L’éditeur de logiciel anti-virus Doctor Web met en garde contre la dissémination d’un Trojan miner qui s’installe via un logiciel de gestion de cybercafés. «Notre support technique a reçu le message d’un utilisateur qui a remarqué que Dr. Web Antivirus installé sur son ordinateur détectait régulièrement et supprimait une application conçue pour l’extraction de crypto-monnaie. L’examen des journaux de son antivirus a montré que le miner était masqué dans un dossier temporaire sur son PC contaminé. (…) L’application tentait de se connecter à une adresse IP qui correspondait au site web de la société Astrum Soft, l’éditeur du logiciel «Internet Cafe» destiné à automatiser la facturation des services de clubs et cafés internet», indique Dr. Web sur son blog. «Cette application embarque officiellement une fonction d’extraction de crypto-monnaie qui peut être activée par l’utilisateur lorsque l’ordinateur n’est pas chargé par d’autres tâches», ajoute la même source qui précise que «ce n’était pas l’application qui était en cause, mais le miner caché», connu sous le nom «Trojan.BtcMine.2869». «Le mécanisme de mise à jour de l’application en question téléchargeait automatiquement ce Trojan sur les serveurs de la société Astrum Soft et l’installait dans l’OS». «Internet Cafe» envoie périodiquement une «requête vers le serveur de son éditeur» contenant des informations sur la version de l’application et sur l’OS utilisé. «En réponse, elle peut recevoir une commande de téléchargement ou de lancement d’un fichier exécutable» aux «fonctionnalités malveillantes».
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La position de SEAT sur le marché national se confirme un peu plus chaque jour, avec une augmentation considérable des volumes de production vec 20.000 unités assemblées depuis juin 2017.
Lancée en janvier 2018 en presence du president de SEAT, Luca de Meo, la nouvelle génération d’Ibiza a enregistré un franc succès auprès des clients algériens qui ont particulièrement été séduit par le nouveau design de Ibiza et ses équipements qui la positionne au premier rang de son segment sur le marché.
Le lancement du crédit automobile a également encourager les bourses moyennes à porter leur choix sur l’ Ibiza sous cette formule, pour tous les avantages qu’elle offre.
Wayne Griffiths, Vice Président en charge du Marketing et des Ventes de SEAT, a expliqué que « pour renforcer notre stratégie de mondialisation, il est essentiel que nous assemblions des modèles en dehors de l’Europe, comme le font d’autres constructeurs automobiles européens. L’Algérie est notre premier pas dans cette direction, car c’est l’un des principaux marchés de la région et une véritable opportunité de croissance pour SEAT. Et ce au même titre que le reste des pays d’Afrique du Nord où SEAT est responsable de l’expansion du Groupe Volkswagen. Avec l’Arona et la Leon, nous élargissons la gamme de produits que nous proposons en Algérie, ce qui nous permettra de consolider notre position dans ce pays. Nous sommes et nous voulons continuer à être l’une des marques qui bénéficie de la croissance la plus rapide en Europe, et dans le même temps, nous voulons croître au niveau mondial. »
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Renault dévoile la nouvelle Mégane RS Trophy forte d’une puissance de 300 chevaux, soit 20 de plus que la Mégane RS et un couple maximale de 420 Nm (avec boîte EDC).
Héritant du même moteur 1.8 que la Mégane RS, cette variante Trophy affiche ainsi une hausse de 20 canassons atteignant du coup les 300 chevaux comme annoncé lors du dernier salon de Frankfurt. Un moteur que les clients peuvent associer soit à une boîte de vitesses manuelle ou EDC.
La Mégane RS TRophy, qui également des attributs de la Mégane RS dont le système 4CONTROL à quatre roues directrices et les amortisseurs à butées hydrauliques de compression, dispose de série d’un châssis Cup, qui se distingue par des suspensions raffermies et un différentiel à glissement limité mécanique Torsen. Cette version est également enrichie par des freins à disques avant bi-matière, des jantes 19’’ spécifiques et une monte pneumatique Bridgestone très hautes performances, pouvant être associée à de nouvelles jantes allégées exclusives. Pour offrir les meilleures sensations, Nouvelle MÉGANE R.S. TROPHY peut être équipée d’une nouvelle génération de sièges avant Recaro revêtus d’Alcantara.
Côté performances, Renault Sport ne dévoile que celles en BVM avec une vitesse maximale de 260km/h et un 0à100km/h en 5,7 secondes.
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Chaque été ces fêtes et festivals organisés par des villageois composent une belle mosaïque haute en couleur, mettant en évidence la spécificité de chaque région, que ce soit dans le domaine culturel, agricole, artisanal, ou autre, révélant ainsi le terroir local dans toute sa splendeur et sa diversité.
Ces manifestations mettent chacune en valeur une des facettes du riche patrimoine de la wilaya à l’instar du tapis d’Ath Hicham, de la poterie traditionnelle d’Ath Kheir et de Maatkas, du Bijou d’Ath Yenni, des plantes médicinales de Mzeguene, de la spiritualité du site d’Azrou n’Thor, de la figue de barbarie de Sahel, de la figue fraîche de Lemssela, ou le miel d’abeille de Bouzguène, entre autre.
Si le but premier de ces fêtes est la promotion et la vente des produits du terroir, ces manifestations qui drainent un nombre important de visiteurs allant jusqu’à des dizaines de milliers pour certaines tel que le festival de la poterie de Maatkas et de la fête du bijou d’Ath Yenni, sont aussi « une aubaine pour faire découvrir les villages qui les abritent, leurs traditions et les paysages qui les entourent et de promouvoir ainsi le tourisme de montagne », a indiqué le directeur du tourisme Rachid Gheddouchi.
