La gouverneure de la Tshopo, Madeleine Nikomba a signé, mardi 18 juillet, deux arrêtés, attribuant 11 396 hectares de concession forestière à deux communautés du territoire d’Isangi.
Il s’agit des communauté Yainyongo et Yainyongo Romée. Si la première communauté a reçu 3 402 hectares, la seconde en a eu 7 934 autres.
Une délégation du ministère de la Fonction publique a débuté, mardi 18 juillet, le traitement des dossiers des retraités de la première et deuxième vague, à Kabinda (Lomami).
Selon le chef de cette délégation, D’après Joe Kipoy, a affirmé avoir fait ce déplacement en vue de remettre les notifications aux cadres et agents de la fonction publique de la deuxième vague.
La Nouvelle société civile du territoire de Mambasa (Ituri) a appelé, mardi 18 juillet, les autorités à soutenir une milice locale qui combat les rebelles ADF dans cette contrée.
Le responsable de cette structure indique que cette mesure entend appuyer les efforts de l’armée dans la traque contre ces rebelles dans des zones dégarnies des FARDC.
Une démarche désapprouvée par les autorités militaires provinciales en Ituri
Un homme a tué sa femme, mardi 18 juillet, quelques heures avant que sa belle-famille le mette également à mort, à Kananga (Kasaï-Central).
Selon des sources sur place, l’illustre disparu est décédé avoir été tabassé.
Les mêmes sources rapportent que ce drame s’est produit à Kamenga, dans la commune urbano-rurale de la Nganza.
Le défunt mari a, lors d’une dispute, bousculé sa défunte femme qui est tombée.
L'Amicale des femmes de Bank of Africa (BOA), en partenariat avec l'association SOS sang, a organisé une opération de don de sang ce mercredi 19 juillet 2023 à Ouagadougou, au siège de la BOA.
A l'initiative de l'amicale, le personnel de l'institution bancaire s'est mobilisé pour faire de cette opération une réussite. Cinquième du genre, cette initiative vise à collecter le maximum de poches de sang afin de soulager les malades. « L'objectif est de contribuer à sauver des vies à travers ce don de sang », a indiqué Jeannine Zangreyanogho, présidente de l'amicale des femmes de la BOA.
« Nous sommes en période palustre avec la saison des pluies, donc les dons se font de plus en plus rares sachant que les principaux donneurs ce sont les élèves qui sont en vacances scolaires. Il est donc nécessaire, surtout pour nous femmes qui donnons la vie, de participer à cette noble activité en donnant notre sang pour sauver des vies, des enfants qui seront malades, des femmes en phase d'accouchement qui en ont besoin et même des hommes. Nous prévoyons donner en ce jour 90 poches de sang et nous espérons par la grâce de Dieu boucler la centaine en participant avec tout le personnel de la BOA », a expliqué Jeannine Zangreyanogho, présidente de l'Amicale des femmes de la BOA.
Pour Adjarata Touré/Ouédraogo agent de la BOA, avec la saison hivernale, le paludisme est récurrent. Il faut donc apporter son aide pour sauver des vies. « C'est avec plaisir qu'on fait le don de sang chaque année. Cette initiative de l'amicale est très bien car cela aide le CNTS dans la collecte de sang. Je suis contente de savoir que mon sang va contribuer à sauver des vies » a confié Adjarata Touré/Ouédraogo.
« On a tous eu entre-temps un proche ou peut-être nous-même qui avons eu besoin de sang pour retrouver la santé. Lorsqu'on a l'occasion de venir donner son sang, il ne faudrait pas hésiter à le faire », avance pour sa part Ben Idriss Ouédraogo, agent à la Bank of Africa.
En rappel, l'Amicale des femmes de la BOA a été créée en 2014 dans le but de promouvoir l'épanouissement de l'autre moitié du ciel au sein de ladite institution. Le don de sang est une des activités phares de l'amicale.
