Qui croit en moi, même s'il meurt vivra « Jean : 1-25 »
La grande famille KARGOUGOU à Kaya, Tikato,Zabga,Ouagadougou,Abidjan, France, Allemagne, Belgique, Canada, Etats-Unis ;
Le NabaKoom, Chef du Canton de Sanmatenga ;
Le TikatoNaba ;
Le KassirinNaba ;
Le Naaba Yemde de Zabga ;
Le Tib-Soaba de Gaoua ;
La Famille de Feu Paul-Edouard Moussa KARGOUGOU ;
La veuve OUATTARA Maimouna à Ouagadougou ;
Les enfants, Aicha, Jean de Dieu dit « Keffy », Odile, Viviane, Zakaria et Apollinaire ;
Les petits-enfants Nèmatou et Rachidatou ;
Les familles alliées OUEDRAOGO, NABYOURE, KAFANDO, SANDWIDI, TINTO,SAWADOGO, TAPSOBA, GUINGANY, SIMPORE, DAKOURE, GRENDENE, SONKOLIA, BOUDA, OUATTARA, ZINSOU, DARANKOUM, ZONGO, TAMBOURA, NONGUIERMA, TRAORE, TIENDREBEOGO, LOUGUE, ILBOUDO, MOSCATELLI, COMPAORE, LAGUEMVARE, HERLET, DROUET ;
réitèrent leurs sincères remerciements pour le soutien moral, spirituel, matériel et financier que vous leur avez apporté lors du rappel à Dieu de leur regretté fils, frère, époux, père et grand-père ;
KARGOUGOU Jean André Saïdou dit Papa Lycée
Décédé le 08 juin 2023 à Ouagadougou et inhumé le 09 juin 2023 au cimetière de Kamboinsin ;
Leurs remerciements vont particulièrement :
• A SEM le Président de la Transition, Chef de l'Etat :
• A SEM le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
• Aux membres du Gouvernement ;
• Au personnel du Ministère de la Santé et de l'Hygiène publique ;
• Aux partenaires techniques et financiers du Ministère de la Santé et de l'Hygiène publique ;
• Au personnel de l'Entreprise Delta Construction Business Burkina/Niger ;
• A la CCB Saint Joseph de la Paroisse notre Dame du Rosaire de Kologh- Naba ;
• Aux voisins de Ouidi ;
• Aux amis et connaissances ;
Et à tous ceux dont les noms n'ont pu être cités.
Que Dieu de par sa miséricorde, vous rende au centuple vos bienfaits.
Union de prières !
La commune de Ouagadougou, dans un communiqué en date du vendredi 4 août, annonce qu'elle pourrait effectuer des descentes inopinées dans les lieux de gardiennage d'engins à deux ou quatre roues parkings pour vérifier l'effectivité des tarifs appliqués aux vélos, motos et véhicules. Les parkings ne respectant pas ces tarifs fixés par la municipalité pourraient voir leurs agréments simplement retirés, prévient la commune. En rappel, selon les arrêtés municipaux de 2015, pour mettre son engin en sécurité dans les établissements scolaires et universitaires, les écoles de formations professionnelles, les formations sanitaires, les pharmacies, les morgues et les cimetières, les cyclistes doivent payer 25 francs CFA, les motocyclistes 50 francs et les automobilistes 100 francs. Les prix doublent au niveau de l'administration publique, des yaars et marchés. Pour suivre un concert et ou un spectacle, les propriétaires de vélos paient 100 francs CFA, ceux des motos 200 francs CFA et ceux des véhicules quatre roues 500 FCFA. Des gérants et des clients de parkings se prononcent ce jeudi 10 août 2023 sur la décision de la mairie.
Joseph Tangayiré
« Concernant la volonté de la mairie de faire des descentes inopinées au niveau des parkings, je trouve que c'est une bonne idée. Il faut tenir compte de la population, comment elle vit. Mais est-ce que les autorités pourront continuer sur cette lancée ? C'est la question. Il ne faudrait pas contrôler aujourd'hui et laisser demain, ils vont reprendre leurs habitudes. Si c'est 100 francs pour garer son engin, c'est 100 francs. Il ne faut pas essayer d'augmenter les tarifs. Pour moi, c'est bien de retirer les agréments de ces deniers s'ils augmentent les prix ».
