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Updated: 1 week 5 days ago

Vie politique : Un ancien ‘'élément'' de sécurité de Roch Kaboré lance son parti politique, dénommé « Sidwaya »

Thu, 18/02/2021 - 21:05

Le paysage politique burkinabè enregistre donc l'arrivée de « Sidwaya », un parti politique d'obédience social-démocrate, dont le récépissé a été signé et remis à ses géniteurs ce jeudi 18 février. Il est dirigé par Ousséni Ouermi, transfuge du parti au pouvoir (MPP) dont il était l'un des ‘'chefs'' de sécurité du candidat, Roch Kaboré, à la campagne électorale de 2015.

Jusque-là, « Sidwaya » était un regroupement d'indépendants, porté sur les fonts baptismaux en avril 2019 par la même personne (Législatives 2020 au Burkina : Le regroupement d'indépendants « Sidwaya » investit ses candidats du Bam et de la liste nationale ). « Sidwaya », parce que pour son président-fondateur, Ousséni Ouermi, « sans vérité, on ne peut construire ni un village, ni une commune, une province encore moins, un pays ».

C'est sous cette bannière que Ousséni Ouermi et ses camarades sont allés aux législatives du 22 novembre 2020, d'où ils sont ressortis bredouilles (ils ont soutenu Roch Kaboré à la présidentielle).

M. Ouermi était candidat tête de liste dans le Bam, en compétition avec le ministre d'Etat d'alors, ministre de l'administration territoriale et de la décentralisation, Siméon Sawadogo (actuel ministre de l'environnement), directeur provincial de campagne du MPP, qui s'en est tiré avec un député tandis que le NTD (mouvance) s'arrachait le second siège.

Une situation que les animateurs du regroupement semblent n'avoir pas digéré et qu'ils attribuent d'ailleurs à ce qu'ils qualifient de « définition arbitraire de zones rouges (référence aux zones d'insécurité où il n'y a pas eu de vote, ndlr) ».

Qu'à cela ne tienne, dira-t-on, les artisans de « Sidwaya » veulent passer à la vitesse supérieure par le basculement en bonne et due forme sur la piste politique. « Il fallait vraiment arriver à ça (parti politique, ndlr) ; le mouvement d'indépendants, c'est bien, mais ce n'était pas arrivé. Il nous faut cette organisation pour pouvoir bien nous positionner pour les échéances à venir », commente brièvement le président de « Sidwaya », Ousséni Ouermi.

Ousséni Ouermi et la vingtaine de membres qui composent la direction entendent désormais imprimer une « autre façon d'exercer la politique », à en croire quelques contacts à ce sujet.

Pour commencer, l'organe dirigeant annonce l'animation, dans les jours à venir, d'une conférence de presse pour décliner les valeurs et les ambitions du parti politique « Sidwaya », dont la devise est « Unité-Paix-Sécurité ».

En attendant d'en savoir davantage, on relève que le siège du parti est situé à Rollo, une des neuf communes de la province du Bam (région du Centre-nord).

Oumar L. Ouédraogo

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Categories: Afrique

Développement du numérique : Le Burkina dispose désormais d'une boussole

Thu, 18/02/2021 - 20:40

La ministre de l'Economie numérique, des Postes et de la Transformation digitale, Hadja Fatimata Ouattara, a reçu ce jeudi 18 janvier 2021 à Ouagadougou, une équipe du Fonds d'équipement des Nations-Unies (UNCDF), du PNUD et de la Coopération luxembourgeoise. Elle est venue présenter le rapport sur l'inclusivité du développement des services numériques (IDS) commandité par le Burkina.

Le Burkina Faso est en chantier sur le plan du numérique. De nombreux efforts ont été faits par le gouvernement pour la transformation digitale du pays sous le leadership de la ministre de l'Economie numérique, Hadja Fatimata Ouattara. Pour faire l'état des lieux du processus, mais aussi prendre conscience des insuffisances, une étude a été commanditée.

La ministre en charge de la Transformation digitale, Hadja Fatimata Ouattara, a indiqué que le rapport servira de baromètre pour le processus enclenché

La première édition du rapport a été remise ce jeudi 18 février 2021 à la ministre par les partenaires du Fonds d'équipement des Nations-Unies (UNCDF), la Coopération luxembourgeoise et le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), principaux bras financiers de cette étude.
Selon le chargé d'affaires du Grand-Duché de Luxembourg, Joseph Senninger, le Burkina Faso est dans une bonne dynamique en ce qui concerne le développement numérique. Il a remercié l'UNCDF pour son engagement personnel dans l'élaboration de ce rapport et d'avoir associé le Grand-Duché du Luxembourg dans le développement de cette étude.

« Le numérique donne de nombreuses opportunités »

Mathieu Ciowela du PNUD est, quant à lui, revenu sur l'importance du numérique dans le développement d'un pays. « Le numérique donne de nombreuses opportunités. Il est transversal et est un facteur incontournable de développement », a-t-il mentionné. Il a confié que sa structure a accepté faire partie de l'équipe d'élaboration de ce document avec beaucoup de reconnaissance et de plaisir.

Le représentant résidant du PNUD, Mathieu Ciowela, a signifié que sa structure a accepté faire partie de l'équipe d'élaboration de ce document avec beaucoup de plaisir

Dans ledit rapport, des recommandations ont été faites pour renforcer le processus de transformation digitale au Burkina Faso. Parmi ces exhortations, on peut citer l'établissement d'un forum de collaboration des parties prenantes, la mise en place d'une carte d'identité numérique du pays et d'une cartographie des stratégies et l'élaboration des plans pour renforcer la reconnaissance numérique par la population, entre autres.

Photo de famille

La ministre en charge de la Transformation numérique, Hadja Fatimata Ouattara Sanon, a indiqué que ce rapport servira de baromètre dans le processus qui a été enclenché. « Ce qui nous réconforte c'est que les briques que nous avons posées sont bonnes. Notre pays a amorcé le bon rythme de développement numérique car les résultats sont globalement appréciables », a-t-elle apprécié. Au titre des actions menées par son département, Mme Ouattara a cité la prise des résolutions, des textes pour encadrer le domaine, le recrutement des incubateurs ainsi que le soutien des start-ups.
Obissa Juste MIEN
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Categories: Afrique

Espèces aromatiques au Burkina : Une nouvelle étude en cours de validation pour combler le manque d'information en la matière

Thu, 18/02/2021 - 20:31

Le ministre de l'Environnement, de l'Economie verte et du Changement climatique, Siméon Sawadogo, a ouvert, ce jeudi 18 février 2021 à Ouagadougou, l'atelier national de validation de l'étude sur les espèces aromatiques au Burkina Faso. Une étude qui vise à combler le manque d'information sur ces espèces.

Combler le manque d'informations en matière d'espèces aromatiques au Burkina Faso, c'est l'objectif de cette nouvelle étude qui est en cours de validation ce 18 février 2021 à Ouagadougou. Une étude commanditée par le ministère à travers sa direction générale de l'économie verte et du changement climatique sous la supervision d'un comité technique.

