INFOGRAPHIE - Le ministre de l'Intérieur doit faire face à des accusations de « mensonges » sur le dispositif policier mis en place lors de l'attentat du 14 Juillet sur la promenade des Anglais à Nice.
Bernard Cazeneuve a demandé à l'Inspection générale de la police nationale de mener une évaluation technique du dispositif de sécurité après l'attentat du 14 Juillet sur la promenade des Anglais.
VIDÉO - Pas question pour le ministre de l'Intérieur d'envisager une démission. François Hollande et Manuel Valls lui ont apporté jeudi leur soutien.
INTERVIEW - Rudy Salles, député UDI des Alpes-Maritimes, estime qu'il ne lui appartient pas de réclamer la démission de Bernard Cazeneuve mais laisse à l'État le soin «de constater des fautes éventuelles et d'en tirer les conséquences».
L’auteur de l’attentat du 14 juillet à Nice a pu bénéficier de complicités et « semble avoir envisagé et mûri plusieurs mois avant son passage à l’acte », a indiqué jeudi le procureur de Paris, François Molins.
Pour Yves Bergerat représentant du Syndicat national des policiers municipaux : «Il faut changer clairement les statuts et stipuler qu'un policier municipal est un policier armé.»
Le siège de ce député socialiste de la première circonscription du Nord restera vacant jusqu’aux législatives de 2017.
Le ministre de l’intérieur est revenu jeudi sur la question du dispositif de sécurité en place à Nice, avant l’attentat du 15 juillet.
VIDÉO - L'accord conclu avec l'Assemblée nationale a permis d'inclure de nouvelles dispositions dans le projet de loi.
Interpellé mardi par la députée LR, Manuel Valls veut placer les musulmans de France face à leurs «responsabilités».
L'adoption définitive de la loi travail, non sans polémiques, va laisser une trace profonde parmi les élus et l'électorat de gauche.
VIDÉO - Dans un hémicycle bien plus rempli que d'habitude et une ambiance tendue, ce quatrième projet de loi de prorogation a été très largement adopté, par 489 voix contre 26.
INTERVIEW - Le président du Sénat estime que l'état d'urgence ne peut pas être la seule réponse aux attentats.
VIDÉO - Le chef de l'État a tenté mardi de reprendre la main, alors que l'opposition et une partie de l'opinion lui reprochent une riposte jugée inadaptée.
Malgré des divergeances, les parlementaires les Républicains convoqués au siège de leur parti, mardi matin, se sont prononcés pour un renforcement de l'état d'urgence sous conditions.
Selon des sources de l'Agence France-Presse, un accord entre la gauche et la droite sur une mise en place au-delà des 3 mois pourrait être trouvé.
Manuel Valls a vigoureusement défendu ce lundi l'état d'urgence qu'il va demander au Parlement de prolonger pour trois mois, après l'attentat de Nice, alors que certains à droite plaident pour six mois....
Valls a révélé des mesures qui doivent être approuvées ce mardi : perquisitions administratives, exploitation des données des ordinateurs et des téléphones saisis...
Lors du débat à l'Assemblée mardi, la droite proposera au gouvernement de reprendre une dizaine de ses propositions de lutte contre le terrorisme islamique.
L'éditorial de Paule Masson : "Résumer le droit de vivre en sécurité à la seule perspective du tout répressif favorise les amalgames et la suspicion permanente."
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