Abdoul Kader Sawadogo (garagiste)
« La commune de Ouagadougou fait bien de contrôler. Mais elle a pris à mon avis du temps pour le faire. Souvent, vous allez dans les pharmacies, dans les hôpitaux, le prix pour mettre sa moto au parking est à 100 francs. Vous entrez voir votre malade et pour repartir on te dit au parking de te débrouiller pour trouver la monnaie avant de prendre ta moto, c'est un peu difficile souvent ».
Ousmane Ouédraogo (mécanicien)
« Je trouve que c'est une bonne initiative. Dans les hôpitaux et devant les pharmacies les prix ne sont souvent pas respectés. Parfois tu sors d'un hôpital et on t'oblige à payer 100 francs. Et quand tu n'as pas la monnaie et que tu leur tends 50 francs, ils refusent ».
Aboubacar Tahita (parkeur)
« Dans notre parking, les tarifs pour les motos sont à 50 francs. Nous sommes au CHU de Bogodogo, précisément au parking sini dit « Basm-yamm ». Il y a à peu près sept mois de cela, la moto était à 100 francs. Mais après cela, une note est sortie nous demandant de faire le prix à 50 francs. Maintenant nous faisons 50 francs pour les motos et 25 francs pour les vélos. Pour les visites inopinées annoncées par la mairie, je ne suis pas inquiet parce que je respecte les prix fixés. Et je trouve que cela est une bonne chose parce que y a des gens qui font ça à 200 francs ».
Lucienne Tamalgo (parkeur)
« Vous savez bien ici nous faisons la moto à 100 francs et le vélo à 50 francs. Le plus dur dans tout ça c'est que les gens refusent souvent de payer sous prétexte qu'ils n'ont pas de monnaie. C'est un réel souci pour nous. Pour certains, c'est de la mauvaise foi. Ils peuvent vous présenter un billet de 10 000 francs pour ne pas payer le prix du ticket. Nous avons notre agrément. Je ne suis pas au courant du dernier communiqué de la commune de Ouagadougou. C'est un sujet qui concerne mon patron. Je suis ici depuis environ deux ans et le prix est toujours le même : 100 francs pour les motos et 50 francs pour les vélos ».
Ahmed Pafadnam (parkeur)
« Le parking des motos à l'intérieur de Saramaya transport pour les voyageurs c'est une semaine gratuite et 500 francs après une semaine. Une personne qui vient peu importe où elle voyage nous gardons sa moto et elle paiera au-delà d'une semaine. Je ne suis pas au courant de la dernière note de la commune de Ouagadougou pour vérifier si les gens appliquent l'arrêt ou pas. Mais je ne suis pas inquiet pour ça car nous somme en règle et nous avons notre agrément ».
Francis Tondé (parkeur)
« Nous nous prenons ce que les clients nous donnent, 50 francs ou 100 francs. S'ils ne nous donnent rien aussi, ce n'est pas grave, nous n'obligerons personne à payer. En revanche, certains clients ne comprennent pas souvent, ils déposent leurs motos aux alentours sans aviser les parkeurs et en cas de vol, c'est comme si on y est pour quelque chose. Pour garder leur moto d'une valeur de 500 000 francs, voire plus, certains rechignent à payer 50 francs au parkeurs ».
Yentemma Alex Lankoandé / Ange Urielle Lézogo (stagiaires)
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Le Baas neere Naaba de Sig-noghin (arrondissement 9 de Ouagadougou) a fortement aidé les adultes supporters dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso. »
François Xavier SANTOBEGA est adulte supporteur dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso ». Pendant les trois années de mise en œuvre du projet (2020-2023), il a, avec d'autres collègues, sillonné les artères du quartier Sig-noghin, dans l'arrondissement 9 de Ouagadougou, avec pour objectifs de sensibiliser sur divers thèmes en lien avec la santé sexuelle et reproductive.
