AIN DEFLA-La demande en matière d’énergie électrique durant la période de pointe coïncidant avec la saison estivale de l’année 2018 devrait atteindre 15800 MGW, en hausse par rapport à la même période de l’année 2017 (14250 MGW), a indiqué dimanche à Aïn Defla, le PDG du groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab.
Cette situation exige le redoublement des efforts de la part de Sonelgaz afin de faire en sorte qu’il n y ait pas ou peu de coupures, a souligné Arkab au cours d’une réunion de travail tenue au siège de la wilaya à la fin de sa visite de travail, faisant état du rajout, durant la période considérée, de 1500 MGW au volume de la production annuel estimé à 18 000 MGW.
Faisant remarquer que 20 à 25 % de la production annuelle d’électricité sert de réserve à laquelle il est recouru lorsque la nécessité s’impose, il a noté que la rationalisation de l’utilisation de l’électricité pourrait contribuer à économiser de grosses sommes d’argent.
D’aucuns ignorent que Sonelgaz investit quelque 3 milliards de dollars par an, un effort qui sera certainement davantage rentabilisé si le gaspillage de l’électricité n’avait pas atteint les proportions que tout un chacun connait , a-t-il assuré.
Evoquant Aïn Defla, il a assuré que ses besoins en matière de gaz et d’électricité seront satisfaits d’ici à 2028, soulignant que le programme de distribution gaz de la wilaya sera achevé d’ici trois années.
Le taux de desserte en gaz passera à l’échéance indiquée à 100 %, a déclaré Arkab, faisant état dans ce cadre d’une enveloppe de 1,5 milliards de dinars dégagée entre Sonelgaz et les services de la wilaya de Aïn Defla en vue de mettre à exécution ce projet.
Il a indiqué que sa visite s’inscrit dans le cadre de l’inspection des ouvrages en cours de réalisation notamment ceux permettant d’améliorer la qualité des prestations durant la saison estivale où un pic de la consommation énergétique est généralement observé.
Se félicitant que le programme 2005-2009 ait été réalisé dans sa totalité, il a fait remarquer que le programme 2010- 2014 ait connu quelques perturbations au regard des difficultés de la mobilisation des fonds nécessaires découlant de la situation financière du pays.
Le même responsable a soutenu que l’effort de l’Etat visant la consolidation de l’accès à l’énergie ne va pas s’arrêter car, a-t-il dit, il s’agit d’un programme tracé par le président de la République, refusant de parler de gel des opérations mais plutôt de différé.
Il n y a ni gel ni annulation des opérations entreprises par le groupe Sonelgaz mais, en vérité, il y a lieu de parler de planning et de priorisation en vue de lancer les opérations qui ne peuvent pas attendre au regard de leur portée économique et sociale , a-t-il expliqué, observant que l’extension du parc logement de la wilaya et l’implantation de nouvelles zones industrielles nécessitera, inévitablement, un accroissement en matière de la demande énergétique.
A la fin de cette rencontre, le PDG du groupe Sonelgaz a procédé à l’installation de M.Khellakhi Slimane au poste de directeur de l’antenne locale de la Société de Distribution de l’Electricité de l’Ouest (SDO) en remplacement de M.Rebboud Djelloul muté vers la wilaya de Mascara pour le même poste.
Auparavant, M. Arkab a mis en service le centre d’électrification rurale du douar Zeraraka (commune de Djellida), et le réseau de raccordement au gaz naturel au profit des groupements d’habitations Oued Slimane et Driricha (commune de Bir Ould Khélifa) ainsi que 435 familles au niveau de la commune de Aïn Lechiakh.
A El Attaf, il a inspecté le projet de réalisation d’une agence commerciale de Sonelgaz avant de se rendre au transformateur électrique de haute tension (30/60 kv).
Au niveau du douar Drabla relevant de la commune d’El Amra, il a enfin procédé à la mise en service du réseau de gaz naturel au profit de 400 familles .
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ALGER- Une réunion de Haut niveau sur « la lutte contre le financement du terrorisme en Afrique » s’ouvre lundi à Alger avec la participation des représentants des Etats africains, des organisations et des experts internationaux, qui se pencheront sur les questions d’ordre stratégique préoccupant collectivement les Etats, ainsi que sur les moyens et méthodes de lutte contre le terrorisme.
La rencntre, de deux jours, co-organisée par l’Algérie et l’Union africaine (UA), regroupera les délégués des pays membres de l’UA, de l’Organisation des Nations unies (ONU), de l’Union européenne (UE) et d’autres organisations internationales et régionales activant dans la lutte contre le terrorisme et son financement.
Ces assises dont l’ouverture des travaux sera présidée par le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, verront également la participation des représentants des cinq pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU et du Canada.
La décision de tenir cette réunion à Alger a été prise en septembre 2014 par le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de paix et de sécurité de l’UA, et entérinée par un sommet » de l’Union africaine.
A cette occasion, les participants discuteront des défis réels dans la lutte contre le financement du terrorisme, ainsi que de plusieurs thématiques d’actualité en Afrique comme l’assèchement des sources du radicalisme violent et le terrorisme, les connections entre les trafics de drogue, d’armes et des êtres humains avec le phénomène du terrorisme.
En outre, d’une part, la réunion s’inscrit dans le cadre des efforts de l’Algérie pour lutter contre le terrorisme dans la région du Sahel et l’épuisement de ses ressources, et d’autre part, renforcer la coordination et la concertation entre les pays africains autour des questions sécuritaires, à l’instar de la lutte contre le terrorisme, la dé-radicalisation, le trafic d’êtres humains, de drogue et de la contrebande.
