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Union européenne

Publications - Urgency Resolutions : SEPTEMBER 2016 - STRASBOURG - Subcommittee on Human Rights

Parliament condemns the current wave of extrajudicial executions and killings in the Philippines, deteriorating security and widespread intimidation in Somalia, and growing violence against demonstrators and breaches of human rights in Zimbabwe, in three resolutions voted on Thursday.


Philippines
Somalia
Zimbabwe
Press release
Source : © European Union, 2016 - EP
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#factoftheday 10th EU Anti-Trafficking Day: intensifying anti-trafficking projects

EU-Logos Blog - Wed, 19/10/2016 - 12:24

18th October is declared as the EU Anti-Trafficking Day since 2007 following a recommendation of the European Parliament, and a proposal of the Commission. In this special day many events are celebrated across the EU, bringing together all relevant actors working for eradicating trafficking in human beings.

On the occasion of the 10th EU Anti-Trafficking, the European Commission urged a reinvigoration of joint efforts across the Union to eradicate trafficking in human beings.

The Commission presented yesterday a comprehensive policy review of anti-trafficking projects implemented between 2004 and 2016, which entails 40 priority actions including: increased prosecution of traffickers, identifying, protecting and assisting victims of trafficking, among others.

EU Anti-Trafficking Coordinator, Myria Vassiliadou, affirmed: « We will now build on the results of this study, which examines anti-trafficking projects funded by the Commission and their contribution towards the objectives of the EU Anti-Trafficking Strategy. Our priorities should be to focus on both the identification of and early and effective support for victims of trafficking, to fight against traffickers and to address the trafficking chains and improve our knowledge and understanding of trafficking through data collection at national and EU level (…)”


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[Revue de presse] CETA : après le "non" wallon, la signature du traité le 27 octobre remise en cause

Toute l'Europe - Wed, 19/10/2016 - 11:22
La Belgique peut-elle bloquer l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada ? Hier, le ministre-président de la Wallonie, Paul Magnette, a en tout cas demandé plus de temps et de concessions avant de donner son aval au traité CETA. Prévue à l'origine le 27 octobre, lors de la visite du Premier ministre canadien Justin Trudeau à Bruxelles, la signature d'un accord à cette date semble de plus en plus compromise.
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112/2016 : 19 octobre 2016 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-582/14

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Wed, 19/10/2016 - 10:14
Breyer
Rapprochement des législations
L’exploitant d’un site Internet peut avoir un intérêt légitime à conserver certaines données à caractère personnel des visiteurs afin de se défendre contre les attaques cybernétiques

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113/2016 : 19 octobre 2016 - Arrêt de la Cour de justice dans l'affaire C-148/15

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Wed, 19/10/2016 - 10:01
Deutsche Parkinson Vereinigung
Libre circulation des marchandises
Les prix uniformes fixés en Allemagne pour les médicaments soumis à prescription sont contraires au droit de l’Union

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Ukraine: Merkel reçoit Poutine, Hollande, Porochenko, pour un sommet à Berlin

RFI (Europe) - Wed, 19/10/2016 - 00:14
Berlin accueille ce mercredi 19 octobre un sommet entre l’Allemagne, la France, la Russie et l'Ukraine. Un format de réunion inaugurée il y a un peu plus d'un an à Paris, pour faire le point sur les accords de Minsk et la situation dans l'est de l'Ukraine. Le conflit entre Russes et Ukrainiens à la frontière dure depuis plus de deux ans, mais aucune avancée significative n’est attendue durant ce sommet.
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Opération à Mossoul: l’Irak défend «la démocratie» en combattant l'EI

RFI (Europe) - Tue, 18/10/2016 - 21:43
Un Conseil entre l’Union européenne et l’Irak s’est tenu ce mardi 18 octobre à Bruxelles. Présidé par la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini, il réunissait notamment le ministre des Affaires étrangères irakien Ibrahim al-Jaafari et du ministre des Affaires étrangères de la région du Kurdistan en Irak Falah Mustafa Bakir. Commentant l'offensive lancée contre l'EI à Mossoul, l'Irak se défend lui-même, mais aussi tout le reste du monde et « la démocratie », a déclaré le chef de la diplomatie irakienne.
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Royaume-Uni: l'un des leaders de l'Ukip claque la porte de la direction

RFI (Europe) - Tue, 18/10/2016 - 19:05
Steven Woolfe, favori de la course à la direction de l'Ukip, a démissionné lundi 17 octobre du parti europhobe britannique, qui avait mené une campagne très active pour le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne. Il a dénoncé un climat de « guerre intestine » au sein de la formation. Le nouveau leader de l’Ukip sera désigné le 28 novembre prochain.
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Le prix des autoroutes dans l'Union européenne

