L’Algérie condamne avec force l’attaque terroriste contre les forces armées nigériennes à Tabatol. Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté […]
L’article L’Algérie condamne l’attaque terroriste contre l’armée nigérienne est apparu en premier sur .
Des militaires en provenance du territoire de Walikale au Nord-Kivu s'installent sur le site de la coopérative minière de Bolwe, chassant ainsi les exploitants artisanaux. "Ils pillent les minerais de Punia", a dénoncé mercredi 4 octobre le député provincial Kalukula Lutaka, appelant à une intervention urgente des autorités compétentes.
Les combats ont repris tôt ce jeudi 5 octobre sur deux lignes de front dans le territoire de Masisi (Nord-Kivu), entre les groupes armés locaux et les rebelles du M23.
D’après des sources locales, des attaques ont été lancées de nouveau très tôt ce jeudi dans la région de Nturo-Kilolirwe et Ruvunda, groupement Bashali Kahembe.
Cependant, un autre front a repris sur l’axe Kibarizo, dans le Bashali Mokoto.
Le président de la fédération algérienne de football, Walid Sadi, revient sur les décisions prises lors du la première réunion du nouveau bureau fédéral. Il […]
L’article Walid Sadi dévoile la date de sa 1ère réunion avec Djamel Belmadi est apparu en premier sur .
Le Ministère de la Santé et de la Population a pris des mesures préventives pour contrer la propagation des épidémies et des nuisibles tels que […]
L’article Punaises de lit : l’Algérie adopte des mesures strictes dans les aéroports et les ports est apparu en premier sur .
À la demande du ministère de l’Industrie pharmaceutique, le groupe Sanofi a répondu favorablement en annonçant son intention de se lancer dans la production d’insuline […]
L’article Le groupe pharmaceutique Sanofi produira de l’insuline en Algérie dès 2023 est apparu en premier sur .
Les compagnies aériennes se préparent pour entamer la nouvelle saison hivernale, en proposant de nouvelles destinations pour les fêtes de fin d’année. Cependant, certains transporteurs […]
L’article Vols vers l’Algérie : Transavia annonce la date d’ouverture des ventes pour l’été 2024 est apparu en premier sur .
A l'occasion de la 33e édition de la Journée Nationale de la Qualité (JNQ), placée sous le thème : ‘'Le management des risques et de la continuité d'activité pour une résilience de l'économie nationale ‘' et coorganisée par l'ABMAQ et l'ABNORM, je tiens à rendre un hommage appuyé à ces deux gardiens du temple de la Qualité, de la Normalisation et de la Métrologie dans notre cher pays, le Burkina Faso.
Je salue leur dévouement à revigorer le flambeau de la Culture Qualité au Burkina Faso. Ils ont une vision noble, le changement par la Culture Qualité, car c'est le pari d'un avenir prospère et conquérant. Leur courage et la justesse de la cause qu'ils promeuvent viendront à n'en point douter, à bout des obstacles structurels et organisationnels, assumés, vifs, cachés ou subtiles.
Je les félicite pour l'organisation des JNQ et surtout pour la pertinence du thème retenu qui met le doigt sur une des plaies dont souffre nos entreprises.
En effet, aujourd'hui plus que jamais, les entreprises sont exposées à des risques majeurs d'origines diverses (risques d'évènement naturels, cyber criminalités, risques politiques, risques de ressources humaines). Ces risques peuvent entrainer de véritables sinistres, aux conséquences gravissimes, voire définitives sur les missions et activités ; d'où, la nécessité de mettre en place un Système de Management des Risques (SMR) et un Plan de Continuité d'Activités (PCA), outils de Management Efficace (Management du risque selon la norme ISO 31000/V2019, Système de Management de la Continuité d'Activités selon la norme ISO 22301/V2019)."La Continuité d'Activité est une philosophie d'Entreprise qui consiste à préparer la guerre en temps de paix".