Une vue des participants

Présidant la cérémonie d'ouverture de cet atelier national sur l'étude, le ministre Siméon Sawadogo a souligné l'importance des espèces aromatiques pour le pays et surtout pour les populations. « Les espèces forestières à intérêt aromatique sont de plus en plus explorées et recherchées pour leurs vertus et regroupent l'ensemble des espèces dont les produits dérivés notamment les arômes et huiles essentielles sont utilisées pour l'alimentation à cause des valeurs nutritives et organoleptiques, pour la fabrication de médicaments, la parfumerie et comme colorants », a-t-il expliqué.

Le ministre de l'Environnement, de l'Economie verte et du Changement climatique, Siméon Sawadogo

Il indique par ailleurs que ces arômes et huiles essentielles revitalisent le corps et l'esprit et participent à la santé et au bien-être de la population. Cependant, rappelle-t-il, la méconnaissance de ces espèces entraîne l'utilisation d'arômes de synthèse qui ont souvent des effets néfastes sur la santé humaine. Face à cette situation, l'utilisation des arômes et huiles essentielles issus des espèces végétales pourrait être une alternative en complément pour assurer une alimentation saine, améliorer santé et rendre agréable le cadre de vie.

Cependant, cette filière, dit le ministre Siméon Sawadogo, reste peu développée et ce, malgré les possibilités qu'elle pourrait offrir sur le marché contemporain. D'où la nécessité de promouvoir et de valoriser ces ressources au profit des acteurs directs des produits forestiers non ligneux (PFNL) et surtout des consommateurs. « C'est pourquoi, les résultats de cette étude permettront de combler le manque d'information sur lesdites espèces, de développer la filière tout en donnant des orientations sur les substances extraites et leur utilisation potentielle dans divers domaines. Toute chose qui contribuera à diversifier les emplois et les revenus au profit des acteurs » conclut le ministre Sawadogo.

Le chargé d'affaires de l'ambassade du Grand-Duché de Luxembourg, Joseph Senninger

La réalisation de cette étude s'est effectuée avec l'accompagnement des partenaires techniques et financiers dont le gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg qui accompagne le Burkina Faso dans sa politique de développement. C'est pourquoi, le chargé d'affaires de l'ambassade du Grand-Duché de Luxembourg, Joseph Senninger, était présent à cette cérémonie.

Il a laissé entendre que leur présence aux côtés du ministère en charge de l'Economie verte vise la valorisation des ressources forestières qui s'inscrit dans une double démarche à plusieurs niveaux et depuis plusieurs années afin de rendre l'économie du Burkina plus durable et au bénéfice des populations.

Yvette Zongo
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Categories: Afrique

Santé : Le Burkina élabore un nouveau plan national de contrôle des naissances

Thu, 18/02/2021 - 20:15

Le ministre de la Santé, Pr Charlemagne Ouédraogo, a présidé la cérémonie de lancement officiel de l'élaboration du plan de contrôle des naissances 2021-2025 du Burkina Faso. C'était ce jeudi 18 février 2021 à Ouagadougou en présence du ministre en charge de la communication, et des partenaires techniques et financiers du secteur de la santé, avec leur chef de file, l'OMS.

Le plan national 2021-2025 du Burkina Faso de planification familiale est la troisième génération des plans d'action nationaux budgétisés. Il remplace le plan national d'accélération de la planification familiale (PNAPF) qui couvrait la période 2017-2020 et qui avait pour objectif de faire passer la prévalence contraceptive de 22,5% en 2015 à 32% en 2020. Le PNAPF a engrangé de nombreux acquis, notamment, le développement de stratégies pour rapprocher les services de planification des populations, la délégation des tâches et la gratuité de la planification familiale lancée en décembre 2020 par le président du Faso.

Une vue des participants à la rencontre

Malgré ces acquis, force est de reconnaitre que des défis restent à relever pour atteindre un meilleur taux d'accès et d'utilisation de la planification familiale qui, comme le rappelle le ministre de la Santé, permet de réduire de 30% le ratio de mortalité maternelle et de 20%, le taux de mortalité néonatale. Au nombre de ces défis, il y a « l'implication des hommes dans la planification familiale, l'offre de services conviviaux adaptés aux besoins des adolescents et des jeunes en planning familial, la disponibilité continue des produits contraceptifs », explique le ministre de la Santé.

Pr Charlemagne Ouédraogo, ministre de la Santé

Le nouveau plan national dont l'élaboration a été lancée ce jeudi 18 février 2021 viendra donc contribuer à relever ces défis. « Ce nouveau référentiel est capital pour la suite des événements parce qu'actuellement nous sommes dans une période charnière. Notre plan de développement sanitaire s'élabore tous les dix ans. Et le dernier plan est échu en même temps que le plan d'accélération de la planification familiale. Donc actuellement nous sommes en train de concevoir un plan national de développement sanitaire projeté sur dix ans qui prendra en compte les préoccupations de planification familiale pour les cinq prochaines années. Aujourd'hui il est important de faire une bonne planification des besoins, afin que nous puissions accélérer la transition démographique pour profiter du dividende démographique », a indiqué le ministre de la Santé.

Photo de famille

Au cours de la présente rencontre, devraient être affichés les résultats du rapport final de la revue terminale du PNAPF 2017-2020. En effet, en vue de mesurer le niveau de performance des indicateurs de base dans la mise en œuvre du PNAPF 2017-2020, une revue finale dudit plan a été réalisée de mars à novembre 2020. Avant d'élaborer le nouveau plan, il est nécessaire que les participants s'approprient les résultats du plan qui l'a précédé.

Cette rencontre sera aussi l'occasion de voir la méthodologie d'élaboration du nouveau plan national 2021-2025 de contrôle des naissances, de recueillir des suggestions des participants pour consolider les actions prioritaires et recommandations à prendre en compte dans l'élaboration du plan et de présenter la feuille de route de son élaboration.

Dr Alimata Diarra/Nama, représentante résidente de l'OMS

A en croire la représentante résidente de l'OMS au Burkina Faso, Dr Alimata Diarra/Nama, « investir dans la planification familiale est une nécessité pour le Burkina Faso qui veut réaliser le dividende démographique et réussir son développement socioéconomique ». C'est pourquoi elle salue l'initiative d'élaboration d'un nouveau plan national de contrôle des naissances et assure de la disponibilité de l'ensemble des partenaires techniques et financiers à accompagner le processus.

Justine Bonkoungou
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Categories: Afrique

Insolites : Koin, le village où l'on guérit l'impuissance sexuelle

Thu, 18/02/2021 - 19:50

Le village de Koin est situé dans la province du Nayala à 8 km de Toma, sur l'axe Koudougou- Toma, sur la RN 21. Il a la particularité de connaître de faits insolites. Et les plus remarquables sont le « Fou Wou » qui permet à l'homme de recouvrer sa puissance sexuelle, et le « Godo » qui répare les fractures de membres, même les plus graves. Nous avons, rencontré les dépositaires de ces insolites. Ils nous en disent davantage.

