L’époque contemporaine, qualifiée ici d’ultramoderne, est marquée par un retour du religieux. Dans les incertitudes et les insécurités identitaires qui caractérisent notre époque, le christianisme retrouve, sinon du pouvoir, au moins de l’influence. C’est même sa perte de pouvoir dans et sur la société, et son acceptation du cadre démocratique, qui lui permettent d’être apprécié […]
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On a parfois tendance, aussi bien en France que dans l’Union européenne, à occulter le rôle important de la religion chrétienne dans la généalogie de la modernité. Cette note se propose de récuser ce déni, en insistant sur le rôle (paradoxal) joué par la réflexivité chrétienne dans la sortie de l’univers théocratique et dans l’émergence […]
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Il est double, ou plus exactement, il s’agit d’un premier mouvement vite transformé. D’abord un ensemble spontané et coordonné de micro-révoltes locales 2.0 contre la hausse des taxes sur le gazole et l’essence devenues une macro-révolte médiatico-sondagière pour le pouvoir d’achat et contre le pouvoir politique.
Pas seulement contre le…
«Pour les Français, l’Etat est devenu une caricature, une machine à produire de plus en plus de taxes et de règlements, de moins en moins de services publics et de liberté», estime le politologue Les faits – Professeur de science politique, auteur de nombreux ouvrages sur le phénomène populisme, Dominique Reynié est le directeur général […]
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L’émission L’Esprit Public, sur France Culture, a invité en direct au lendemain de la 4e journée nationale de manifestation des « gilets jaunes », l’ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti, les journalistes Sylvie Kauffmann et Christine Ockrent, et le politologue Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique. Retrouvez l’émission dans son […]
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La dorsale moto est désormais plus que jamais pour les motards. Son utilisation est nécessaire pour réduire les dommages corporels entraînés par les accidents de circulation qui font presque partie de la routine quotidienne. Pour ne pas finir dans un bloc opératoire, il est essentiel de protéger les parties fragiles et vitales du corps humain en ayant une bonne sécurité durant la conduite. Sur le marché, beaucoup de dorsales motos sont vendues et proposées par différents producteurs. Malgré cette diversité, il n’existe pourtant que deux grandes catégories de protection dorsale qui sont les dorsales externes et les dorsales intégrées.
Les dorsales externes ou autonomesCe sont les dorsales qui se portent directement sur un vêtement sans l’intervention d’une veste ou un blouson. Elles sont composées d’une coque qui peut être dure, souple ou semi-rigide, avec des bretelles à scratch qui vont servir de moyen d’attache pour mieux les fixer au pilote. Certaines dorsales motos offrent en même temps une couverture de la surface de la nuque au coccyx mais aussi des épaules et parfois même de la poitrine. Les dorsales autonomes sont les plus conseillées, pour la façon dont elles se tiennent et la conformabilité qu’elles apportent. Existant en différentes tailles, toute la famille aura sa part du plus petit au plus grand. Il est préférable de posséder un équipement adapté à sa morphologie pour éviter les sensations de gêne même en étant pas en position de conduite. Peu importe ce que le commercial dira pour pouvoir vendre, l’étiquette sera l’unique allié de confiance pour connaître l’efficacité de la dorsale moto. Sur l’étiquette seront indiqués les normes et les tests qu’a subis la dorsale avant de se retrouver en magasin.
Vous pouvez aussi lire : starmotors Les dorsales intégréesElles se trouvent déjà incluses dans les blousons et vestes de moto. Pour certaines marques, ces dorsales motos sont homologuées mais par contre, ne suivent pas les normes 1621-2. Elles n’atteignent pas le niveau de protection requis pour être accepté sur le circuit. Sa plaque est composée d’un seul morceau de mousse qui n’est pas capable de résister à un choc violent en cas de grave accident. Elles sont plus légères sur le plan poids et ne demandent pas une grande place pour se ranger. Les dorsales intégrées sont faciles à enfiler et sont agréables à porter.
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Les dorsales motos sont des équipements valorisés actuellement. Elles se sont rapprochées des usagers de moto en leur offrant plus sécurité surtout pendant les courses sur circuit. Deux sortes de dorsales sont à présent disponibles sur le marché comme la dorsale autonome et celle qui est intégrée dans les vestes et blousons destinés au motard. La dorsale moto autonome suit la norme 1621-2 et possède le niveau de protection idéale pour sécuriser son porteur. La dorsale moto intégrée par contre, ne peut se porter sur le circuit car certain d’ente elle ne respecte pas les normes qui régissent ces équipements. Il est toujours mieux de se montrer prudent pour éviter les malheurs en étant protégé.
Si vous recherchez une dorsale enfant, allez voir celle-ci.
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The violence against the Rohingya, which has led hundreds of thousands of Rohingya to seek refuge in Bangladesh, has severely damaged Myanmar’s international image. In response to the deterioration of the human rights situation in Myanmar in October 2018, the European Union (EU) threatened to withdraw the trade preferences that ensure the country has duty-free access to the EU common market. It seems highly plausible, however, that such measures would fail to alter the political calculations of the Burmese government or of the military. Instead, a withdrawal of the trade preferences would primarily hit the mostly female workers in the country’s textile industry. The EU and its Member States should therefore consider a combination of specific sanctions against military enterprises as well as tightened entry bans and account freezes that are directed at leading military personnel. These targeted sanctions against Myanmar’s armed forces should be flanked by an increase in the level of diplomatic engagement with civilian actors in the country.