Dans chaque entreprise, quel que soit le secteur d'activité ou la taille, nous devons identifier les processus opérationnels critiques. Car, si ses processus sont perturbés, interrompus ou empêchés par des évènements extrêmes, notre entreprise pourrait être mise en péril. Pour ainsi garantir la fonctionnalité de ces processus opérationnels critiques, nous devons maintenir les opérations quotidiennes pendant ou après un évènement menaçant, d'où l'objectif et l'avantage de la maîtrise du Management des risques et du Système de Management du Plan de Continuité d'Activités .
"Malgré toute la prévoyance et la planification, une urgence ou une crise survient généralement de manière soudaine et inattendue", et pourrait affecter tôt ou tard notre entreprise. Celles qui réussissent durablement ont généralement mise en place un SMR et un PCA. Les dirigeants/responsables d'entreprise, artisans, commerçants professions libérales doivent donc savoir comment faire face à une crise majeure afin d'assurer la continuité de leurs activités.
La mise en place d'un SMR et d'un PCA s'avère crucial pour toute entreprise. Idéalement, le SMR et le PCA sont gérés par un comité/une cellule dédiée qui supervise la mise en place et assure la mise en œuvre de ces outils en cas de crise. Cependant, si la taille de l'entreprise ne permet pas une telle organisation, le SMR et le PCA méritent d'être intégrés dans le système de management pour aider l'entreprise à se structurer pour mieux faire face aux crises.
A travers ce thème, c'est le fondement même de nos entreprises et la résilience à notre économie nationale qui sont questionnés car le Management des risques et le plan de continuité d'activité sont la ligne de vie des entreprises dans un contexte de crise. En effet, si nous voulons un Etat fort, avec une économie prospère pour la satisfaction de tous, le management des risques intégrant un plan de continuité d'activités est la seule voie à suivre. En revanche, si nous optons pour une ‘'jungle'', une ‘'pagaille'', une ‘'douce anarchie accommodante'' avec l'équilibre précaire qui s'y prête, notre réveil sera brutal et douloureux. On ne peut, ni ne doit jouer l'avenir d'une entreprise, voire d'une Nation à pile ou face au bord d'un gouffre anéantissant. Du reste, la triste et macabre actualité dans laquelle nos entreprises sont impactées et dans laquelle nous vivons des cauchemars éveillés depuis la crise sécuritaire, n'est-elle pas en partie due à la non-maîtrise de la gestion des risques et à la méconnaissance du Plan de Continuité d'Activité ?
Chers gardiens du temple, la tâche est noble de justesse, mais le défi est immense et demande des efforts colossaux et surtout un accompagnement de nos gouvernants. Alors, point de résignation car, rien ne peut se réaliser en un jour. En effet, même Dieu, le Maître de l'Univers a créé son Œuvre en sept (7) jours. Et, le temps de Dieu n'étant pas celui des Hommes, je vous souhaite du courage, de la patience et bon vent.
Tout est Question de Qualité !
Tout est Question de Management !
Tout est Question de Leadership !
Tout est Question de Culture Qualité !
Tout est Question de Culture d'Entreprise !
Adoptons la Culture Qualité au Quotidien !
Exigeons toujours la Qualité et Soyons toujours dans les Normes !
Dr BOUGOUMA Edith Christiane
Pharm.D, PhD. en Santé Publique et Microbiologie
(Certifié en Qualité-Santé- Sécurité-Environnement
et Management des Risques
BECqualityculture@gmail.com
Le jugement du dossier dit "Charbon fin", rouvert ce jeudi 5 octobre 2023, au Tribunal de grande instance (TGI) Ouaga1, a frôlé un renvoi avant d'être retenu pour être jugé ce jour.
Deux comparants (Sawadogo Abdoul Abass et Ramdé Pascal) n'ont pas été cités dans les délais à comparaître. Un motif brandi par la défense pour demander le renvoi du dossier conformément au code de procédures pénales pour préparer convenablement la défense de ces derniers.