Tahirou Paré est le dépositaire du remède miracle qui rétablit la puissance sexuelle. Il raconte : « notre aïeul s'était absenté 6 ans durant ; et à l'orée de la 7è année, la grande famille a décidé un jour de le déclarer décédé et a procédé à la fixation de la date de ses funérailles. Et le lendemain matin, on l'a retrouvé assis dans sa maison, à côté de sa femme. Il aurait expliqué avoir été retenu par des génies qui l'empêchaient de se présenter à la famille qu'il voyait pourtant en train de le rechercher partout. C'est ainsi qu'il aurait montré le médicament miracle qui lui a été donné et ce qu'il pouvait rendre comme service aux hommes. Mais ce médicament ne doit pas sortir de la maison, il ne requiert pas de rituel particuliers, la femme ne peut ni le toucher, ni enlever le feu qui aura servi à préparer le tôt qui l'accompagne. Et pour en bénéficier, il suffit d'apporter 5 FCFA plus un coq blanc possédant des ergots, la farine qui puisse suffire à préparer du tôt et du sel à quantité indéterminée ».

Mais avec le temps, poursuit Tahirou, « nos grands parents se sont rendus compte que certains n'apportaient pas une quantité suffisante de sel. Ils ont de ce fait arrêté la somme de 3 000 FCFA pour frais de sel. Mais, si quelqu'un décide de nous en donner plus comme frais de sel avant ou après satisfaction, nous prenons. Je suis né trouvé cela ainsi ; et je n'ai jamais vu, ni entendu dire qu'il y a pareille chose quelque part ailleurs. Les gens viennent de partout, de l'intérieur du Burkina, de la Côte d'Ivoire, du Mali, du Gabon, du Libéria, de la France, pour se soigner chez nous. Et je n'ai jamais entendu dire qu'il y a eu insatisfaction. » Et de confier que beaucoup de personnalités, dont un ancien chef d'Etat (avant d'accéder à ce poste) sont ainsi venus à Koin pour se faire traiter.

Si ce médicament n'exige pas trop de conditions, il demande néanmoins de respecter une certaine procédure, « Ceux qui viennent se soigner doivent rebrousser chemin le même jour. Au départ, les patients passaient quelques jours dans la famille, le temps de recouvrer parfaitement la virilité ; mais un patient, qui venait de recouvrer sa virilité, a failli violer une femme de la cour. A partir de cet instant, nous avons décidé de faire en sorte que les patients repartent chez eux le même jour. Le chef du village a décidé qu'ils ne peuvent plus passer une seule nuit dans le village même. Sauf s'il vient accompagné par une femme. Si le temps ne nous permet pas de servir quelqu'un pour ensuite le libérer dans la journée, nous lui demandons de revenir le lendemain matin ».

Autre curiosité du village de Koin, le Godo, appelé « Bonne terre de Koin par un prêtre qui en a pris », répare les fractures. Urbain Ki qui en est l'actuel dépositaire dit ne pas savoir comment sa famille l'a acquis ; car, même son grand père ne le sait pas vraiment. Mais l'on raconte au village que c'est parti d'une histoire de jalousie entre deux coépouses. Une femme avait brisé le pilon de sa coépouse par mégarde. Cette dernière a demandé réparation, a refusé un autre pilon et a exigé de la première qu'elle lui rapporte son pilon intact. Impuissante, la fautive est rentrée en brousse en larmes et après avoir erré, s'est endormie de fatigue. Au réveil, elle a trouvé que le pilon avait été réparé, sans trace. Les génies qui l'ont réalisé lui ont alors expliqué comment cela marchait et comment soigner des fractures avec.

« Il suffit de donner 5 FCFA, pour en bénéficier, explique Urbain Ki. Mais certaines ethnies, en l'occurrence les Mossi, Dagara, Gougrounsi, Lobi, doivent apporter une poule. Et si on le prend pour quelqu'un avec qui on n'habite pas, il faut éviter de le déposer chez soi avant de le lui apporter. La durée du traitement varie selon que la personne est jeune ou d'un âge avancé ».

De nos jours, beaucoup de malades victimes de fractures sont référés au guérisseur de Koin depuis le centre médical de Toma, de celui de Tougan, ou même de l'hôpital Yalgado à Ouagadougou. « Mais si c'est une fracture ouverte, nous renvoyons aussi aux centres de santé qui peuvent mieux replacer l'os ; et après, nous pouvons appliquer notre produit. Nous pouvons, à leur demande, garder les malades jusqu'à guérison » explique Monsieur Ki. ET ce traitement, souligne-t-il se fait sans traitement particulier. Il suffit d'appliquer un mélange de la terre qui est puisé à un endroit précis.

Fulbert Paré
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Categories: Afrique

Sommet de N'Djamena : Fin de partie pour les terroristes, exulte Ibrahim Keïta

Thu, 18/02/2021 - 17:06

Le 7e sommet du G5 Sahel qui vient de s'achever ouvre enfin de nouvelles perspectives. A N'Djamena, dans son discours d'ouverture le président tchadien Idriss Deby déclare : « En décidant souverainement de mutualiser nos missions, nos forces et nos ressources afin de faire face résolument aux grands défis qui menacent notre grand espace commun, (…) nous avons pris l'engagement résolu de prendre notre destin entre nos mains, car notre espace a connu une combinaison de calamités à répétition ». Voilà qui est dit !

La solidarité entre les pays du G5 Sahel va donc connaitre un second souffle et les djihadistes qui ruinent nos territoires et nos modes de vie verront rapidement leur rêve de khalifat s'effondrer. C'est la première fois dans l'histoire de notre continent qu'on observe une telle prise de conscience collective qui se traduit par une réelle solidarité sur le terrain. Vaincre l'ennemi commun exige une réponse commune, globale. Parmi les mesures décidées lors de ce sommet, sur le plan sécuritaire il s'agit bien d'empêcher la menace de s'étendre.

Après les coups portés ces derniers mois aux différents groupes djihadistes qu'ils soient du JNIM ou de l'EIGS, il faut désormais achever le travail. La région des trois frontières verra très prochainement l'arrivée d'un bataillon constitué de 1200 soldats tchadiens expérimentés. Il aura pour mission de sécuriser ce territoire et de traquer les djihadistes qui s'y trouvent encore. Au Mali, dans le Macina, l'armée mauritanienne devrait très prochainement venir renforcer les FAMa afin d'éradiquer la katiba d'Amadou Kouffa et permettre aux populations de vivre enfin libre.

Cette démonstration d'unité entre les pays du G5 Sahel rassure également toutes les nations qui nous ont soutenus jusqu'à présent, elle attire même de nouveaux pays à s'engager dans cette lutte. Grâce aux engagements pris par les cinq chefs d'Etat sahéliens, le président français Macron a décidé qu'il ne réduirait pas l'engagement de son armée malgré la pression de l'opinion publique en France.

C'est une preuve de plus de la confiance accordée dans ce G5 Sahel. Il a également réaffirmé que l'objectif était bien de faire « converger les moyens vers la haute hiérarchie » des groupes djihadistes promettant « une action renforcée » pour « essayer d'aller décapiter ces organisations ». De potentielles discussions entre nos gouvernants et les groupes terroristes ne peuvent être acceptées sous peine d'affaiblir un pays comme le Mali encore bien trop fragile.