Dans le cadre des efforts déployés par l’Algérie, plusieurs conférences et réunions ont été organisées, telle que la Conférence de haut niveau sur le terrorisme, co-roganisée avec l’UA à Oran en décembre dernier, avec la participation de plusieurs pays africains
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Selon le Daily Star, José Mourinho souhaiterait à tout prix convaincre Neymar de rejoindre Manchester United
En effet, à en croire les informations du Daily Star, Manchester United aurait l’intention de proposer un deal faramineux au PSG. A savoir un échange qui inclurait Paul Pogba, Anthony Martial plus 50 millions d’euros contre Neymar comme le rapporte Football.
Si ces derniers mois l’avenir de Pogba s’est assombri à Old Trafford et que Martial ne joue pas vraiment les premiers rôles, c’est évidemment dans le sens inverse que ce sera plus compliqué à valider. On imagine mal, dans tous les cas, le PSGn céder sa star, peu importe le prix ou le fol échange proposé.
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Si Liverpool a obtenu une victoire de prestige face à Manchester City lors du quart de finale aller de la Ligue des Champions (3-0), un point noir est venu gâcher la fête des Reds.
La sortie sur blessure de leur meilleur joueur, Mohamed Salah. Toute la semaine, les supporters des Reds ont retenu leur souffle concernant l’international égyptien (55 sélections, 33 buts), touché à l’adducteur.
Préservé pour lors du derby de la Mersey face à Everton (0-0), l’entraîneur Jürgen Klopp entretient toujours le flou concernant la présence de son joueur lors du match retour de la Ligue des Champions, face aux Skyblues. « Tout le monde pense qu’il sera rétabli, mais on va voir. Je n’ai pas de nouvelles toutes les 5 minutes sur son état de santé. Donc je ne sais pas », a-t-il déclaré dans des propos relayés par Sky Sports et Footmercato.net.
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La déclaration faite au magazine américain Time est l’indice de sa détermination à prendre ses distances avec les choix antérieurs de son oncle, le roi Abdallah, et de son père, le roi Salmane, qui ont tous deux été partie prenante dans l’intervention en Syrie.
Alors que la décantation de la situation en Syrie progresse de jour en jour et que le contrôle du territoire par le régime s’étend, voilà que le prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salmane, en visite aux Etats-Unis, a défrayé la chronique, en reconnaissant pour la première fois publiquement, la défaite de son pays dans le conflit syrien. La phrase était censée anodine, mais elle a fait l’effet d’une bombe.
Répondant au Time dans le cadre d’une interview sur son programme politique et les relations privilégiées avec le président Trump, Mohamed Ben Salmane a annoncé le décrochage de l’Arabie saoudite en Syrie, avec ce constat selon lequel «Bachar al Assad restera au pouvoir».
C’est un revirement majeur de la politique saoudienne à un moment-clé du bras de fer qui l’oppose à l’Iran, accusé de soutenir les rebelles Houthis. Mais ce revirement n’est ni le fruit d’une brusque tentative d’adaptation au contexte régional qui voit la Turquie et l’Iran jouer un rôle de plus en plus déterminant aux côtés de la Russie ni la conséquence d’une remise en cause de la doctrine wahhabite.
Mohamed Ben Salmane a un agenda extrêmement dense et sa tournée aux Etats-Unis, à l’invitation du président Trump, doit durer trois semaines compte tenu des nombreux rendez-vous diplomatiques et économiques que le prince héritier entend capitaliser, afin d’imposer sa marque personnelle à la politique du royaume et, par-là même, neutraliser les velléités de contestation, voire de résistance, auxquelles il pourrait être confronté. La déclaration faite au Time est l’indice de sa détermination à prendre ses distances avec les choix antérieurs de son oncle, le roi Abdallah, et de son père, le roi Salmane, qui ont tous deux été partie prenante dans l’intervention en Syrie.
Pour bien marquer son ère, il n’hésite pas à provoquer un cataclysme en évoquant des sujets de politique étrangère loin des alcôves du palais royal. Innocente, cette sortie impromptue? Certainement pas car l’objectif est d’affirmer les nouvelles préoccupations saoudiennes qui concernent, d’abord et surtout, le Yémen où Riyadh espère toujours gain de cause, ainsi que l’Irak où sa présence tend à s’étoffer, face à la pénétration iranienne dans une population majoritairement chiite.
Conscient d’être embourbé dans une guerre au Yémen, le Royaume saoudien ne cache pas sa détermination à en finir vite pour consacrer ses efforts à la rivalité qui l’oppose au rival iranien.
La stratégie de Mohamed Ben Salmane, telle qu’elle a été exposée au président Donald Trump, vise à «réhabiliter» le régime syrien, avec à sa tête le président Bachar al Assad, pour prévenir le risque de sa dépendance totale en faveur de Téhéran, et ce en prévision d’un conflit ouvert au Liban.
Mohamed Ben Salmane a laissé transparaître cette préoccupation dans l’entretien accordé au Time: «Je crois que Bachar a intérêt à ne pas laisser les Iraniens faire ce qu’ils veulent.» De là à dire que le prince héritier attend du chef de l’Etat syrien qu’il «travaille avec lui» pour limiter l’influence de l’Iran, c’est prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages. Et pour cause, Mohamed Ben Salmane n’est ni stupide ni crédule, loin de là. Son souci est de minimiser les conséquences de plusieurs années d’affrontements, tout en se débarrassant de groupes extrémistes aujourd’hui vaincus et dont l’allégeance aux Frères musulmans n’est pas pour plaire à la monarchie wahhabite.