A écouter Me Salembéré de la défense, ces deux comparants ont été irrégulièrement cités parce que la loi dit qu'il devraient l'être 5 jours avant la date de la comparution.
Pire, poursuit-il, Sawadogo Abdoul Abass et Ramdé Pascal ont été informés a comparaître via WhatsApp. "Depuis quand on convoque des prévenus via WhatsApp ?", interroge la défense.
Des explications du ministère public, même si ces derniers n'ont pas été cités à comparaître, du moment où ils sont présents à l'audience, parce qu'effectivement ils sont là, c'est déjà une citation a comparaître. Par conséquent, la requête de la défense ne tiendrait pas selon le parquet.
Le parquet ajoute que les prévenus de même que leurs conseils connaissent très bien le dossier, qui date de depuis 2019, et le dossier n'a pas changé. C'est le même depuis 2019 et les résultats des expertises reçus en juin 2022, ont été communiqués à toutes les parties.
Après ces débats contradictoires des différentes parties, qui ont duré plus d'une heure, le juge a finalement décidé que le dossier peut-être retenu pour être jugé ce jeudi 5 octobre 2023, parce que tous les prévenus sont là. Il en est de même pour les témoins.
A la barre, le représentant de la société IAMGOLD Essakane SA, Cheick Tidiane Barry ne reconnaît pas les charges retenues contre la société. Ces charges sont entre autres, fraude en matière de commercialisation d'or et des autres substances précieuses, exportation illégale de déchets dangereux, blanchiment de capitaux, faux en écriture privée de commerce, usage de faux en écriture privée de commerce.
Lefaso.net
Amine Gouiri revient sur son choix d’opter pour l’équipe d’Algérie. Il se dit soulagé après avoir annoncé la nouvelle il y a environ dix jours. […]
L’article Amine Gouiri revient sur son choix d’opter pour l’équipe d’Algérie est apparu en premier sur .
L'Association art et culture a donné le top départ de la 3e édition de la Biennale internationale de la sculpture de Ouagadougou (BISO) dans la soirée de ce mercredi 4 octobre 2023, à Ouagadougou. Le ton a été donné par un vernissage d'une vingtaine d'artistes venus d'Afrique et de la diaspora. Cette édition se tient sous le thème : « Feu des origines ».
C'est parti pour la 3e édition de la BISO sous le thème : « Feu des origines ». Un vernissage d'une vingtaine d'artistes venus d'Afrique et de la diaspora a marqué le début de cette édition. Ces artistes ont présenté leurs créations après plus de 4 semaines de résidence. Ils ont travaillé à partir de matériaux locaux dans un échange unique d'expérience et de savoir-faire pour la création d'œuvres uniques.
Le thème de cette édition, inspiré du roman du Congolais Emmanuel Dongala, qui retrace l'histoire du Congo, de l'avis de Nyaba Léon Ouédraogo, président de l'Association art et culture, structure porteuse de la BISO, a été choisie pour inviter à aller à l'essentiel. L'essentiel pour lui, c'est le pays, la mémoire et la famille. Prenant la parole, il a remercié tous ceux, qui, pendant ces résidences, ont soutenu les artistes dans les instances de création.
L'Association art et culture est l'un des bénéficiaires du 2e appel à projets du Fonds de développement culturel et touristique (FDCT) dans le cadre du Programme d'appui aux industries créatives et à la gouvernance de la culture (PAICGC), avec le soutien de l'UE. L'Association a été financé à plus de 29 millions de francs CFA dont une subvention du FDCT de plus de 25 millions de francs CFA pour la mise en œuvre de ce projet intitulé « Compétence croisée ».
