L'année fiscale 2023 de Plan international a été marquée par de nombreux défis dont les plus importants sont l'insécurité, la crise alimentaire et le problème de mobilisation de ressources. En dépit de cela, des avancées significatives ont été enregistrées avec 1 405 729 personnes touchées en 2023. Ce jeudi 27 juillet 2023, ses membres se sont réunis à Ouagadougou pour passer en revue les activités annuelles de leur institution.
Douze milliards de francs CFA. Voilà le montant injecté par Plan international au Burkina afin d'améliorer les conditions de vie des populations pour ce qui est de l'année fiscale allant du 30 juin 2022 au 1er juillet 2023. Durant cette année, il a été mis en œuvre 47 projets dans 3209 communautés, réparties dans les 13 régions du pays. Ces projets ont impacté la vie de 1 332 502 enfants de moins de 18 ans dont 184 381 filles. En tout et pour tout, ce sont 1 405 729 personnes qui ont été touchées.
Les projets implantés dans les 13 régions du Burkina avaient trait à plusieurs domaines parmi lesquels on peut citer : « la santé sexuelle et reproductive, la sécurité économique des jeunes et des femmes, la citoyenneté active, le développement de la petite enfance, la protection contre les formes d'abus, de négligence d'exploitation et de violence, la protection et assistance dans les situations d'urgence et amélioration de la résilience aux risques naturels, climatiques et anthropiques, etc. »
Selon Nicole Hien, représentante résidente par intérim de Plan international Burkina Faso, l'année a été difficile mais l'abnégation et la détermination du personnel et des partenaires a donné en fin de compte des résultats remarquables. Pour elle, il y a de quoi se réjouir. « A l'étape actuelle, nous pouvons nous réjouir d'avoir engrangé ensemble d'énormes victoires. Nous avons relevé beaucoup de défis et surmonté des obstacles. Nous avons accompli des engagements. Nous pouvons dire en toute humilité que nous avons fait preuve de détermination et de dévouement dans le contexte très difficile qui est le nôtre », dira-t-elle.
La revue annuelle de l'année écoulée n'est pas seulement consacrée au bilan de la mise en œuvre des projets. En effet, la présentation du niveau d'atteinte des indicateurs par projet et par domaine d'impact, l'analyse des forces, acquis, difficultés, faiblesses et leçons apprises, le partage du niveau de satisfaction des bénéficiaires des projets et la proposition de recommandations meubleront le cours de cette journée qui réunit une centaine d'acteurs.
2024 s'annonce elle aussi avec pleins de défis. Mais d'ores et déjà, Plan international poursuivra la mise en œuvre de sa stratégie 2019-2023, dont la date de fin a été prorogée jusqu'en juin 2024. « Nous prévoyons investir en 2024, plus de 14 milliards FCFA. Les interventions se feront dans tous les pays et dans tous les domaines programmatiques cités plus haut », a laissé entendre Nicole Hien. Pour atteindre les objectifs dans ces axes d'intervention ci-dessus cités, la représentante résidente par intérim de Plan international Burkina Faso appelle à une mobilisation continue et à une collaboration renforcée. « Je vous invite à maintenir le cap et à redoubler d'efforts pour cette nouvelle période. Ensemble, nous pouvons surmonter les difficultés, réaliser des résultats probants et contribuer à la construction d'un Burkina Faso plus équitable, inclusif et prospère pour tous », dira-t-elle à ces collaborateurs, pour conclure.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Le directeur général de la santé et de l'hygiène publique, le Dr Brice Bicaba, a présidé, ce jeudi 27 avril 2023 à Ouagadougou, la cérémonie d'ouverture d'un atelier de présentation des résultats du projet de renforcement des droits et santé sexuels et reproductifs. Le projet s'est également intéressé à la contraception, la planification familiale, la violence basée sur le genre, les femmes et les jeunes dans le contexte du covid-19 au Burkina. C'est un projet mis en place par le Fonds des nations unies pour la population (UNFPA), en partenariat avec le Canada.
Mis en œuvre d'octobre 2020 à juin 2023, soit une durée de trois ans, ce projet a permis d'engranger plusieurs résultats, selon le bilan qui a été rendu public au cours de la cérémonie d'ouverture de l'atelier. En termes de résultats enregistrés, le représentant résident de l'UNFPA au Burkina, Alain Akpadji, a cité, entre autres, 600 980 nouvelles utilisatrices de planification familiale, une prise en charge de plus de 400 survivants de violence basée sur le genre, plus de 2 000 prestataires de santé du privé et du public, formés sur la planification clinique axée sur les droits humains.
