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Union européenne

Vidéo d'une réunion d'une commission - Lundi 18 juin 2018 - 16:39 - Sous-commission "Droits de l'homme"

Durée de la vidéo : 72'
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Clause de non-responsabilité : L'interprétation des débats facilite la communication mais ne constitue en aucun cas un enregistrement authentifié des débats. Seuls le discours original ou la traduction écrite révisée du discours original peuvent être considérés authentiques.
Source : © Union européenne, 2018 - PE
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La Commission reste réticente face aux mécanismes de capacité d’électricité

Euractiv.fr - Tue, 19/06/2018 - 07:51
L'exécutif européen tente de limiter le développement de tels dispositifs, prônés par certains États comme moyen d’assurer leur sécurité d’approvisionnement en électricité.
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France: sévère rapport sénatorial sur le contrôle aérien national

RFI (Europe) - Tue, 19/06/2018 - 06:16
Prendre l'avion à destination ou en provenance de la France peut parfois être synonyme de « galère ». Et c'est la commission des Finances du Sénat qui le souligne. Un rapport dresse un constat sévère sur le contrôle aérien français.
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La crise migratoire au cœur de la rencontre Merkel-Macron à Berlin

RFI (Europe) - Tue, 19/06/2018 - 02:33
Emmanuel Macron est attendu ce mardi matin à Berlin pour un conseil franco-allemand avec Angela Merkel. Leur rencontre devrait être dominée par la crise migratoire en Europe.
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Martin Selmayr envoie paître la médiatrice européenne

Coulisses de Bruxelles - Mon, 18/06/2018 - 22:49

C’est un véritable doigt d’honneur que la Commission adresse à la médiatrice, au Parlement et aux médias. En effet, les réponses adressées vendredi aux sept questions adressées par Emily O’Reilly, l’ombudswoman de l’Union, à l’exécutif européen, saisie d’une plainte sur les conditions de la nomination de l’Allemand Martin Selmayr au poste de secrétaire général, sont proprement sidérantes de mépris et d’arrogance. Même le site Politico.eu, qui a volé au secours de Selmayr, en est resté, ce matin, comme deux ronds de flan. Dans la lignée du « droit de réponse » que m’a adressé le porte-parole de l’institution, le Grec Margaritis Schinas, la Commission persiste à affirmer que toutes les règles ont été parfaitement respectées et qu’affirmer le contraire n’est que malveillance et « fake-news ».

Après la résolution du Parlement européen du 18 avril, on aurait pourtant pu s’attendre à ce que l’exécutif européen fasse profil bas et joue l’apaisement. Mais c’est mal connaître Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, et Selmayr, les deux hommes étant liés par une hubris sans limites. Les eurodéputés n’ayant pas osé provoquer la chute de la Commission, tout en jugeant la nomination de Selmayr illégale, ils se sentent désormais intouchables et le montrent sans vergogne.

Des «fake news» partout !

Ainsi, la Commission n’hésite pas à affirmer que sa communication a été parfaite (question 7) alors qu’elle a menti et dissimulé les faits à de nombreuses reprises. Une communication entièrement dirigée par Selmayr, faut-il le préciser ? La Commission estime avoir été victime d’une « campagne négative »de la part de certains médias (évidemment je suis visé), affirme que de « fausses informations ont été répandues »,de « fausses explications »ont été données et, pire, que des « données personnelles »ont été « utilisées illégalement » ! Un ton menaçant digne d’une démocratie illibérale. Si tout cela est vrai, on se demande pourquoi la Commission n’a pas poursuivi en justice ces journalistes qui ont osé enquêter et publier ces « fake news » ?