Cet effort commun pour la lutte anti-terroriste qui s'accompagnera évidement de mesures destinées à réimplanter les administrations dans les zones aujourd'hui délaissées, est bien l'essentiel à retenir de ce sommet. Les succès militaires vont donc se poursuivre et les leaders terroristes voient déjà leur projet mortifère s'éloigner inexorablement. Un sursaut salutaire pour toutes ces populations qui n'aspirent qu'à se débarrasser du joug djihadiste.

Ibrahim Keïta
Page FB : Association des Victimes du Terrorisme au Mali - @HalteTerrorismeauMali
Twitter : @IKeitala

Categories: Afrique

Civisme fiscal au Burkina : Un forum national pour promouvoir la nouvelle stratégie

Thu, 18/02/2021 - 15:08

Le ministère de l'Économie, des Finances et du Développement (MINEFID) tient un forum national sur la stratégie de promotion du civisme fiscal, les 18 et 19 février 2021 à Ouagadougou. Il s'agit pour la cinquantaine des participants des secteurs privé et public de réunir des outils pour maintenir le civisme fiscal au Burkina Faso.

« Le civisme fiscal est une problématique fondamentale du développement du Burkina Faso », dit le ministère de l'Économie, des Finances et du Développement (MINEFID). Pour ce faire, il estime que la mise en œuvre d'une stratégie efficace nécessite l'implication de tous les acteurs. C'est pourquoi, un forum national de deux jours réunit les acteurs du domaine de la fiscalité pour « débattre de la future promotion du civisme fiscal et l'enrichir ». La cérémonie s'est tenue le jeudi 18 février 2021 à Ouagadougou.

Les agents du MINEFID, de la Direction générale des impôts (DGI), les travailleurs des secteurs privé et public, les partenaires techniques et financiers, et les membres d'OSC sont invités à échanger et s'informer sur le contenu de la stratégie élaborée par la DGI. « L'objectif est de favoriser l'émergence d'une culture du civisme fondée sur les droits et les responsabilités, culture en vertu de laquelle chaque citoyen considérera que le paiement des impôts est une composante à part entière de la relation qu'il entretient avec la puissance publique », a affirmé Moumouni Lougué, le directeur général des impôts.

« Nous sommes dans un contexte où l'État mobilise plus de ressources propres pour financer le développement durable », a indiqué Moumouni Lougué

A en croire les organisateurs de ce forum, trois orientations sous-tendent la nouvelle stratégie : mobiliser des recettes budgétaires pour répondre aux besoins de l'État notamment dans le cadre de la mise en œuvre du PNDES (Plan national pour le développement économique et social) ; construire une relation de partenariat et de confiance avec le contribuable, les partenaires et les autres régies de recettes ; et améliorer les performances de la DGI avec un management moderne.

Montants engrangés faibles par rapport au potentiel fiscal

Représentant le ministre en charge des Finances à ce forum, son conseiller technique, Céline Yonaba, a rappelé que les recettes fiscales sont primordiales pour le développement économique, social et durable de tout pays.

Pour elle, au Burkina Faso, « le civisme fiscal est une réalité au regard de l'évolution des recettes fiscales de ces dernières années ». Toutefois, Céline Yonaba a insisté que « cette évolution ne doit pas faire perdre de vue le fait que les montants engrangés demeurent encore faibles par rapport au potentiel fiscal ».

Pour Céline Yonaba, le civisme fiscal constitue un moyen stratégique pour l'administration fiscale de se rapprocher du contribuable

Pour la DGI, l'espoir est fondé sur cette stratégie afin d'améliorer conséquemment les performances de recouvrement. « Car même si bon nombre de contribuables acceptent volontiers de s'acquitter de leurs obligations fiscales, l'incivisme fiscal demeure une gangrène qui prive les caisses de l'Etat d'importantes sommes d'argent », a déclaré Moumouni Lougué.

Ce forum national se tient sous forme d'un panel avec le premier sous-thème « renforcer le civisme fiscal à travers des réformes de mobilisation des recettes et des réformes organisationnelles et institutionnelles ». La cinquantaine de participants s'est penchée également sur le sous-thème « renforcer le civisme fiscal par l'amélioration de la qualité du service rendu aux usagers ».

Les participants sont invités à promouvoir la nouvelle stratégie fiscale

Cette stratégie de promotion du civisme fiscal a été soutenue par le Programme d'appui à la gestion publique et aux statistiques (PAGPS), un programme financé par l'Union européenne.

Cryspin Masneang Laoundiki
Lefaso.net

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Décès de Hadja Dilo Assita DIARRA/KEKELE : Remerciements

Thu, 18/02/2021 - 15:00

- La Grande famille NETANE, DIARRA à Soumara-Bomba et Ouagadougou
La Grande famille de Feu DIARRA Bakary à Nemnin - Ouagadougou

Les familles KEKELE, KOBE à Diouroum et Tougan (SOUROU)
Les familles ZERBO et ZALLA à Tougan et Ouagadougou (Sourou)
La famille El HADJI KONE Oumar à Ouagadougou
La famille de Feu Aboubacar Sangoulé LAMIZANA à Ouagadougou
La famille TRAORE Zora à Ouagadougou
La famille SAME, SEREME à Bobo Dioulasso et Ouagadougou
La famille de Feu DRABO Barthélemy à Ouagadougou

- Les enfants

Hadja Mariam KAMBOU née DIARRA, Aoua ZOUGOURI née DIARRA, Moussa DIARRA, Sita DIARRA, Bintou HAIDARA née DIARRA, Maïmouna TAPSOBA née DIARRA, Orokia OUEDRAOGO née DIARRA, Safie COULIBALY née DIARRA, Souleymane KEKELE, Adama DIARRA, Karim DIARRA, Abdoulaye Lakiry DIARRA,

Les petits enfants, et arrières petits-enfants ;

- Les familles alliées

KAMBOU, ZOUGOURI, KABORE, HAÏDARA, OUEDRAOGO, TAPSOBA, KOUMARE, SAWADOGO, COULIBALY et TOURE,

- Les neveux, nièces, cousins, cousines, proches parents,

Vous remercient du fonds du cœur, pour les nombreuses marques de soutiens, tant moraux que matériels, que vous leur aviez témoignés, lors du décès le 27 Janvier, et de l'enterrement le 28 Janvier 2021, de leur épouse, mère, belle-mère, grand-mère, arrière-grand-mère ;

Hadja Dilo Assita DIARRA/KEKELE
décès survenu à sa 89ème année, des suites de maladie.

Le doua du 3ème jour a eu lieu le Dimanche 31 janvier.