Toute l'Europe - Tue, 18/10/2016 - 17:02
A l'occasion du Mondial de l'automobile, le monde entier découvre les dernières innovations en termes de voitures personnelles. Un bien qui demeure un investissement conséquent pour un ménage : outre le prix d'achat, encore faut-il l'entretenir, prévoir un budget carburant… de même que les dépenses d'autoroutes. Concernant cet aspect, les Européens sont loin d'être logés à la même enseigne. Des Etats où les autoroutes sont gratuites à ceux qui les font payer par péages (la France est le pays le plus cher d'Europe, avec certains tronçons coûtant jusqu'à 10 euros pour 100 kilomètres), en passant par les pays ayant opté pour la vignette : découvrez notre tour d'horizon des tarifs autoroutiers européens.
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Article - Traite des êtres humains : plus de 20 millions de victimes dans le monde

Parlement européen (Nouvelles) - Tue, 18/10/2016 - 14:57
Général : Selon les estimations, la traite des êtres humains concernerait plus de 20 millions de personnes dans le monde et pourrait générer jusqu’à 117 milliards d’euros de bénéfices par an. En cette journée de lutte contre la traite, découvrez ce que fait l’Union européenne pour mettre fin à ce crime.

Source : © Union européenne, 2016 - PE
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Quel TTIP pour quels objectifs ? Compte rendu de la Conférence du 11 octobre 2016

EU-Logos Blog - Tue, 18/10/2016 - 14:22

Mardi 11 octobre 2016, l’association étudiante de l’Institut d’études européennes à Bruxelles, Students for Europe, a organisé un débat sur les enjeux et perspectives du partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP). Les intervenants étaient Ignacio Garcia Bercero, négociateur en chef du TTIP à la Commission européenne et Marc Tarabella, eurodéputé chargé de la protection des consommateurs européens, de l’agriculture et de l’égalité des genres.

Afin de remettre en contexte les négociations du TTIP, il convient de rappeler brièvement en quoi consiste celui-ci. C’est un accord commercial, qui actuellement est en cours de négociation entre l’Union européenne (UE) et les États-Unis (USA), depuis 2013. Il s’agit de mettre en place une gigantesque zone de libre-échange transatlantique correspondant à un marché de plus de 800 millions de consommateurs potentiels. Ce marché mettrait en place de nouvelles règlementations permettant d’exporter, d’importer et d’investir outre-Atlantique et inversement. Pour ce faire, le traité devrait “réduire les formalités administratives coûteuses et coordonner les réglementations techniques pour les rendre plus efficaces”, c’est-à-dire supprimer les droits de douane, les dispositifs de protectionnisme nationaux mais surtout, converger vers des normes communes pour faciliter la libre-circulation. Le but, tel que l’affirme la Commission européenne, est de créer des emplois et de la croissance dans l’ensemble de l’UE et des USA en baissant les prix et en offrant plus de choix aux consommateurs. Cecilia MALMSTRÖM, commissaire européenne au commerce qui mène les négociations au nom de l’UE, souligne que le TTIP permettrait au vieux continent d’adapter son économie à la montée en puissance d’économies émergentes et ainsi maintenir son influence dans le monde.

Si ce projet aboutit, il instituera la zone de libre-échange la plus importante de l’Histoire, couvrant 45,5 % du PIB mondial. Ses défenseurs affirment que l’accord conduira à une croissance économique pour les deux parties tandis que les critiques soutiennent qu’il augmentera le pouvoir des entreprises face aux États et compliquera la régulation des marchés. Pourtant, des traités d’envergure similaire ont également fait l’objet de négociations tels qu’ACTA, Canada-EU Trade Agreement (CETA) et le North American Free Trade Agreement (NAFTA). Ce qui diffère avec le TTIP est qu’il s’agit d’une négociation concernant deux géants, l’UE et les USA, moteurs du commerce international depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Les ambitions des deux parties sont bien réelles mais il est difficile de conjuguer ambitions et respect du calendrier puisque sont en jeu des sujets sensibles sur le plan technique et politique. Ainsi, il est légitime de s’interroger : les ambitions des USA et de l’UE sont-elles démesurées, déraisonnables, ou au contraire doivent-elles être maintenues ?

            C’est à cette question que les intervenants ont tenté de répondre, exposant les arguments pour et contre la conclusion du traité tel qu’il est actuellement négocié.

Bercero, en faveur dudit traité, a ouvert le débat en rappelant l’origine des négociations du TTIP. Trois principales raisons les justifient selon lui.