Ce même responsable, a ajouté que l’objectif de sa direction est que chaque village ait une fête locale ce qui permettra d’augmenter l’offre des sites et régions à visiter au niveau de la wilaya. « Cela permettra également aux artisans et paysans de vendre leurs produits et aux villages de dévoiler aux visiteurs leur potentiel touristique et artisanal, pour d’éventuels commandes, randonnées et bivouacs notamment ».
Le concours Rabah Aissat du village le plus propre, organisée par l’Assemblée populaire de wilaya (APW) est un autre point positif pour le tourisme local car les participants redoublent d’efforts pour rendre leurs hameaux propres par des actions de nettoyage et la mise en place de systèmes de tri, compostage, récupération et recyclage des déchets, et d’embellissent et d’aménagement de placettes publiques, fontaines, espaces vert entre autre.
Ces villages qui abritent aussi des fêtes ou manifestations culturelles, à l’instar de Tiferdoud lauréat du prix Rabah Aissat 2017 qui accueille à compter de ce jeudi le festival raconte-arts, attirent d’ailleurs de nombreux visiteurs curieux de découvrir cette solidarité villageoise pour la préservation de l’environnement tout en profitant de l’animation proposée lors des fêtes et festivals qu’ils organisent, a-t-il ajouté.
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ALGER – Les opérations de relogement à Alger ont permis, depuis leur lancement en juin 2014, la récupération de plus de 530 hectares de terrains affectés à la réalisation de quotas supplémentaires de logement, d’espaces verts et de différents projets de développement.
S’exprimant en marge des travaux de la session ordinaire de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) consacrée à l’adoption du budget supplémentaire de la wilaya au titre de l’exercice financier 2018, le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a précisé qu’avec la 24e opération de relogement à Alger, près de 534 hectares d’assiettes foncières ont été récupérées et affectées à la réalisation de quotas supplémentaires de logement et à la création d’espaces verts et de différents projets de développement.
Sur un total de 84.000 unités de logement consacrées à la wilaya, 45.000 unités ont été réalisées, suivant ainsi le recensement de 2007 qui a révélé le besoin des habitants de la wilaya en 72.000 unités de logement, a ajouté le wali. Une importante superficie d’assiettes foncières récupérées a été affectée à la réalisation des projets du secteur de l’Education et qui comprend plusieurs structures éducatives qui ont été dégelées en vue de faire face au phénomène de surcharge des classes observé dans les établissements de la wilaya, a fait savoir le wali avant de souligner que 16 groupes scolaires sont en cours d’équipement.
S’agissant du déroulement du Plan stratégique de modernisation de la capitale, M. Zoukh a évoqué un nombre d’axes du plan en cours de réalisation, à l’instar de la réhabilitation du vieux bâti , exigeant, toutefois, l’inscription de ce dossier à l’ordre du jour des travaux de l’APW, tout comme le dossier des établissements éducatifs en vue de fournir les données y afférents. M. Zoukh a également évoqué le dossier de plan urbanistique qui comprends les plans d’occupation du sol, lesquels ont été « réellement » lancées et enregistrent un avancement remarquable.
Il a affirmé qu’un axe important relatif au même plan était en cours de réalisation portant sur « la flexibilité urbaine » et qui vise à se préparer à toute catastrophe éventuelle (séismes, glissements de terrain et de construction dans des régions déterminées) afin de parvenir à des recommandations techniques permettant de gérer ces catastrophes et diminuer leurs dégâts.
S’agissant de la mise en demeure reçue par les services de la wilaya concernant deux membres de l’APW, M. Zoukh a indiqué que les affaires internes de l’Assemblée ne doivent pas être débattues en plénière, relevant l’importance de respecter les décisions de la justice qui demeurent souveraines. Il a ajouté que les différentes formations politiques sont appelées à s’associer sous la coupole de l’APW au service du citoyen, et ce, en vue de contribuer au développement de la capitale et à la concrétisation des projets de son plan stratégique qui s’étale jusqu’à 2035.
Pour sa part, le président de l’APW d’Alger, M. Abdelkarim Bennour a rappelé qu’un « arrêt conservatoire » a été rendu récemment contre deux membres de l’APW d’Alger en vertu des mises en demeure de la justice, relevant que ces deux membres ne seront remplacés actuellement qu’après le verdict de la justice.
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Cette édition, organisée par le Centre des arts et expositions de Tlemcen, réunira 8 troupes versées dans ce genre musical, venant des wilayas de Nâama, Béchar, Tlemcen et Ain Témouchent, a souligné le directeur du centre, Amine Boudefla.
La cérémonie d’ouverture de cette manifestation sera animée par les troupes Gnawa « El Waha » de Béchar, « Gnawa Benmankour » d’Aïn Témouchent, « Foursane de Hadja Maghnia » de Tlemcen.
Les troupes participantes sillonneront durant ces journées les plages de Sidna Youchaa (Nedroma), Oued Abdellah (Ghazaouet) et Marsa Ben M’hidi pour égayer les soirées des estivants.
Cette manifestation vise, selon les organisateurs, à célébrer cet art musical, à veiller et à contribuer à sa préservation et sa protection.
La musique Gnawa est enracinée dans la wilaya de Tlemcen où existe à Nedroma, tout un quartier dénommé « Derb Gnawa » où se trouve la zaouïa Gnawiya, connue jadis pour ses « Hedhras » du diwan.