Elles remercient particulièrement les autorités Administratives et religieuses, notamment :

Madame Saran SEREME/SERE, Médiateur du FASO.
Madame Clémentine DABIRE, épouse du Premier Ministre,
Madame GO Louise, Ministre délégué à l'Habitat,
Monsieur Paul Kaba THIEBA, Ancien Premier Ministre,
Monsieur Maurice Dieudonné BONANET, ancien Ministre de l'Habitat,
El HADJI Moussa SANOGOH, Président du cadre de concertation SOUROU-NAYALA,

Le Général Ibrahim TRAORE, ancien CEMGA, ancien Ministre,
Le Directeur Général de la BSIC et son personnel,
La Directrice Générale de Wend-Kuuni Bank,

Le Directeur Central du Matériel de l'Armée et sa délégation,
L'Officier du bureau de Garnison,
L'Honorable SEREME Fadel, Président du PDC et la délégation du Parti,
L'Honorable MOSSE Abdoulaye, et les membres du M.P.P de l'arrondissement n°5,

Monsieur Mamadou OUEDRAOGO, ancien député et famille à Ouagadougou,
Maitre Harouna SAWADOGO et Frères,
La délégation des femmes de la cité An II,
La délégation de l'UEMOA,

La communauté SAMO à Tougan, Soumara et Diouroum à Ouagadougou,
Les ressortissants de Diouroum à Ouagadougou,
Les voisins et voisines et Nemnin, cité AN II, 1200 logements, Pissy, Nonsin, Kamboincé,

Les autorités religieuses dont les communautés musulmanes de Nemnin et celle de Ouahabou,

Les membres du Centre International d'Evangélisation de Pissy (CIE/Pissy),
Et toutes celles et tous ceux dont les noms n'ont pas individuellement été cité.
Que Dieu le Miséricordieux rende à chacun la mesure de son immense capacité, et vous bénisse.

Categories: Afrique

Le maire Herman Sirima en prison : Le Procureur du Faso près le TGI de Bobo s'explique et lance un appel à témoins

Thu, 18/02/2021 - 10:51

Trois personnes, dont le maire de l'arrondissement 7 de Bobo Dioulasso, Herman Sirima, ont été placées en garde-à-vue le mardi 9 février 2021, puis déférées à la Maison d'arrêt et de correction de Bobo-Dioulasso le lendemain.

Dans le communiqué qui suit, le Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Bobo-Dioulasso, détaille ce qui leur est reproché. Il explique notamment que les trois hommes sont sous le coup d'une enquête pour escroquerie, délit d'apparence, acceptation de cadeaux indus, blanchiment de capitaux et stellionat, dans le cadre d'une affaire de vente de parcelles. Le Procureur invite également toute personne détentrice d'informations relatives à cette affaire à les porter à sa connaissance.

« Suite à des dénonciations de personnes désirant garder l'anonymat, faisant état de ce que des individus s'adonnaient depuis un certain temps à des ventes illégales de parcelles à l'arrondissement N°7 de Bobo-Dioulasso, le Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Bobo-Dioulasso faisait procéder à la vérification du caractère sérieux des faits allégués.

Des renseignements reçus, il est ressorti qu'un groupe d'individus dont des autorités communales de l'arrondissement N°7 identifiait dans un premier temps des parcelles fictivement attribuées ou sans attributaire connu, puis persuadait les « acquéreurs » de l'existence d'une opération future de retrait desdites parcelles en vue de les leur réattribuer et percevait auprès de ces « acquéreurs » d'importantes sommes d'argent.
Sur la base de ces renseignements, le Procureur du Faso saisissait par soit-transmis du 29 janvier 2021 le Commissaire central de police de Bobo-Dioulasso aux fins d'ouverture d'une enquête judiciaire.

Les investigations ont abouti à l'arrestation et à la garde-à-vue de trois personnes dont Monsieur SIRIMA Saferma Herman, Maire de l'arrondissement N°7. Ces personnes ont été déférées le 10 février 2021 et une information judiciaire pour stellionat aggravé, stellionat simple, trafic d'influence, délit d'apparence, acceptation de cadeaux indus et blanchiment de capitaux a été immédiatement ouverte contre elles au cabinet du Juge d'instruction du pôle judiciaire spécialisé dans la répression des infractions économiques et financières et de la criminalité organisée du Tribunal de grande instance de Bobo-Dioulasso. Après leur mise en examen pour les infractions suscitées, le Juge d'instruction les a placées en détention provisoire le même jour.

Tous les Maires ayant la qualité d'officier de police judiciaire aux termes de l'article 241-5 du code de procédure pénale et conformément à la procédure applicable en la matière, une requête a été initiée à l'attention de la Cour de Cassation pour la désignation de la juridiction qui sera chargée de poursuivre la procédure. Mais en attendant cette désignation, le Juge d'instruction saisi continuera les investigations.

Le Procureur du Faso remercie tous ceux dont le travail de dénonciation a permis d'initier cette procédure et invite par la même occasion toute personne détentrice d'informations relatives à cette affaire ou à toute autre infraction économique et financière à les porter à sa connaissance ou à celle d'une unité de police judiciaire. »

Bobo-Dioulasso, le 18 février 2021

Le Procureur du Faso
Roger-André ZOUGROUANA

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Libye : Dix ans après la "révolution", le pays ne se retrouve toujours pas

Thu, 18/02/2021 - 10:50

Le 17 février 2011, éclatait la ‘'révolution'' libyenne qui va se solder par la mort, le 20 octobre de la même année, du guide Mouammar Khadafi, et ce, suite à l'intervention occidentale menée par la France et la Grande-Bretagne. Dix ans après ce qui était apparu comme un vent de démocratie, le pays est plongé dans le chaos, sous-tendu par des divisions.

"Mouammar Kadhafi couvert de sang, le regard perdu d'angoisse, au milieu d'un essaim de miliciens qui le bousculent, le frappent, lui arrachent des poignées de cheveux. Kadhafi traîné à terre, un pistolet sur la tempe, entouré de la même foule en liesse. Kadhafi, mort, étendu sur le sol à côté du cadavre de Mouatassim, son fils, sous les yeux incrédules, haineux ou rieurs des habitants de Misrata", décrivait Jeune Afrique de la mort de Mouammar Kadhafi. Un objectif venait ainsi d'être atteint pour les instigateurs de la chute. Seulement, une décennie après, la démocratie tant "visée" est loin de pointer le nez en Libye.

Depuis ce soulèvement, le pays ne connaît que misères et souffrances : des morts, un chaos social, politique et économique, etc. A ce jour, environ 3 000 milices armées font la loi dans ce pays autour surtout de l'exploitation du pétrole. Le dixième anniversaire de la "révolution" (17 février 2011-17 février 2021) laisse donc un pays divisé d'Est en Ouest avec deux parlements, deux armées et deux banques centrales rivales qui émettent chacune de la monnaie. Des divisions largement alimentées par les puissances régionales qui prennent fait et cause pour l'une ou l'autre des parties.

Pendant ce temps, des rencontres internationales sur le pays se multiplient, à la "quête" d'une solution au chaos. Dans toute cette préoccupation, l'Afrique semble, à travers ses organisations, moins préoccupée, si l'on s'en tient à l'actualité relative aux recherches d'une porte de sortie. D'ailleurs, dans certains pays, les traces de celui-là qui a régné pendant quatre décennies sur la Libye et qui a rêvé d'un "État africain", Mouammar Kadhafi, sont en train d'être effacées.

En ce dixième anniversaire, et en autant de temps de souffrance, espérons que le dialogue politique initié début février 2021 en Suisse soit l'amorce du bout du tunnel.