Leurs actions n'auraient pas été aisés s'ils n'avaient pas reçu l'accompagnement des responsables coutumiers du quartier. C'est le sens de leur visite ce matin du 02 juin 2023 dans la cour de Baas neere Naaba. « A chaque fois que nous avons eu besoin de lui, il a été très ouvert et accueillant, capable d'aménager son programme surtout quand il s'agit des problèmes de santé sexuelle et reproductive. Il est tout le temps disponible pour nous », affirme M. SANTOBEGA
Bénéficier de l'accompagnement des chefs coutumiers permet aux acteurs de la mise en œuvre du projet d'avoir un « laisser-passer » dans les quartiers et villages et de créer ainsi un environnement favorable pour l'atteinte des objectifs. Mais pour le Baas neere Naaba, c'est aussi leur contribution à la sensibilisation des plus jeunes. « Lorsque les enfants sont laissés à eux-mêmes, ils sont exposés à plusieurs maladies dont ils ignorent les causes. Il est donc important de les sensibiliser car cela est bénéfique pour leur bien-être. », a-t-il renchérit.
Le projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso » est financé par l'Ambassade du Japon au Burkina Faso, en partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA). Il est mis en œuvre par deux partenaires d'exécution que sont la Fondation KIMI et l'ABBEF (Association Burkinabè pour le Bien-Être Familial) avec l'appui de JOICFP (Japanese Organization for International Cooperation in Family Planning).
Publi-reportageLa troisième édition de la Journée de la sauvegarde de la biodiversité de l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité s'est tenue le samedi 12 août 2023 à Koankin, dans la commune rurale de Pabré. A l'occasion, l'association a planté plus de 300 arbres.
Pour cette troisième édition de la Journée de la sauvegarde de la biodiversité, l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité a mis l'accent sur les espèces qui ont des vertus médicinales, thérapeutiques et nutritives. « Nous avons fait un effort pour sauvegarder la plupart des plantes qui sont en voie de disparition. Pour l'entretien des arbres, nous n'avons pas de forage d'eau mais nous nous débrouillons avec nos moyens de bord, même si nous perdons un maximum d'espèces. Régulièrement, nous venons avec des grilles de protection et nous avons des gens qui surveillent en permanence le domaine », a expliqué Jean Ilboudo, le président de l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité.
Pour lui, cette journée symbolise la sauvegarde de la biodiversité. « Chaque année, nous choisissons un thème en rapport avec la protection des enfants. Nous ne pouvons pas envisager l'avenir sans les enfants qui constituent l'essentiel de notre population. Cette année, nous les avons impliqués pour qu'ils puissent vraiment s'approprier la protection de l'environnement et s'impliquer davantage pour que l'environnement puisse être sauvegardé. Il y a plusieurs espèces qui ont été plantées aujourd'hui », a-t-il précisé.
La cérémonie de reboisement s'est déroulée en présence du chef de Koankin. « Cette année, on a privilégié les enfants pour qu'ils sachent comment planter des arbres. En tant que chef de village, nous avons pris quelques mesures pour entretenir les plants. Nous avons essayé de former un groupe de relais qui tourne dans la forêt chaque matin et chaque soir pour voir s'il n'y a pas des animaux en divagation pour détruire ce que nous avons planté », a dit Naaba Kango.
L'activité, parrainée par Patricia Kabré, a regroupé plusieurs enfants, en plus des hommes et des femmes. « C'est avec un immense plaisir que je parraine cette troisième édition et le fait de choisir le thème consacré aux enfants, est vraiment une bonne initiative parce qu'il faut apprendre aux enfants à protéger la nature. La protection de la nature permet de lutter contre l'érosion et la dégradation du sol ; et quand on protège la nature, cela nous permet d'avoir des pluies », a déclaré la marraine.
Carine Daramkoum
Lefaso.net
Vidéo : RTB
Le Premier ministre du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), Ali Mahamane Lamine Zeine a jugé « inhumaines, iniques et inacceptables », les mesures prises par la CEDEAO contre le Niger. Ces sanctions à l'encontre du pays sont en contradiction avec les règles de l'institution régionale, a-t-il souligné.