Le Parlement européen au pilori

Il n’y a pas que les médias qui sont visés par la colère de Selmayr, le secrétaire général tenant évidemment la plume de ces réponses, exactement comme il l’a fait pour les questionnaires de la Commission de contrôle budgétaire du Parlement. Les eurodéputés en prennent pour leur grade pour avoir qualifié sa nomination de « coup de force à la limite de la légalité, voire dépassant cette limite » (question 1). Jouant l’idiote, la Commission estime qu’« un coup se définit comme une prise de pouvoir soudaine, violente et illégale » « par l’armée ou d’autres élites au sein de l’appareil d’État » : « la Commission ne comprend pas comment une décision du collège des commissaires, proposée par le président et approuvée unanimement par tous les membres de la Commission peut être comparée à un coup de force ».Le fait que le collège, composé de commissaires qui font la preuve depuis quatre ans de leur faiblesse politique, ait couvert un acte illégal ne signifie absolument pas qu’il n’y ait pas eu « coup de force ». À la différence d’un coup d’État militaire, on peut piétiner l’État de droit sans avoir recours aux forces armées comme le démontrent tous les jours la Pologne ou la Hongrie... On comprend au passage pourquoi Selmayr veut laisser tomber l’article 7 contre Varsovie.

On peut d’autant moins parler de « coup de force » que, selon la Commission, la nomination de Selmayr « respecte toutes les règles, dans leur lettre et dans leur esprit »… Or, c’est justement le contraire que le Parlement et les journalistes qui se sont intéressés à l’affaire ont soigneusement démontré. Qu’importe : toutes les critiques sont bâties sur « une série d’allégations infondées, de fausses informations et, en général, elles tendent à vouloir remettre en cause le pouvoir de la Commission de nommer ses hauts fonctionnaires »(question 2)… Bref, ce sont non seulement les journalistes qui sont des crétins malveillants, mais les députés européens.

Avant la ruine vient l’orgueil

Pour l’exécutif européen, il s’agit d’une non-affaire puisque le SelmayrGate n’a pas nui à la réputation de l’Union. Pour le prouver, il brandit (question 2) le dernier Eurobaromètre qui montre que la confiance dans l’Union et plus particulièrement à l’égard de la Commission a augmenté. Qu’importe qu’il ait été réalisé avant l’affaire…

Bien sûr, une nouvelle fois, les commissaires n’ont pas été consultés sur ces réponses, mais ils vont les avaliser comme ils l’ont toujours fait, terrorisés qu’ils sont par Selmayr. Le Parlement européen, lui, se retrouve Gros-Jean comme devant. Et Emily O’Reilly sait déjà que si elle rend un avis négatif sur cett nomination, cela ne servira strictement à rien, le mépris de la démocratie et des contre-pouvoirs étant la marque de fabrique d’une Commission Juncker qui se sera ouverte sur les Luxleaks et se termine par le Selmayrgate.

Cela étant, comme me le confiait un eurodéputé allemand influent, il suffit d’être patient : la chute de Selmayr interviendra en même temps que Juncker partira à la retraite. Comme le dit un proverbe allemand, « Hochmut kommt vor dem Fall » : « avant la ruine, vient l’orgueil ».

N.B.: montage réalisé par les Grecques (groupe anonyme de bas fonctionnaires européens)

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Danse d'amour entre les conservateurs européens du PPE et le PiS polonais

Coulisses de Bruxelles - Mon, 18/06/2018 - 21:54

Rencontre entre le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki et le Président de la Commission, Jean-Claude Juncker, en janvier

Les conservateurs allemands sont prêts à vendre leur âme au diable afin de conserver le contrôle qu’ils exercent sur l’Union européenne depuis près de 15 ans. Selon nos informations, la CDU-CSU, le parti de la chancelière Angela Merkel, est à la manœuvre pour faire adhérer au PPE (Parti populaire européen) ou au moins au groupe politique PPE au Parlement européen, leurs relais d’influence dans les institutions communautaires, Droit et Justice (PiS), le parti de Jaroslaw Kaczynski au pouvoir en Pologne. Afin de faciliter ce rapprochement, Jean-Claude Juncker, l’actuel président PPE de la Commission et son âme damnée, l’Allemand Martin Selmayr, secrétaire général de l’exécutif européen et proche de la CDU, veulent abandonner les poursuites engagées contre la Pologne accusée de violer gravement l’Etat de droit… Si cette adhésion se réalisait, le PiS rejoindrait sur les bancs du PPE le Fidesz du Hongrois Viktor Orban, ce qui accentuerait la dérive droitière et eurosceptique du PPE qui fut longtemps démocrate-chrétien et fédéraliste européen.

