Au moins de 19 000 abonnés ont été raccordés, depuis quelques jours, aux compteurs de prépaiement du courant électrique de la société Virunga Energie à Goma (Nord-Kivu).
Son Directeur général, Ephrem Balole l’a affirmé, jeudi 6 juillet, au cours d’une cérémonie devant les autorités dont le vice-gouverneur du Nord-Kivu, au quartier Kysehero.
Il a souligné que parmi ces abonnés, il y a 18 000 ménages ainsi que des entreprises, bureaux administratifs, écoles et hôpitaux.
L'Association Somwe Mudimbi a lancé, jeudi 6 juillet, la vente de nouveau modèle des foyers améliorés dénommé « Mapishi Bora », à Kindu (Maniema).
Ces foyers améliorés ont été fabriqués pour contribuer à la réduction de la pression exercée sur nos forêts dans la province du Maniema.
Le président de l'Association Somwe Mudimbi explique l'avantage de ces foyers améliorés :
Il semble que vous fournissiez des informations sur une conférence de presse tenue par le président du Rassemblement pour le Mali (RPM), Bocary Treta, à l’occasion du 22e anniversaire du parti. Au cours de la conférence de presse, les membres du parti ont souligné que cet anniversaire est célébré dans un contexte particulier pour le […]
L’article Conférence de presse du RPM à l’occasion de son 22e anniversaire : Appel à l’unité et à l’organisation d’un congrès pour résoudre la crise interne est apparu en premier sur Mali Actu.
Des avocats de Salomon Idi Kalonda, haut cadre du parti Ensemble pour la République, ont déploré, vendredi 7 juillet, le maintien de leur client en détention.
Ils ont livré leur position au cours d’un point de presse tenu à Kinshasa.
Le chargé des relations extérieures et engagement communautaire de la fondation Virunga, Méthode Uhoze a livré ces chiffres, jeudi 6 juillet, à Radio Okapi :
Les Panthères du Gabon U-20 ont remporté, vendredi 7 juillet à Kinshasa, la première édition du tournoi de football de l’UNIFFAC « Fatshi Cup », après leur victoire sur les Fauves de Bas-Ubangi de la RCA, 2-0.
Les Léopards de la RDC ont, quant à eux, arraché la médaille d’argent, en battant les Diables rouges du Congo Brazzaville sur le score de deux buts à un.
Plus de 91 400 personnes affectées par les conflits armés en Ituri vivent dans des conditions difficiles dans 22 sites de déplacés dans la zone de santé de Nizi, au territoire de Djugu, a rapporté vendredi 7 juillet, le médecin chef de cette zone de santé, Dr Jean Claude Lonzama.
Quelques jours seulement après la fin de l'année scolaire 2022-2023, le nombre d’enfants exerçant le commerce a augmenté dans les rues de Beni (Nord-Kivu), a constaté vendredi 7 juillet, le reporter de Radio Okapi.
Ces enfants, dont de nombreux écoliers, arpentent les principales artères de la ville pour vendre divers petits articles. Ils cherchent ainsi à gagner de l’argent pour soutenir leurs parents, affirment-t-ils.
Les deux athlètes Burkinabè Hugues Fabrice ZANGO et Marthe Yasmine KOALA ont tous deux remporté la médaille d'or lors des compétitions disputées en l'espace de 48 heures.
Ce vendredi 7 juillet, Hugues Fabrice ZANGO a remporté l'or au Meeting International Sotteville-lès-Rouen en Normandie en France en réalisant un saut de 17,61 mètres.
Quant à Marthe Koala, elle s'est imposée en saut en longueur et remporte l'or avec un bond de 6,62 mètres, lors du Meeting de Bron en France, le jeudi 6 juillet 2023.
Prochain challenge pour Zango, la Diamond League de Monaco. A cet effet, le triple sauteur a ecrit sur sa page Facebook : « J'ai pris plaisir avant la prochaine étape de la Diamond League de Monaco. Rendez-vous le 21 juillet prochain à Monaco pour d'autres belles aventures ».
