Les rescapés des éboulements du territoire de Kalehe (Sud-Kivu) souhaitent être relocalisés près de leurs champs.
Ils l’ont exprimé, samedi 8 juillet, lors de la visite du coordonnateur humanitaire en RDC, Bruno Lemarquis, à Bushushu.
Selon eux, les autorités doivent prendre en compte le fait qu’ils sont obligés de continuer à travailler leurs champs pour assurer leur survie.
Le gouvernement provincial de la Tshopo a doté, samedi 8 juillet, la ville de Kisangani de deux véhicules anti-incendie.
La cheffe de l’exécutif provincial, Madeleine Nikomba a remis ces engins à la mairie de cette ville.
En posant ce geste, elle a dit avoir accompli son devoir en vue de soulager la population :
Le chef de secteur des Beia, territoire de Pangi (Maniema), Jules Swedi Mindo a supprimé, dimanche 9 juillet, une barrière illégale, érigée vers la mission Matongo, à 15 KM de Baselele.
Une mesure qui a réjoui le président de la société civile locale, Gaston Kinegwa :
Le Conseil de Sages des Empires et Royaumes d’Afrique (COSERA) a prôné, dimanche 9 juillet, la restauration des principes démocratiques des empires et royaumes africains d’antan.
La présidente du comité exécutif de cette structure, Maryline Yav Mwat, princesse de l’empire Lunda au cours de l’émission « Okapi Métissage ».
Elle a expliqué que ces principes, basés sur la philosophie ubuntu, vont enclencher le processus de développement de l'Afrique.
Le procès de l'incendie du palais du Mogho Naaba qui avait cours depuis le début du mois de juin au tribunal de grande instance de Ouagadougou a livré son verdict le 7 juillet 2023. Ce procès concernait des activistes et responsables d'organisations de la société civile ainsi que des animateurs et journalistes. Il était reproché à ces personnes d'avoir voulu incendier le palais de l'empereur des Mossé en diffusant des messages audios sur les réseaux sociaux. Les audios devraient être diffusés par des influenceurs sur les réseaux sociaux qui ont des suiveurs qui se comptent en centaines des milliers, comme Naïm Touré, (227 000 suiveurs) Alassane Conombo (75 000 suiveurs) et Aminata Rachow (174 000 suiveurs).
Qui sont les principaux responsables condamnés par le tribunal pour mise en danger d'autrui et incitation à la divulgation de fausses informations ? Pourquoi l'activisme qui est une manifestation politique atypique trouve-t-elle un terreau fertile dans notre pays ? Pourquoi l'entrepreneuriat politique, comme l'a indiqué comme étant sa profession Marcel Tankoano aux juges, a-t-il de beaux jours dans notre pays ?
Le verdict relatif à l'affaire de l'incendie du palais du Mogho Naaba devant le tribunal de grande instance de Ouagadougou a relaxé les hommes des médias : le journaliste Lookmann Sawadogo et l'animateur Alain Traoré dit Alain Alain ainsi que Boukary Conombo. Sept autres personnes ont été condamnées à des peines diverses allant de 6 mois à 4 ans.
Parmi les condamnés il y a des activistes des organisations de la société civile qui ont été souvent dans les médias et sur les réseaux sociaux ces dernières années. Le point commun entre Marcel Tankoano, Pascal Zaïda, Abdoul Karim Baguian Lota, Désiré Guinko, c'est d'avoir par le passé été inconditionnels d'un ancien président. Ils ne sont pas des adeptes comme les autres. Leur engagement est passionnel et intense. Ils sont presque prêts à tout donner pour défendre leur idole. La politique c'est la défense de l'intérêt général, des idées et programmes politiques. Mais parfois chez les activistes, la politique se limite à la défense ou au rejet d'un homme, de son retour d'exil, de sa libération, de son maintien au pouvoir ou de sa chute. La cause de la lutte n'a qu'un but personnalisé. Et la personnalité qui vaut le combat et le sacrifice devient très vite aux yeux des activistes un héros, une personnalité charismatique alors que l'activiste lui devient un sujet clivant du fait qu'il ne s'accommode pas quand on ne partage pas ses choix.