Carine Daramkoum
Lefaso.net
Dans sa stratégie de transformation structurelle de l'économie nationale, le Burkina Faso s'est engagé dans une approche territoriale de développement basée sur les pôles de croissance. Ainsi, pour opérationnaliser cette nouvelle approche de développement, une Stratégie nationale de promotion des pôles de croissance (SNP-PC) a été adoptée pour la période 2019-2023 et constitue le cadre fédérateur de toutes les interventions de développement des pôles de croissance.
Cette stratégie a identifié, en plus du pôle de croissance de Bagré déjà en exécution, plusieurs projets de pôles de croissance qui doivent être mis en place, parmi lesquels les agropoles de Samendeni et du Sourou. La formulation du projet d'agropole nécessite la conduite d'une série d'études dont de celle de la faisabilité, confiée au Cabinet Appui Conseil International pour le Développement (A.C.I/D-SA). Un atelier de cadrage a été organisé à cet effet, le 05 juillet 2023 à Ouagadougou.
Le cabinet Appui conseil international pour le développement (ACI/D-SA) conduit l'études de faisabilité de la vallée de Samendeni en une agropole. L'approche « pôles de croissance » consiste à centrer les interventions nécessaires sur une zone géographique à fort potentiel de développement pour produire de la croissance sur quelques secteurs d'activités capables d'engendrer des effets d'entraînement importants sur d'autres secteurs, villes ou régions dans une dynamique de développement intégré.
Pour ce faire, un atelier de cadrage de cette étude a eu lieu le 5 juillet 2023 à Ouagadougou. La cérémonie d'ouverture des travaux dudit atelier a été présidé par Monique B. Yarga/Ouédraogo, directrice générale du développement territorial par ailleurs présidente du groupe technique de suivi.
A l'en croire, la mission confiée au cabinet ACI/D-SA a pour objectif de réaliser une étude de la faisabilité technique, économique et sociale de l'agropole de Samendeni. Et d'expliquer que la construction de ce pôle de croissance consiste à transformer en une agropole, le Programme de développement intégré de la vallée de Samendeni (PDIS) qui dispose déjà d'un important potentiel de développement sur une zone aménageable de 21 000 ha et des investissements déjà réalisés. Il s'agit entre autres, d'un barrage hydroagricole de 1,050 milliards de m³, d'une centrale hydroélectrique de 18 GWhs.
En effet, dans la perspective d'un pôle de croissance, il est nécessaire de cerner tous les paramètres essentiels dont la conjugaison permettra la mise en place de l'agropole et d'assurer sa viabilité et sa rentabilité. De ce fait, toutes les questions liées aux potentialités de la zone, aux contraintes, aux acteurs devant interagir et les retombées possibles de l'agropole doivent être traitées à travers cette étude de faisabilité.
Selon l'administrateur du cabinet ACI/D SA, Hamed Fulgence Kafando, la réalisation de cette étude sera étalée sur une période de six mois, soit 180 jours calendaires. Une équipe de 16 experts, dont 9 experts principaux et 7 experts d'appui, a été mobilisée. Toute chose qui permettra, selon lui, de livrer un travail de haute qualité.
En rappel, la zone de l'agropole couvre 4 provinces et 12 communes des régions des Hauts-Bassins et de la Boucle du Mouhoun et correspond aux sous bassins supérieur et moyen du fleuve Mouhoun.
Moumbarak SILGA
Le commandant du Service National, général Jean-Pierre Kasongo a encouragé, mardi 18 juillet, la formation obligatoire des jeunes diplômés dans cet établissement public.
Il l’a exprimé dans une vidéo diffusée sur la toile sur sa mission à Dodoma (Tanzanie), où il est allé s'imprégner du modèle tanzanien.
Général Jean-Pierre Kasongo a fait savoir que la base du nationalisme, du civisme et du patriotisme, c’est le passage au Service national.
Alors que l’hivernage s’est véritablement installé dans le pays, les autorités maliennes ont annoncé des mesures contre les criquets pèlerins et autres insectes ravageurs. Malgré cette assurance des agriculteurs s’inquiètent. Une pluviométrie en deçà de la moyenne, la présence des criquets puants et les autres insectes nuisibles. C’est du moins la description de la situation […]
L’article Campagne agricole : des producteurs inquiets d’un éventuel retour des criquets pèlerins, les autorités rassurent est apparu en premier sur Mali Actu.