A ces résultats s'ajoutent la formation de 1491 agents de santé à base communautaire sur la distribution à base communautaire de la planification familiale, la prévention des VBG et du covid-19 et la dotation de kits de gestion des cas pour la sécurisation des données sur les violences basées sur le genre, à 42 districts.
Ces résultats ont permis, selon le Dr Brice Bicaba, d'améliorer l'offre en matière de santé reproductive dans 8 régions. Une occasion pour lui de remercier les différents partenaires de ce projet qui a commencé dans le contexte du covid-19 et a permis d'avoir un certain nombre de résultats tangibles en termes de santé reproductive, comme cités plus haut. Et tout cela concourt à l'amélioration de la santé de la population et à la réduction de la mortalité maternelle qui est un objectif du ministère en charge de la santé.
Malgré ces résultats tangibles, beaucoup de travail reste encore à faire pour réduire les inégalités, limiter les besoins non satisfaits en planification familiale et les grossesses non désirées et autres, a fait savoir le directeur général qui a joint sa voix à celle du représentant résident de l'UNFPA pour souhaiter la pérennisation des acquis et une éventuelle réplication du projet.
Ce projet, il faut le rappeler, a été mis en œuvre dans 8 régions du Burkina que sont les Cascades, le Centre, le Centre-est, le Centre-ouest, le Centre-sud, les Hauts Bassins, le Plateau central et le Sud-ouest.
Par ailleurs les réalisations menées au cours de ce projet ont contribué à la réduction des besoins non satisfaits en matière de planification de 19 à 16%, selon le représentant résident de l'UNFPA.
Le niveau de mise en œuvre des activités s'élève à 98,4% et est très satisfaisant, selon la chargée de coopération de l'ambassade du Canada au Burkina, Emefa Nina-Womitso-Mawulawoe, partenaire financier de ce projet. Selon elle, c'est un projet qui a coûté plus de deux milliards de francs CFA et vu les résultats engrangés, on ne peut qu'être satisfait parce que ce sont des domaines privilégiés par le Canada.
Quant à la réplication du projet, elle a rassuré qu'il y a des interventions qui sont prévues à cet effet.
YZ
Lefaso.net
Le Laboratoire Citoyennetés a organisé une cérémonie d'au-revoir à l'endroit de l'ambassadeur de l'Union européenne au Burkina Faso, Wolfram Vetter. En fin de mission au pays des hommes intègres (après quatre ans), il a reçu les hommages de l'organisation pour ses efforts consentis pour le développement du Burkina Faso. Cette cérémonie a eu lieu ce 26 juillet 2023 dans les locaux du Laboratoire Citoyennetés.
Tout d'abord, il faut rappeler que l'UE et la coopération suisse ont financé le projet "Faciliter la redevabilité et la veille citoyenne avec la société civile" (FASOVEIL). Ce projet, dont la mise en œuvre est assurée par le Laboratoire Citoyennetés et la Fondation Hirondelle vise à améliorer la qualité de formulation et de mise en œuvre des politiques publiques grâce à la contribution et à l'influence des organisations de la société civile et des médias.
C'est au regard de l'implication constant de l'UE à travers son ambassadeur Wolfram Vetter dans la mise en œuvre de FASOVEIL que le Laboratoire Citoyennetés et ses partenaires ont décidé d'organiser cette cérémonie d'hommage et d'au-revoir. « Le 20 septembre 2019, beaucoup d'entre nous découvraient pour la première fois dans les médias le visage de celui qui allait être pendant quasiment quatre ans la première personnalité de l'Union européenne au Burkina Faso. Quatre ans après, on ne peut pas ne pas dire que ce visage on le connaît en vrai. Il est connu. Il est présent, dans le cœur des Burkinabé. Ce visage, beaucoup l'ont rencontré dans des réunions. Ce visage, nous l'avons rencontré dans des ateliers et séminaires de réflexion et de propositions pour soutenir le Burkina. Ce visage, certains l'ont rencontré à Ponsomtinga, aux côtés des femmes tisseuses. Ce visage, on l'a vu à Kaya aux côtés des Personnes déplacées internes (PDI). Ce visage est aussi connu par beaucoup d'organisations de la société civile. Nous avons souhaité vous dédier cette cérémonie, pour vous exprimer notre reconnaissance et notre fierté d'avoir bénéficié de la confiance de l'Union européenne pour conduire un important projet d'appui à la société civile burkinabè, j'ai nommé le projet FASOVEIL », a déclaré le président du Laboratoire Citoyennetés, Raogo Antoine Sawadogo, dans son allocution.