Les activistes sont souvent des soutiens de putschistes
Dans notre pays, les activistes sont le plus souvent des militants qui aiment l'action, les manifestations de rue. Les activistes partout dans le monde n'ont pas peur d'être en porte-à-faux avec la loi et aiment les initiatives personnelles. « L'activisme est une conduite, un trait de caractère qui, dans ses principes d'action, met en avant l'action et l'initiative personnelles ». Ce n'est pas aux activistes qu'on demande de réfléchir sur le programme politique du parti et son avenir. Les activistes sont dans le court terme, ils ne travaillent pas pour un grand soir hypothétique. Au Burkina Faso, les partis politiques et les politiciens ont commencé à sous-traiter certaines activités plus ou moins légales, ou des points de programmes politiquement incorrects à des organisations dites de la société civile.
Le pouvoir de Blaise Compaoré a abusé de cette pratique et a créé des OSC pour les besoins de chaque cause. Avec le mouvement insurrectionnel en 2014, beaucoup d'organisations de la société civile se sont créées, et le printemps s'est poursuivi avec la victoire de celle-ci et la désignation des représentants des OSC dans les organes législatifs des transitions. Ces OSC, avec des activistes à leur tête, très souvent sont prêtes, contre rémunération, à organiser des manifestations contre et/ou pour le pouvoir. Les activistes des OSC pensent que les organisations politiques, les militaires putschistes ne les convient pas assez souvent à la table du banquet, aussi dans les périodes de crise, ils émergent parce qu'ils osent : on les reconnaît à leur audace, ils font et disent ce que les politiciens civilisés et policés n'osent pas dire et faire.
Marcel Tankoano, responsable OSC n'a pas craint de se présenter, en début de procès, comme un « entrepreneur politique ». Si les mots ont encore un sens, son engagement en politique n'est pas désintéressé, mais vise à obtenir un gain, un profit, une plus-value, une rente de situation. Est-ce pour cela qu'il a créé plusieurs OSC qui, comme des firmes, déposent le bilan pour une nouvelle ? Au commencement de cette aventure de business politique, il y a eu le M21 contre le pouvoir dictatorial de Blaise Compaoré. Cette entreprise ne lui donnera pas de profit. Et pour chasser Roch Christian Kaboré du pouvoir, il a sorti une nouvelle OSC de son carquois du nom de Mouvement sauvons le Burkina qui, avec d'autres organisations et coalitions, organisera des manifestations contre l'impuissance du MPP dans la lutte contre l'insécurité.
Finalement arrive le MPSR1 par coup d'Etat répondant à l'exigence de « Roch doit partir » en janvier 2022. Il retrouvera Pascal Zaïda dans le combat contre le MPP, lui qui avait commencé cette bataille bien avant pour le retour des exilés avec le Cadre d'expression démocratique (CED). Même si ce dernier ne se présente pas comme un entrepreneur politique, il est aussi un chercheur d'or dans son activité, qui rapporte puisqu'il peut obtenir des millions pour défendre des hommes d'affaires dans les médias. Avec l'avènement du coup d'Etat du lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, béni par Dieu selon lui, il entre à l'ALT. Toujours avec Tankoano, ils sont membres de la Coordination nationale des OSC pour la Patrie (COP) et de la Coordination nationale pour une transition réussie (CNTR).
La jeunesse devrait choisir ses combats, ne pas se mettre à la solde d'individus. Les combats à court terme, putschiste, à équation binaire, peuvent difficilement servir l'intérêt général. Elle doit surtout veiller à ne pas se retrouver piégée dans des organisations où il n'y a pas de débat, où on n'apprend pas à réfléchir, mais seulement à agir sur commande. Ce qu'il faut noter aussi qui est juste c'est que les activistes ont du succès quand l'action politique légale des partis d'opposition et des opinions contraires a peu de place dans l'espace public. L'activisme devient la méthode du dernier recours.