Quatre troupes de musique Diwan activent actuellement à Maghnia, rappelle-t-on.
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« Les pays participants à la déclaration de coopération ont atteint un niveau de conformité de 121% en juin 2018″, a indiqué le Comité ministériel conjoint de suivi de l’accord Opep-non Opep (JMMC) qui a tenu sa première téléconférence mercredi », a précisé l’OPEP dans un communiqué publié sur son site web..
Lors de cette téléconférence, le JMMC a examiné les développements récents du marché et également le rapport fourni par le Comité technique mixte (JTC) concernant le suivi des niveaux de conformité globaux des pays participants dans la Déclaration de Coopération pour le mois de juin 2018. Le Comité a également examiné les conditions du marché pour le mois de juillet ainsi que les niveaux de production des pays pour ce mois et s’est assuré que la performance globale ne dévie pas de la conformité de 100% visée par la décision prise lors de la 4ème réunion ministérielle de l’OPEP, tenue le 23 juin dernier.
Le JMMC a décidé de continuer à suivre de près les conditions et l’évolution du marché pétrolier en vue d’améliorer la stabilité du marché au profit des producteurs, des consommateurs et de l’économie mondiale dans son ensemble. En outre, le JMMC, qui regroupe l’Algérie, le Koweit, le Venezuela, la Russie et Oman a réaffirmé son intention de s’efforcer d’atteindre un niveau de conformité global de pas moins de100%. De plus, le JMMC a décidé de tenir des réunions mensuelles (physiquement ou par téléconférence) dans le but de surveiller de plus près le marché et de recommander des mesures d’intervention appropriées.
Pour rappel, le JMMC a été créé à la suite de la 171ème Conférence ministérielle de l’OPEP du 30 novembre 2016 et de la «Déclaration de coopération» de la réunion ministérielle mixte OPEP- pays non membres de l’OPEP tenue le 10 décembre 2016. Le JMMC est chargé de veiller à ce que ces objectifs soient réalisés grâce à la mise en œuvre des ajustements volontaires de la production du pétrole des pays Opep et non Opep.
L’accord Opep-non Opep, conclu à Vienne entre les 14 membres de l’organisation et 10 autres producteurs de pétrole, Russie en tête, a pour objectif de baisser le niveau de production de 1,8 million de barils par jour afin de réduire l’excédent d’offre de brut sur le marché et soutenir les prix. Cet accord qui court jusqu’à la fin 2018, a permis de réduire l’abondance de l’offre et de pousser les prix vers le haut, le baril atteignant les 70 dollars contre 30 dollars en janvier 2016. La prochaine téléconférence du JMMC aura lieu le 20 août après la réunion du JTC le même jour.
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ALGER – L’Algérie est un « pilier important » dans la stabilité de la région du Sahel, a indiqué jeudi à Alger le président de la Commission des Affaires étrangères (AFET) du Parlement européen, David Mc Allister.
« Nous considérons, à l’Union européenne, que l’Algérie est un pilier important dans la stabilité de la région (du Sahel) », a déclaré à la presse Mc Allister au terme de son audience avec le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel. Mettant l’accent sur le renforcement de la coopération parlementaire entre l’Algérie et l’UE, Mc Allister a précisé qu’il conduisait une délégation composée de sept partis politiques et sa première halte a été la Tunisie avant de venir en Algérie.
Il a, en outre, qualifié la mise en place, il y a deux années, d’un comité de coopération entre l’Assemblée populaire nationale (APN) et le Parlement européen de « grand pas », soulignant que la coopération entre l’UE et les autres pays doit inclure le volet parlementaire. De son côté, M. Messahel a considéré son entretien avec Mc Allister de « rencontre constructive » pour les deux parties, ce qui a permis d’évoquer, a-t-il dit, les relations entre l’Algérie et l’UE.
« Nous avons abordé la situation en Algérie, notamment les étapes franchies depuis 1999 dans l’édification de l’Etat de droit et de la démocratie », a-t-il relevé, précisant, à ce propos, que « le mérite revient au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et à la politique de bonne gouvernance qu’il a prônée depuis son élection ».
Pour ce qui est de la situation dans la région, M. Messahel a indiqué que cette rencontre a permis à l’Algérie « d’apporter plus d’explications sur son approche dans la résolution les problèmes et des conflits ».En ce sens, il a réaffirmé « la nécessité de résoudre les conflits par le dialogue et la réconciliation », soulignant en ce qui concerne la Libye que l’Algérie « soutient le dialogue entre les Libyens eux–mêmes, une solution dans le cadre de l’application du plan des Nations Unies, ainsi l’application de la feuille de route de l’Envoyé spécial de l’ONU en Libye, Ghassane Salamé ».
S’agissant du Sahara occidental, M. Messahel a affirmé que « nous sommes pour l’application de toutes les décisions et les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, comme nous soutenons l’envoyé spécial du SG des Nations Unies pour le Sahara occidental, Horst Kohler, dans les efforts qu’ils déploie », ajoutant qu’il a évoqué avec Mc Allister la situation au Sahel et la lutte antiterroriste, ainsi que la lutte contre le crime organisé et la migration clandestine.
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Les médailles d’or algériennes ont été remportées Bouchkif Nihel (-52 kg), Dris Messouad Redouane (-66 kg) (bien Dris Messaoud Redouane) et Abdellah Remouche (-100 kg). Bouchkif qui a battu en finale la Tunisienne, Chayeb Amani, n’a pas caché joie après avoir décroché la médaille d’or de la catégorie (-66 kg). « Je suis très contente de cette victoire d’autant plus qu’Amani m’avait battu lors de l’Open de Tunis. C’était une finale difficile mais j’ai réussi à gagner par Ippon.