A ce niveau, Riyadh craint tout autant la menace chiite que la contagion insurrectionnelle que pourrait porter la montée en puissance des groupes rebelles dans le sillage de l’armée turque, au nord de la Syrie. D’où la nécessité de renouer avec le président Bachar al Assad, quitte à un mea culpa discret. Pour l’instant, on n’en est pas encore là, mais les choix pourraient mûrir très vite. Autre donne qui inquiète le royaume saoudien et le prince héritier, le processus d’Astana dont les royaumes du Golfe sont évidemment absents et qui pourrait, à terme, consacrer l’avènement de l’Iran et de la Turquie comme les deux seules puissances régionales, chose dont Riyadh ne veut entendre parler à aucun prix. Comme la Syrie demeure un acteur incontournable dans la problématique libanaise face à Israël, par Hezbollah interposé vis-à-vis duquel elle a en outre une dette marquante, l’unique solution pour peser dans le contexte régional est bien de revoir en profondeur les rapports avec le président Bachar al Assad.
Trop d’erreurs ont été faites entre 2011 et 2015, période durant laquelle le Qatar agissait seul, avec l’assentiment saoudien, pour dynamiter le régime syrien par groupes extrémistes interposés. La prudence puis les réticences du président Barack Obama qui n’a jamais penché pour une intervention des Etats-Unis dans le conflit, a proprement douché les illusions de Riyadh qui s’est retrouvé isolé face aux appétits qataris et turcs dont les groupes d’obédience Frères musulmans profitaient à grande échelle.
Tandis que les factions modérées se retrouvaient marginalisées, celles qui agissaient au nom des pays rivaux de la région ont évolué dans l’opulence autant que dans la surenchère, laissant croire en leur capacité de faire de la Syrie un pays où la souveraineté deviendrait sunnite et l’alignement tributaire de la confrérie des FM. Des calculs qui n’empêcheront pas les trois instigateurs saoudien, qatari et turc de rassembler tous les groupes pour s’emparer d’Idlib en avril 2015¨, et même de menacer le fief du régime syrien, Lattaquié. Au bord de l’effondrement, Damas reprendra des couleurs avec l’intervention imprévisible de la Russie début octobre 2015, certes pour protéger la base navale de Tartous, mais aussi pour sauver un régime allié dont le rôle est indispensable à sa stratégie dans la région méditerranéenne.
Cette intervention a bouleversé les rapports et les projections des trois pays. La Turquie se détourne d’Alep-Est, reprise par l’armée syrienne, et oeuvre au rapprochement avec Moscou pour préparer la guerre contre les forces kurdes soutenues par les Etats-Unis. Le Qatar, englué dans une crise avec les autres pays du CCG, va normaliser à son tour ses relations avec l’Iran et la Turquie pour se protéger des foudres saoudiennes et émiraties, quitte à peser sur Faylak al Rahmane et Ahrar al Cham pour leur départ de la Ghouta. Autant de revirement, autant de reniements même, qui rendent la partie belle au régime syrien et au président Bachar al Assad, soutenus sans faille par l’Algérie aussi bien auprès de la Ligue arabe que dans les instances majeures de la communauté internationale.
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La listériose qui a déjà coûté la vie à près de 200 personnes en Afrique du Sud se poursuit malgré le rappel des produits alimentaires contaminés, ont affirmé vendredi les autorités sanitaires.
A la date du 3 avril, le nombre de cas de listériose déclarés depuis le 1er janvier de l’année dernière et confirmés en laboratoire s’élevait à un total de 999. Sur ce nombre, 191 patients sont décédés, a indiqué l’Institut national des maladies transmissibles (NICD) dans son dernier point d’information sur ce foyer de maladie. Le 4 mars, le NICD a identifié la source de la contamination dans des produits préparés à base de viande fabriqués sur un site de production de Polokwane dans la province de Limpopo. Les produits de viande concernés ont ensuite été rappelés dans tout le pays.
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Le président Abdelaziz Bouteflika effectuera une visite officielle à Alger centre, lundi prochain la mi-juin, ou il devrait visiter notamment le métro d’Alger et la mosquée Ketchaoua.
Selon la même source, cette sortie officielle qui devrait avoir lieu lundi 09 avril conduira le chef de l’État notamment au métro d’Alger, à la place du 1er mai ainsi qu’à la mosquée Ketchaoua, inaugurée par le président turc Recep Tayyip Erdogan lors de sa dernière visite en Algérie il y a quelques semaines.
La même source indique également que le wali d’Alger Abdelkader Zoukh et le ministre des travaux publics et des transports Abdelghani Zaalane se sont rendus hier jeudi au métro d’Alger pour passer en revue les préparatifs de cette visite. De même, le ministre des affaires religieuses et des waqfs, Mohamed Aissa, se serait rendu de son côté à la mosquée Ketchaoua dans le même but, rapporte la même source. La présidence de la République n’a pas encore communiqué l’information.
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Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a exigé samedi le retour de deux soldats grecs détenus en Turquie après leur entrée, par erreur selon Athènes, sur le territoire turc.
« La vie humaine et la liberté humaine ne sont pas et ne devraient pas servir de pions à des jeux de pouvoir et au chantage », a déclaré M. Tsipras dans une déclaration au journal Documento. La détention depuis un mois dans une prison turque de ces deux soldats grecs a tendu encore davantage les relations entre les deux voisins. Selon Athènes, les soldats sont entrés par erreur sur le territoire turc le 2 mars en patrouillant à la frontière gréco-turque à la faveur de mauvaises conditions météo.
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Six boxeurs de la sélection algérienne (seniors messieurs) se sont qualifiés en finale des championnats arabes des nations qui se déroulent à Khartoum au Soudan (4-7 avril).