De ce fait, la directrice générale du FDCT, Fiohan Caryne Traoré, a félicité les initiateurs pour la pertinence du projet qui entre en droite ligne avec les objectifs du PAIGC. Car il permet la création d'œuvres, la professionnalisation des artistes plasticiens, le partage d'expérience entre les artistes ainsi que la mise en marché des produits et services culturels issus de cette résidence. Le représentant de l'UE a indiqué que la BISO fait partie des 187 projets soutenus par l'UE dans le cadre de la PAIGC. Ce programme, a-t-il précisé, vise à améliorer la création d'emplois dans les thématiques prioritaires telles que l'artisanat d'art et les arts appliqués grâce à la professionnalisation des acteurs culturels dans la création d'œuvres.
Le représentant du ministre en charge de la culture, Yacouba Bonkoungou, avant de donner le top départ de la BISO, acte 3, a reconnu que la BISO, première biennale dédiée à la sculpture contemporaine sur le continent africain, attire aujourd'hui, et malgré le contexte sécuritaire difficile, de nombreux professionnels et sympathisants d'horizons divers pour célébrer l'art et la culture. « Le ministère de la Culture demeure sensible à de telles initiatives qui contribuent à l'atteinte de ses objectifs stratégiques. En ce qui concerne la structure art et culture, j'exprime ma satisfaction pour l'engagement, l'ingéniosité et le professionnalisme qui entoure ses différents projets », a-t-il félicite.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
A l'occasion de la Journée mondiale des enseignants, commémorée chaque 5 Octobre, les ministres en charge de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur, dans une adresse conjointe, rendent hommage aux acteurs de l'éducation. Ils reviennent sur l'importance de développer une éducation inclusive, efficace et de qualité, pour contribuer à former des citoyens à même de contribuer significativement au développement endogène du Burkina Faso. Les détails dans la déclaration ci-après.
Adresse des Ministres en charge de l'Education nationale
et de l'Enseignement supérieur
Chers membres de la Communauté éducative nationale ;
Chères enseignantes, chers enseignants.
La Journée mondiale des Enseignant(e)s, célébrée le 05 octobre de chaque année depuis 1994, est une occasion unique pour sensibiliser à l'importance et au rôle des enseignant(e)s dans le système éducatif.
Célébrée conjointement par l'UNESCO, l'Organisation internationale du Travail (OIT) et l'Internationale de l'Education (IE), elle donne l'opportunité de rappeler l'action éducative, positive et transformatrice des enseignant(e)s sur l'enfant et la société, et la façon de les soutenir, afin qu'ils/elles déploient de façon optimale leur talent et leur vocation.
En rappel, l'édition de 2023 est célébrée autour du thème suivant : « Les enseignant(e)s dont nous avons besoin pour l'éducation que nous souhaitons : l'impératif mondial de remédier à la pénurie d'enseignants ».
En choisissant ce thème, les institutions organisatrices ont voulu interpeller les Gouvernements du monde, sur la nécessité de rendre la profession enseignante plus attrayante et valorisée, dans le sens de susciter de nombreuses vocations parmi les jeunes intellectuels engagés pour la cause de l'Education, à l'effet d'accroitre en quantité et en qualité, le nombre d'enseignant(e)s partout où le besoin se trouve et de résorber de facto la question de la pénurie.
Chères enseignantes, chers enseignants.
Une sagesse universelle nous enseigne votre grandeur : « si tes projets portent à un an, plante du riz, à vingt ans, plante un arbre, à plus d'un siècle développe des hommes. » Eduquer les hommes quelle ambition ! quelle noblesse !
Tous autant que nous sommes, Educateurs, médecins, ingénieurs, chefs d'entreprises, producteurs agricoles, artisans, grands commis de l'Etat, nous devons notre devenir à nos enseignant(e)s. Mais quelle magie doivent-ils/elles opérer pour faire de cet enfant innocent, de cette cellule souche sociale, un homme ou une femme qui compte pour sa famille, sa communauté et son pays ? Et quelle souffrance doivent-ils/elles endurer pendant neuf mois chaque année, telle l'épreuve d'un accouchement, et ce pendant des années, pour former les enfants de la Nation ?
