la Maison Blanche fin janvier.
Avant son limogeage, le chef du FBI James Comey avait annoncé que ses services enquêtaient sur l’éventuelle collusion entre l’équipe de campagne du milliardaire américain et la Russie. Deux commissions parlementaires s’intéressent également à la Russie, soupçonnée d’ingérence dans la campagne américaine.
Pour le blogue américain spécialisé Lawfare, référence aux Etats-Unis notamment sur les questions légales relatives au terrorisme, « il s’agit peut-être de la plus grave accusation de mauvaise conduite présidentielle en quatre mois d’une administration Trump plombée par les scandales ».
Ses auteurs soulignent que le président est autorisé à révéler les informations qu’il désire et n’a donc pu « enfreindre aucune loi pénale ». Mais les données communiquées « pourraient être utilisées pour déduire des sources et méthodes qui n’ont pas directement été révélées ».
« Si c’est avéré, Trump n’a pas seulement compromis nos propres sources de renseignement, mais aussi celles d’un autre pays », poursuivent ses auteurs. Or le partage du renseignement entre Washington et ses alliés « est essentiel pour la sécurité des Etats-Unis dans le monde, et en particulier dans la lutte de la coalition contre l’EI », soulignent-ils.
« C’est n’importe quoi »
Le Kremlin a qualifié mardi de « n’importe quoi » l’affaire des informations classifiées que le président américain Donald Trump a révélé, selon le Washington Post, au chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
« Pour nous, ce n’est pas la question, c’est encore une fois n’importe quoi. Et nous ne voulons rien avoir à faire avec ce n’importe quoi. C’est du grand n’importe quoi », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à des journalistes, ajoutant n’avoir « ni à démentir ni à confirmer » ces informations.
Ces informations avaient été communiquées par un partenaire des Etats-Unis qui n’avait pas donné l’autorisation à Washington de les partager avec Moscou.
Washington et Moscou prônent des approches opposées dans le dossier syrien: les Etats-Unis souhaitent le départ du président syrien Bachar al-Assad, que la Russie soutient militairement depuis septembre 2015.
L’athlète algérien Sofiane Bouhadda s’est qualifié en finale du 400m, mardi 16 mai au stade olympique de Bakou en Azerbaïdjan qui abrite les 4es Jeux de la solidarité islamique, selon l’APS.
Versé dans la série 2, Bouhadda a franchi la ligne d’arrivée en 46.84, derrière le Bahreïni Abbas Abubakar (46.74) et devant le Saoudien Soulyman Abdallah (47.11). « Notre athlète a réalisé une belle course, avec à la clé sa meilleure performance cette année, son record personnel étant de 46.02 », a déclaré à l’APS l’entraîneur national, Sid Ali Sabour.
L’athlétisme algérien est représenté par 10 athlètes à Bakou avec l’objectif de gagner « entre 4 et 5 médailles », selon les prévisions de la fédération. Mercredi, Sofiane Bouhadda s’alignera avec Athmani Skander Djamil dans les séries du 200m, alors que Mohamed Amine Belferar participera aux séries du 800m.
Quant à Yasser Triki et Kafia Louheb, ils auront rendez-vous jeudi avec les finales du triple saut messieurs et dames.
En effet, le département de Abdelmadjid Tebboune annonce qu’environ 164 812 unités de logements sont prêtes pour distribution, tandis que le taux de réalisation de 185 000 autres a atteint les 60%. La réalisation de cette dernière série de logements a été retardé en raison du « manque de financement du ministère des Finances et du Crédit populaire algérien », précise le communiqué du ministère de l’Habitat.