Il s’agit de Mohamed Flissi (52 kg), Khalil Litim (56 kg), Reda Benbaaziz (60 kg), Chemsedine Kramou (64 kg), Azzouz Boudia (75 kg) et Houmri Mohamed (81 kg). Les finales auront lieu ce samedi.
La délégation algérienne est conduite par le vice-président de l’instance fédérale, Athmane Laazizi. Le staff technique national est composé des entraîneurs Ahmed Dine, Boubekri Abdelhafid et Slimane Belounis.
Outre l`Algérie et le Soudan (pays organisateur), huit autres pays prennent part aux championnats arabes : Qatar, Yémen, Palestine, Liban, Tunisie, Maroc, Irak et Jordanie.
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Mohammed VI a fait preuve d’une violence verbale inouïe à l’encontre de l’Algérie dans une lettre officielle transmise mercredi au secrétaire général des Nations-Unies. Le roi fait porter aux Algériens l’entière responsabilité de l’enlisement dans le dossier du Sahara Occidental. Accusations auxquelles une réponse magistrale, d’un tout autre type, a été apportée jeudi en fin de journée.
Tout a été fait, il faut le dire pour que le message transmis à Antonio Guterres par Nacer Bourita parvienne très vite aux oreilles de l’Algérie.
Mercredi, alors qu’il se trouvait en tournée diplomatique «urgente» pour parer aux dégâts occasionnés par le dernier rapport du SG de l’ONU, le MAE marocain informe des cercles bien précis qu’une offensive sans pareille se prépare contre son voisin. Bourita a pour mission de se rendre à New York, mais, chemin faisant, il s’arrête à Paris où il s’entretient avec le chef de la diplomatie française.
L’appui de Paris aux thèses développées sur la marocanité du Sahara n’est un secret pour personne. Une fois arrivé aux Etats-Unis, et alors même que se déroule une rencontre avec le SG des Nations-Unies, la presse marocaine révèle le message dont il est porteur. «L’Algérie a une responsabilité flagrante (dans le conflit du Sahara Occidental). C’est l’Algérie qui finance, c’est l’Algérie qui abrite, c’est l’Algérie qui arme, c’est l’Algérie qui soutient et qui apporte son soutien diplomatique au Polisario «Le Maroc, poursuit la lettre, demande et a toujours demandé que l’Algérie puisse participer au processus politique, que l’Algérie puisse assumer une responsabilité pleine dans la recherche de la solution et que l’Algérie puisse jouer un rôle à la hauteur de sa responsabilité dans la genèse et l’évolution de ce différend régional.»
Le ton est égal à la panique qui s’est emparée du palais royal à la lecture du rapport d’Antonio Guterres. Le document impute aux Marocains l’entière responsabilité des blocages du processus de paix et dément les manœuvres et allégations marocaines visant à incriminer la partie sahraouie. Il appelle à des négociations directes entre les deux parties. Toute la stratégie marocaine s’écroule.
Les efforts de lobbying, l’argent versé ou proposé par le Makhzen aux plumes, artistes, sportifs pour porter la voix de rabat, les largesses accordées aux puissances qui le soutiennent n’ont pu fléchir la détermination et la sincérité du Portugais en poste à l’ONU.
La constance de l’œuvre de la diplomatie algérienne et le soutien apporté par le pays en vue d’une solution juste s’en voient aussi confortés.
Les raisons de l’attaque de Mohammed VI
Les raisons du déchaînement marocain deviennent dès lors une évidence. Trois points essentiels sont donc à retenir. Le premier est lié à l’échéance fixée par le SG de l’ONU pour la reprise des négociations directes avec le Front Polisario.
Le second, lié par bien des points au précédent, a trait à la contestation sociale violente qui secoue son pays à l’heure où le roi est accusé de régner «virtuellement» en raison de ses absences prolongées hors du Maroc. Le troisième, enfin, concerne naturellement la position algérienne qui s’est toujours refusée aux différents processus de dialogue entre les deux parties estimant qu’il revient aux Sahraouis de gérer leurs affaires.
Or, le Maroc a été appelé à se prononcer sur la reprise des discussions directes avec la RASD avant la fin du mois en cours. Pour éviter de répondre directement par la négative et endosser ensuite officiellement la responsabilité du statu quo, le roi s’est lancé dans de nouvelles manœuvres destinées à détourner l’attention en accusant violemment l’Algérie d’être responsable de l’impasse dans laquelle se trouve le dossier. C’est ce qui fait aussi que les Sahraouis aient été accusés ces derniers jours d’avoir violé le cessez-le-feu dans la zone de Guerguerat en laissant ses combattants pénétrer le territoire. Mais après enquête, les Nations-Unies ont répondu que ces reproches étaient infondés et qu’aucune violation n’avait été constatée. Bien au contraire, les Nations-Unies ont réitéré leur appel au dialogue.
Ce qu’a également fait l’ambassadeur américain à Alger après sa visite inattendue dans les camps de réfugiés sahraouis, séjour qui semble avoir également fortement déplu au royaume. Mais en définitive, le Maroc vient de refuser la reprise du dialogue, déterminé à œuvrer pour une solution qui s’apparente à la mise des territoires sahraouis sous protectorat marocain.
Pour faire vrai, le roi est monté d’un cran dans ses attaques contre l’Algérie, de manière à se faire entendre également par son opinion qui lui reproche ses absences prolongées à l’étranger. La presse espagnole, qui s’intéresse de près aux évènements marocains, rapporte que Mohammed VI est rentré deux fois au pays ces six derniers mois pour présider des conseils. Or, il se trouve que la situation au Maroc n’est plus ce qu’elle était.
