Le match de football entre Amiens et Lille, en Ligue 1, a été interrompu samedi à la 16e minute après la chute d'une barrière dans une tribune. Plus d'une vingtaine de supporteurs ont été blessés, dont au moins quatre gravement.
À cinq mois de son congrès, le Parti socialiste a lancé samedi des "forums de la refondation". Après la déroute électorale de la présidentielle et la démission de son premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis, le PS tente de rebondir.
L'Institut du monde arabe a fêté vendredi ses 30 ans en grandes pompes. France 24 était sur place pour assister au spectacle son et lumières donné pour célébrer ce lieu de partage entre la France et le monde arabe.
La multiplication des micro-partis est un phénomène qui existe depuis plusieurs années, et précède généralement une grande élection. Mais à l'heure des crises d'existence des grands partis et des réflexions...
C'est la première mobilisation sociale pour le quinquennat d'Emmanuel Macron et sa ministre du Travail Muriel Pénicaud: plusieurs manifestations, grèves et autres événements débutent mi-septembre 2017 pour protester contre les ordonnances de la réforme du droit du travail. Mais le front syndical est en ordre dispersé: le 12 septembre, la CGT et Solidaires ont organisé à une journée d'action dans toute la France, que FO a décliné. D'autant que, côté politique, Jean-Luc Mélenchon tente de récupérer cette fronde sous la bannière de son parti en défilant le 23 septembre. Le pari est grand pour les syndicats: la précédente grande mobilisation sociale contre la loi travail de 2016 n'avait pas fait reculer les gouvernements de l'époque. Alors que les ordonnances, promesse de campagne d'Emmanuel Macron, sont entrées en vigueur, la participation à ces mobilisations successives s'essouffle.
Accusé d’avoir violemment agressé mercredi à coups de casque M. Faure, le député de la 9e circonscription des Français de l’étranger risque une exclusion de LRM.
Dans un texte aux accents situationnistes, le forain âgé de 77 ans veut défiler « avec les syndicats, les “insoumis”, les bonnets rouges, les black blocs, les agriculteurs faillis et les anarchistes ».
Pour notre chroniqueur, la nouvelle structure élyséenne apparaît comme un contresens politique et confirme l’improbabilité d’une révolution culturelle.
« Le Monde » organise dans le cadre du « Monde Festival » un débat sur le renouveau politique en France et sur le rôle du Parlement, avec les députés Aurore Bergé, Adrien Quatennens et Julien Dive, dimanche 24 septembre, de 13 h 30 à 14 h 30, à l’Opéra Bastille.
Né en 2006 de la fusion de plusieurs caisses, le RSI a fait les frais d’une harmonisation informatique chaotique, et de « bugs » à répétition.
Il y a quinze ans, le chancelier avait redressé l’économie allemande en mettant en œuvre quatre plans drastiques. Le président français pourra-t-il en faire autant, s’interroge notre chroniqueur Jean-Michel Bezat.
Des économistes estiment qu’il y aura plus de licenciements à court terme.
Le maire a publié une annonce sur Leboncoin pour un « stage de découverte pour député novice ». Au programme, découvrir « ce qu’est un désert médical à une heure de Paris ».
QUESTION DE DROIT SOCIAL. Après la publication des ordonnances réformant le code du travail, le 31 août, dans un texte quasi définitif, quelle indemnisation un licencié sans cause réelle et sérieuse est-il désormais en droit d’attendre ?
Ces ateliers invitent militants, élus et observateurs à se pencher sur ce grand corps malade qu’est la droite.
Ces trois heures d’activités hebdomadaires devaient permettre « d’élargir l’horizon des enfants ». Trois ans après leur mise en place, elles restent pourtant souvent une gageure.
Les élus de droite et du centre disposés à soutenir la politique d’Emmanuel Macron tentent de peser au Sénat, comme à l’Assemblée nationale.
Dans une tribune au « Monde », le sénateur centriste met le président de la République en garde contre une vision binaire du jeu politique, qui lui attribue tout le mérite de la modernité mais s’accommode mal de la pratique du pouvoir.
Lundi s’ouvre le dépôt des candidatures pour le scrutin du 24 septembre, qui renouvellera la moitié des sièges au Palais du Luxembourg.
A La Baule, Arcachon ou Pierre-Bénite, les candidats à la présidence du parti ont pu se jauger et constater l’évidence : c’est Laurent Wauquiez qui polarise l’attention et les tensions.
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