C’est une grande fierté d’offrir une médaille d’or à l’Algérie », a déclaré à l’APS la native de Remchi dans la wilaya de Tlemcen. De son côté, Dris s’est imposé en finale des (-66 kg) devant le Marocain Yasser Hnich également par ippon. « C’était une finale difficile car je n’avais aucune information sur mon adversaire. Cette médaille est le fruit de longues heures d’entrainements », a déclaré le champion algérien. Un peu plus tôt, Abdellah Remouche (-100 kg), avait offert à l’Algérie sa première médaille d’or, en battant en finale le Nigérian Daniel Madu.
Cette catégorie a enregistré la participation de trois judokas. Un autres algérien, à savoir, Ahmed Rabahi a raté la médaille d’or de la catégorie (-81 kg) après sa défaite en finale face au Marocain Yassine El Ataoui, alors que Abdelatif Boubetra (-55 kg), Sabrina Larbi (-63 kg) et Nabila Benbelkacem se sont adjugés la médaille de bronze de la leurs catégories respectives. Le directeur des jeunes talents de la Fédération algérienne de judo (FAJ), Kamel Boussebt, s’est dit « satisfait » des résultats obtenus par les huit judokas algériens engagés aux JAJ-2018.
« Nous avons réussi à égaler la moisson de médailles d’or décrochées lors de la dernière édition des JAJ au Botswana en 2014. Nous avons raté l’or dans la catégorie des (-81 kg, garçons) ou ça s’est joué à peu de chose », a estimé Boussebt dans une déclaration à l’APS. « Les résultats obtenus aujourd’hui prouvent que nous avons des jeunes talents sur qui ont peut compter lors des prochaines compétitions internationales. Il faut continuer à travailler avec ces jeunes en leur fournissant de meilleures conditions pour s’épanouir », a ajouté le technicien algérien.
Lors de la précédente édition des JAJ, les judokas algériens avaient remporté un total de 4 médailles (3 or et 1 argent). Les autres finales de la journée ont été remportées par la Tunisiens Rania Harbaoui (-44 kg) et Alaeddine Benchalbi (-55 kg), les Marocains Yassine El Ataoui (-81 kg) et Oulaya Khairi (-78 kg), et l’Egyptienne Salma Abdellah (-63 kg), Les épreuves individuelles de judo des JAJ-2018, ont regroupé 74 athlètes, dont 35 filles issue de 28 pays. L’épreuve par équipes se déroulera vendredi à la salle Harcha.
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ALGER – Le ministre brésilien des Relations extérieures, Aloysio Nunes Ferreira Filho, effectuera, du 22 au 24 juillet, une visite de travail en Algérie à l’invitation du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.
Les deux ministres « examineront, à cette occasion, les possibilités de renforcement des dispositifs de coopérations existantes et la prospection de nouvelles opportunités d’investissements et de partenariat mutuellement bénéfique », souligne le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
Cette visite « permettra également aux deux ministres de poursuivre, conformément à la tradition établie, leur concertation et la coordination des positions des deux pays autant sur les questions internationales et régionales d’intérêt commun qu’au sein des foras auxquels ils appartiennent », note le MAE.
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S’exprimant en marge de la cérémonie d’installation du nouveau procureur général près la cour de Tipasa, M. Nacef Hocine, le ministre de la Justice a indiqué qu’en application des « instructions du président de la République, il sera procédé à la formation d’un groupe de travail restreint, début septembre prochain, en vue de réformer l’OCRC, dont la création remonte à 2006, et ce, en vue de renforcer davantage les mécanismes à même de contribuer à la lutte contre la corruption ».
« Il est devenu impératif de réactiver les mécanismes de prévention qui est de la responsabilité de tous les secteurs et de la société de façon générale et qui est considérée comme un des moyens efficaces dans la lutte contre la criminalité », a-t-il ajouté.
A rappeler qu’un mouvement partiel a été opéré par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le corps de la magistrature, touchant des présidents de cours, des procureurs généraux, des présidents de tribunaux administratifs et des commissaires d’Etat près de tribunaux administratifs.
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ALGER- Tous les pays qui font face au phénomène du terrorisme « peuvent tirer des enseignements de l’expérience algérienne », a indiqué jeudi à Alger le président de la Commission des Affaires étrangères (AFET) du Parlement européen, David McAllister.
« L’Algérie a vécu, il y a 20 ans, une situation très difficile et a pu relever le défi de la lutte contre le terrorisme et je pense que tous les pays qui y font face peuvent tirer des enseignements de l’expérience algérienne « , a déclaré à la presse le responsable du Parlement européen au terme de son entretien avec le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui.
Il a ajouté que l’Algérie était considérée comme le « garant de la sécurité » dans la région, se disant « très heureux » de « voir enfin l’Algérie stable après toutes ces dures épreuves ».
M. McAllister a indiqué avoir discuté avec M. Bedoui de l’approche algérienne dans la résolution des crises et sa politique de non-ingérence, l’immigration clandestine sur laquelle « il y a un bon niveau de coopération », ajoutant avoir égale ment évoqué les questions liées à la sécurité et à la réforme de l’administration publique.
La délégation de l’AFET effectue une visite de travail à Alger dans le cadre du dialogue interparlementaire entre l’Algérie et l’UE, qui avait été couronné par l’institution d’une commission parlementaire mixte.