Tout d’abord, au regard de la situation économique difficile de l’UE et des USA en 2013, l’Union a présenté une initiative commerciale afin d’établir un marché transatlantique permettant d’avoir un impact économique positif au sein des deux parties. Effectivement, ce traité représente une dimension de coopération plus large que les accords sectoriels qui ont pu être conclus auparavant entre les deux grands.

Ensuite, la seconde raison qui justifie ces négociations est la volonté d’une amélioration de la coopération règlementaire entre les deux parties.

Enfin, la volonté de moderniser les règles commerciales permettrait de poursuivre la mondialisation et le développement du commerce international, au profit des deux parties.

Bien qu’aujourd’hui les négociations soient en stagnation, il convient de rappeler que leur lancement s’est fait assez rapidement puisqu’il y a eu un appui unanime de tous les Etats membres. Cela démontre la volonté européenne de conserver les USA comme leur premier partenaire commercial en matière d’exportations.

 Où en est-on aujourd’hui ?

 A l’heure actuelle, il est difficile d’établir un réel constat en raison de l’opacité des négociations. Toutefois, celles-ci n’évoluent pas suite aux divergences des parties concernant certains domaines. Il s’agit essentiellement, a souligné M. Bercero, de l’agriculture, des achats publics et des services, qui pourtant représentent des secteurs classiques dans les accords de libre échange. Cependant, il est question de sujets délicats pour les deux parties, mais l’UE reste ferme sur le fait que les USA doivent être prêts à négocier sur ces secteurs car le marché transatlantique ne peut exister sans ces derniers. Malgré le peu d’avancement dans les négociations, depuis 2013, il y a évidemment eu des progrès notamment en matière d’offres tarifaires.

Concernant la coopération règlementaire, M. Bercero affirme qu’il y a d’intenses discussions en la matière afin de savoir sur quels points les règlementations sont équivalentes et ainsi minimiser les coûts d’harmonisation des normes. Il donne l’exemple du secteur automobile, où la règlementation technique est propre aux deux parties pour assurer la sécurité mais où le niveau n’est pas foncièrement différent.

S’agissant de l’harmonisation des normes, les deux parties souhaitent moderniser les règles commerciales et inclure de nouveaux secteurs dans ce commerce multilatéral. C’est une réelle possibilité au regard de la place mondiale occupée par l’UE et les USA sur le plan commercial.

La perspective aujourd’hui est d’avancer le plus possible avec l’administration présente aux USA. Cela signifie principalement de lever les divergences existantes avant la fin du mandat de M. Obama. Par la suite, il faudra attendre la mise en place de la nouvelle administration, ce qui prolongera encore une fois les négociations. Ce qui importe, c’est le fond de l’accord, qu’il soit équilibré et ambitieux, avec un calendrier réaliste.

Afin de justifier son opposition au TTIP, M. Tarabella, souligne sa crainte sur le comportement de l’UE dans sa faculté à signer des accords sans avoir de ligne de conduite sur des secteurs centraux comme l’agriculture. Face à cela, il souligne que les USA sont plus pragmatiques et tentent de protéger leurs marchés dans ces négociations.

Cependant, l’eurodéputé félicite la Commission européenne en raison de sa persévérance dans ces négociations, puisqu’aucun chapitre n’a été fermé pour l’instant. Ce qui affaiblit l’UE reste son absence de stratégie en matière de politique économique en dépit de son choix pour l’ultra-libéralisme. D’une part, l’ouverture est importante mais d’autre part, il faut des règles avec des droits de douanes car les conditions de travail et de production ne sont pas les mêmes au sein des deux parties. Cela s’explique par le fait que la compétitivité soit différente selon les normes.

S’agissant de la coopération règlementaire, M. Tarabella expose deux choix possibles.

  • La première option serait de converger les normes, ce qui constituerait une sécurité pour les deux parties. Pour certains secteurs comme l’agriculture ou le droit des consommateurs, cela présente des difficultés puisque l’UE est plus protectrice donc revenir dessus serait procéder à un « détricotage anti démocratique des normes ».
  • La seconde option serait de reconnaitre que les normes européennes et américaines sont équivalentes. Cependant, si les USA investissent moins dans la confectionnement d’un produit que l’UE et que les normes sont plus restreintes pour l’UE, il y aura un déficit européen par rapport aux américains. La compétitivité serait tronquée en faveur des USA.

S’agissant de la modernisation des règles commerciales, cela nous amène à évoquer l’arbitrage privé entre sociétés privées, multinationales et autorités publiques. La volonté des USA d’intégrer le mécanisme des tribunaux arbitraux dans le TTIP est un point très discuté en raison du désaccord entre les deux grands.

