Malgré la pandémie de Covid-19, l'horizon se dégage pour les voyages au sein de l'UE : les eurodéputés et les États membres sont parvenus à un accord sur le pass sanitaire européen, qui devrait entrer en vigueur à partir du 1er juillet.
Une centaine de migrants ont été secourus, jeudi, dans la Manche par les autorités françaises. Ils naviguaient sur trois embarcations différentes et se dirigeaient vers les côtes britanniques. Les naufragés ont tous été ramenés au port de Calais, sains et saufs.
Des responsables d'associations caritatives ont constaté depuis le début de la crise sanitaire en France, que de plus en plus de jeunes s'engageaient auprès des plus démunis. Au début de la pandémie, 40 % des bénévoles, souvent âgés et réticents à s'exposer au virus, ne se présentaient plus.
La banque BNP Paribas a été mise en examen le 11 mai pour "blanchiment de corruption et de détournement de fonds publics" dans l'enquête sur le patrimoine en France de la famille du défunt président gabonais Omar Bongo, a appris jeudi l'AFP de sources proche du dossier et judiciaire.
Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi le controversé ex-article 24 de la loi "sécurité globale", qui instaure un délit de "provocation à l'identification" des membres des forces de l'ordre et limite ainsi, selon ses détracteurs, la liberté de la presse. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, proposera "d'améliorer les dispositions" retoquées.
Les Sages ont estimé que le paragraphe 1 de l'article 52, ancien article 24 qui punit la "provocation à l'identification" des forces de l'ordre, n'était pas assez précis.
Pour l'ex-Premier ministre, le retour du joueur chez les Bleus a une portée symbolique : "C'est aussi son attachement au pays dont il porte les couleurs qui sera observé."
Fallait-il participer à la manifestation organisée par les syndicats policiers ? Les partis de gauche ont encore une fois démontré leurs dissensions.
Du Rassemblement national au Parti communiste, en passant par le Parti socialiste et l'écologiste Yannick Jadot, des élus de tous bords se sont joints au rassemblement.
Le train de réouvertures, ce mercredi, marque la deuxième étape du plan en quatre phases du président. L'exécutif reste prudent mais multiplie les messages d'espoir.
Le chef d'Etat a souhaité mardi que la chaîne de télévision publique, qui devait fermer en août, "poursuive sa mission" autour de la jeunesse et de l'éducation.
Deux semaines après le meurtre du brigadier Eric Masson à Avignon, des milliers de policiers, ainsi que des élus, se rassembleront ce mercredi à l'appel des syndicats.
Chercheurs, policiers et magistrats se déchirent autour des statistiques de la violence. A un an de la présidentielle 2022, le thème de la sécurité s'impose, lui, comme une priorité pour les Français. Selon les chiffres choisis, les mots retenus, il est possible de soutenir que la France connaît ces derniers mois un déferlement de violence sur son territoire. Ou bien que la situation est extraordinairement stable. Ou nuancée. L'Express a mené l'enquête pour décrypter la réalité des tendances, et ramener un peu de rationalité dans un débat souvent passionné.
Le ministre de l'Intérieur demande de "ne pas nier le réel" et veut parvenir à une meilleure expulsion des ressortissants étrangers auteurs de troubles à l'ordre public.
Il ne suffira pas de dire que la sécurité sera un sujet majeur de la présidentielle, encore faudra-t-il être crédible.
LR a maintenu ce mardi son soutien à Renaud Muselier, tout en l'accusant d'avoir cédé aux "manoeuvres élyséennes". Un subtil numéro d'équilibriste.
Les syndicats de police ont appelé les citoyens à se rassembler mercredi devant l'Assemblée nationale. De nombreux politiques ont répondu à l'appel, dont le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
La formation de droite veut réaffirmer son autonomie politique à l'occasion du scrutin. La majorité présidentielle compte, elle, la contraindre à des alliances.
Un rapport de police révélé par "le JDD" évoque un "système organisé frauduleux de détournement des fonds européens au profit" du parti, "par le biais d'emplois fictifs d'assistants parlementaires".
L'ex-Premier ministre, co-rapporteur d'une mission d'information en 1998, et l'historien Vincent Duclert, auteur d'un rapport, ont accepté la demande d'Olivier Faure.
Pages