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ALGER – Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a reçu jeudi à Alger, une délégation de la Commission des Affaires étrangères du Parlement européen (AFET), conduite par son président, David Mc Allister, indique un communiqué des services du Premier ministre.
La délégation de l’AFET effectue une visite de travail à Alger qui s’inscrit dans le cadre du dialogue interparlementaire entre l’Algérie et l’Union européenne, couronné par l’institution d’une commission parlementaire mixte, ajoute la même source.
L’audience s’est déroulée en présence du ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Bedda.
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ILLIZI – Le Moudjahid Nasser Aguaïr ben Ahmadou est décédé jeudi matin à Illizi à l’âge de 95 ans, des suites d’une longue maladie, a-t-on appris des services de la Direction des moudjahidine de la wilaya.
Né à Illizi en 1923, il était, durant la Révolution, membre de l’organisation du Front de libération nationale de 1960 jusqu’à l’indépendance, et avait contribué au soutien de la Révolution dans la région du Tassili N’Ajjer.
Le défunt est décédé à son domicile au quartier Tikenouine et a été inhumé au cimetière du même quartier.
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Aujourd’hui, il est nécessaire de se concentrer fortement sur le projet de la généralisation de l’application des techniques numériques dans la vie quotidienne des algériens et surtout de se préoccuper sérieusement de l’immobilisme des autorités constaté dans la gouvernance de l’internet. En s’appuyant sur le numérique pour accélérer le processus de création des systèmes d’information multifonctionnels, le pays ne pourra que garantir un vaste développement culturel et scientifique de haut niveau. Regardez les Etats-Unis, ils ont été les premiers à déployer l’internet et de faire bénéficier leurs secteurs industriels des percées des technologies du numérique. Ils en ont largement profité. Ce pays est devenu le leader mondial de l’enseignement à distance et la première nation du monde qui a mis au point, grâce à Google, les premières voitures sans chauffeur et sans volant. Mieux, les américains, en provoquant l’affaire Snowden, poussent les pays du reste du monde, comme la Russie, la Chine et les pays de l’Union européenne, à accepter la version de l’administration américaine concernant le partage de la gouvernance d’internet. Contrairement aux américains qui ont créé le protocole d’internet IP, l’Europe n’a pas fait sa révolution de l’usage de l’internet, et ce, malgré le fait que celui qui a greffé la technologie du numérique au Net pour inventer le Web était un anglais. Les raisons de ce ratage sont multiples, mais son absence de la gouvernance d’internet en est la principale cause. Maintenant, il est clair que les autorités US, en voulant imposer leur version du partage de la gouvernance d’internet, visent la réorganisation de l’économie mondiale au seul profit de la mondialisation. L’avenir de la gouvernance de l’internet sera donc prometteur dans la mesure où les grandes nations vont batailler pour empêcher les «esprits traditionnels» de freiner l’usage des TIC. «Le tout connecté» est la prochaine bataille américaine. Ce projet est appelé à bouleverser le fonctionnement socio-économique des pays. Une étude récente de la compagnie BI Intelligence estime à 7 milliards le nombre d’objets connectés actuellement, et à 34 milliards d’ici 2025, dépassant ainsi le nombre combiné des PC, tablettes et smartphones. Ce qui positionne les propriétaires d’applications, dans la chaîne des valeurs de l’économie digitale, comme les véritables gagnants de la généralisation de l’usage du numérique.
F. F.
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Dans cette contribution, Riad Hartani estime que le projet Alger smart-city propose un moyen global et révolutionnaire d’améliorer l’innovation qui pourrait être appliquée dans d’autres parties du monde émergent. Synthèse.
Les économies dominantes se différencient par leur concentration sur la technologie de pointe, alors que les économies émergentes luttent pour construire des écosystèmes autour du développement technologique. Même si elles mènent un développement technologique important et investissent dans des start-up, des sociétés et des laboratoires de R&D, les économies émergentes ont peu de résultats. Trois raisons à cela : les écosystèmes technologiques locaux fonctionnent dans des environnements fermés qui limitent l’interaction avec les écosystèmes mondiaux, la dépendance vis-à-vis des fournisseurs de technologie et le manque de confiance des entreprises technologiques locales et les start-up en particulier dans leur capacité à construire des solutions commerciales avancées et évolutives. Pour aider les économies émergentes à améliorer leur compétitivité dans le développement de la technologie, il est essentiel de réduire l’isolement et la dépendance et d’accroître la confiance. A Alger, nous nous sommes concentrés sur deux aspects spécifiques : la mobilisation des talents et les modèles de start-up. Ceci, bien sûr, n’était qu’une partie du puzzle global du plan d’exécution d’Alger smart-city, qui comprend: les technologies spécifiques, à savoir les technologies «brûle-étapes» (leapfrog) qui présentent un potentiel de révolution maximal et un minimum de barrière à l’adoption et à l’exécution, le choix de modèles d’affaires pour optimiser les stratégies de marché et les modèles d’exécution qui mobilisent une jeune génération d’étudiants et d’entrepreneurs.