Le PiS à la manoeuvre

C’est le PiS qui a entamé les travaux d’approche depuis quelques mois. Avec le départ programmé des conservateurs britanniques, fin mars 2019, le groupe de l’ECR (Conservateurs et réformateurs européens) dans lequel ils siègent ensemble, va voir ses effectifs fondre et il y a peu de chance qu’il demeure le troisième groupe politique du Parlement (sur huit). Or siéger dans un groupe marginal, surtout pour un parti de gouvernement, c’est la certitude de n’avoir aucune influence. Le Brexit va aussi renforcer l’isolement du PiS au sein du Conseil des ministres et surtout du Conseil européen des chefs d’Etat et de gouvernement.

Le PiS a pu toucher du doigt le prix à payer lorsqu’on n’appartient à aucune famille politique européenne. Alors que Viktor Orban peut se permettre d’instaurer dans l’indifférence générale des institutions européenne une démocrature dans son pays, le PPE ayant à cœur de protéger les siens, le PiS s’est retrouvé mis à l’index par la Commission, celle-ci l’accusant de violer l’État de droit en plaçant sous sa coupe le système judiciaire : le 20 décembre 2017, elle n’a pas hésité à dégainer pour la première fois l’arme lourde de l’article 7 du traité sur l’Union qui peut aboutir à priver le pays de son droit de vote au sein de l’Union…

Rejoindre le PPE est donc l’assurance pour le PiS de trouver un répit. Mais ce rapprochement ne serait pas possible sans l’affaiblissement de Jaroslax Kaczynski, le leader du PiS et vrai patron de la Pologne, hospitalisé pendant un mois et qui vient de sortir de l’hôpital. Selon de multiples sources européennes, sa santé s’est considérablement dégradée. Or, par son europhobie quasi-pavlovienne, c’est la principale hypothèque à une relative « normalisation » du PiS. La danse d’amour entre le PPE et le PiS indiquerait donc que l’après-Kaczynski a commencé…

Des Allemands très réceptifs

Ces appels du pied appuyés du PiS rencontrent un écho très favorable parmi les chrétiens-démocrates allemands. Ainsi, l’Allemand Manfred Weber, membre de la très à droite CSU bavaroise et patron du groupe PPE, s’inquiète des pertes que son groupe ne manquera pas d’enregistrer en mai 2019 (selon les sondages, il passerait de 219 députés à environ 180), même s’il restera sans doute le premier du Parlement. De fait, le parti populaire espagnol, le plus fidèle soutien de la CDU-CSU, vient de perdre le pouvoir et devrait se faire étriller (17 députés actuellement), tout comme Forza Italia (11), LR (20) ou encore la Plateforme civique polonaise, le parti de Donald Tusk, l’actuel président du conseil européen (22).

Dès lors une adhésion du PiS pourrait permettre de limiter la casse, même s’il traverse actuellement un trou d’air dans les sondages. La perte de PO, elle aussi bien mal en point, serait largement compensé par l’arrivée du PiS, qui plus est un parti au pouvoir qui sera sans doute reconduit lors des prochaines élections. Manfred Weber espère surtout qu’une telle adhésion sécurisera définitivement sa candidature comme tête de liste du PPE (le PiS n’ayant alors rien à lui refuser) et donc comme probable président de la Commission. En effet, le système des Spitzenkandidaten, inauguré en 2014 avec le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, garantie à la tête de la liste arrivée en tête aux Européennes qu’il prendra les rênes de l’exécutif européen.