« On continue d'avancer », à ecrit Marthe Yasmine KOALA
Félicitations aux deux ambadeurs du sport Burkinabè
DCRP MSJE
(Ouagadougou, 7 juillet 2023). Le Président de la Transition, Chef de l'Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE, a accordé une audience au Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d'Ivoire, conduit par son président Madi OUEDRAOGO.
Pour le président du Conseil des opérateurs économiques burkinabè de Côte d'Ivoire, il a été question au cours de cet entretien avec le Président de la Transition de développement et de la situation sécuritaire du pays. « Ce sont les deux sujets sur lesquels le Chef de l'Etat a échangé avec nous. Il nous a prodigué des conseils en tant qu'opérateurs économiques vivant à l'étranger. Il nous a expliqué comment nous devons nous prendre pour apporter notre contribution à la construction de la nation », a indiqué Madi OUEDRAOGO.
Selon M. OUEDRAOGO, ce que la nation peut attendre de la communauté burkinabè vivant en Côte d'Ivoire « c'est un engagement parce que la mère patrie est en danger et tout le monde est à son chevet ». C'est pourquoi il a rappelé la disponibilité de la diaspora burkinabè en terre ivoirienne d'apporter sa contribution pour aider les parents qui souffrent de cette situation que traverse notre pays. « C'est pour ça que nous sommes là, pour nous imprégner des réalités et nous armer pour voir comment apporter notre contribution de façon concrète », a affirmé Madi OUEDRAOGO.
Direction de la communication de la Présidence du Faso
La crise sécuritaire a fait des victimes indirectes. C'est le cas d'Aicha (nom d'emprunt) répudiée par son époux depuis qu'il n'arrive plus à joindre les deux bouts du fait de l'inaccessibilité de certaines zones du pays. Témoignage d'une mère victime de violences dont le fondement repose sur les superstitions.
En larmes, la tête baissée, Aicha (nom d'emprunt) se remémore cette scène, le jour où son époux l'a répudiée. Après 15 ans de vie commune et quatre enfants dont une fille et trois garçons, sa vie a complètement basculé. Tout a commencé lorsqu'à ses 19 ans, son père décide de la donner en mariage. Au début de leur union, son époux lui donne de l'affection et de l'attention.
Pour subvenir aux besoins de sa famille, son conjoint se rend dans des villages environnants de Fada N'Gourma dans la région de l'Est, pour acheter des céréales afin de les revendre en ville. Un business qui lui rapporte gros. Malheureusement, la crise sécuritaire est passée par là. Les villages où il se rendait sont désormais inaccessibles et les affaires marchent au ralenti.
« Quand le terrorisme a commencé, il ne gagnait plus d'argent comme avant » se souvient-elle. Pour comprendre la raison de son mal, son conjoint décide d'aller consulter un marabout. « Mon mari est revenu à la maison en disant que son marabout lui a dit que j'étais la cause de ses malheurs. Le marabout a dit que je ne porte pas chance. J'étais bouleversée par ses propos. Je lui ai rappelé que j'ai quatre enfants avec lui et que cela est une chance. Il a répondu en disant que le bonheur ne dépend pas des enfants, mais de l'aisance financière. Il a dit que je suis tellement malchanceuse qu'il n'arrivait même plus à emprunter de l'argent », a-t-elle expliqué. C'est le début de l'enfer pour Aïcha.
Des enfants affectés
Son époux déscolarise ses deux aînés et les envoie au village. Suite au décès d'une proche parente d'Aïcha, son mari lui demande de se rendre au village pour assister aux funérailles. Une fois là-bas, il lui interdit de reprendre le chemin du domicile familial, à Ouagadougou. « Et pourtant, pour moi, il s'agissait de faire un aller-retour le même jour. Je n'ai absolument rien emporté ce jour-là. Je suis restée au village pendant un mois. J'étais obligée de laver la même tenue tous les jours. Je me cachais dans les champs en attendant que la tenue sèche et je la reportais. Il n'envoyait pas de l'argent », a-t-elle dit les larmes aux yeux.