« J'ai beaucoup de compassion pour le Burkina Faso »
Wolfram Vetter s'est dit très ému par cette marque d'attention et a confié que le peuple burkinabè est très chaleureux. Il a notifié que depuis le début de sa carrière, de tous les pays où il a été, les Burkinabè occupent une place importante.
« Je remercie le Laboratoire Citoyennetés, tous les représentants de la société civile et les représentants du gouvernement qui m'ont honoré aujourd'hui. Le travail avec la société civile a été l'un des piliers de notre coopération au Burkina Faso. La société civile est un élément central dans toute notre coopération. Elle a un rôle important à jouer dans les affaires publiques. Ces quatre ans n'ont pas été de tout repos pour le pays malheureusement. J'ai beaucoup de compassion pour le Burkina Faso. C'est douloureux de voir tous ces soldats tombés, les blessés et les familles. Je suis confiant que ce peuple restera debout, c'est un peuple extrêmement résilient. C'est un peuple qui m'a reçu de manière chaleureuse et qui a rendu mon séjour agréable », a-t-il signifié.
Wolfram Vetter est titulaire d'un doctorat en sciences, histoire et droit public de l'université de Bonn, en Allemagne. Ce diplomate européen était, avant sa nomination au Burkina Faso, ambassadeur, chef de la délégation de l'Union européenne au Burundi. Il a commencé sa carrière comme assistant parlementaire et agent temporaire au ministère allemand des Affaires étrangères (source : Direction de la communication de la présidence du Faso) .
Il faut noter que le budget mobilisé pour le projet FASOVEIL est estimé à 5,5 milliards de francs CFA, pour une durée de quatre ans (2022-2026).
SB
Lefaso.net
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Dans une déclaration signée par le Chef d'état major des armées nigériennes, le général de division Abdou Sidikou Issa, le Commandement militaire dit adhérer à la déclaration des militaires du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie.
Un accompagnement motivé selon le communiqué, par "le souci de préserver l'intégrité physique du Président de la République et de sa famille, d'éviter une confrontation meurtrière entre les différentes Forces qui au-delà de ces dernières pourrait provoquer un bain de sang et entacher la sécurité de la population et d'autre part, par le souci de préserver la cohésion au sein des Forces de Défense et de Sécurité".
Le Commandement militaire prévient que toute intervention militaire venant de l'extérieur, pourrait entraîner le chaos.
Invite est faite à l'ensemble des forces de défense et de sécurité, à rester concentrées sur leurs missions que sont la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
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Alors que des militaires, se réclamant du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie ont affirmé hier 26 juillet 2023 sur les antennes de la télévision nationale nigérienne avoir renversé le pouvoir de Mohamed Bazoum, le ministre des Affaires étrangères nigérien Hassoumi Massoudou les invite à rentrer dans les rangs car leurs revendications peuvent s'obtenir dans le dialogue. "Nous sommes les autorités légitimes et légales du Niger", a laissé entendre Hassoumi Massoudou sur France 24.
Celui qui se présente comme étant le chef du gouvernement par intérim, a affirmé qu'il n'y a pas de fait accompli et que le pouvoir légal et légitime est celui exercé par le président Bazoum.
"Il y a eu une tentative de coup d'Etat que nous ne pouvons évidemment pas accepter. Nous sommes certains que ce n'est pas la totalité de l'Armée qui a engagé ce coup d'Etat. La preuve, le Commandement de l'Armée ne s'est pas exprimé. Deuxièmement, le peuple nigérien ne peut plus accepter cela. Nous avons complètement dépassé ce mode anachronique d'expression d'une frange infime de notre population".
Hassoumi Massoudi dit avoir eu des nouvelles du président Bazoum qui serait selon lui toujours séquestré à sa résidence, même si son intégrité physique n'a pas été touchée. Il a appelé à la libération rapide et sans condition de Mohamed Bazoum, pour un retour à l'ordre constitutionnel normal.
"Nous appelons l'ensemble des patriotes à se lever comme un seul homme pour dire "non" à cette action factieuse qui tend à nous ramener à des dizaines d'années en arrière et à bloquer les progrès", a-t-il ajouté.
Lefaso.net
Le coup d'État contre le pouvoir de Mohamed Bazoum semble désormais consommé.
En effet, dans un communiqué lu dans la soirée du 26 juillet 2023 sur les antennes de la télévision nationale du Niger, un groupe de militaires, se réclamant du conseil national pour la sauvegarde de la patrie, affirme avoir mis fin au régime en place.