Sana Guy
Lefaso.net
Dans sa volonté de donner à la place Maurice Yaméogo de Koudougou toutes ses lettres de noblesse, l'association Songnaam a accompagné la mairie de la cité du cavalier rouge pour sa réhabilitation. Cette action des autorités traditionnelles coutumières à travers l'association Songnaam veut aider la ville de Koudougou ainsi que la commune.
Donner au « père de l'indépendance » et au premier président de la Haute Volta aujourd'hui Burkina Faso, la dignité et la place qu'il mérite est l'objectif selon Naaba Saaga, président de l'association Songnaam et chef d'Issouka.
En effet la place Maurice Yaméogo, située à l'entrée est de la ville de Koudougou, où une statue est érigée en sa mémoire pour son titre de père de l'indépendance et premier président de la Haute Volta, est un symbole de l'histoire du Burkina Faso et de la ville de Koudougou. Cependant, tout comme le palais de l'ancien président qui est devenu aujourd'hui un dépotoir, la place Maurice Yaméogo était devenue depuis quelques années le nid de certains animaux et des hautes herbes. Ainsi afin de redonner au père de la nation la place qu'il mérite dans sa ville natale, l'association Songnaam, en appui à la mairie, a procédé à la pose de pavés pour embellir le lieu.
Les activités de réhabilitation ont débuté le jeudi 6 juillet 2023 et pour ce faire, une délégation de l'association Songnaam, composée de son vice-président, Burkina Naaba et le président Naaba Saaga, chef d'Issouka s'est rendue le vendredi 7 juillet 2023 sur les lieux afin d'encourager les travailleurs.
« Cette place était vraiment laissée à l'abandon et elle devenait un buisson. Maurice Yaméogo qui est le père de l'indépendance et qui nous a donné le goût de l'indépendance ne mérite pas cela », a laissé entendre le président de l'association Songnaam.
A cet effet il n'a pas manqué de saluer et de traduire sa reconnaissance à l'endroit des étudiants de l'université Norbert Zongo qui, depuis l'année passée, œuvrent pour l'assainissement de la place Maurice Yaméogo. Aussi, l'association a traduit ses reconnaissances à l'endroit des fils et filles de la ville de Koudougou, de la mairie et de la Chambre de commerce pour leur implication afin de rendre le cadre plus attrayant.
A entendre le chef d'Issouka, la flamme du passé ne doit pas être éteinte. Pour lui cette flamme qui retrace un pan de l'histoire de la ville de Koudougou et du Burkina Faso de façon générale doit être préservée et protégée pour le bien-être des générations futures.
L'association Songnaam n'a pas manqué d'interpeler les plus hautes autorités pour un regard diligent envers ce patrimoine qui fait partie de l'identité politique et culturelle du pays.
« Je demande aux autorités de ne pas oublier qu'il y a eu des devanciers. Il y a eu un qui a proclamé avec ses limites et ses grandeurs. Il y a aussi d'autres qui lui ont succédé. Donc nous aurions aimé que le ministère de la Culture puisse trouver un mémorial pour tous ces devanciers qui ont géré notre pays », a-t-il fait savoir, tout en espérant que les hautes autorités entendent l'appel.
Prince Omar
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La ligue régionale du Centre de pétanque a tenu les 8 et 9 juillet 2023, la 9e édition de la compétition de pétanque. Au total 57 clubs soit 684 joueurs ont pris part à cette fête de la pétanque. A l'arrivée, c'est la JPCN qui est venue à bout de l'As Poste en finale par le score de 11 à 4. Il gagne le trophée, des médailles et la somme de 700 000 francs CFA.
La JPCN est le vainqueur de la 9e édition du tournoi de pétanque initié par la Ligue régionale du Centre. Elle a détrôné l'équipe « Soutong-nooma », championne nationale en titre. Les hostilités ont débuté le 8 juillet et ont connu leur apothéose dans la soirée du dimanche 9 juillet 2023. La finale, qui a été âprement disputée, a mise aux prises l'As Poste à la JPCN. Au finish, c'est la JPCN qui l'emporte avec le score de 11 à 4. En plus du trophée et des médailles d'or, elle empoche la somme de 700 000 francs CFA.