Mobilisation des talents
Le talent suit l’opportunité. Cela augmente le sort des régions où les talents affluent, tout en exacerbant les défis des régions d’où viennent les talents. Une approche à la formulation d’une solution à la mobilisation des talents s’inspire de la façon dont les géants d’internet naissent, grandissent et évoluent. Une poignée de fondateurs évoluent rapidement et dominent leur concurrence. Dans la plupart des cas, le gagnant prend tout, c’est le cas avec les GAFA (Google Apple, Facebook et Amazon) et les BAT (Baidu, Alibaba, Tencent). Au cœur de leur success story : une notion d’échelle extrêmement rapide, rendue possible par le modèle de connectivité, élaboré par une équipe de base possédant tous les prérequis pour un succès majeur. Le modèle de levier de la diaspora pourrait bien suivre un chemin similaire. Une équipe de base avec les bonnes conditions préalables et un modèle de connectivité permettant d’atteindre la charge à une échelle rapide et met le modèle de levier en place. Parmi les prérequis de ce modèle : la capacité à créer des entreprises capables d’ancrer un modèle de mise à l’échelle rapide, à la fois en termes de valeur et de personnes impliquées et l’exécution des projets fédérateurs qui servent de parapluie pour les projets dépendants au sein d’activités plus larges. Ainsi, les projets sont des catalyseurs pour d’autres entreprises ayant pour résultat un facteur de valeur économique multiplicatif.
Les start-up augmentent les modèles
La deuxième pierre angulaire se concentre sur les moyens de construire et de développer des start-up. Un certain nombre de conditions sont fondamentales, tout en mettant l’accent sur les aspects liés à l’incubation, accélérer et financer les nouvelles idées technologiques à haut risque, du concept à l’ingénierie en passant par la validation et la croissance des entreprises. Les technologies «brûle-étapes» sont des technologies relativement nouvelles, révolutionnaires et évolutives, largement accessibles en raison de leur nature collaborative ouverte et globale. Dans le projet d’Alger smart-city, nous avons fait un choix prudent pour tirer parti de ces aspects. Il a été lancé avec un objectif : la technologie se développe plus rapidement que la réglementation. Des initiatives spécifiques ont été mises en place pour relever ce défi. La meilleure illustration en est le lancement du grand laboratoire Smart-City à Alger pour expérimenter des technologies de pointe dans un cadre réglementaire décontracté. Les start-up concernent la prise de risque et la gestion des risques. Naturellement, le niveau de prise de risque augmentera si le risque est perçu comme un retour sur investissement. Récompenser le risque au fil du temps assurera plus de prise de risque par une nouvelle génération. Alors que cela prend du temps — mesuré dans les dizaines d’années — il n’y a pas moyen de contourner cela. A ce titre, les décideurs doivent concentrer leurs efforts sur la mise en relation des start-up avec les clients dans le but d’accélérer le financement. Avec une feuille de route pour créer un environnement favorable dans une perspective à long terme, le projet smart-city d’Alger définit une manière innovante de concevoir et de promouvoir des stratégies de développement et d’inclusion socio-économiques. Nous sommes en train de valider le modèle de levier de la diaspora et le modèle de mise à l’échelle de démarrage au fur et à mesure que nous progressons dans la phase d’exécution du projet.
R. H.
(*) PhD en intelligence artificielle et consultant technique sur le projet Alger smart-city.
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Après les industries du livre, de la presse et du divertissement, c’est au tour des télécommunications de subir l’impact grandissant des technologies du numérique. Aujourd’hui, dans la plupart des pays, les opérateurs des télécommunications ne génèrent plus de revenus sur certains services rentables, comme les OTT, fonctionnant sur leurs réseaux.
P our l’histoire, au début des années 1990, l’industrie des télécommunications a vu certains de ses marchés subir une libéralisation totale. Des opérateurs, qui étaient placés sous le contrôle de l’Etat depuis des années, sont devenus totalement privés. Cependant, les caractéristiques clés de cette industrie avaient peu changé depuis ces années, puisque les services des télécommunications étaient fournis par les opérateurs eux-mêmes, plutôt que par une tierce entreprise. Pour cela, les services et réseaux ont été rassemblés et il était donc nécessaire de contrôler la technologie de réseau pour assurer la fourniture des services aux usagers. L’accès aux différents services dépendait alors des coûts de déploiement des réseaux d’accès et non pas d’un marché hautement compétitif. L’innovation en matière de services dépendait de celle des technologies réseaux. Il a fallu attendre l’arrivée des technologies du digital et la dérégulation de l’usage des téléphones pour voir émerger de nouveaux services dans le monde des télécommunications. L’avènement de l’internet a enclenché la séparation fonctionnelle entre l’infrastructure réseaux et les services. La caractéristique principale de l’internet tient, en effet, à ce que les compagnies d’internet puissent opérer indépendamment des réseaux d’accès sur lesquels les services fonctionnent. Le meilleur exemple de cette «caractéristique digitale» ce sont les fameux services Over The Top (OTT), comme WhatsApp, Skype et Viber. L’OTT décrit parfaitement le service qui fonctionne sur le réseau mais qui demeure en dehors du champ d’action des opérateurs des télécommunications. Le modèle dans lequel le propriétaire de l’infrastructure réseau est distingué de son exploitant a fait ses preuves dans plusieurs pays. Il a en effet permis de dépasser tous les obstacles au développement de nouveaux services. Dorénavant, les plateformes internet seront donc au cœur d’un nouveau modèle d’affaires complètement différent de celui des télécommunications. Par exemple, contrairement aux opérateurs des télécommunications qui tirent leurs revenus des frais d’accès à la toile versés mensuellement par les utilisateurs, certains fournisseurs des services internet, faute de publicité et de frais de services, n’ont pas d’autres modèles d’affaires en dehors de celui de vendre leur entreprise à quelqu’un d’autre. Cependant, le pire des scénarios pour l’ensemble des acteurs impliqués dans la fourniture du support des télécommunications à internet serait l’évolution économique des services OTT qui sont devenus des concurrents directs des services facturés par les opérateurs et dont les revenus étaient un soutien indiscutable de l’industrie des télécommunications depuis des décennies.