O.L
Lefaso.net

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OCADES : Campagne nationale de mobilisation des ressources pour le fonds catholique et de solidarité Alfred Diban

Thu, 18/02/2021 - 09:30

(Ouagadougou le 15 février 2021). Le réseau OCADES Caritas Burkina organise une conférence de presse sur la campagne de mobilisation des ressources pour le Fonds Catholique de Solidarité Alfred Diban (FCSAD), le lundi 22 février 2021 à 9h au Centre DHI de l'OCADES Caritas Burkina.

Cette conférence de presse qui sera animée par Mgr Laurent DABIRE, Evêque de Dori et Président de la Conférence Episcopale Burkina-Niger, permettra aux hommes et femmes de médias et au grand public d'avoir des informations sur ladite campagne qui aura lieu du 21 au 28 février 2021 sur toute l'étendue du territoire burkinabé.

En rappel, le Fonds Catholique de Solidarité Alfred Diban a été mis en place par les Evêques du Burkina et le lancement officiel a eu lieu le 28 novembre 2018. L'objectif du fonds est de susciter la participation des fils et filles de l'Eglise Famille de Dieu au Burkina Faso et des hommes de bonne volonté à apporter les ressources nécessaires pour répondre parfaitement aux situations de crise qui surviennent dans notre pays.

NB : Le Centre DHI est situé sur la rue du Moogho Naaba, avant la Gare Staf (environ 200m) et la Paroisse Saint Jean XIII, plus précisément en face de l'Imprimerie GRAVU PUB.

Le Secrétaire Général

Abbé Constantin S. SERE

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TOEFL PREPARATION At the American Language Center

Thu, 18/02/2021 - 09:30

Categories: Afrique

Avis d'appel à manifestations d'intérêt national relatif aux services de consultants pour l'élaboration de plans stratégiques communaux

Thu, 18/02/2021 - 09:30

PAYS : BURKINA FASO
NOM DU PROJET : RENFORCEMENT DE LA GOUVERNANCE COMMUNALE DE L'EAU POTABLE, DE L'HYGIENE ET DE L'ASSAINISSEMENT.
FINANCEMENT : UNION EUROPEENNE (CONVENTION N° FED/2019/410-918)
REF. : IRC-BF/AMI2021/01

AVIS D'APPEL A MANIFESTATIONS D'INTERET NATIONAL RELATIF AUX SERVICES DE CONSULTANTS POUR L'ELABORATION DE PLANS STRATEGIQUES COMMUNAUX AU PROFIT DES COMMUNES DE DE LEO ET DE PO.

L'ONG internationale IRC bénéficie d'un financement de l'Union Européenne (UE) dans le cadre du projet de « renforcement de la gouvernance communale de l'eau potable, de l'hygiène et de l'assainissement ».

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet, IRC recrute six (06) experts consultants individuels pour l'élaboration de plans stratégiques communaux au profit des communes de Léo et de Pô :

Deux (02) Expert(e)s institutionnel(le)s de délivrance des services publics d'AEPHA ;

Deux (02) Expert(e)s socio économistes ;

Deux (02) Expert(e)s en développement du patrimoine eau et assainissement.

Les six (06) experts consultants permettront de constituer deux équipes pluridisciplinaires dont chacune sera affectée à l'élaboration du plan stratégique d'une commune en suivant les cinq phases suivantes :

i. Phase préparatoire

ii. Phase de diagnostic stratégique

iii. Phase de formulation de la stratégie communale de développement
iv. Phase de validation

v. Phase de lancement : assistance technique pour amorcer la mise en œuvre de la stratégie par la commune

Le Directeur Pays de l'ONG IRC invite les experts consultants individuels intéressés à manifester leur intérêt à fournir les services décrits ci-dessus.
Afin de confirmer leur éligibilité à un financement de ce projet, les consultants devront joindre à leur candidature la déclaration d'intégrité (en annexe à ce document) dûment signée.

Les experts consultants intéressés doivent produire les informations montrant qu'ils sont qualifiés et expérimentés pour réaliser la présente mission ; à ce titre, ils justifieront qu'ils possèdent des références récentes de prestations similaires à la mission.

IRC dressera une liste restreinte de candidats présélectionnés sur la base des candidatures reçues et auxquels sera adressé le dossier de consultation pour la réalisation des services requis.

Les manifestations d'intérêt doivent être envoyées exclusivement par mail à l'adresse segda@ircwash.org avec copie à sawadogo@ircwash.org au plus tard le 24 février 2021 à 9 heures 00 minute, heure locale.

Les experts consultants intéressés peuvent obtenir des informations complémentaires et demander la mise à disposition des annexes au présent Avis à Manifestation d'Intérêt aux adresses mentionnées ci-dessous du lundi au vendredi de 7h30 à 12h30 et de 13h à 16h : sawadogo@ircwash.org.

Pièces jointes :

• Annexe 1 : Déclaration d'intégrité et d'éligibilité
• Annexe 2 : Présentation du candidat
• Annexe 3 : Présentation des prestations similaires fournies par le candidat

Le Directeur Pays

Juste Hermann NANSI

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Décès de OUEDRAOGO Gobila Paul : Faire part

Thu, 18/02/2021 - 07:30

Le Naaba Kaongo, chef de Seolghin/ Saaba
Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Seolghin

Monsieur ILBOUDO Tinkouma Michel à Seolghin
Monsieur OUEDRAOGO Boniface et Paul, El Hadj OUEDRAOGO Tassere
Monsieur NACOULMA Maurice

Monsieur DIPAMA Joseph, maire de SAABA
Le TENGSOABA de YOGBEGO

La grande famille Zoungrana à YOGBEGO
La grande famille OUEDRAOGO, PAFADNAM et alliées à Kaya et Bobo Dioulasso

Les frères et sœurs Madeleine, Gabriel, Nicolas, Denis, Rasmata et Valentine à OUAGQDOUGOU et Abidjan

Madame veuve OUEDRAOGO Félicité et enfants : Olivier et épouse Alexandra, Cynthia et Adeline/ Chouchou.

Les familles alliées YONI, OUEDRAOGO, DEGTOUMDA
Ont la profonde douleur de vous annoncer le rappel à Dieu de leur fils, frère, gendre, époux, père et grand-père OUEDRAOGO Gobila Paul, Conseiller de jeunesse à la retraite, le 16 février 2021 à l'hôpital Yalgado OUEDRAOGO

Dimanche 21 février 2021

Messe de requiem à la paroisse saint guillaume de Tanghin.
06H30 et 09H00

Repose en paix et union de prière.

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Décès de KI Dikialan Marcel : Faire part et remerciements

Thu, 18/02/2021 - 07:30

Les grandes familles KI et PARE à Toma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Abidjan, France et Tunisie,

Les familles alliées : KI, PARE, YAMEOGO, ZONGO, KAFANDO, MAIGA, FORO, DAKUYO, TOE, ILBOUDO, PALM à Toma, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso Yaba, Koudougou, Nouna, Bouboulou, et Ouahigouya,
Les enfants :

PARE/KI Germaine à la retraite,
KI Antoine à la CAMEG,
YAMEOGO/KI Jacqueline à l'ENAREF,
KI Judith Marie Ella à POSTE BF,
Les petits enfants Boris, Inès, Omer, Fresnel, Yannel, Andy, Brice, Kenneth, Osvald, , Dylan, Joël, Patric, Ida, Armel, et arrières petits-enfants Ashley, Princesse, Stecy et Anael,
Très touchés par vos différentes marques d'affection, de solidarité, et de compassion, remercient très sincèrement tous ceux qui, de près ou de loin, les ont soutenu moralement, spirituellement, matériellement, ou financièrement lors de la maladie et du rappel à DIEU dans sa 92ème année, de leur très cher frère, époux, père, oncle, beau-frère, beau-père, grand-père arrière-grand-père et ami,

KI Dikialan Marcel,

le lundi 11 janvier 2021 suivi de l'inhumation à TOMA le mardi 12 janvier 2021.