L'As Poste, finaliste malheureuse, se console avec 350 000 francs CFA et des médailles d'argent. Il faut dire que les 16 premières équipes ont tous bénéficiés d'une enveloppe d'encouragement. La 3e et 4e équipes sont reparties chacune avec 200 000 francs CFA. 50 000 francs CFA pour chacune des équipes de la 5e à la 8e . Enfin, 15 000 francs CFA, de la 9e à la 16e équipe dans le classement. Pour Issouf Kandou, tireur de la JPCN, le secret c'était de bien jouer et surtout ne pas laisser l'avantage à l'adversaire. Il a soutenu que c'est une revanche parce que l'As Poste les a éliminés plus d'une fois. Pour le président de la ligue du Centre de pétanque, Simon Zongo, une des particularités de cette édition, c'est qu'elle a été placée sous le thème : « Face au défi sécuritaire, soyons unis autour de nos FDS ». A ce titre, un appel à contribution a été lancé pour participer à l'effort de guerre.
De l'engouement et du fair-play
Autre particularité, non des moindres, est que la 9e édition a enregistrée 57 clubs, 20 de plus qu'à la 8e édition. Chaque club a 12 joueurs soit plus de 684 joueurs. « Personnellement, j'ai constaté que dès le début de la compétition, jusqu'aux demi-finales, le niveau était très élevé. Je peux même dire sans risque de me tromper que le niveau était même au-dessus du niveau de la finale. Sinon ce n'est pas le niveau réel des deux équipes comme cela », a-t-il-jugé.
L'équipe victorieuse, la JPCN, a-t-il poursuivi, est une jeune équipe. Elle n'a pas plus de deux ans d'existence. Par contre, trois joueurs de l'As Poste sont des joueurs de l'équipe nationale, qui sont très expérimentés. Du reste, le président de la ligue régionale du Centre a confié être totalement satisfait au vue de la participation et de l'engouement et surtout du fair-play qui a prévalu tout au long de la compétition. La 9e édition de la compétition de pétanque a été patronnée par le directeur général de la Poste du Burkina Faso, représenté par son SG, Christian Zombré.
A l'écouter, il a passé de bons moments même si l'équipe de la Poste n'a pas gagné. « Ce n'est que partie remise. Nous avons été émerveillés par l'engouement du public et le nombre de clubs participants. Cela traduit l'intérêt du public à l'endroit de la pétanque. Nous nous en réjouissons. C'est un sport qui a maintenant sa place parmi les autres disciplines au Burkina Faso. C'était deux équipes qui s'équivalaient en termes de technicité. C'est le sport qui gagne c'est la pétanque qui gagne », a-t-il analysé.
Obissa Juste Mien
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Du 7 au 8 juillet 2023, s'est tenue à Kaya, une session de renforcement des capacités de 20 leaders communautaires sur le leadership et la cohésion sociale. Une initiative qui s'inscrit dans le cadre du projet « Promouvoir la paix et la cohésion sociale dans la région » financé par le Fonds d'innovation pour l'engagement des bénéficiaires des programmes d'échanges éducatifs et culturels (AEIF)
La crise sécuritaire que vit le Burkina Faso ces dernières années impacte plusieurs de ses régions dont celle du Centre-nord, fortement touchée avec le déplacement de 493 954 Personnes déplacées internes (PDI) au 31 mars 2023 (CONASUR). Un nombre important des PDI, qui n'est pas sans conséquences sur la cohabitation pacifique, la paix et la cohésion sociale. Œuvrer à la recherche de la paix nécessite l'engagement et l'implication des leaders coutumiers et religieux, qui jouent un rôle important au sein de leurs communautés. C'est ainsi qu'une formation a été initié en leur faveur, par les anciennes bénéficiaires des programmes d'échanges éducatifs et culturels de l'ambassade des États unis (ABPEC/US-BF).