Des vagues de protestations de grande ampleur atteignent y compris les grandes villes et la population exige des changements de fond auquels le roi n’a pas de réponse. L’unité nationale est un sujet qui mobilise, celui sur lequel Mohammed VI escompte retrouver son image.
La réponse d’Alger
A Alger, les diplomates qui se sont toujours montrés réticents à alimenter des polémiques inutiles constatent bien la grave erreur que vient de commettre Mohammed VI.
La formule «il perd pied» revient sur toutes les lèvres. Face à la violence des propos, le pays décide de réagir officiellement. La réponse est sereine, magistrale, et renvoie le voisin aux vérités citées dans le dernier rapport de l’ONU. Dans un communiqué émanant du MAE, «l’Algérie prend acte avec satisfaction de la volonté du secrétaire général des Nations-Unies réitérée dans son rapport au Conseil de sécurité (…) de relancer le processus de négociation et de faciliter des négociations directes, de bonne foi et sans conditions préalables, entre les parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario».
La même source ne manque pas de relever «les graves violations des droits de l’Homme y compris le recours à la torture perpétrée contre des Sahraouis dans le Sahara Occidental occupé, ainsi que de la persistance des restrictions imposées aux visiteurs étrangers y compris les journalistes et les défenseurs des droits de l’Homme dans l’accès au territoire du Sahara Occidental, dont a fait état le secrétaire général des Nations-Unies dans le même rapport».
L’Algérie apporte également son soutien au SG de l’ONU pour «la surveillance de la situation des droits de l’Homme de manière indépendante, impartiale, complète et durable» au Sahara Occidental. Elle exprime enfin «sa préoccupation» au sujet du refus marocain «également mentionné dans le rapport du secrétaire général, de permettre à la Mission de l’Union africaine de retourner à Laâyoune et de reprendre sa collaboration avec la Minurso, alors même que l’Assemblée des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine avait, lors de sa 30e session ordinaire tenue les 28 et 29 janvier 2018 à Addis-Abéba, a appelé instamment le Maroc à permettre à ladite Mission de retourner à Laâyoune».
Naturellement pressés d’en savoir plus, des journalistes qui contactent le ministère des Affaires étrangères ont droit à une réponse d’une rare sérénité en pareille circonstance. Citant une source autorisée, l’agence gouvernementale rappelle aux Marocains que le dossier sahraoui est une question de décolonisation inscrite en tant que telle aux Nations-Unies et que le soutien aux Sahraouis est une position naturelle, l’Algérie ayant elle-même bénéficié du soutien de pays comme la Tunisie et le Maroc durant la guerre de Libération, «mais il aurait été impensable de demander à l’une des parties d’aller négocier à sa place avec les Français». La partie sahraouie se contente d’observer elle pour le moment. Le processus est encore long. Et tous attendent en fait le prochain rapport du Conseil de sécurité auquel reviendra le dernier mot. De sa décision dépendra toute la situation à venir car c’est à lui qu’incombe la charge d’officialiser ou non l’appel aux négociations directes. Les Marocains sont déjà à pied d’œuvre, Nacer Bourita s’est rendu en Israël dans le but apparent de les amener à faire pression sur les Etats-Unis pour obtenir gain de cause et sans doute «tenter d’entraver le rapprochement entre Alger et Washington», commentent des sources bien informées.
Abla Chérif
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La branche Seat du Groupe Sovac a livré 7200 unités de la Seat Ibiza issues de l’usine Sovac Production SPA de Relizane, révèle le bilan trimestriel du constructeur ibérique.
Avec ce volume, l’Algérie se maintient dans le top 5 des meilleurs marchés de Seat et ce avec un seul et unique modèle, la Seat Ibiza de cinquième génération et ce en attendant le lancement de la Léon, en juin, et de l’Arona au courant du dernier trimestre 2018.
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Plus de 12.500 coureurs ont pris part à la 12e édition du Semi-marathon de l’Armée nationale populaire (ANP), courue vendredi entre le Complexe olympique Mohamed-Boudiaf et le Centre de regroupement et de préparation des équipes sportives militaires (CRPESM) de Ben Aknoun (Alger).
Cette course qui a regroupé les athlètes des différents corps de l’ANP, de la Sureté nationale, de la Gendarmerie nationale, de la protection civile et des adhérents des clubs civils, a enregistré une participation record par rapport aux dernières éditions.
Dans la catégorie (18-35 ans), c’est Abdelaziz Guerzize (CRPESM) qui s’est adjugé la première place devant Hamza Yousfi (5e région) et Abdelhadi Lameche (CRPESM).
Dans la catégorie (36-49 ans), la course a été remportée par Ahmed Boutaleb (Gendarmerie nationale) qui a devancé Ahcene Boualayaz (Direction pénitentiaire) et Mohamed Amine Hazez (2e région).
Chez les plus de 50 ans, c’est Ali Almouchadjari (5e région) qui a été sacré devant Mokhtar Djabour (Sûreté nationale) et Mohamed Athmani (Protection civile).
Chez les dames, c’est les coureuses de la Protection civile, Malika Benderbal, Nassima Sabor et Saadia Bouadjaib, qui se sont distinguées en s’adjugeant les trois places du podium.
Lors de son allocution, le Général Omar Griche, Directeur des sports au sein de l’ANP s’est félicité de la réussite de cette édition, estimant que « le semi-marathon national militaire constitue un rendez-vous profondément ancré dans les traditions de l’ANP, qui à travers sa programmation permet aux athlètes de se préparer au combat. »
« Cette compétition permet également de dénicher les meilleurs athlètes pour renforcer les équipes nationales militaires qui sont appelées à représenter les forces armées et l’Algérie lors des compétitions internationales », a-t-il ajouté.