Cette déclaration du Premier ministre du CNSP intervient à l'issue de la rencontre entre les autorités militaires nigériennes et des leaders religieux venus depuis le Nigéria en médiation.
« Cette rencontre importante vise à rapprocher les deux pays, le Nigéria et le Niger. Les leaders religieux ont fait passer le message du président nigérian au chef de l'État, le général Abdourahamane Tchiani ici même », a-t-il indiqué.
Selon Ali Mahamane Lamine Zeine, le chef de l'État nigérien a chargé les leaders religieux d'expliquer au président du Nigéria, Bola Tinubu, tout ce qu'ils voudraient voir se réaliser dans les prochains jours, à savoir la levée des sanctions.
Il affirme que son gouvernement reste ouvert pour conduire cette médiation en vue d'un retour à une situation de normalité.
Pour rappel, la délégation des leaders religieux de confession musulmane de la République fédérale du Nigéria, conduite par Cheikh Abdulahi Bala Lau est arrivée a Niamey, ce samedi 12 août 2023, en milieu de journée.
Hamed Nanéma
Source : Page Twitter LSI AFRIQUE
Thème du Pèlerinage : « Mon Ame exalte le Seigneur »
Mam siiga waogda m Soala
Lundi 14 Août 2023
16H00 - Découverte et bénédiction d'un monument devant la statue de Notre Dame de Yagma devant la basilique
18H30 – Invitation aux célébrations des fêtes de l'Assomption et des jubilés et anniversaires, par les cloches de la Basilique
19H00 – Célébration des 1ères vêpres de l'Assomption à la Basilique
19H30 – Début de la NUIT DES TEMOIGNAGES
• Intermèdes musicales : Chorale Naaba Sanem – M. Antoine Bouda
22H30 – Récitation du Rosaire
24H00 – ADORATION DU SAINT SACREMENT
Mardi 15 Août 2023 : CELEBRATION DE L'ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE MARIE
• 07H15 : Mot d'accueil et de Bienvenue
• 07H30 : Récitation des Laudes
• 08H00 : Récitation du Chapelet après l'installation de la statue de Notre Dame de Yagma
• 09H00 : CELEBRATION EUCHARISTIQUE
Procession d'offrandes
Solidarité avec les Déplacés internes
Procession mariale
BONNE ET HEUREUSE FETE DE L'ASSOMPTION
HEUREUX JUBILE SACERDOTAL A SON EMINENCE
JOYEUX ANNIVERSAIRE A TOUS ET A TOUTES
Le Président Félix-Antoine Tshisekedi a appelé les opérateurs économiques de la République démocratique du Congo à assumer leur responsabilité civile pour la protection des personnes et de leurs biens, après l’incendie d’un camion-citerne survenu mardi dernier à Kinshasa, a rapporté Patrick Muyaya, porte-parole du Gouvernement. Il l’a dit vendredi 11 août au cours du Conseil des ministres.
En raison de l'hivernage, le président de la délégation spéciale de Ouargaye, Mahamoudou Soulama a formellement interdit de se baigner dans le barrage de cette localité, située dans la province du Koulpélogo (région du Centre-est). L'objectif est d'éviter « autant que cela est possible » les noyades.
M. Soulama a particulièrement exhorté les parents hôtes et les PDI à sensibiliser leurs enfants pour qu'ils ne fréquentent pas ledit barrage en cette période « dangereuse ». L'autorité communale a prévenu que tout contrevenant s'expose à des sanctions, conformément aux dispositions règlementaires en vigueur.
Pour rappel, deux jeunes hommes âgés de 16 ans environs, y ont perdu la vie par noyade. Le premier cas s'est produit au barrage de Ouargaye tandis que l'autre est survenu au moment de la traversée d'une rivière.
Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina
Le Nigeria qui fournit 70 % de l'électricité utilisée au Niger, a coupé l'alimentation du pays en application des sanctions décidées par la CEDEAO.
Les Nigériens font face à l'enfer des coupures de courant prolongées. Une période de vache maigre pour le secteur informel notamment.