Décédé, vendredi 14 juillet 2023 des suites de maladie au CHU-Yalgado Ouédraogo, Yirpaalè Zéphirin Somda a été porté à sa dernière demeure, mardi 18 juillet au cimetière de Boassa, à la sortie ouest de Ouagadougou. Il laisse derrière lui une épouse et deux enfants inconsolables.
Comme une traînée de poudre, la nouvelle du décès de Yirpaalè Zéphirin Somda, à l'âge de 59 ans, s'est répandue dans le quartier Naab-Puugo, dans la soirée du 14 juillet. Pourquoi lui ? s'interrogeaient amis et autres connaissances qui l'avaient perdu de vue depuis quelques jours ?
Lors de la veillée funèbre, lundi 17 juillet à 20h, la tristesse se lisait sur les visages cachés derrière des verres noirs, des foulards et des morceaux de pagne. Le silence emplit le domicile, ponctué parfois par des sanglots étouffés. Plusieurs témoignages ont été faits par des membres de la famille. Tous sont unanimes : Yirpaalè Zéphirin Somda était un homme poli, gentil, affable. Parfois timide, mais il se souciait toujours de la cohésion entre les membres de sa famille. Il a combattu le bon combat et achevé son parcours terrestre entouré des siens.
Agent de la Société nationale burkinabè d'hydrocarbures (SONABHY) à la retraite depuis près de deux ans, il était retourné à ses premières amours : l'élevage. Il se consacrait à sa ferme avicole et piscicole qu'il avait mise en place des années auparavant. Infatigable, son amour pour l'élevage était grand si bien qu'il lui était difficile de marquer une pause de retour de son check up médical hors du Burkina. A travers une anecdote, son frère a confié que cet amour pour l'élevage remonte à son enfance. En visite chez son oncle maternel, il avait reçu de ce dernier un mouton qu'il avait ramené à la maison. Il aimait tellement l'animal qu'il voulait dormir avec lui. Il l'amenait même à la messe, a témoigné son frère.
A l'Église Christ Roi de Pissy, mercredi 18 juillet, la famille a confié l'âme du défunt à la miséricorde divine lors de l'absoute. « Une messe d'absoute est l'expression de notre désir d'entourer son corps de respect. C'est aussi notre désir de le confier à celui qui l'a créé à son image », a déclaré le père célébrant. Selon lui, nul ne connaît ni le jour, ni le lieu encore moins les conditions dans lesquelles il s'en ira. « Nous sommes en pèlerinage sur cette terre. Vivons comme des gens qui sont attendus ailleurs. Demeurons dans la confiance de Dieu même si nous sommes loin de lui ». Une nouvelle vie attend donc les deux défunts, dira le prêtre.
A l'en croire, si Dieu a créé l'homme à son image, cela signifie que ce dernier est immortel. Mais, précise-t-il, cette immortalité n'est pas liée au temps et à l'espace. « Elle est liée à la qualité de notre relation avec Dieu. La vie éternelle n'est autre chose que la connaissance de Dieu, la pratique des sacrements, etc. La vie éternelle commence par le baptême, se confirme dans la confirmation pour se poursuivre dans une vie de témoignage diversifiée. »
Après l'absoute, le cortège s'est ébranlé jusqu'au cimetière de Boassa pour l'ultime adieu. Toujours dans une ambiance insoutenable. Un dernier instant pour les enfants, Daniel et Kenneth, de témoigner à leur père toute leur gratitude pour l'amour, et la bonne éducation reçus.
Les obsèques coutumières se dérouleront à Tovor, dans la commune de Dissin dans le loba, à quelques kilomètres de la frontière du Ghana.
Adieu voisin !
HFB
Lefaso.net
Le service de la lutte anti-mines de la MONUSCO (UNMAS) a détruit, mardi 18 juillet, une bombe d’avion dans le champ de la population, à Kididiwe, territoire de Beni (Nord-Kivu).
Un soulagement pour la population de cette localité ayant retrouvé ses champs quelques minutes seulement après la destruction de cette bombe.