Leurs remerciements vont particulièrement à :
Mme la Directrice Générale de la CAMEG et son personnel,
Mr. le Directeur Général de l'ENAREF et son personnel,
Mr. le Directeur Général de la POSTE BF et son personnel,
la délégation de la BOA et de l'ONATEL
la communauté San vivant à Ouagadougou,
la Communauté Chrétienne de Base (CCB) Sainte Bernadette de Kilwin,
au Curé de la paroisse Sacré Cœur de Toma,
aux voisins du quartier et environnants,
tous les parents, amis et connaissances dont les noms n'ont pu être cités.

Que chacun trouve ici, l'expression de leur profonde gratitude et que le Tout-Puissant dans sa miséricorde infinie comble chacun au-delà de ses attentes.

Elles vous informent par ailleurs que des messes seront dites pour le repos de son âme selon le programme suivant :

Eglise de Sig-Noghin
Le Dimanche 28 février 2021 à 07 h 00 mn
Le Dimanche 04 avril 2021 à 07 h 00 mn
Le Dimanche 23 mai 2021 à 07 h 00 mn
Le Dimanche 19 Septembre 2021 à 07 h 00 mn

Eglise Saint Jean Marie Vianney de Tampouy
Le Dimanche 21 février 2021 à 09 h 00 mn
Le Dimanche 27 juin 2021 à 09 h 00 mn
Le Dimanche 15 Août 2021 à 09 h 00 mn
Le Dimanche 21 novembre 2021 à 09 h 00 mn

Eglise Notre Dame de Kolog-Naba
Le Dimanche 18 avril 2021 à 09 h 00 mn
Le Dimanche 25 juillet 2021 à 09 h 00 mn
Le Dimanche 03 octobre 2021 à 09 h 00 mn

Eglise de la Scolasticat
Le Dimanche 18 avril 2021 à 08 h 00 mn
Le Dimanche 15 Août 2021 à 08h 00 mn
Le Dimanche 21 novembre 2021 à 08 h 00 mn

Eglise de Saint Camille
Le Dimanche 11 juillet 2021 à 11 h 00 mn
Le Dimanche 19 septembre 2021 à 09 h 00 mn

Eglise de la Rotonde
Le Dimanche 14 mars 2021 à 11 h 00 mn
Le Dimanche 17 octobre 2021 à 11 h 00 mn

Eglise Saint Guillaume de Tanghin
Le Dimanche 04 juillet 2021 à 09 h 00 mn

Eglise de Don Orione
Le Dimanche 02 mai 2021 à 07 h 15 mn

Eglise Jean 23
Le vendredi 05 mars 2021 à 18 h 30 mn
Le vendredi 07 mai 2021 à 18 h 30 mn
Le vendredi 04 juin 2021 à 18 h 30 mn
Le vendredi 03 septembre 2021 à 18 h 30 mn
Le vendredi 05 novembre 2021 à 18 h 30 mn

Eglise Sacré Cœur de TOMA
Le Dimanche 21mars 2021 à 07 h 00 mn
Le Dimanche 15 Août 2021 à 07 h 00 mn
Le samedi 27 novembre 2021 à 10 h 00 mn tenant lieu de funérailles

« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort.
Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. » Jean11 : 25-26

Unions de prière.

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Décès de Poko Suzanne DIENDERE née YELKOUNI : Remerciements

Thu, 18/02/2021 - 07:30

Sa majesté le Naaba GUIGUEMDE de Yako, Naba Kougri de Song-Naba à Yako,Naba kouilga de Loumbila .
Les grandes familles DIENDERE,BOUNKOUNGOU,KISSOU,OBRAOGO,SABA à Song-Naba,Yako,Houndé,Toma,Gassan,Ouagadougou,France et États-Unis.
La famille YELKOUNI à Yako, Houndé, Bobo-Dioulasso, Gassan , Cote d'Ivoire et à Ouagadougou.

Monsieur DIENDERE Ernest Wend-Veneba à Ouagadougou, Bounkoungou Henri, Aloys, Ernest, Marguerite à Song-Naba.
Les enfants : Le Général GILBERT DIENDERE, Edouard, Pascaline, Sophie, Hippolyte, Odile, Célestin, Norbert.
Madame Fatoumata DIENDERE/DIALLO ancien député.
Les petits enfants et arrières petits enfants.

Les familles alliées : DIALLO,BALIMA,ZAGRE,COMPAORE,OUEDRAOGO,BOUDA ,KANTIENON,NIKIEMA,POIMOURIBOU,TENKODOGO,KIENTEGA,KABORE,BAMADIAWARA ,BEOGO,TASSEMBEDO
adressent leurs sincères remerciements à tous ceux qui leur ont témoigné leurs marques de compassion, d'amitié, de fraternité, de sympathie et de soutiens multiformes lors du rappel à DIEU de leur fille, épouse, mère, grand-mère, arrière grand-mère, sœur et tante,

Madame Poko Suzanne DIENDERE née YELKOUNI décès survenu le 09/01/2021 suivi de l'enterrement le 14/01/2021 à Song-Naba-Yako.
Ils remercient en particulier :
-Son Excellence Monsieur Rock Marc Christian KABORE, Président du Faso,
-Son Excellence Monsieur Blaise COMPAORE Ancien Chef d'Etat ;
- Son Excellence Monsieur Alassane Bala SAKANDE, Président de l'Assemblé Nationale ;

- Monsieur Eddie KOMBEOGO Chef de File de l'Opposition Politique, Président du CDP ;
- Monsieur Léandre BASSOLEH, Président du HCRUN
- Monsieur Zéphirin DIABRE, Ministre d'Etat auprès de la Présidence du Faso,
-Messieurs les Ministres Ousseni COMPAORE, Charlemagne OUEDRAOGO, Stanislas Bénéwendé SANKARA, Aimé ZONGO ;

-Monsieur Birahima Tené OUATTARA
-Monsieur Vassirikri TRAORE
-Monsieur Larba YARGA, membre du Conseil Constitutionnel
-Messieurs les Anciens Ministres Yéro BOLY, Boureima BADINI, Yacouba BARRY, Léonce KONE, Frédéric KORSAGA, Alain YODA, Antoine Raogo SAWADOGO, Salif KABORE

-Messieurs les Présidents des Parties Politiques Kadré Désiré OUEDRAOGO, Gilbert Noel OUEDRAOGO, Ablassé OUEDRAOGO, Hermann YAMEOGO, Mahamadi KOUANDA