Elle décide alors de revenir à Ouagadougou, malgré le refus catégorique de son époux et rejoint le domicile conjugal. Entre temps, ce dernier a pris une seconde épouse. Aïcha ayant refusé de rester au village, son mari décide de lui rendre la vie impossible. Il ne lui donne plus d'argent et ne s'occupe plus des enfants.
« Même l'argent de la popote ne m'était plus donné. Il donnait seulement l'argent à ma coépouse enceinte. En plus de mon travail de tisseuse, je me rendais dans des domiciles pour laver des vêtements. Le peu d'argent que je gagnais, je l'utilisais pour nourrir les enfants. Je n'avais plus d'argent pour scolariser mes deux premiers enfants, leur papa ayant refusé de le faire. Ma fille est donc allée en Côte d'Ivoire, où elle vend actuellement du bissap avec un membre de la famille. J'ai très mal, car, les promotionnaires de ma fille sont en avance à l'école », assure-t-elle.
Le pire pour elle est que son époux ne s'inquiète même pas de la santé de leur benjamin malade. Les joues du petit garçon grossissent de manière anormale depuis trois mois. « Au début, on pensait que c'était des oreillons, mais sa maladie ne fait que empirer. Des proches ont supplié son papa pour qu'il se rende à l'hôpital avec l'enfant. Il est allé une fois avec lui, mais c'était la première et la derrière fois ». Aicha confiera que la famille de son époux, les imams et les voisins ont à maintes reprises essayé de le raisonner, mais en vain. « On lui a demandé si je l'ai trompé ? Il a dit que non. On lui a demandé si je suis irrespectueuse ? Il a répondu non également. Il a juste dit qu'il ne voulait plus me voir chez lui. Il m'a même menacé en disant que si je ne quittais pas la maison, il allait me convoquer à la gendarmerie. J'ai eu peur, mais les voisins ont dit que s'il osait, c'est la gendarmerie même qui allait l'arrêter à ma place ».
Face à son refus de quitter le domicile conjugal, son époux s'est mis dans une colère noire un de ces quatre matins. C'est sous une pluie battante qu'il a jeté toutes ses affaires dans la cour et lui a interdit de rentrer dans le salon. « Mes affaires traînaient dans la cour et la pluie m'a copieusement battue. Je pensais qu'il allait au moins faire rentrer les enfants, mais il les a laissés dehors comme moi. Depuis un bon moment, il ne leur donne plus aucune affection d'ailleurs. Même ma rivale s'est mise à pleurer et lui a demandé d'arrêter. Elle a même menacé de s'en aller s'il continuait dans cette folie. Il s'est énervé encore plus et lui a dit qu'elle pouvait me suivre. Il a donné mon transport pour que j'aille rejoindre mon papa au village », s'est remémoré Aicha émue. Cette nuit-là, elle a dormi chez une proche avant de se rendre le lendemain chez un oncle.
Risquer sa vie en retournant dans une zone d'insécurité
Aïcha a une double peine, son village paternel ploie sous l'hydre terroriste. Son père a lui-même fui sa zone d'origine pour se réfugier à Pissila. « Mon papa est devenu un déplacé interne. Mon époux le sait très bien, mais cela ne l'empêche pas de me dire d'y aller avec les enfants. Il a dit qu'il allait m'envoyer de l'argent de temps en temps. Mon père ne veut pas que je vienne, car il vit là-bas dans des conditions difficiles et a peur que je sois exposée en cas d'attaque terroriste. Il faut dire aussi que mon deuxième fils est au village au côté de sa grande mère paternelle. Il ne va plus à l'école », a-t-elle révélé.
C'est dans ce tourbillon qu'elle a demandé à son oncle paternel de la recueillir avec ses deux enfants chez lui à Kaya en attendant qu'elle trouve une solution, ou à défaut, qu'elle reparte vivre à Pissila aux côtés de son père. Cette mère désespérée avouera que si son époux revenait vers elle, elle acceptera de regagner le domicile familial pour le bien-être des enfants. « Sinon si cela dépendait de moi, je ne vais plus y retourner » lâche-t-elle. Aicha n'a qu'un seul rêve, remettre ses enfants à l'école et leur assurer un bon avenir. Elle se dit dégoutée du mariage, car, si elle savait que son mari allait autant changer, son père n'allait même pas la donner en mariage, 15 ans plus tôt.