La 12e édition du Semi-marathon de l’Armée nationale populaire (ANP) a été rehaussée par la présence de l’ancien champion olympique du 1500m, Noureddine Morceli, et le président du Comité olympique et sportif algérien, Mustafa Berraf.
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Les funérailles de Ahmed Boukhari, représentant permanent du Front Polisario auprès de l’ONU, auront lieu dimanche prochain et son corps sera inhumé au cimetière de la wilaya de Smara (camps de refugiés sahraouis), a annoncé la commission national sahraouie chargé des funérailles.
La commission, a indiqué dans un communiqué rendu publique vendredi, qu’elle a tenu sa « première réunion au siège de la présidence de la République arabe sahraouie démocratique, pour évaluer les préparatifs nécessaires pour l’accueil de la dépouille du Martyr Boukhari Ahmed et recevoir les messages de condoléances exprimées par les parlements, les partis politiques, des syndicats, des personnalités internationales et le mouvement de solidarité avec la cause nationale ».
A cet égard, la commission a annoncé l' »organisation d’un hommage posthume, auquel assisteront toutes les entités nationales ».
« Par sa mort, le peuple sahraoui aura perdu l’un de ses hommes qui ont sacrifié leur vie pour servir la cause nationale », a indiqué la présidence sahraouie dans un communiqué à la suite de l’annonce de la disparition d’Ahmed Boukhari mardi soir des suites d’une longue maladie.
Connu pour ses compétences diplomatique et juridique, notamment, au niveau des Nations Unies, « le défunt a accompli sa mission avec patience et persévérance jusqu’au dernier souffle », a-t-elle souligné.
Un deuil national de sept jours a été décrété à partir de mercredi dernier en hommage à ce diplomate et militant invétéré de la cause sahraouie.
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Les deux représentants algériens en Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), l’USM Alger et le CR Belouizdad, en déplacement respectivement à Lagos et Abidjan, tenteront de préserver leurs chances de passer pour la phase de poules, à l’occasion de la manche aller des 16es de finale bis de l’épreuve.
L’USM Alger, qui vient d’annoncer l’arrivée du technicien marocain Badou Zaki en vue de la saison prochaine, affrontera samedi Plateau United à Lagos (16h00, locales et algériennes) dans un match couperet pour les « Rouge et Noir », appelés à rester vigilants devant une équipe nigériane qui carbure dans son championnat.
Plateau United reste en effet sur une victoire réalisée à domicile face à Yobe Stars (2-1) qui lui a permis de remonter à la 4e place au classement avec 21 points, à six longueurs du leader, Lobi Stars.
Le club phare de Soustara s’est déplacé mercredi à Lagos, via Casablanca, avec un effectif amoindri par l’absence de cinq joueurs : Benchikhoune et Hamzaoui pour des choix tactiques ainsi que Sayoud, Bouderbal et le Marocain Hajhouj, blessés.
Le match sera dirigé par le directeur de jeu sud-africain Victor Miguel de Freitas Gomez, assisté de ses deux compatriotes Johannes Sello Moshidi et Athenkosi Ndongeni. La seconde manche se déroulera le mardi 17 avril au stade Omar-Hamadi (ex-Bologhine).
Le CRB retourne à Abidjan : au souvenir du cauchemar de 2001 L’autre représentant algérien dans cette épreuve, le CR Belouizdad, effectuera un déplacement périlleux en Côte d’Ivoire pour croiser le fer dimanche (14h00 locales, 15h00 algériennes) avec l’Asec Mimosas à Abidjan, dans une mission délicate pour le Chabab.
Le club de Laâquiba garde un mauvais souvenir de son dernier duel avec la formation ivoirienne. En octobre 2011, le CRB, dirigé à l’époque par Nour Benzekri, s’était fait humilier à Abidjan sur le score sans appel de 7 à 0, en phase de poules de la Ligue des champions.
Dix-sept ans plus tard, les joueurs de l’entraîneur marocain Rachid Taoussi veulent laver l’affront subi par l’équipe en essayant de revenir avec un bon résultat, de quoi leur permettre d’aborder la seconde manche, prévue le mardi 17 avril au stade 20-Août-1955 (17h00), avec plus de sérénité.
« Ce match, on doit le jouer avec beaucoup d’envie si on veut vraiment espérer se qualifier », a insisté Taoussi, qui devra se passer des services de pas moins de quatre joueurs, et non des moindres : Belaïli (problème de service national), Khoudi (qui va convoler en justes noces), Draoui et Heriat (suspendus).
La rencontre sera dirigée par l’arbitre zambien Janny Sikazwe, assisté de son compatriote Jerson Emiliano Dos Santos et du Sud-africain Zakhele Thusi Siwela.
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L’Algérie, qui célèbrera samedi, la Journée mondiale de la Santé, a consenti de « grands efforts » en matière de couverture sanitaire pour l’ensemble de sa population, répartie sur un large territoire.
La Journée mondiale de la Santé, placée cette année sous le thème générique de « couverture sanitaire universelle : pour tous et partout », est l’occasion pour l’Algérie de passer en revue les importants acquis et grands efforts consentis pour assurer un accès universel aux soins à tous ses citoyens.
La gratuité des soins dans les structures de santé publique est ainsi instituée depuis 1974 alors que le principe de la garantie de « l’accès aux soins » a été intégré dans la constitution de 1976, rappelle le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, notant qu’il s’agit d’un « droit fondamental consacré » et d’un « déterminant majeur du développement social, économique et individuel ». Ceci, tout en insistant sur la notion d’ »équité » pour tous en matière de soins.
« Les stratégies et les politiques de santé publique adoptées, priorisant la prévention, le développement des infrastructures et des équipements de santé, la formation des ressources humaines qualifiées, la disponibilité du médicament, ont permis à l’Algérie, d’enregistrer des résultats « significatifs », est-il également souligné.