Il convient de rappeler que dans le TTIP, les sanctions pénales sont exclues, cela pouvant représenter une menace pour la conclusion du traité. Le recours à ce mécanisme d’arbitrage privé nommé « l’investor-state dispute settlement » présente quelques avantages par rapport à la procédure judiciaire générale. En effet, dans ce mécanisme les arbitres sont spécialisés, il est question d’une procédure unique et il est possible de recourir à une procédure d’arbitrage accélérée. Cependant, par ce mécanisme, les parties peuvent choisir les arbitres. Cela pose la question relative de la légitimité, un point relevé par M. Tarabella. Par ailleurs la procédure est confidentielle. Or il faut trouver un équilibre entre l’intérêt privé des parties et l’intérêt général.

Tarabella s’interrogeait s’il était vraiment nécessaire de créer un instrument privé pour régler les litiges. Selon lui, la réponse est négative puisque l’administration européenne est stable. Il est souvent question de remise en cause de normes environnementales, sociétales ou encore de santé publique par les américains au bénéfice des multinationales. En effet, plusieurs affaires illustrent cela telles que l’affaire Philip Morris ayant attaqué l’Uruguay et l’Australie ou encore Veolia qui a attaqué l’Egypte. Pour M. Tarabellea, les tribunaux privés sont des « machines à broyer des règles prises dans l’intérêt public au bénéfice de l’intérêt privé, de multinationales. »

L’agriculture est un des principaux points problématiques des négociations. En effet, ce secteur se trouve en difficulté au sein de l’UE car il n’y a pas de politique stratégique. Or, aux USA, c’est un secteur protégé. C’est cette différence que M. Tarabella a tenté de mettre en lumière, en affirmant que la PAC allait à contre courant de tous les acteurs économiques mondiaux, dépourvu d’aides européennes, tandis qu’aux USA, en plus de fixer le prix mondial d’un produit, ils attribuent des aides contra-cycliques. Par conséquent, ces aides compensatoires tiennent compte de la réalité économique alors qu’au sein de l’UE ces aides n’existent pas. Cela signifie qu’à la moindre tension du marché mondial le prix d’achat d’un produit européen tombe, et l’agriculteur européen se trouvera démuni face à l’agriculteur américain. Il existe donc une « hyper-volatilité »  du domaine agricole d’après M. Tarabella.

Pour conclure, ces négociations mettent en exergue le fait que le politique a de moins en moins son mot à dire. Il y a une volonté d’enlever à la puissance publique sa compétence de légiférer, notamment concernant les règles relatives aux citoyens. En l’espèce, il s’agit d’un partenariat qui surprotège les multinationales, c’est le vrai problème puisque cela peut être dangereux par la suite. Dans ce mécanisme, les investisseurs se placent dans une position d’ ‘influenceurs’ du processus judiciaire. L’Etat ne gère plus le litige ; or, la Justice constitue l’un des secteurs régaliens-clés. Des tribunaux publics constitueraient donc une protection du droit des Etats à légiférer dans l’intérêt général.

Finalement, ces dispositions viennent dénaturer la portée du traité : le libre-échange n’y tient finalement plus le rôle principal, c’est la contestation de l’Etat au profit des intérêts privés qui se trouve au cœur des négociations.

Emmanuelle Gris et Kristell Prigent

 


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Russie: polémique autour de la fermeture des comptes la chaîne «Russia Today»

RFI (Europe) - Tue, 18/10/2016 - 14:21
La chaîne russe d'information internationale en langues étrangères, «Russia Today», a annoncé la prochaine fermeture de ses comptes bancaires au Royaume-Uni. C’est sa banque britannique, une filiale de la Royal Bank of Scotland qui a pris cette décision. Le ministère russe des Affaires étrangères a vivement réagi.
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[Revue de presse] Syrie : l'UE évoque des "crimes de guerre" mais ne veut pas de sanctions contre la Russie

Toute l'Europe - Tue, 18/10/2016 - 12:10
Réunis lundi à Luxembourg, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont condamné les derniers bombardements, notamment russes, à Alep en Syrie. Les accusations sont graves : la Russie pourrait avoir commis des crimes de guerre, par conséquent passibles de la Cour pénale internationale. Néanmoins, alors que le ton monte entre Occidentaux et Russes, aucune sanction n'a été suggérée contre Moscou. Pour l'heure, l'Europe cherche à éviter l'affrontement et préfère privilégier la négociation.
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Syrie: l'armée russe annonce l'arrêt des bombardements russes et syriens à Alep