Samirah Bationo
Lefaso.net
Le barreau du Burkina Faso organise les universités judiciaires, ce vendredi 7 juillet 2023 à Ouagadougou. Cette activité, qui réunit des avocats et des magistrats, a pour thème : « La postulation et l'office du juge et assimilés ».
Selon le bâtonnier de l'ordre des avocats, Me Siaka Niamba, la postulation, c'est tout ce que l'avocat a comme rôle de représentation, de conseil, d'assistance à apporter à ses clients.
En organisant ces universités judiciaires, l'ordre des avocats du Burkina veut rapprocher les magistrats et les avocats « qui sont dans la même barque pour l'œuvre de justice », a justifié Me Siaka Niamba. « Il s'agit de faire en sorte que l'œuvre de justice se porte bien, qu'elle soit appréciée du justiciable », a-t-il poursuivi.
Et pour communier ensemble, les avocats ont choisi pour thème : « La postulation et l'office du juge et assimilés ». Selon le directeur de cabinet du ministre de la justice, garde des sceaux, Moussa Ouédraogo, ce thème va permettre aux acteurs de mieux cerner les contours de la notion de postulation, ses formes possibles et l'adoption de résolutions y relative. C'est « une question existentielle », a-t-il déclaré.
En plus du thème principal, plusieurs sous-thème vont enrichir ce panel. La problématique posée est de savoir s'il y a un monopole de l'avocat devant certaines juridictions. Est-ce que d'autres acteurs peuvent jouer le rôle d'avocat devant ces juridictions ? Est-ce qu'il y a des acteurs qui font l'œuvre d'avocat en cachette ? Ce sont autant de problématiques qui sont au menu de ces universités judiciaires 2023, a rappelé Me Siaka Niamba.
Présent à la cérémonie d'ouverture, le président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) Mazobé Jean Kondé a laissé entendre que l'initiative d'organiser les universités judiciaires est à saluer « parce qu'elles permettent de mettre au cœur des échanges, des thématiques qui intéressent l'ensemble de la justice et ses acteurs ».
Cette année le barreau du Burkina a choisi de s'intéresser à la question de la postulation. « C'est une question transversale qui intéresse aussi bien les avocats et les magistrats que les justiciables », a-t-il indiqué.
Pour comprendre pourquoi certaines personnes se substituent aux avocats, la question de savoir si au Burkina Faso les avocats ne sont pas chers et pas accessibles se pose. Me Siaka Niamba a répondu : « il faut savoir que les avocats font beaucoup de social. Lorsque vous entrez dans un cabinet d'avocat, vous avez peut-être 50% des dossiers traités sans que l'avocat ne prenne un franc. Soit parce que le client n'a pas les moyens, soit parce qu'il n'a pas payé. Sur les 50 autres dossiers, il y a peut-être 20% où l'avocat gagne quelque chose de consistant et les 30%, ce sont les frais de procédure ».
Cryspin Laoundiki
Lefaso.net
Le verdict dans l'affaire dite appel à incendier le Palais du Mogho Naaba est tombé ce vendredi 7 juillet 2023 devant le tribunal de grande instance de Ouagadougou.
Marcel Tankoano, principal prévenu, écope de quatre ans de prison et dix millions d'amende ferme.
Pascal Zaïda et Abdoul Karim Baguian dit Lota écopent, chacun, de deux ans et six mois ainsi que deux millions d'amendes, le tout ferme.
Désiré Guinko prend 18 mois et un million d'amende ferme.
Boukaré Tapsoba est, lui, emprisonné à deux ans et un million d'amende ferme tandis que Karim Koné et Souleymane Belem écopent respectivement de douze mois et d'un million d'amendes fermes et de six mois avec sursis.