« L'objectif de ce projet, qui est une initiative de quatre anciennes bénéficiaires des programmes d'échanges éducatifs et culturels est de contribuer à renforcer la cohésion sociale et le vivre-ensemble entre communautés hôtes et déplacées de la commune de Kaya » explique Sylvie Tougouma, co-initiatrice du projet et membre de l'ABPEC/US-BF.
Pour atteindre cet objectif, les initiatrices ont fait appel à des spécialistes qui ont déroulé plusieurs modules en lien avec l'engagement des leaders dans la promotion de la paix et la cohésion sociale. Au cours des 48 heures, Fayçal Bangré, de la direction régionale des droits humains du Centre-nord, et ses co-formateurs ont développé les modules sur le développement personnel, le leadership et management des hommes, les connaissances de base sur la cohésion sociale, les enjeux de la promotion de la cohésion sociale : rôle des différents acteurs sans oublier la communication non-violente et le plaidoyer au service de la promotion de la cohésion sociale.
Les participants quant à eux se réjouissent de cette initiative qui leur permet de renforcer leur action au sein de leurs communautés. Outillés, ces leaders se sont engagés à être les porte-voix de l'ABPEC à travers des séances de restitution des connaissances acquises.
« Nous sortions de cette formation avec des rudiments nécessaires en faveur de la paix et nous nous engageons à partager ces connaissances à nos fidèles au cours des cultes » s'est engagé le pasteur Daniel Soré.
A l'instar de pasteur Soré, Jean Pierre Tarpaga, s'engage à rendre compte à sa hiérarchie de l'église catholique, pour que des messages de paix, de vivre ensemble puissent être partagés avec toutes les communautés chrétiennes de base lors de messes et différents regroupements.
Mariam Balima, participante au nom du Cercle d'études, de recherche et de formation islamique (CERFI) promet travailler à propager les connaissances au sein de la structure et même avec ses sœurs et coépouses en islam. « Au cours de nos rencontres, et lors de moments de prières, nous allons briefer, les messages de paix et cohésion sociale à nos sœurs afin que chacune puisse jouer son rôle dans son entourage »
Du côté de la chefferie coutumière, c'est une fierté car, il est du rôle des chefs, de travailler à maintenir la paix et le vivre ensemble au sein de leur communauté et cette initiative vient renforcer leur capacité en la matière selon le Woum-Noog Nabila du canton de Sanmatenga. « Nous sommes très fier de participer à cette formation, car nous en tant que chef, il est de notre rôle de promouvoir le vivre ensemble, et cette formation nous rend plus efficace et apte à jouer ce rôle ». S'est-il réjoui.
Rappelons que le projet est financé par le département d'Etat américain à travers le Fonds d'innovation pour l'engagement des anciens bénéficiaires des programmes d'échanges (AEIF), sur la base d'une compétition annuelle. Ce fonds leur est alloué pour développer des compétences acquises au cours de leur expérience à travers des solutions innovantes afin de contribuer à relever les défis auxquels leur communauté est confrontée.
Tibgouda Samuel SAWADOGO
Lefaso.net
L’Association des travailleurs du Congo, (ATCO), du secteur de commerces appartenant aux Indo-pakistanais, Chinois et Libanais et autres ont réclamé, dimanche 9 juillet, de bonnes conditions de travail.
Le président de cette organisation, Abdoul Belsi Ngandi a fait cette réclamation à l'issue d'une assemblée générale organisée dans la commune de Kalamu, à Kinshasa.
L’Association nationale des victimes du Congo (ANVC) a invité, dimanche 9 juillet, les nouveaux animateurs du Fonds national des réparations des victimes des violences sexuelles et autres crimes graves (FONAREV), à œuvrer pour l’indemnisation des victimes des conflits armés enregistrés en RDC.
Le président de cette organisation, Mhyrand Mulumba a lancé cette invitation lors d’un entretien à Radio Okapi :
La Banque Centrale du Congo (BCC) a indiqué, vendredi 7 juillet, que la RDC a exporté 32 505 tonnes de cacao, en 2022.
Elle a livré ces chiffres en marge de la journée mondiale du chocolat, fabriqué à base du cacao.