Le maire de Lyon, sénateur et soutien de la première heure du fondateur d’En Marche !, a défendu devant la Fondapol le projet du candidat. Très concret. Les dirigeants d’entreprise vont-ils voter Emmanuel Macron ? Si beaucoup sont embarrassés par les affaires Fillon, ils ne sont pas encore totalement convaincus par le programme du […]
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El mandato de Trump presenta oportunidades para el estrechamiento de las relaciones UE-China, especialmente si Europa profundiza en una política de seguridad y defensa común y si Pekín decide avanzar en sus reformas económicas.
On Wednesday, March 29th, IPI hosted a press briefing on the Broadway play OSLO, which begins previews at the Vivian Beaumont Theater at Lincoln Center on March 23, 2017 and opens there on April 13, 2017. The event featured the play’s author, J.T. Rogers, director, Bartlett Sher, and IPI President Terje Rød-Larsen, who was a major figure in the real life drama at the center of the play. The conversation covered the Oslo negotiations, the origins and development of the play, the challenges of dramatizing historical events, the relevance of the Oslo process to the realities of today’s Middle East, and other points questioners may want to raise.
Remarks will begin at 1:45pm EST.
A darkly comic epic, OSLO tells the story of how Norwegian diplomat Mona Juul, and her husband, social scientist Terje Rød-Larsen, planned and orchestrated top secret, high level meetings in Norway between the State of Israel and the Palestine Liberation Organization. The talks culminated in the historic 1993 Oslo Accords, which were officially signed at a White House ceremony in the presence of Palestine Liberation Organization Chairman Yasser Arafat, Israeli Prime Minister Yitzhak Rabin, and US President Bill Clinton. OSLO played a sold out run last summer at Lincoln Center’s Mitzi E. Newhouse Theater, and Ben Brantley, chief theater critic of The New York Times, called it “a vivid, thoughtful, and astonishingly lucid account of a byzantine chapter in international politics.”
Quiénes son, cómo se han radicalizado las mujeres movilizadas en favor de Estado Islámico en España, cuáles son sus motivaciones y funciones dentro de los grupos, células o redes en las que finalmente se implicaron.
Ein Zwischenfall im Südchinesischen Meer hat schon vor der Amtseinführung von US-Präsident Donald Trump zu einer ersten Belastungsprobe der neu auszutarierenden sino-amerikanischen Beziehungen geführt: China hatte im Dezember 2016 nahe dem Scarborough-Riff eine Unterwasserdrohne der US-Marine beschlagnahmt. Der designierte US-Außenminister Rex Tillerson versprach daraufhin bei seiner Anhörung im Senat, Pekings Machtansprüchen mit »klaren Signalen« entgegenzutreten. Damit drohte sich ein Konflikt zu verschärfen, in dem die Obama-Administration vorsichtig und zurückhaltend agiert hatte. Aber noch lässt sich keine Strategie für den asiatisch-pazifischen Raum erkennen. Statt grundlegendem Wandel gilt im Rahmen maritimer Sicherheit offenbar eher Kontinuität. Die Streitkräfteplanung ist von der einfachen Politik des »more of the same« geprägt. Während vieles unklar bleibt, erweist sich lediglich der auf China gerichtete Fokus der US-Außenpolitik als beständig.
Dans le cadre d’une série d’auditions des représentants des candidats à l’élection présidentielle, la Fondation pour l’innovation politique a reçu Gérard Collomb, soutien d’Emmanuel Macron, mercredi 29 mars.
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Lundi 27 mars s’est ouverte la Conférence d’entente nationale à Bamako, au nom de la paix et de l’unité de la nation malienne, alors que le conflit dans le pays dure déjà depuis cinq années. Décryptage de Philippe Hugon, directeur de recherche à l’IRIS.
Après cinq ans de conflit, quelle est la situation au Mali ? L’accord de paix d’Alger signé en 2015 a-t-il été suivi d’effets concrets ?
On peut effectivement considérer qu’il y a eu certaines avancées puisqu’après l’intervention de l’opération Serval française, soutenue par les Nations unies et par un certain nombre d’armées africaines, les djihadistes qui menaçaient Bamako ont été repoussés. Cela a ainsi rendu possible d’organiser des élections, notamment celle du président IBK, qui se sont déroulées correctement. De ce point de vue-là, il y a donc eu une avancée politique.