Lefaso.net
Le verdict relatif à l'affaire dite appel à incendier le Palais du Mogho Naaba est tombé ce vendredi 7 juillet 2023 devant le tribunal de grande instance de Ouagadougou. Les journalistes Lookman Sawadogo et Alain Traoré dit Alain Alain, ainsi que Boukary Conombo de la société civile sont relaxés au bénéfice du doute.
Lefaso.net
La paroisse centrale de l’Eglise évangélique libre d’Afrique (EELDA), à Mbuji-Mayi (Kasai-Oriental) a été vandalisée, jeudi 6 juillet, par certains de ses adeptes. Plusieurs chaises en plastiques ont été incendiées et d’autres emportées.
Les grandes familles KI, PARE, a YABA OUAGADOUGOU, BOBO DIOULASSO, KOUDOUGOU France ;
Les familles alliées et amis KI, PARE, GOBI, SANKARA, BONANE, TONI, GUEL, PANGUI, KAWANE, SIDIBE, KAMBIRE, TIOYE, YANRA, BERE,ZEBA,TINKODOGO
Les enfants et petits-enfants ;
Remercient sincèrement tous ceux qui, de près ou de loin ont apporté leurs marques de sympathie, de compassion, de solidarité, et de soutien multiforme lors du rappel à Dieu le 5 juillet 2023 à OUAGADOUGOU et de son inhumation le jeudi 6 juillet 2023 a YABA de leurs regretté père, oncle, frère, amis, et grand père Charles KI inspecteur du trésor à la retraite.
La famille se garde de citer des noms de peur d'en oublier.
Que Dieu le tout puissant, dans sa grande miséricorde vous récompense au centuple de vos bienfaits.
Une messe sera dite à l'intention du défunt ce dimanche 9 juillet 2023 a 6h 30mn à la chapelle saint Marc a la Zone 1.
En attendant les funérailles qui sont prévues pour le 02 décembre à YABA, la famille vous invite à vous joindre à elle pour prier pour le défunt selon le programme suivant :
Dimanche 09 juillet 2023 :
Chapelle saint marc sis à la zone 1 messe de 6h 30mn
Dimanche 16 juillet 2023 :
Chapelle saint marc, messe de 09 h : 00 mn
Église Saint François d'assise messe de 09 h : 00 mn
Église de Tingandogo, messe de 09 h : 00 mn
Église saint François Xavier à Tenkodogo messe de 09 h : 00 mn
Dimanche Le 23 juillet 2023 :
Chapelle saint marc, messe de 09 h : 00 mn
Église Saint François d'assise, messe de 09 h : 00 mn
Église de Tingandogo, messe de 09 h : 00 mn
Église saint François Xavier à Tenkodogo messe de 09 h : 00 mn
Dimanche 30 juillet 2023 :
Chapelle saint marc, messe de 09 h : 00 mn
Église Saint François d'assise, messe de 09 h : 00 mn
Église de tingandogo, messe de 09 h : 00 mn
Église saint François Xavier à Tenkodogo messe de 09 h : 00 mn
Dimanche 06 aout 2023 :
Chapelle saint marc, messe de 09 h : 00 mn
Église Saint François d'assise, messe de 09 h : 00 mn
Église de tingandogo, messe de 09 h : 00 mn
Église saint François Xavier à Tenkodogo messe de 09 h : 00 mn
Que dans sa grande miséricorde, l'éternel lui accorde le repos éternel.
UNION DE PRIERE
L’archevêque métropolitain de Kisangani(Tshopo) et président de la Conférence épiscopale du Congo(CENCO), Mgr Marcel Utembi Tapa a appellé, jeudi 6 juillet, le peuple congolais à « ouvrir les yeux dans le choix à porter sur leurs prochains représentants ».
Au cours d’une conférence de presse, le prélat catholique à exhorter les citoyens à faire preuve d’objectivité lorsqu’ils passeront aux urnes pour élire les nouveaux dirigeants du pays à tous les niveaux, en décembre prochain.