Endépit des insuffisances existant toujours notamment en matière d’accès aux soins pour l’ensemble de la population dans les zones enclavées, le manque de formation, de structures et de moyens même dans les régions du nord du pays et les problèmes survenus ces dernières années en matière de vaccins et de disponibilité du médicament, ces stratégies ont permis l’augmentation de l’espérance de vie des Algériens, la baisse sensible des mortalités maternelle et infantile, ainsi que l’incidence des maladies transmissibles, dont certaines ont été « totalement éradiquées ».
« La couverture sanitaire est assurée de façon homogène par les structures de santé, dans le cadre de l’offre de soins et de la prévention, avec un maillage de l’ensemble du territoire national » indique-t-on, alors que la prise en charge des problèmes de santé se fait de manière « intégrée et hiérarchisée », au niveau des différentes structures de santé publique et privée.
Les soins de proximité, est-il détaillé, sont assurés par 273 Etablissements publics de santé de proximité (EPSP), 1.706 Polycliniques, 6.207 salles de soins, 534 maternités de proximité intégrées à des polycliniques. Au niveau de ce palier de soins, il existe 6.643 lits dédiés aux maternités intégrées et à la mise en observation au niveau des points de gardes assurés des polycliniques.
Dans les hôpitaux référents de wilaya, est développé un plus large éventail de spécialités, allant de l’anesthésie-réanimation, de la cardiologie, de l’orthopédie, à la neurochirurgie, la gynéco-obstétrique, la rhumatologie, la chirurgie infantile, l’ophtalmologie, la psychiatrie, la pneumologie, etc.
Le secteur privé comptabilise, pour sa part, 7.298 Cabinets médicaux de généralistes, 9.042 de spécialistes, 6.514 de chirurgiens-dentistes et enfin, 10.260 officines pharmaceutiques.
Il y a lieu noter, en outre, l’existence de 15 Centres hospitalo-universitaires (13.755 lits), 81 établissements hospitaliers spécialisés (13.124 lits), 206 établissements publics hospitaliers (40.506 lits) et 1 établissement hospitalier universitaire (770 lits).Le secteur privé offre, quant à lui, 197 établissements hospitaliers et 365 établissements de santé ambulatoire.
La prise en charge des malades cancéreux a également connu une « amélioration sensible » de l’accessibilité aux soins, l’Algérie étant passée de 4 Centres de lutte contre le cancer (CAC) à un plus large maillage territorial avec des centres dans les quatre coins du pays. A cela, s’ajoute la réalisation de 32 accélérateurs pour la radiothérapie fonctionnels alors que 12 autres le seront durant l’année en cours.
Par ailleurs, 41 services et 77 unités dédiés à l’oncologie médicale ont été ouverts au niveau national, évitant ainsi aux malades les déplacements pénibles et coûteux vers les établissements des grands centres.
L’Organisationmondiale de la Santé (OMS), dont le 70ème anniversaire de sa création coïncide avec la Journée mondiale de la Santé, a choisi de mener campagne cette année pour la couverture sanitaire universelle (CSU).
Celle-ci ayant fait l’objet de résolutions de la 64ème Assemblée mondiale de la Santé en 2011, puis en 2012, de l’Assemblée générale des Nations-Unies, appelant les Etats membres à adopter les politiques de CSU.
La campagne de l’OMS est fondée sur le principe que « tout le monde a le droit d’atteindre le niveau de santé le plus élevé possible ». A cet effet, l’organisation appelle les dirigeants mondiaux à « tenir les engagements » pris en 2015, en matière d’Objectifs de Développement durable (ODD), et à prendre des « mesures concrètes » pour améliorer la santé de tous.
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Un terroriste, en possession d’un pistolet mitrailleur et de trois chargeurs garnis, s’est rendu vendredi aux autorités militaires, à Tamanrasset, indique le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce aux efforts fournis par les forces de l’Armée nationale populaire, un (01) terroriste s’est rendu, ce matin du 06 avril 2018, aux autorités Militaires en 6ème Région Militaire à Tamanrasset », précise la même source.
Il s’agit de M. Sid Omar, dit Abou Hamid qui a rallié les groupes terroristes en 2013. Ledit terroriste avait en sa possession un (01) pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et 3 chargeurs garnis.
Dans le même contexte et « lors d’une opération de fouille et de ratissage, un détachement de l’Armée nationale populaire à découvert et détruit, le 05 avril 2018 à Skikda/5e RM, une casemate contenant 6 bombes de confection artisanale et des vivres », est-il ajouté.
Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, un détachement de l’ANP a appréhendé, à Bordj Badji Mokhtar/6e RM, un orpailleur en possession de 10 groupes électrogènes, 9 marteaux piqueurs et plus de 500 grammes de dynamite, tandis que 122 balles de différents calibres ont été saisies à In Amenas et Ghardaïa/4e RM.
Au niveau de la 2e Région Militaire, un détachement de l’ANP, des éléments de la Gendarmerie nationale et des Garde-frontières ont arrêté, lors d’opérations distinctes menées à Oran, Tlemcen et Mascara, (06) narcotrafiquants et saisi 119,5 kilogrammes de kif traité, une somme d’argent liquide s’élevant à 3 millions dinars algériens et 5 véhicules touristiques, alors que 9788 litres de carburant destinés à la contrebande ont été saisis à Souk Ahras, Tébessa et El-Taref/5e RM.