Seit Anfang 2017 haben die Mitgliedstaaten der Vereinten Nationen (VN) über den Globalen Pakt für sichere, geordnete und reguläre Migration beraten. Die Verhandlungen hatten lange Zeit kaum öffentliches Interesse gefunden, obwohl der Prozess transparent war und die Zwischenergebnisse veröffentlicht wurden. Kurz vor der geplanten Verabschiedung des Paktes in Marrakesch am 10. und 11. Dezember 2018 sind in vielen Ländern heftige innenpolitische Debatten ausgebrochen. In der Folge haben einige Staaten angekündigt, dem Pakt nicht zuzustimmen. Wie berechtigt sind die Einwände der Kritiker und welche praktische Bedeutung wird der Pakt nach der zu erwartenden Verabschiedung haben?
Obwohl das Vereinigte Königreich den Euro nicht eingeführt hat, wird der bevorstehende Brexit neben den Folgen für die gesamte Europäische Union auch Konsequenzen für die Währungsintegration haben. Der Austritt Großbritanniens aus der EU wird bei den »Euro-outs«, also den acht Mitgliedstaaten, die den Euro nicht eingeführt haben, die Befürchtung verstärken, dass sich ihr Einfluss auf den Willensbildungsprozess in der Union in Zukunft verringert. Diese Sorge hat zur Bildung einer neuen Koalition von Staaten geführt, die die Interessen der nördlichen Euro-Mitglieder und einiger Länder außerhalb der Eurozone vereint. Zwar ist die Debatte über eine Erweiterung der Eurozone gegenwärtig abgeflaut. Der »Brexit-Moment« könnte jedoch Auslöser einer neuen Dynamik und Treiber sein für eine Ausdehnung der Eurozone oder eine Stärkung der Verbindung einiger Nicht-Euro-Staaten mit der Bankenunion.
L'impasse politique dans laquelle se trouve actuellement le Liban est un signe : le régime de Bachar el-Assad est en train d’essayer de réaffirmer son influence dans le pays. Joseph Bahout, non-resident scholar à la Fondation Carnegie à Washington DC et spécialiste du Moyen et du Proche-Orient, retrace la genèse de cette crise politique et livre son analyse des rapports de force dans la région.
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Mercredi 5 décembre nous avons reçu Jörg Asmussen, directeur général chez Lazard et ancien secrétaire d’Etat aux Finances de la République Fédérale d’Allemagne, Ramon Fernandez, directeur général adjoint chez Orange, ancien directeur général du Trésor, et contributeur sur les questions européennes à l’Institut Montaigne, et Natacha Valla, directrice générale adjointe de la politique monétaire à la Banque centrale européenne. Ils ont notamment partagé leur analyse…
On December 4th, IPI, One Earth Future, UN Office for Partnerships, UN Peacebuilding Support Office, UN Global Compact, and the Permanent Mission of Republic of Korea launched a workshop series designed to catalyze engagement across public and private sectors and build new kinds of partnerships. While the private sector knows how to engage with topics such as economic growth and climate change, there is less understanding on how it can contribute to sustaining peace and the 2030 Agenda and how it can work together with the UN, member states and civil society.
The workshop was also focused on countries that need to scale up investments, particularly those that the private sector regard as too high-risk to engage.
The aim of creating this space was to address the main issue that has hindered effective cross-sectoral collaboration: an understanding gap between UN communities, civil society organizations, and private sector actors. Each of these communities interact with issues of peace and conflict in a different way, and without shared understanding about different starting points, attempts at partnerships may flounder. This workshop encouraged small-group discussion with country representatives, private sector actors, and civil society at the same table to develop shared understanding of each other and how collective work could be effective.
Table themes included: Fisheries/Food Security; Migration; Blended Finance; Measuring Peace; and Mobile and Digital Technology.
Some key points made by participants included:
The private and public sectors have different definitions of peace and the workshop promoted a greater understanding of how to work collaboratively to address the SDGS and sustaining peace and how to develop “win-win” language for partnerships between the private sector and peace promoters.
The pilot session lasted approximately three hours and included about 60 participants drawn from member states, businesses, civil society organizations, and UN entities involved in sustainable development and peacebuilding. The discussions were conducted under the Chatham House Rule of non-attribution.
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“OEF Announces Innovation in Partnerships Workshop,” Press Release, December 4, 2018
Armed conflict is a global health issue. Long-lasting and protracted conflicts in particular have consequences not only for the war-wounded but also for the health of entire communities. Over the years, global health actors and humanitarian health actors have developed health policies, guidelines, frameworks, and structures to improve delivery of health services in emergencies or humanitarian crises. Despite these advancements, however, the international health response in conflict-affected settings still faces gaps and challenges. Some policies and frameworks need to be rethought or redesigned, while others need to be better implemented.
This paper explores challenges to healthcare provision in conflict-affected settings. These challenges are broadly broken down into three categories: constraints related to the health system and damaged health infrastructure, difficulty for health workers to access populations in need, and restrictions to healthcare provision intentionally or accidentally placed by donors or states engaged on humanitarian and health issues (e.g., through the securitization of healthcare).
Tackling these challenges will have a direct impact on the lives of people in conflict-affected settings. However, doing so requires a radical shift in mindsets and the incentives that guide the actions of international health actors. Even so, more incremental changes can also be beneficial. To that end, this report puts forth the following recommendations:
This work is based on a combination of desk research, interviews with more than seventy key informants, and an expert meeting bringing together key stakeholders and experts on global and humanitarian health.