-Messieurs les Députés à l'Assemblée Nationale Salifou SAWADOGO, Halidou SANFO, Boubacar SANOU, Jacques Boukary NIANPA, Moussa NIKIEMA, Koulibali Sylvestre SAM, Boureima BOUGOUMA, Ambroise OUEDRAOGO,Patrice W. ILBOUDO ainsi que les anciens députés .
-La délégation des Officiers Généraux conduite par le Général de Division Kouamé LOUGUE ;

-Sa majesté le Mogho-Naba Baongo Empereur des Mossis ;
-Sa majesté Naba KIBA, Roi du yatenga
-Sa majesté Untaanba,Roi du Gulmu
-Sa majesté le Pô-Pê
-Le chef de Zagtouli
-Monseigneur Jean-Marie Untani COMPAORE
Le Curé de la paroisse notre dame du rosaire de Kologh-naba
Le Curé de la paroisse Saint Jean Marie Vianney de Yako
Le Curé de la paroisse de Guiloungou de Donsin

Les prêtres concélébrants venus des autres localités
Le Karamsaba Rouamba Emmanuel de Kologh-naba
Les communautés catholiques de base(CCB) de Loumbila et sa chorale Saint Jérémie Nasawendé de Kuilsé,le CCB Saint Elie de Nonsin Paalga du secteur 8 de Ouaga,de Song Naba,de Yako et de Ouagadougou.

Les Aumôniers militaires musulmans, protestants et catholiques.
La chorale protestante le buisson ardent de Tampouy
L'imam et les fidèles musulmans du quartier au secteur 8 de ouagadougou
-Les Autorités Politiques, Administratives, Militaires, Para- Militaires,Réligieuses,Coutumières et les Chefs de Canton en particulier de la province du passoré

-Les Membres du Patronat Burkinabè et de la Chambre de Commerce dont mesdames et messieurs Apollinaire COMPAORE ,Mahamadou BONKOUNGOU ,Inoussa KANAZOE, Seydou DIAKITE , Henriette KABORE , Michel ZIDA , Boukary SANKARA, Camille KABORE, Joseph HAGE, La famille de feu Oumarou KANAZOE, Moussa KOUANDA, Maman KANAZOE, VICTOR Zéphirin OUEDRAOGO, Désiré COMBOIGO, Sayouba SAWADOGO, Adama KINDO entre autres,
-Le Président Directeur général et le Directeur Général de Diamond Cement ainsi que les Directeurs Généraux de CIM BURKINA, CIMFASO, CIMAF, le Directeur Général du CBC et ceux des autres Sociétés.

Monsieur Lazare Bancé,Président de la fédération Burkinabé de football
-Monsieur Bassolma BAZIE, Secrétaire général de la CGTB,
-Le Colonel Sita SANGARE, Directeur de la justice militaire et sa délégation
-Les Officiers, sous Officiers militaire et gendarme et les militaires du rang en activité ou à la retraite présents aux obsèques

-Les fonctionnaires de la Police Nationale, des Douanes, des Eaux et Forêt, de la Police Municipale de la Garde de Sécurité Pénitentiaire en activité ou à la retraite présents aux obsèques
-Les collègues de services des enfants et des petits enfants
-Les Avocats du Général et leurs confrères,
-Les grossistes vendeurs de ciment,

-Les délégations du CDP, de la codrolait, de la communauté libanaise,des anciens élèves de Kologh-Naba, de l'association passoré –solidarité, de l'association pour le développement de song-Naba ainsi que celle de l'association des familles des victimes du crash de l'AH5017 conduite par monsieur Alidou OUEDRAOGO
-Radio OPTIMA, SAVANE FM, 3TV, BF1, L'AIB, OMEGA FM, le PAYS, OPERA NEWS et toutes les radios locales de yako

-Les familles BADOHU, Blaise BONKOUNGOU, Fidèle OUI et Madame, Léopold OUEDRAOGO et Madame ,ADAMA SAWADOGO, Mathias TANKOANO du M21, Hervé OUATTARA, Eric OUEDRAOGO, Lassane ZIDA, Mathias KADIOGO, Paul SANKARA,Fatou ZIBA, Boubacar Sidnaba ZIDA ,Ambroise TAPSOBA, Mathieu B .OUEDRAOGO, Paul SAWADOGO, Issaka LENGANI ,Ali COMPAORE, Doumounia ZAGRE ,Joseph SOME, Nahim TOURE, Aminaba RACHOW, Mahamadou SOULAMA , Toussaint BAKI,Siaka Coulibaly
-Les autres nombreux amis, parents, voisins et connaissance des membres de la famille de la regrettée ;

-Les collègues du Général a la MACA et à la MACO ainsi que ses amis du fan-club
-Les nombreuses populations du passoré en général et celles de Yako, de song-naba et des villages voisins en particulier
-Tous ceux qui ont apporté un soutien moral et /ou matériels et dont ils regrettent de ne pouvoir les citer tous.

Que DIEU vous bénisse !

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Décès de ILBOUDO Koudougou Félix : Remerciements et faire part

Thu, 18/02/2021 - 07:30

« Je suis la résurrection et la vie, celui qui croit en moi, même s'il meurt vivra » Jean 11:25

Sa Majesté Naaba Sanem de Komki Ipala ;
ILBOUDO G. Prosper, Gendarme à la retraite ;
Madame ROUAMBA Née ILBOUDO O. Gisèle à l'UCOBAM à la retraite ;
ILBOUDO V. Modeste à CFAO Motors ;
ILBOUDO T. Angelina à Ouagadougou ;
ILBOUDO Yandé à Komki Ipala ;

ILBOUDO Roland, Ingénieur agronome à la retraite, ses frères et sœurs ;
ILBOUDO T. Hubert au Canada, ses frères et sœurs ;
ILBOUDO Patrice, Attaché de santé à la retraite, ses frères et sœurs ;
ILBOUDO Bangré, Conseiller des affaires économiques à la retraite, ses frères et sœurs ;

KOLA Tinga Aboubacar, Gendarme à la retraite, ses frères et sœurs ;
ILBOUDO Mahamoudou, Soudeur à Ouagadougou, ses frères et sœurs ;
La veuve Madame ILBOUDO née OUEDRAOGO Salamata Stéphanie, retraitée de la BAD ;

Les enfants, petits-enfants ;
La grande famille ILBOUDO à Lemnogo Komki Ipala ;
La grande famille KOALA à Pouedogo Komki Ipala ;
Les familles alliées

OUEDRAOGO à Kambondgo Ouahigouya ;
KAGAMBEGA à Ouagadougou ;
ROUAMBA à Ouagadougou ;
TOUGRY à Ouagadougou ;
NIKIEMA à Komki Ipala ;
ZERBO à Tougan ;

Vous témoignent toute leur reconnaissance et leurs remerciements pour vos différents soutiens lors du rappel à Dieu le 18/01/2021 et de l'inhumation le 21/01/2021 à Komki-Ipala de leur frère, époux, père, oncle et grand père
ILBOUDO Koudougou Félix, DGA SONAR à la retraite
Que le Tout Puissant vous le rende au-delà de vos espérances.

Programme des messes



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