La MONUSCO se félicite du démarrage ce mercredi 30 avril de l’opération de transport de plusieurs centaines d’éléments non armés, membres des Forces armées de la RDC (FARDC), de la Police nationale congolaise (PNC), et quelques dépendants, depuis ses installations à Goma, vers Kinshasa.
Le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) évacue de Goma à Kinshasa des centaines de membres désarmés des Forces armées de la RDC (FARDC) et de la Police nationale congolaise (PNC), ainsi que leurs dépendants.
Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) saluent le lancement de l’évacuation vers Kinshasa des militaires, policiers et membres de leurs familles, qui étaient protégés depuis plus de trois mois par la MONUSCO à Goma, dans la province du Nord-Kivu.
En visite de travail de 48 heures à Kinshasa, le président bissau-guinéen, Oumaro Sissoco, a encouragé, mardi 29 avril, les chefs d’État de la RDC et du Rwanda à choisir la voie de la paix.
Le député national Marcel Dandu Ekutu a déposé, mardi 29 avril 2025, au bureau du président de l'Assemblée nationale, une question orale avec débat à l’attention du ministre d’État, ministre des Infrastructures et travaux publics, Alexis Gisaro, au sujet de l’aggravation alarmante des érosions dans la ville de Lisala, province de la Mongala.
Revue de presse kinoise du mercredi 30 avril 2025.
À la une des journaux parus ce mercredi à Kinshasa, la sortie médiatique du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, sur la signature des déclarations de principes avec le Rwanda, signées sous l’égide des États-Unis d’Amérique.
La journée du 30 avril est une journée sombre pour les enseignants vivant dans les zones occupées par les rebelles de l’AFC-M23 dans l’est de la RDC, a indiqué l’un d’eux à Radio Okapi. Ils sont partagés entre le non-paiement de salaire et l’errance dans cette région instable.
L’Université de Kinshasa a organisé, samedi 26 avril, la deuxième édition de l’opération Giga Salongo, une initiative visant à assainir le site universitaire et à protéger ses occupants contre certaines maladies.
Les troupes de la Mission de la Communauté de développement d'Afrique australe en République démocratique du Congo (SAMIDRC) se sont retirés ce mardi 29 avril de la ville de Goma.
Ce retrait s’est effectué par voie terrestre, via la frontière entre la RDC et le Rwanda, dite « La Grande Barrière ».
Le colonel José Tumba, commandant des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) dans le territoire de Moba, province du Tanganyika, a appelé ses hommes, lundi 28 avril, à cesser de tracasser la population. Cette mise en garde concerne les militaires en poste aux différents points de contrôle.
Il a également exhorté les habitants à entretenir des relations harmonieuses avec les forces de l’ordre. Son conseil intervient après de nombreuses plaintes de la population dénonçant des actes de tracasserie militaire.
Le chef de secteur de Walendu Djatsi dans le territoire de Djugu (Ituri) demande à la population du village Budhu, qui avait fui les affrontements entre deux factions rivales de la milice CODECO, de regagner son milieu. Il a lancé cet appel lancé lundi 28 avril après une tournée de sensibilisation à la paix et à la cohabitation pacifique le weekend, dans les villages de Budhu et Lobu.
À la suite des travaux de démolition menés par l’Hôtel de ville de Kinshasa, plusieurs familles dorment désormais à la belle étoile à la gare de Kintambo. En plus d’avoir perdu leurs habitations, elles se retrouvent démunies, ne sachant où aller.
Selon le gouvernement provincial, cette opération vise à récupérer les espaces publics spoliés par des particuliers.
Un décor désastreux
Les acteurs de mise en œuvre du projet « Yesenjeu » ont lancé officiellement, ce mardi 29 avril 2025 à Ouagadougou, une campagne de sensibilisation portée par les jeunes eux-mêmes. Ce, afin de construire un avenir fondé sur la paix, l'inclusion et le dialogue au Burkina et, partant de là, dans tout le Sahel. Le lancement officiel de la campagne de sensibilisation a été présidé par la cheffe de service de l'inclusion de la femme aux actions de paix et de sécurité, Alice Sawadogo/Nabollé. C'était aussi en présence des représentants du consortium d'ONG et du partenaire financier et technique qui mettent le projet en œuvre au Burkina, Alain Magloire Koussoubé et Guillermo Fernandez Marcomingo.
Yesenjeu est un projet régional dédié à l'engagement de la jeunesse et exécuté dans six pays du Sahel, dont le Burkina Faso, avec l'accompagnement financier et technique de l'Union européenne à hauteur de plus de trois milliards de FCFA.