Entre autres raisons évoquées pour ce coup de force, la dégradation de la situation sécuritaire ainsi que la mauvaise gouvernance économique et sociale.
Lefaso.net
Le Directeur Général de l'Institut des Hautes Etudes Internationales (INHEI) a l'honneur d'informer les personnes privées , les responsables des structures publiques, parapubliques et privées, des collectivités territoriales, des organismes nationaux et internationaux désirant inscrire des agents au Diplôme d'Etudes Supérieures en Diplomatie et Relations Internationales (DESDRI) au titre de l'année académique 2023-2024, que les tests de niveau d'entrée à l'INHEI se tiendra le 24 août 2023 à Loumbila dans les locaux de l'Institut.
1- CONDITIONS DE CANDIDATURE :
Peuvent faire acte de candidature, les personnes privées et les agents en activité dans les structures ci-dessus indiquées et remplissant les conditions suivantes :
être titulaire d'une maîtrise ou d'une licence LMD ou d'un diplôme du cycle « B » de l'ENAM ou de tout autre diplôme reconnu équivalent et justifier de trois (03) ans d'expérience professionnelle ;
être de catégorie B1, A2 ou A3 et titulaire d'un baccalauréat et justifier de cinq (05) années d'expérience professionnelle ;
être titulaire d'un Master des universités et instituts supérieurs reconnus par le CAMES ou équivalent.
2- COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE :
a) Pour les candidats des structures privées
une demande manuscrite revêtue d'un timbre fiscal de 200 francs adressée à Monsieur le Directeur Général de l'INHEI datée et signée du candidat et indiquant son nom, ses prénom(s), son adresse e-mail, son numéro de téléphone ;
une photocopie de la dernière situation administrative du candidat ou un contrat d'embauche ;
une photocopie légalisée du diplôme requis ou son attestation en cours de validité (Master, Maîtrise, Licence LMD, BAC, diplôme cycle B de l'ENAM ou tout autre diplôme reconnu équivalent) ;
un extrait d'acte de naissance ou de jugement supplétif en tenant lieu ;
une lettre de recommandation de l'employeur ;
un relevé de compte individuel à jour délivré par la CNSS ;
un engagement à payer les frais de scolarité dûment signé et certifié par une autorité compétente ;
une photocopie du reçu de paiement des frais de dossier.
b) Pour les candidats des collectivités territoriales
Les conditions de candidature et la composition des dossiers de candidature des candidats des collectivités territoriales sont celles édictées par les dispositions du décret 2017-703/PRES/PM/MATD/MINEFID/MFPTPS DU 2 août 2017 portant conditions d'organisation des examens professionnels et des concours de la fonction publique territoriale.
c) Pour les candidats des structures publiques et para publiques
Les conditions de candidature sont celles édictées par l'acte pris par leur structure pour ouvrir le concours d'entrée à l'INHEI.
d) Pour les particuliers
une demande manuscrite timbrée à 200F adressée au Directeur Général de l'INHEI ;
un extrait d'acte de naissance ou de jugement supplétif en tenant lieu ;
une photocopie du reçu de paiement des frais de dossier ;
une photocopie légalisée du diplôme ou de l'attestation de succès au Master II ;
les relevés des notes de Master II ;
une copie légalisée de la pièce d'identité ou de la carte nationale d'identité burkinabè (pour les nationaux) ;
une lettre de motivation signée du candidat ;
un engagement signé du candidat, à ne pas exiger son intégration dans un emploi de la fonction publique à l'issue de sa formation.
3- DEPOT DES DOSSIERS
Les dossiers de candidature seront réceptionnés du lundi 07 août au lundi 21 août 2023 de 09 H à 15 H à l'Institut des Hautes Etudes Internationales, sis à Loumbila (sur la route de l'ENEP).
Les frais de dossier, payables auprès de l'Agent Comptable de l'Institut sont de vingt et cinq (25 000) francs CFA non remboursables.
4- INFORMATIONS IMPORTANTES
les employés des services publics, privés ou de la société civile doivent fournir une lettre d'autorisation de leur hiérarchie les autorisant à suivre la formation pendant deux (02) ans ;
l'admission à la formation ne donne droit ni à une bourse ni à une aide quelconque ;
la durée de la formation est de deux (02) ans. Elle est sanctionnée par le Diplôme d'Etudes Supérieures en Diplomatie et Relations Internationales (DESDRI). L'obtention de ce diplôme ne donne pas droit à une intégration dans un emploi de la Fonction Publique ;
la formation se déroule en régime présentiel. Par conséquent, tous ceux qui sont admis seront tenus de respecter rigoureusement les horaires de cours, de participer aux évaluations, aux séminaires et sorties pédagogiques sur le terrain ;
le début des cours de la 1ère année sera fixé ultérieurement par un Arrêté du Ministre chargé de la Fonction Publique.
