Un président ne peut faire plus de deux mandats consécutifs. Mais que se passe-t-il si un président par intérim lui succède ?
Face à l'absence de majorité absolue à l'Assemblée, les Français privilégient la négociation au cas par cas (44%) loin devant l'idée d'un gouvernement d'union nationale (19%), selon un sondage Elabe pour L'Express et BFM TV, en partenariat avec SFR.
Non seulement les hommes continuent de dominer très largement l’hémicycle français, mais la part des femmes députées a baissé à l’issue des législatives des 12 et 19 juin. En cause, des partis politiques qui ne respectent toujours pas la loi sur la parité et placent en priorité les hommes dans des circonscriptions gagnables. France 24 dresse un tableau des bons et de mauvais élèves.
Deux plaintes pour viol ont été déposées contre la secrétaire d'État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou. Le parquet de Paris a confirmé mercredi avoir ouvert une enquête.
Le député d'Eure-et-Loir a été élu président du groupe LR à l'Assemblée. Cet adversaire du chef de l'Etat devra concilier opposition et esprit de responsabilité.
Éditorialiste et correspondant en France du site d'information suisse Blick, Richard Werly décrypte le moment politique particulier que vit la France depuis les résultats des élections législatives. Pour lui, le président Macron tente de trouver "une nouvelle formule" pour réussir à diriger le pays et doit se résoudre à l'idée de partager le pouvoir au sein d'une union. "C'est tout à fait nouveau dans le système français dont on connaît la verticalité", explique le journaliste franco-suisse.
Le philosophe a coréalisé avec Marc Roussel un documentaire diffusé sur Arte mardi 28 juin à 22h25 sur les villes d'Ukraine martyrisées par l'armée russe. Il y montre cette guerre poutinienne qui de la guerre ne respecte aucune règle.
Le président Emmanuel Macron est silencieux mais il s'active en consultant les chefs de partis politiques pour trouver des voix de passage et tenter d'éviter le blocage et l'immobilisme. Roselyne Febvre en parle avec Pierre Jacquemain de la revue Regards et Bruno Jeudy de Paris Match.
Dans une note du Conseil d'analyse économique, Jean Beuve, Étienne Fize et Vincent Pons analysent les causes et les conséquences de l'abstention et proposent quelques pistes pour y remédier.
Le président aura-t-il l'humilité, pas forcément le mot qui vient à l'esprit quand on pense à lui, de comprendre que c'est avec les autres qu'il doit inventer ?
Le chef de la gauche Jean-Luc Mélenchon a jugé "vains", mercredi soir, les appels d'Emmanuel Macron en direction de l'opposition et exigé que la Première ministre Elisabeth Borne se soumette à un vote de confiance d'une "Assemblée forte de toute la légitimité de son élection toute récente". Le chef de l'État avait auparavant exhorté l'opposition à bâtir des compromis nouveaux.
Rien ne se passe comme prévu. Le président doit composer au lendemain des législatives avec une situation qu'il n'avait pas même envisagée.
Défait par la poussée du RN, le député sortant de Haute-Marne, François Cornut-Gentille (LR), revient sur ce qu'il a constaté pendant cette campagne. Et ne mâche pas ses mots.
Le président de la République reçoit mercredi à l'Élysée le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts Julien Bayou, la présidente du groupe La France insoumise Mathilde Panot ainsi que son ancien Premier ministre Édouard Philippe, patron du parti Horizons. À l'Assemblée, les députés du Rassemblement national feront leurs premiers pas dans la législature tandis que les élus de la majorité présidentielle désigneront leurs chefs de file.
Le comité politique qui devait faire ce mardi le bilan des élections législatives a été le théâtre de violents affrontements entre les membres de Reconquête.
C'est l'heure des comptes. Dépendant des subventions publiques, les partis politiques ont profité des élections législatives pour renflouer leurs caisses. Le RN touche le gros lot quand LR et Ensemble ! limitent la casse.
La Première ministre cherche un chemin pendant qu'Emmanuel Macron reçoit les chefs de partis. Récit de ces folles heures.
Personne, à commencer par Emmanuel Macron, n'avait vu arriver la catastrophe. Les législatives devaient confirmer la présidentielle, elles ont dit tout l'inverse, ou presque. Voici le président obligé de chercher des voies de passage, lui qui récusait l'idée même de coalition. L'heure est au compromis ou au chaos, nous dit le constitutionnaliste Denys de Béchillon. Mais attention, la faiblesse ne vient pas que de l'extérieur. L'Express raconte, dans un récit exclusif, la manière dont les haines gangrènent le palais de l'Elysée, avec le secrétaire général, Alexis Kohler, en guise de cible.
L'ex-présidente du Rassemblement national s'est délestée du poids du parti, qui l'encombrait, en faisant glisser le lieu de pouvoir du RN à l'Assemblée nationale.
Privé de majorité absolue à l'Assemblée nationale, l'exécutif se voit déjà mis en difficulté pour faire adopter sa loi pouvoir d'achat et son budget rectificatif.
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