Ceci étant, ni la réconciliation nationale, ni la pacification du territoire n’ont été réalisées. Sur ce plan, l’accord d’Alger ne s’est donc pas traduit par des résultats très concrets. Pourquoi ? D’une part parce qu’il n’existe pas de pouvoir fort, capable de véritablement prendre en main les grands enjeux d’une réconciliation nationale. On observe donc une faillite de la classe politique malienne. D’autre part, se pose le problème de la sécurisation du territoire. Il faut cependant noter que l’insécurité ne se résume pas simplement aux djihadistes au nord, ni à la possibilité d’attentats à Bamako ou ailleurs. En réalité, le problème d’insécurité est fondamentalement dû au fait de la persistance des conflits entre communautés, entre les éleveurs peuls et les agriculteurs, entre les autochtones ayant des droits – ou ceux qui se définissent comme tels – et les étrangers halogènes, etc. Ces oppositions sont à la base des conflits. Or, comme l’État malien n’est pas capable ni d’assurer ses fonctions régaliennes, ni de contrôler le territoire pour garantir la sécurité des biens et des personnes, on assiste à une montée de l’insécurité dans le pays.
Enfin, demeure le problème de l’Azawad, avec évidemment la question de sa désignation. Cette région est également en proie avec des conflits entre différentes communautés. L’Azawad est en effet non seulement très différente du monde bambara au sud du Mali, mais elle est également composée de très nombreuses communautés : peuls, songhaïs, arabes, etc. Il n’existe donc aucune unité socioculturelle au sein même de l’Azawad.
Que peut-on attendre de la Conférence d’entente nationale ? Comment interpréter le boycott de l’opposition et des ex-rebelles ?
La réconciliation nationale du Mali est une nécessité. Cette Conférence d’entente nationale, qui regroupe environ 300 personnes, représente un élément de dialogue entre les différentes forces existantes, qu’il s’agisse des forces politiques, des représentants de la société civile ou des différents acteurs qui essayent d’intervenir dans la crise malienne. Il faut toutefois noter que cette conférence n’a pas de pouvoir de décision, elle représente seulement une possibilité de dialogue, de rencontre et de consultation. Ceci étant, cette réunion ne peut réussir qu’à condition que toutes les parties présentes puissent dialoguer. De ce point de vue, on observe l’existence de divisions extrêmement importantes au sein des mouvements, notamment touareg. Un homme comme Iyad Ag Ghali, qui est lui-même un Touareg soutenu en partie par l’Algérie, joue un rôle très important. Et cela d’autant plus que le conflit a aussi pris une dimension djihadiste à travers l’opposition entre les groupes rattachés à AQMI et ceux qui envisagent éventuellement des liens avec Daech. Ainsi, ces différents groupes, opposés soit pour des raisons socioculturelles et ethno régionales, soit pour des questions de stratégie djihadiste, ne veulent absolument pas d’une conférence de réconciliation.
Il faut donc espérer qu’un consensus et qu’une réconciliation nationale suffisante naissent, et qu’une solution d’autonomie relative pour l’Azawad soit trouvée, afin de permettre aux forces voulant assurer la paix, la sécurité et la réconciliation de l’emporter.
Concernant l’armée française et la communauté internationale, les opérations Barkhane et Minusma sont-elles enlisées sur le terrain ?
Grâce à ces opérations, les forces djihadistes ont pu être endiguées et le territoire malien a pu être sécurisé a minima. Ceci étant, si des batailles ont certes été remportées, la guerre, elle, est loin d’être gagnée. Tout le monde est conscient que la force Barkhane risque ainsi de s’embourber. Il existe en effet toujours des risques d’enlisement dans le temps parce qu’hélas, aucun substitut rapide ne se dégage, notamment de la part des forces de l’ordre nationales.
Demeure également le risque que les forces d’intervention étrangères commettent quelques bavures. À ce moment-là, ces armées peuvent apparaître auprès des populations locales comme des forces d’occupation, même si elles sont évidemment intervenues à la demande des autorités nationales et avec l’aval du Conseil de sécurité. Il est donc prioritaire et urgent que les forces maliennes et régionales africaines prennent le relai par rapport à la force Barkhane. La force française peut certes intervenir en appui logistique et en appui de renseignements mais il est évident qu’il faudrait trouver une meilleure réponse. Or, pour l’instant, cette réponse n’existe pas. Certes, quelques armées européennes, notamment allemandes, sont maintenant également présentes sur le territoire malien mais il n’existe aucune intervention qui soit adaptée à l’enjeu de la situation.
01.04.1957 vor 60 Jahren
Einberufung der ersten Wehrpflichtigen
11.04.1967 vor 50 Jahren
Eintragung der Hanns-Seidel-Stiftung in das Vereinsregister beim Amtsgericht München.
12.04.1997 vor 20 Jahren
Joachim Herrmann wird zum stellvertretenden Generalsekretär der CSU berufen. Bis zur Bundestagswahl 1998 werden die Aufgaben des Generalsekretärs faktisch nach Bundespolitik und Landespolitik geteilt.
16.04.1867 vor 150 Jahren
Verfassung des Norddeutschen Bundes
26.04.1947 vor 70 Jahren
Gründung der Arbeitnehmer-Union (CSA)