Concurrence féroce mais différente
En effet, des applications comme WhatsApp, Skype ou Viber menacent les revenus voix et data des opérateurs mobiles et historiques. Autrement dit, depuis sa «démilitarisation», internet génère non seulement des revenus supplémentaires pour les opérateurs, mais il menace de détruire les revenus qu’ils détiennent depuis des années. La concurrence dans l’internet devient ainsi complètement différente de celle du monde économique réel. Le marché de la toile est en effet marqué par des entreprises qui dominent plusieurs catégories : Google dans la recherche en ligne, Amazon dans le commerce électronique et Facebook dans les réseaux sociaux. A aucun moment, on aurait imaginé une compagnie des télécommunications, d’envergure connue mondialement, dominer une catégorie de l’économie numérique diligentée par internet. Ce constat nous conduit à admettre que les entreprises d’internet semblent bénéficier d’un profil plus transitoire et d’actifs plus mobiles. Elles mettent en location des espaces numériques via des serveurs puissants et montrent alors que leur valeur réside essentiellement dans leur «capital humain». Ce qui diffère de l’apport des entreprises des télécommunications à la toile mondiale, basé principalement sur l’installation de milliers de kilomètres de câbles et d’équipements qui coûtent cher. La relation économique entre les services internet et les opérateurs de télécommunications est une sorte de mélange complexe de complémentarité et de substituabilité. La croissance des services et applications sur internet a entraîné l’adoption des connexions à large bande comme le LTE (4G) et très prochainement de la 5G, créant alors des opportunités de nouvelles sources de revenus pour les opérateurs à un moment où celles issues des services de la téléphonie traditionnelle sont en nette régression.
F. F.
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La plus grande économie d’Afrique, le «Nigeria rate l’innovation financière la plus excitante de la région : l’argent mobile», estime un article publié sur le blog de la Banque mondiale examinant les «cinq façons» dont le pays «peut réaliser le potentiel de la technologie mobile pour les personnes non bancarisées».
En Afrique subsaharienne, 21% des adultes ont un compte d’argent mobile en 2017, soit près du double par rapport à 2014, selon le dernier rapport Global Findex de la Banque mondiale. «En revanche, le Nigeria est à la traîne : seulement 6% des adultes ont un compte d’argent mobile, un nombre pratiquement inchangé par rapport à 2014», affirme l’institution financière internationale. L’article relève l’extraordinaire expansion de l’argent mobile en Afrique subsaharienne, mais également en Afrique de l’Ouest et de l’Est au cours des trois dernières années. Pendant cette période, «la part de l’argent mobile est passée de 6% à 32% au Sénégal, avec des gains similaires au Burkina Faso», indique la BM dans son étude. «Au Ghana, 39% des adultes ont maintenant un compte d’argent mobile, en hausse de 13%, à égalité avec la Tanzanie. Au Kenya, plus de 70% des adultes utilisent un compte d’argent mobile. En outre, plus de 30% des adultes utilisent des téléphones mobiles pour effectuer des paiements à partir d’un compte bancaire traditionnel», ajoute la même source. Dans un processus inverse, c’est «la montée de l’argent mobile (qui) a conduit à une augmentation des comptes bancaires», estime la Banque mondiale qui note que «la possession de comptes bancaires dépasse maintenant 50% dans sept pays d’Afrique subsaharienne et 80% dans trois économies régionales». Le document de la Banque mondiale explique que l’argent mobile est un facteur «d’inclusion financière» qui peut «contribuer à réduire la pauvreté», citant l’exemple de «194 000 ménages kényans» pour qui ce monde de bancarisation «a permis aux femmes de passer de l’agriculture au commerce et à la vente au détail et a aidé les familles à constituer leur épargne». La faible participation de l’argent mobile au Nigeria «signifie que les gens peuvent manquer des occasions de participer à l’économie et d’améliorer la prospérité». «Les taux d’inclusion financière du Nigeria ont également stagné depuis 2014 où seulement 40% des adultes ont un compte bancaire».
Les opportunités
Mais toujours selon l’article du blog de la Banque mondiale, la «bonne nouvelle» c’est que «l’argent mobile a beaucoup de potentiel pour décoller au Nigeria». Citant des données de Global Findex (où les pays d’Afrique du Nord sont totalement absents), le document note que «70% des adultes ont un téléphone mobile» et que «35 millions d’adultes ne sont pas bancarisés, dont 20 millions de femmes». «Cela offre une formidable opportunité d’accroître l’argent mobile si l’infrastructure nécessaire, y compris le nombre d’agents, est mise en place». Comment ? L’article évoque «cinq façons». Il s’agit d’abord de «réformer le cadre réglementaire pour permettre aux filiales d’opérateurs de réseaux mobiles (MNO) de demander une licence d’opérateur d’argent mobile». Selon l’étude, les pays ayant une forte croissance de l’argent mobile «ont bénéficié de MNO engagées». «En revanche, le marché de l’argent mobile au Nigeria est dominé par les banques et les sociétés technologiques. Bien qu’ils jouent un rôle important, ils ne suffisent pas à eux seuls à débloquer le potentiel massif du Nigeria. Permettre aux filiales de MNO d’exploiter des services d’argent mobile pourrait encourager l’investissement privé et aider le Nigeria à adapter et appliquer les modèles qui ont réussi ailleurs», affirme l’article de la BM qui cite le cas du Ghana. Autre élément dans cette stratégie proposée, c’est de «développer le réseau d’agents», ces «magasins qui offrent des services de base aux utilisateurs d’argent mobile, tels que les dépôts, les retraits et les transferts». Cependant, ajoute le document, les MNO «ont besoin d’incitations» sous forme de «cadre réglementaire clair». «Numériser les paiements en espèces de routine», pour inclure les travailleurs «non bancarisés». «Près d’un adulte sur dix non bancarisé au Nigeria travaille dans le secteur privé et reçoit des salaires en espèces» et «15 millions d’adultes non bancarisés sont payés en espèces pour la vente de produits agricoles». En revanche, au Kenya et en Ouganda, «près d’un adulte sur six est un agriculteur dont les ventes agricoles sont versées directement sur un compte».