En lançant officiellement cette campagne, la présidente de la cérémonie, la cheffe de service de l'inclusion de la femme aux actions de paix et de sécurité, Alice Sawadogo/Nabollé, a fait savoir que l'objectif visé, c'est de mobiliser les communautés locales, en particulier les jeunes, afin d'encourager une culture du dialogue, de l'acceptation mutuelle et du respect des différences. Ce qui permettra, dit-elle, de renforcer le dialogue interculturel et interreligieux en créant des espaces d'échanges et de médiation pour prévenir les conflits et encourager le vivre-ensemble.
Outre cela, il permettra aussi de valoriser la diversité linguistique et culturelle en favorisant l'apprentissage et la reconnaissance des langues locales et des pratiques culturelles communes. Aussi, il permettra de lutter contre les discriminations et les discours de haine en sensibilisant sur leurs conséquences et en promouvant des valeurs de tolérance et d'inclusion. Et la liste n'est pas exhaustive.
Ce projet Yesenjeu sera mis en œuvre dans quatre régions du Burkina, à savoir le Centre, le Plateau central, le Centre-nord et le Centre-ouest pour une durée de cinq années. C'est un projet exécuté par deux ONG que sont ACRA et CISV (Communauté, service, engagement, volontariat), dont le représentant résident, Alain Magloire Koussoubé, en s'exprimant, est revenu sur ce qui sera fait de façon concrète sur le terrain durant ces cinq années. Selon lui, il s'agit de donner à la jeunesse l'opportunité d'expression, mais aussi d'investir en elle pour qu'elle joue son rôle de moteur de développement et de l'accompagner dans la promotion de la cohésion sociale, de la paix, du vivre-ensemble, etc.
Le présidiumTout en rappelant qu'au niveau du Burkina, le projet lancé en mai 2024 va tourner autour de quatre catégories d'activités. La première catégorie d'activités est l'élaboration d'une cartographie des organisations intervenant pour la jeunesse. C'est-à-dire de faire le point de toutes les organisations de jeunesse actives dans les différentes thématiques au niveau du Burkina.
Le deuxième volet du projet va consister au renforcement des capacités des organisations de jeunesse et des structures qui les accompagnent, notamment des centres d'écoute et de dialogue qui sont d'ailleurs partenaires de ce projet, afin de renforcer leurs capacités techniques et matérielles afin de pouvoir offrir des services de qualité. Le troisième pan de ce projet va concerner les subventions de la mise en œuvre des différentes thématiques citées plus haut, comme la tolérance religieuse, le dialogue interreligieux, le vivre ensemble, le changement climatique et autres, accompagnées de coachings rapprochés.
La dernière catégorie d'activités, selon M. Koussoubé, sera l'octroi de bourses d'études aux étudiants afin qu'ils puissent parfaire leurs études, mais également le financement de projets de recherches en lien avec des thématiques évoquées plus haut.
En d'autres termes, ce projet veut valoriser la contribution de la jeunesse à l'édification de la paix en renforçant ses capacités et en lui donnant des opportunités d'emploi. « Ce qui va permettre non seulement d'occuper la jeunesse, mais aussi de l'amener à contribuer de manière significative à travers ses réflexions, ses points de vue et ses orientations. Et cela va l'amener à avoir un rôle important dans les politiques de décision, les choix, dans la création de richesse, parce qu'un seul jeune désœuvré est un problème majeur, parce qu'il peut amener plusieurs jeunes à être désœuvrés à leur tour », a-t-il expliqué.
Guillermo Fernandez Marcomingo, le chargé de programme à la délégation de l'Union européenneRappelons que ce projet régional prévu pour cinq ans sera accompagné financièrement et techniquement par l'Union européenne. Selon son chargé de programmes, Guillermo Fernandez Marcomingo, présent à la cérémonie, leur rôle dans ce projet précis, c'est de mettre en synergie les acteurs plus importants. Car la jeunesse représente un aspect prioritaire, parce qu'environ 70% de la population a moins de 35 ans.
« C'est donc une cible à prioriser si toutefois l'on veut réussir tous les projets de développement », a fait comprendre Magloire Koussoubé. Tout en soulignant qu'au-delà de la jeunesse, l'UE intervient aussi dans plusieurs autres domaines comme l'entrepreneuriat, le genre, la sécurité, etc.