Nous voudrions en ce jour spécial qui vous est dédié, vous rendre un vibrant hommage pour ce que vous êtes, pour ce que vous faites et pour ce que vous continuerez de faire pour l'humanité, en dépit des dures conditions de travail dans lesquelles vous exercez ce beau métier.
En ce jour 5 octobre 2023, nous avons une pensée particulière pour les enseignant(e)s qui sont dans les localités les plus reculées, sans eau potable, sans électricité, sans loisirs, sans les petites commodités de la ville.
Nous mesurons encore davantage la souffrance des enseignant(e)s, qui assument leur sacerdoce dans des zones d'insécurité. Une belle maxime résume parfaitement le sens de ce sacerdoce : « l'enseignant(e) c'est comme une bougie qui se consume pour éclairer la vie des autres ».
Chères enseignantes, chers enseignants,
La condition du personnel enseignant fait l'objet d'une réelle préoccupation, au point que le 5 octobre 1966, l'UNESCO, en coopération avec l'OIT a adopté, dans le cadre d'une conférence intergouvernementale spéciale organisée à Paris, un ensemble de directives important visant à améliorer la condition du personnel enseignant au profit de la qualité de l'éducation.
Au Burkina Faso, nous faisons de notre mieux pour créer les conditions de l'épanouissement de l'enseignant(e). En ce moment, de grands efforts sont faits pour résorber la dette sociale, notamment au niveau de l'Education nationale. Avec la récente opération « casiers vides », je me réjouis de vous annoncer que plus de 90% des dossiers sont traités et de nombreux enseignant(e)s ont pu constater ou constateront l'incidence financière sur leurs bulletins de salaires.
La mise en œuvre du statut valorisant de l'Education nationale connait également de nouvelles avancées avec le reclassement de 27 434 agents ex-IAC et IC en A3 : cela représente une incidence financière de 12 175 344 884 sur le budget de l'Etat.
Au niveau de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, les enseignant(e)s n'ont pas besoin de test de reclassement comme cela se fait dans d'autres pays. En lieu et place d'un test de reclassement, la nomination et le reclassement des admis au CAMES est désormais systématique. Les enseignants-chercheurs bénéficient également de frais de voyage d'études et l'octroi de primes de recherche. Ces actions leur permettent de produire et de monter en grade supérieur au CAMES.
A tout le personnel enseignant de l'éducation du préscolaire, du primaire, du post-primaire, du secondaire, du supérieur et de la recherche, nous voudrions ici rassurer que nous ne ménagerons aucun effort pour que vous puissiez rendre à l'éducation le meilleur de vous-mêmes. Certaines de vos attentes légitimes, résident dans la relecture de certains décrets. A cet effet, nous allons entreprendre dans ce sens des démarches auprès des ministères en charge de la Fonction publique et des Finances.
Chères enseignantes, chers enseignants,
Le Ministère de l'Education nationale, de l'Alphabétisation et de la Promotion des Langues nationales et le Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation sont engagés à relever un grand challenge et nous devons le porter ensemble.
Il s'agit de développer une éducation inclusive, efficace et de qualité, pour contribuer à former des citoyens à même de contribuer significativement au développement endogène du Burkina Faso, et ceci dans un contexte de défis sécuritaire et humanitaire. L'Education en Situation d'Urgence nous impose l'impératif d'être inventifs et engagés pour assurer la continuité éducative sur l'étendue du territoire national.
Aussi je vous invite à être les modèles dont nous avons besoin pour l'éducation que nous souhaitons. Vous devez continuer d'être des solutions pour une école résiliente.
Bonne célébration de la Journée mondiale des Enseignant (e)s !
Dieu bénisse et protège le Burkina Faso !
La patrie ou la mort, nous vaincrons !
Les Ministres en charge de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur
Perturbé par de nombreux tumultes, le secteur automobile en Algérie commence à se reconstruire petit à petit. Dernièrement, le retour du constructeur chinois Chery avait […]
L’article Automobile : le constructeur japonais Nissan bientôt de retour en Algérie est apparu en premier sur .