5- FRAIS DE FORMATION
Les frais de formation sont fixés ainsi qu'il suit :
a) Particulier de l'espace UEMOA :
1 000 000 F CFA pour la première année,
1 200 000 F CFA pour la deuxième année.
b) Institution de la zone UEMOA :
1 500 000 F CFA pour la première année,
1 700 000 F CFA pour la deuxième année.
c) Particulier de l'espace hors UEMOA :
1 800 000 F CFA pour la première année
1 900 000 F CFA pour la deuxième année
d) Institution de la zone hors UEMOA :
2 200 000 F CFA pour la première année,
2 500 000 F CFA pour la deuxième année
6- FRAIS D'INSCRIPTION
Les frais d'inscription sont fixés à 25 000 F CFA.
Les épreuves sont notées de 0 à 20 et toute note inférieure à 7/20 est éliminatoire.
Pour toutes informations complémentaires, veuillez appeler l'un des numéros téléphoniques suivants : 25 40 78 69 /25 40 78 82 et 70 05 60 59.
Le Directeur Général
Dr Poussi SAWADOGO
Officier de l'Ordre National
Appel à candidatures pour le recrutement d'étudiants pour la préparation au Diplôme d'Etudes Supérieures de Comptabilité et de Gestion Financière (DESCOGEF)
Le Président du conseil scientifique du Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable du Burkina Faso porte à la connaissance des étudiants et des travailleurs qu'il est ouvert dans le Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable et Financière du Burkina Faso (CFECF-BF) le recrutement de cinquante (50) étudiants en première année du Diplôme d'Etudes Supérieures de Comptabilité et de Gestion Financière (DESCOGEF). Le diplôme est de niveau Master (BAC+5).
1- Conditions d'admission
Peuvent faire acte de candidature :
Les titulaires au moins du diplôme de licence en comptabilité ou en gestion conformément au Règlement N°03_2020_CM_UEMOA instituant le Diplôme d'Etudes Supérieures en Comptabilité et de Gestion Financière (DESCOGEF) commun aux Etats de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).
2- Admission
Les candidats présélectionnés à l'issue d'un examen de leur dossier seront soumis à un entretien avec le jury de sélection qui retiendra la liste finale des candidats admis.
3- Frais d'inscription et de formation
Les frais d'inscription annuelle s'élèvent à cinquante mille (50 000) Francs CFA.
Les frais de formation s'élèvent à deux millions (2 000 000) FCFA payables en trois (03) tranches dont 50% à l'inscription.
4- Composition du dossier
Une demande manuscrite non timbrée, adressée au Président du Conseil Scientifique du Centre ;
Un Curriculum vitae ;
Une lettre de motivation ;
Une photocopie certifiée conforme à l'original (par la Mairie ou le Commissariat de police) du diplôme de la Licence et du Baccalauréat ;
L'attestation de reconnaissance CAMES du diplôme (pour les établissements privés) ;
Quatre (4) photographies récentes portant au verso votre nom, prénoms et votre signature ;
Une pièce d'état civil ou tout document permettant d'établir votre filiation ;
Les relevés de notes de la 1ère à la 3ème année de la licence et du Baccalauréat ;
Une photocopie de la quittance de paiement des frais de dépôt des dossiers.
5- Dépôt des dossiers de candidatures :
Dépôt des dossiers de candidatures : du 14 Août au 30 Septembre 2023 ;
Présélection : 07 Octobre 2023 ;
Entretiens : 14 Octobre 2023 ;
Résultats : 17 Octobre 2023 ;
Début des cours : 02 Novembre 2023.
Le dépôt des dossiers a lieu du lundi au vendredi, de 8 heures à 12 heures 30 minutes et de 13 heures 30 minutes à 15 heures 30 minutes au Centre agréé de Formation à l'Expertise Comptable et Financière (sise à l'Université de Technologies et de Management (UTM) / Tél. 25 48 37 01).
Pour toute autre information complémentaire, contacter le Centre à l'adresse suivante : consortiumburkina@gmail.com Tél 25 48 37 01.
NB : Les frais de dépôt de dossiers s'élèvent à vingt-cinq mille (25 000) francs
CFA, payable auprès de la comptabilité du Centre.
La formation est dispensée dans la soirée à partir de 18 heures du lundi au vendredi et le samedi à partir de 15 heures. La présence aux cours est obligatoire.