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Le Directeur général de la Sûreté nationale, le Général-major Abdelghani Hamel a appelé, jeudi à Alger, à l’impératif de poursuivre les efforts entre les pays du Moyen Orient et de l’Afrique du Nord (MENA) à travers la mise en place de stratégies « communes et efficaces » pour faire face aux défis de la cybercriminalité menaçant les citoyens et les institutions.
« Compte tenu du danger émanant de la cybercriminalité, toutes les parties concernées doivent oeuvrer constamment à la mise en place de stratégies efficaces et périodiquement actualisées en vue de faire face à cette criminalité notamment que l’espace cybernétique exige des efforts permanents pour construire la confiance numérique nécessaire », a indiqué M. Hamel, dans une allocution à l’occasion de la clôture des travaux de la 11e réunion des chefs d’unités de lutte contre la cybercriminalité venus des pays du Moyen-Orient et d’Afrique du nord, lue en son nom par le directeur de la police judiciaire , Ali Ferrgh.
Par ailleurs, le Général major a salué « le bon niveau » ayant marqué les travaux de cette réunion à travers « les analyses et les rapports présentés par les experts de la Police internationale (INTERPOL) et du Complexe mondial INTERPOL pour l’innovation à Singapour outre la contribution des unités de lutte contre la criminalité des pays de la région MENA et les sociétés internationales spécialisées dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC)
Ces travaux de deux jours, a-t-il poursuivi, ont été sanctionnés par plusieurs recommandations permettant « l’identification de la cybercriminalité dans la région mais aussi la définition des objectifs à réaliser ».
Il a estimé, aussi, que cette rencontre avait constitué « une occasion pour mettre en évidence le danger émanant de ce type de criminalité et son impact sur l’évolution des sociétés ».
M.Hamel a insisté, dans ce sens, sur l’impératif « d’intensifier la coopération entre les acteurs de l’espace cybernétique pour lutter contre la cybercriminalité », mettant en avant l’importance de « l’application des lois internationales relatives à la lutte contre la cybercriminalité et les autres criminalités y afférentes dans la région MENA », ce qui représente, a-t-il expliqué « une valeur ajoutée aux aspects professionnels de la police dans d’autres pays à travers INTERPOL ».
Le DGSN a salué les « réalisations accomplies jusqu’à présent dans la lutte contre les crimes numériques que ce soit à la faveur des efforts d’s régionales et territoriales dont la performance doit être améliorée ».
Dans une déclaration à la presse, le chef du service central de lutte contre les crimes liés aux technologies de l’information et de la communication (TIC), Bachir Said, a indiqué que la réunion a porté sur « plusieurs thèmes ayant trait au renforcement des efforts des organes d’application de la loi internationale dans le domaine de la lutte contre la cybercriminalité en définissant les priorités et les objectifs pour l’élaboration de stratégies de lutte contre les crimes numériques de l’organisation Interpol ».
Il s’agit également de l’examen des questions d’actualité relatives à la cybercriminalité qui nécessitent le renforcement de la coopération et la coordination des efforts sur le double plan régional et international et l’échange des expériences concernant les enquêtes et les preuves numériques en matière de cybercriminalité ».
Les participants ont présenté durant la rencontre les recommandations de la 10e réunion du groupe de travail de la région MENA (Moyen Orient-Afrique du Nord) ainsi que les expériences des pays membre de l’organisation Interpol. L’accent a été mis sur l’importance de l’échange des expériences, du renforcement des capacités et l’intensification de la coopération pour faire face à la cybercriminalité ».
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Un séisme de magnitude 3,6 sur l’échelle ouverte de Richter a eu lieu vendredi à 7h 54 dans la wilaya de Boumerdes a annoncé le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.
L’épicentre du séisme a été localisé à 7 km Ouest de la localité de Zemmouri , dans la wilaya de Boumerdes, a précisé le CRAAG.
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L’ex-président sud-coréenne Park Geun-hye a été condamnée, vendredi 6 avril, par un tribunal de Séoul à vingt-quatre ans de prison dans le procès du retentissant scandale de corruption qui avait entraîné sa chute en 2017.
Première femme élue présidente en Corée du Sud, Mme Park, qui avait été destituée et arrêtée en mars 2017, a été jugée coupable de corruption, abus de pouvoir ou encore coercition par le tribunal du district central de Séoul qui lui a aussi infligé une amende de 18 milliards de wons. Le juge Kim Se-yoon a notamment affirmé que Mme Park avait contraint des entreprises sud-coréennes à verser des dizaines de milliards de wons à deux fondations contrôlées par sa confidente de l’ombre et « amie de 40 ans », Choi Soon-sil.
« L’accusée a illégalement usé de son autorité présidentielle à la demande de Mme Choi pour obliger des entreprises à donner de l’argent aux fondations », a affirmé le magistrat. « Les entreprises ont été contraintes de donner des sommes importantes d’argent et l’accusée a laissé Mme Choi contrôler les fondations alors qu’elle n’avait pas le droit de le faire ».
« Les sommes que l’accusée a reçues ou demandées en collaboration avec Mme Choi s’élèvent à plus de 23 milliards de wons », a poursuivi le juge. La fille aînée du dictateur militaire Park Chung-Hee, qui avait accédé en 2013 à la fonction suprême en se drapant dans l’habit de l’incorruptible « Fille de la Nation », a été emportée dans un scandale qui a de nouveau illustré les liens malsains entre le pouvoir politique local et les grands conglomérats.
Le parquet avait demandé 30 ans de prison ainsi que 118,5 milliards de wons (89 millions d’euros) d’amende contre Mme Park, en estimant qu’elle devait porter, en sa qualité d’ancienne présidente, la responsabilité du scandale. Jugée de son côté dans un procès distinct, Mme Choi a écopé en février de 20 ans d’emprisonnement.
AFP
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