Martin Selmayr joue sa survie

Cette manoeuvre est aussi dans l’intérêt de l’Allemand Martin Selmayr, le vrai patron de la Commission, Juncker n’étant plus que l’apparence du pouvoir. Après sa promotion très contestée au poste de secrétaire général, il cherche à sécuriser sa place. C’est donc pour complaire à Manfred Weber, qui serait alors son obligé comme président de la Commission, qu’il a essayé, la semaine dernière, de lever la procédure de l’article 7 contre la Pologne, celle-ci étant un empêchement dirimant à toute adhésion au PPE. Il s’est pour l’instant à un front uni des commissaires socio-démocrates et libéraux, une première, lui qui a toujours réussi à imposer ses vues. Mais Selmayr n’a pas dit son dernier mot, d’autant que le PPE est majoritaire au sein du collège des commissaires.

Cela étant, au sein même du PPE, la perspective d’une adhésion du PiS, passe très mal. Il y a deux semaines, lors d’une réunion du groupe, une majorité de délégations nationales (dont la Française et la Néerlandaise) ont fait savoir à Weber qu’il s’agirait d’un cassus belli, ce qui a quelque peu refroidi son enthousiasme. Pour ces élus, le PPE y perdrait le peu de ce qui reste de son âme europhile. Cela étant, à l’approche des élections, et face à la perspective d’un groupe En Marche conséquent qui pourrait s’allier aux socio-démocrates et aux Verts pour s’emparer de la Commission et des postes de pouvoir au Parlement, il est loin d’être exclu que le principe de réalité ne pousse les conservateurs à accepter parmi eux le PiS. Au final, ce seront les Allemands qui décideront, comme toujours.

N.B.: Manfred Weber a démenti notre article dans un tweet du 15 juin : «Nous démentons formellement. Il n’y a ni aspiration à faire entrer le PiS au #PPE ni discussions à ce sujet. Le @EPPGroup soutient pleinement la procédure lancée par la @EU_Commission à l’encontre du gouvernement polonais». Il s’est aussi fendu d’un article dans L’Opinion pour dénoncer la loi imposant aux juges constitutionnels un âge limite. Néanmoins, je maintiens l’ensemble de mes informations. Des contacts ont bien eu lieu et la Commission a bien cherché à laisser tomber l’article 7.

N.B. 2: Article paru dans Libération du 2 juin

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Norvège: premier vol à propulsion électrique

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 20:34
Des avions qui volent à l’électricité sans une goutte de kérosène, ce sera peut-être pour bientôt… La Norvège vient d’accomplir ce lundi après-midi son premier vol intérieur 100% électrique avec une technologie proche de celle des voitures. Le pays scandinave a l’ambition d’électrifier l’ensemble de son transport aérien intérieur dans les vingt prochaines années.
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Pays-Bas: la justice interdit un gang de motards

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 19:58
La justice néerlandaise a interdit ce lundi 19 juin le club de motards Satudarah et saisi ses actifs, déclarant que ses membres avaient propagé une culture de violence et mené des activités criminelles dans le pays. L'interdiction s'étend également à son fan club et au groupe affilié Supportcrew 999.
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Allemagne: la droite impose à Merkel un ultimatum sur la question migratoire

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 18:21
En Allemagne, la question des migrants met à rude épreuve l'unité de la droite. En cause, le refoulement aux frontières des migrants déjà enregistrés dans d'autres pays. Les deux partis conservateurs, la CDU d'Angela Merkel et la CSU, du ministre de l'Intérieur Horst Seehofer se livrent un véritable bras de fer. Ce lundi 18 juin, Horst Seehofer a menacé de fermer les frontières de l'Allemagne «en juillet» aux migrants faute d'un accord entre dirigeants européens en marge d'un sommet fin juin, un ultimatum aussitôt rejeté par la chancelière.
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Journée d'action en France et en Europe contre la pêche électrique

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 14:46
Les pêcheurs traditionnels protestent dans plusieurs ports européens contre la pêche électrique. En France, l'action a eu lieu notamment à Boulogne-sur-Mer. Ce mouvement est coordonné par l'ONG Bloom et soutenu par les députés européens. En janvier, le Parlement de Strasbourg s'est prononcé pour une nouvelle interdiction de la pêche électrique dans l'UE. Mais un compromis tarde à venir et bloque notamment au niveau des Etats-membres.
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Highlights - Somalia should stop hounding trade unions and endangering union leadership - Subcommittee on Human Rights