« Nous avions l'habitude de travailler de 8 heures à minuit, mais maintenant c'est impossible. Nous avons en moyenne une heure et 30 minutes d'électricité par jour et il est très difficile d'être productif dans de telles conditions. Depuis que le Nigeria a coupé l'électricité, nos ventes ont baissé. Nous essayons de travailler avec un générateur, mais nous ne pouvons pas l'utiliser pendant de longues heures parce qu'il est cher et que nous devons acheter régulièrement du carburant », raconte sous anonymat, un tailleur nigérien.
En sus de leur impact sur la vie quotidienne, les délestages de courant ne sont pas sans conséquence pour l'économie du pays.
« Les gens sont obligés d'acheter des lampes torches, des générateurs, etc. Mais pour les utiliser, ils doivent acheter des batteries, du carburant. Il y a aussi l'entretien. Ce sont des dépenses imprévues qui vont affecter le pouvoir d'achat de la population. Cette situation est désastreuse car l'électricité est un produit transversal utilisé dans presque toutes les activités économiques », explique un résident de Niamey.
C'est dans ce contexte que des chefs religieux musulmans nigérians sont arrivés à Niamey pour rencontrer des responsables de la junte militaire. Leur mission, tenter de trouver une issue à la crise. Alors que le Niger est sous la menace d'une intervention militaire de la CEDEAO.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Source : Africanews
L’administrateur du territoire de Kalemie dans la province du Tanganyika, John Mutombo, appelle le peuple Twa à la cohabitation pacifique avec les Bantous.
Il a fait cette déclaration samedi 12 août au cours d’une manifestation organisée dans la cité de Bendera, à l’occasion de la journée internationale des peuples autochtones qui est célébrée le 9 août.
Devant plus de 150 peuples Twa, il leur a demandé de « sensibiliser leurs frères qui sont encore en brousse de cesser avec les affrontements ».
La Mission des Nations unies au Mali (MINUSMA) a annoncé ce dimanche 13 août 2023, avoir "anticipé" son retrait d'un camp au sein de la localité de Ber, dans le nord du pays. Cette partie du territoire malien est l'objet de tensions entre l'ex-rébellion touareg et les forces armées maliennes.
La zone en effet, a été l'épicentre de combats où l'armée malienne a récemment perdu des soldats après une attaque "terroriste".
La MINUSMA dit avoir anticipé son retrait en raison de la dégradation de la sécurité dans ladite zone et des risques élevés que cela fait peser sur ses Casques Bleus. Elle l'a affirmé dans un message sur le réseau social “X” (anciennement Twitter), sans précision sur la date de départ initiale et les effectifs.
Lefaso.net
Source : aBamako
L’Intersyndicale de la Société commerciale des transports et ports (SCTP), ex-ONATRA, a appelé, samedi 12 aout, le nouveau comite de gestion à relancer le trafic fluvial et ferroviaire au pays.
Cet appel émane du président de cette structure, Armand Osase qui a tenu un point de presse à Kinshasa.
A cette occasion, il a évoqué le programme d’urgence à lancer rapidement avec 10 bateaux et 20 barges, aussi bien la reprise du trafic ferroviaire express et marchandise entre Kinshasa et Matadi (Kongo-Central).
L’auditorat militaire garnison de Butembo (Nord-Kivu) a libéré, samedi 12 aout, 50 détenus dont 2 femmes de la prison de Kakwangura.
Selon l'auditeur militaire garnison de Butembo, capitaine Georges Nkuwa, cet acte est lié à la célébration de 25 ans d’épiscopat de Mgr Melchisédech Sikuli, évêque du diocèse de Butembo-Beni.
Un présumé kidnappeur d’enfants a été présenté, samedi 12 aout, au gouverneur intérimaire du Maniema, à Kindu, une semaine après son arrestation.
Selon le gouverneur intérimaire Afani Idrissa, les premiers résultats de l’enquête révèlent que les enfants kidnappés étaient gardés dans les canaux rapides de Salomon Idi Kalonda, au beach central de Kindu.