Numériser les transferts sociaux
Selon la BM, la numérisation des paiements (transferts, salaires et pensions) peut «réduire les fuites et la corruption potentielle». «Par exemple, l’Agence sud-africaine de Sécurité sociale a réduit de 54% les bénéficiaires de subventions sociales après la migration vers les paiements électroniques». Le document suggère aussi dans cette stratégie de création d’un écosystème de paiement mobile de «renforcer la protection des consommateurs». «Les gens n’utiliseront pas l’argent mobile s’ils s’inquiètent de la fraude et de la tromperie. C’est pourquoi il est important d’appliquer des règles strictes en matière de protection des consommateurs» notamment en matière de «paiements erronés et non autorisés», de la transparence des frais, la «protection des données», et le «règlement des différends». Enfin, le document de la Banque mondiale insiste pour «cibler les femmes» dans ce processus. «L’inclusion financière aide à lutter contre l’inégalité entre les sexes». «L’expansion des services financiers à tous les Nigérians est essentielle pour assurer que la plus grande économie de l’Afrique profite à tous. Les pays d’Afrique subsaharienne qui ont réussi à tirer parti des MNO et des réseaux d’agents pour fournir des services financiers ont le mieux réussi à atteindre leurs objectifs en matière d’inclusion financière», note le document qui précise que ces recommandations «sont alignées sur l’objectif d’Accès Financier Universel (UFA) du Groupe de la Banque mondiale pour garantir que les adultes du monde entier aient accès à un compte d’ici 2020».
A. Z.
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Dans la lignée de la grande opération qui l’a vue mettre en place un réseau de paiement électronique, avec l’installation de près de 5 000 terminaux chez ses clients parmi les commerçants, et tel que cela avait été annoncé il y a plusieurs mois de cela, la Banque de développement local (BDL) adhère de façon effective au système de paiement international en lançant sa MasterCard.
En fait, pour le début de ce second semestre, la BDL lance deux produits puisque, outre la carte de paiement la plus utilisée de par le monde, elle met à la disposition du public un produit qu’elle a baptisé El Amane, c’est un compte constitué d’un pack à travers lequel le client de la banque disposera d’une carte interbancaire CIB et, au titre de l’exclusivité, une couverte d’assurance contre les accidents corporels pouvant aller jusqu’au million de dinars. C’est un tout nouveau produit mis sur le marché à destination des particuliers auxquels il sera loisible d’effectuer toutes les opérations bancaires, entre virement, paiement et versement.
Quant à la MasterCard-BDL, elle a, évidemment, l’ensemble des attributs qu’on lui connaît partout. Mise à la disposition de ses clients depuis le début de ce mois de juillet, elle offre la possibilité de disposer de son argent, pour des paiements et des retraits, en monnaie étrangère à toute heure et durant les sept jours de la semaine, procéder en toute sécurité à des achats via le net grâce au système 3D Secure, comme son nom l’indique, un système de sécurité ultra-sophistiqué mis au point, entre autres, pour la sécurisation des transactions sur internet. Un produit qui, selon le directeur marketing de la BDL, Abderaouf Chaouch, connaît déjà un grand succès tant les souscripteurs ont afflué dès sa mise sur le marché il y a deux semaines. La BDL a voulu ainsi «être en phase avec sa clientèle en cette période de vacances, propice pour l’accès du détenteur de compte devises en besoin d’argent à tout moment», explique M. Chaouch avant de louer les vertus de l’autre «produit innovant», le pack El Amane.
Pour les plafonds de paiement, il est de 5 000 euros par semaine pour la MasterCard-Titanium alors que pour les détenteurs de la MasterCard-Platinium, il peut aller jusqu’à 8 000 euros. A travers les distributeurs automatiques de billets de banque (DAB/GAB), le plafond de paiement est de 1 000 euros par semaine. Il faut souligner que les acquéreurs de ce moyen de paiement universel, d’une durée de validité de deux ans, se voit octroyer gratuitement une assurance voyage couvrant les voyages à l’étranger, et un abonnement tout aussi gratuit à l’e-banking de la BDL. On n’en est pas peu fier à la BDL tant ils ont de quoi répondre à une clientèle de plus en plus exigeante d’une part et de l’autre répondre à l’attente des autorités financières et bancaires du pays qui entendent booster l’épargne en monnaie étrangère des Algériens, résidents ou non, autant que des étrangers également établis ou non sur le territoire national, détenteurs de comptes en devise librement convertible, comme le recommandait tout récemment encore la Banque d’Algérie dans l’optique générale de développer beaucoup plus qu’elle ne l’est l’inclusion financière.
Az. Maktour
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