Yvette Zongo
Lefaso.net
L’ONG Femme main dans la main pour le développement intégral (FMMDI) a remis ce lundi 28 avril des kits de réinsertion socioéconomique à plus de 80 femmes victimes de la milice Kamuina Nsapu, grâce à l’appui de l’agence coréenne de coopération (KOICA).
D’après la directrice pays de FMMDI, les personnes sélectionnées par rapport à leur degré de vulnérables ont été formées sur différentes matières notamment sur la comptabilité.
Un accident s'est produit ce mardi 29 avril 2025 aux environs de 12h05 à Banfora, sur la route reliant Banfora à Sindou. Un train a percuté un camion-benne immobilisé sur les rails, rapporte l'Agence d'information du Burkina (AIB).
Selon les premiers témoignages, le camion-benne, arrivé au niveau du passage à niveau, n'a pas réussi à s'arrêter à temps et a forcé la barrière de sécurité, juste au moment où le train arrivait.
Sentant le danger imminent, le conducteur a eu le réflexe d'abandonner le véhicule avant la collision.
Fort heureusement, l'accident n'a fait ni blessé ni victime. Seuls des dégâts matériels sont à déplorer.
Dans un communiqué, SITARAIL a précisé que « l'incident est consécutif au non-respect, par l'automobiliste, de la barrière de sécurité STOP située à ce point de croisement entre la voie ferrée et la route ». La compagnie ferroviaire a tenu à rappeler que « le code de la route accorde la priorité absolue au train au passage à niveau et qu'il est strictement interdit de forcer la barrière de sécurité quand celle-ci est fermée ou baissée ».
SITARAIL appelle à la vigilance et insiste : « Pour votre sécurité et celle de vos biens, il est impératif de respecter les dispositifs et consignes de sécurité édictés sur les emprises ferroviaires. »
Lefaso.net
Source : AIB & Sitarail
2 Timothée 4 verset 7 : « J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. ».
30 avril 2024 - 30 avril 2025
Voilà déjà un (01) an, il a plu au Seigneur de rappeler auprès de lui, sa Servante Germaine SAWADOGO, archiviste-documentaliste à la retraite, ancienne Directrice du Centre National de Documentation Agricole (CNDA).
A l'occasion de ce douloureux anniversaire,
Le Tiib-soba de Gaoua (KAYA), les grandes familles SAWADOGO, OUEDRAOGO à Kaya (Gaoua), Tangasgo, Yaoghin, Sidéradougou, Ouagadougou, Abidjan, Lyon, Mulhouse ;
Les familles alliées SAWADOGO, OUEDRAOGO, NION, TRAORE, KAMBOU, à Kaya, Kongoussi, Kampala, Ouahigouya, Chicago, Philadelphie ;
M. Boukary SAWADOGO, Robert, Bernadette, Blandine, leurs frères et sœurs à Kaya ;
M. Basile SAWADOGO, ses frères et sœurs à Kaya, et à Ouagadougou ;
M. Yssouf SORE et frères à Ouagadougou et Kaya ;
Mme SAWADOGO Albertine, ses frères et sœurs à Ouagadougou et Kaya ;
M. SAWADOGO Honoré, ses frères et sœurs à Ouagadougou et Kaya ;
Les enfants : Servanne Clémence, Mireille Chantal, Kiswendsida Roméo, leurs frères et sœurs,
Les petits enfants : Alexandra, Joël, Yohann, Abigaël, Naël, Betshalel, Danielle, Germain et cousins,
très touchés par les nombreuses marques d'amour, de compassion, de soutiens moral, spirituel, matériel et financier manifestés lors du départ pour la Patrie Céleste le 30 Avril 2024 de leur bien aimée sœur, tante, belle-sœur, mère, belle-mère, et grand-mère, suivi de son inhumation au cimetière de Kosoghin le 03 mai 2024, vous réitèrent leurs sincères remerciements pour les soutiens multiformes dont ils ont été l'objet lors de cette douloureuse épreuve.
Ils se gardent de citer des noms, par crainte d'en oublier.
Puisse l'Éternel, le rétributeur Céleste, rendre à chacun (e), ses bienfaits au centuple.
Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a affirmé ce mardi 29 avril à Kinshasa que la « Déclaration de principes », signé par la RDC et le Rwanda sous l’égide des Etats-Unis, « est un pas dans la bonne direction ».
Il l’a déclaré en conférence de presse qu’il animait avec son homologue de la Guinée Bissau, Umaro Sissoco en visite de travail ce mardi à Kinshasa.