Alarmed by the worsening human and trade union rights situation in Somalia, the Chair of the Subcommittee on Human Rights, Mr Pier Antonio Panzeri made the following statement: “I am alarmed by the threats and intimidations coupled with a smear campaign against the Secretary General of the Somali trade union ‘National Union of Somali Journalists’ (NUSOJ), Mr Omar Faruk Osman, who is also General Secretary of the ‘Federation of Somali Trade Unions’ (FESTU)....
Other union leaders and activists are also targeted for standing up and defending freedom of expression, freedom of association and freedom of assembly. Somalia's unjustifiable anti-trade union campaign must stop. Full text below
Further information
Press release in full
Source : © European Union, 2018 - EP
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Hearings - Human rights enhancement via democracy support - 19-06-2018 - Subcommittee on Human Rights

In association with Democracy Support and Election Coordination Group The European Parliament's election observation missions aim at strengthening, in third countries concerned by elections or referendums, the legitimacy of national electoral processes, increasing public confidence in elections, avoiding electoral fraud, better protecting human rights and contributing to conflict solution.
Location : Room PHS 4B001, BRUSSELS
Draft programme
Watch the hearing live
Source : © European Union, 2018 - EP
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L’Europe et les réfugiés déchirent la droite française

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 11:32
Le thème de l'Europe et des réfugiés divisent profondément la droite républicaine. Le secrétaire général du parti a remercié Virginie Calmels, proche d'Alain Juppé, qui lui reprochait de « défendre ses propres idées ».
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Des pêcheurs bloquent les ports pour protester contre la pêche électrique

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 11:11
Des ONG et pêcheurs traditionnels de plusieurs pays bloqueront des ports pour protester contre la pêche électrique. Des actions sont prévues ce lundi en France, Belgique, Allemagne, au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Un article de notre partenaire l'Ouest-France
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Europe spatiale: la bombe incendiaire de Tom Enders

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 11:11
Dans un courrier adressé à Angela Merkel et Emmanuel Macron, le patron d’Airbus attaque frontalement l'ESA et les agences spatiales nationales, qu’il juge dépassées. Il souhaite que l'industrie discute directement avec les États. Un article de notre partenaire, La Tribune.
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Un rapport du GIEC fuite à un moment politique crucial pour le climat

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 11:10
Si les émissions continuent au rythme actuel, le réchauffement climatique dépassera les 1,5 °C d’ici à 2040, selon une première version fuitée du rapport du GIEC.
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Iñaki Urdangarin, beau-frère du roi d'Espagne, a été incarcéré

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 11:08
Iñaki Urdangarin, beau-frère de Felipe VI par son mariage avec l’infante Cristina, est en prison. Condamné par la justice à cinq ans et dix mois de prison, pour malversation de fonds, prévarication, trafic d’influence et fraude fiscale, il a été incarcéré ce lundi matin.
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Un accord historique réconcilie Grèce et Macédoine

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 11:01
Grèce et  Macédoine ont signé un accord préparant un changement de nom historique, qui clôt un conflit bilatéral et ouvre la voie de l’OTAN et de l’UE à Skopje.  
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L’aquaculture française s’oriente vers le circuit court

Euractiv.fr - Mon, 18/06/2018 - 10:59
Si elle allège la pression de pêche, l’aquaculture pose aussi de nombreux problèmes environnementaux, notamment sur l’usage des eaux et l’alimentation des poissons. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.
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Migrants de l'Aquarius: une mission de l'Ofpra prête à partir à Valence

RFI (Europe) - Mon, 18/06/2018 - 10:48
Le convoi composé de trois bateaux chargés de migrants dont l’Aquarius, affrété par SOS-Méditerranée et MSF, est arrivé dimanche à Valence avec ses 630 rescapés. L’odyssée de ce bateau, rejeté par l’Italie et par Malte, avant que l’Espagne l’accueille, a relancé la polémique sur la politique d’accueil de l’Union européenne. Après plusieurs jours de polémiques, le président français a précisé que la France accueillerait les migrants qui le souhaitent.
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