RFI (Europe) - Tue, 18/10/2016 - 11:58
L'armée russe a annoncé, ce mardi 18 octobre, un arrêt immédiat des raids aériens des aviations russe et syrienne à Alep pour préparer la mise en oeuvre d'une pause « humanitaire », ce jeudi dans la deuxième ville de Syrie. Cette annonce surprise intervient après des semaines de critiques des Occidentaux contre la brutalité des bombardements de l'armée de Bachar al-Assad, soutenue par les bombardiers et les avions d'attaque russes. Pour Moscou, cette trêve ne durera que quelques heures. Les Nations unies s'en félicitent, mais regrettent qu'elle ne concerne que les bombardements et qu'elle soit trop courte.
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Primaire des écologistes : Les Verts main dans la main avec Europe Ecologie

Toute l'Europe - Tue, 18/10/2016 - 11:45
On aurait presque tendance à l'oublier, mais cet automne les écologistes organisent eux-aussi leur primaire pour choisir leur champion-ne en vue de l'élection présidentielle. En lice, Cécile Duflot, poids lourd des Verts depuis 2006 et trois eurodéputés : Karima Delli, Yannick Jadot et Michèle Rivasi, tous en poste depuis 2009, année du raz-de-marée d’Europe Ecologie aux européennes. Les 17 000 électeurs annoncés avaient jusqu'à hier pour faire leur choix, alors que les résultats du 1er tour seront annoncés demain. Plus que les programmes, très semblables, il s'agira davantage d'élire une personnalité à même de redonner du souffle à l'écologie politique.
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L’Europe n’est prête ni pour Trump, ni pour Clinton

Euractiv.fr - Tue, 18/10/2016 - 10:07
De deux choses l’une : soit les dirigeants européens ont sous-estimé le danger d’une présidence de Donald Trump, soit ils surestiment le degré de continuité que pourra apporter Hillary Clinton, indique une nouvelle étude réalisée par le Conseil européen des relations internationales.
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Un scandale italien relance le débat sur le prix des médicaments

Euractiv.fr - Tue, 18/10/2016 - 10:02
Le Bureau européen des unions de consommateurs appelle la Commission à enquêter sur les pratiques de tarification des médicaments de l’industrie pharmaceutique après un scandale en Italie.
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EU Foreign Affairs ministers discuss the implementation of the EU Global Strategy

EU-Logos Blog - Tue, 18/10/2016 - 09:57

EU Foreign Affairs ministers discussed yesterday the follow-up to the EU global strategy on foreign and security policy. EU global strategy presents five priority areas to be implemented for 2016 – 2017, including:

– Resilience building and integrated approach to conflicts and crises;

– Security and defence;

– Strengthening the nexus between internal and external policies;

– Updating existing or preparing new regional and thematic strategies;

– Stepping up public diplomacy efforts.

Ministers also evaluated the latest developments in matters of external migration and EU’s comprehensive migration policy. The High Representative briefed Foreign Affairs ministers on the work accomplished with priority countries such as Mali, Niger, Jorda, Lebanon, Afghanistan, among others.

Another point discussed was how to enhance the EU’s support to Tunisia’s efforts to address its challenges and to promote long-term stability. The Council reaffirmed its commitment and support to the Tunisian society, which should be reflected in a high-level political dialogue between the EU and Tunisia on all matters of mutual interest.

Finally, the highlight of the day was the Syrian situation assessment, based mainly on recent developments on the ground and the escalation of violence in Aleppo. The Council reiterated the extreme attacks by the regime and its allies.

Given this indiscriminate situation, EU made an urgent call for “an immediate cessation of hostilities to be monitored by a strong and transparent mechanism; (…) and full unhindered sustainable country-wide humanitarian access granted by all parties”, as the outcome of the Council meeting states.

According to Federica Mogherini, High Representative for Foreign Affairs and Security Policy: “there can be no military solution to the conflict. A political solution must be sought. The EU has decided to launch a dialogue with key regional actors to prepare the ground for a political transition, reconciliation and reconstruction.”


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Les Etats membres s’attaquent au partage de l’effort climatique

Euractiv.fr - Tue, 18/10/2016 - 09:47
Les ministres de l'Environnement des 28 pays de l'UE ont lancé le 17 octobre les discussions sur la répartition de l'effort pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030, révélant des différences de points de vue.
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Le marché du carbone fait légèrement baisser les émissions en Europe

Euractiv.fr - Tue, 18/10/2016 - 09:35
Les émissions des principaux secteurs couverts par le marché du carbone européen ont légèrement diminué entre 2014 et 2015, selon l’Agence européenne de l’environnement. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.
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