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Union européenne

Syrie : les Occidentaux se disent prêts à riposter

Toute l'Europe - Fri, 13/04/2018 - 11:51
Samedi 7 avril, une attaque à l'arme chimique contre des civils aurait eu lieu dans la ville de Douma en Syrie. Une ligne rouge franchie que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ne veulent pas laisser impunie. Ils accusent le régime de Bachar Al-Assad, soutenu par la Russie, de cette violation flagrante du droit international.
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Eloignés de leurs proches en Allemagne, des réfugiés syriens préfèrent rentrer

RFI (Europe) - Fri, 13/04/2018 - 11:27
Une enquête de médias allemands a mis à jour un phénomène inattendu : de nombreux réfugiés syriens choisissent le retour dans leur pays. Et ce non pas parce qu'ils ne disposent pas de titre de séjour en Allemagne, car ces personnes ont des papiers leur permettant de rester en Europe. Ce sont les difficultés pour permettre à leurs proches de les rejoindre, les entraves au regroupement familial, qui les incitent à rentrer dans leur pays.
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Le Parlement européen réclame des explications de Mark Zuckerberg en personne

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 11:24
Le Parlement européen a réitérer sa demande d'audition du PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, au lendemain de son audition marathon devant le Congrès américain.
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Juncker fait montre d’optimisme sur les relations avec Visegrád

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 11:09
Jean-Claude Juncker veut rester optimiste quant à un possible accord sur le régime d’asile européen, alors que la Slovaquie a pris la présidence du groupe de Visegrád.  
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Commerce : qui échange avec l'Europe ?

Toute l'Europe - Fri, 13/04/2018 - 11:00
Le commerce de l'Union européenne représente une part déterminante de son économie. Le libre-échange qu'elle défend est au fondement de sa politique internationale. Elle entretient des relations commerciales avec de nombreux partenaires extérieurs et veille au dynamisme des échanges entre les Etats membres.
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Faut-il croire à la croissance verte ?

Toute l'Europe - Fri, 13/04/2018 - 11:00
Dans une tribune pour Toute l'Europe, Gilles Rotillon, professeur émérite en sciences économiques et conseiller scientifique au ministère de la Transition écologique et solidaire, dénonce les contradictions liées aux objectifs européens de croissance verte.
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L'Europe et la croissance dite verte

Toute l'Europe - Fri, 13/04/2018 - 11:00
Depuis le sommet de Copenhague, et malgré le succès diplomatique des accords de Paris en 2015, la politique environnementale en Europe semble au ralenti. Les raisons invoquées par les pays pour justifier ce manque de dynamisme sont souvent économiques. Pourtant, environnement et économie ne sont pas nécessairement des objectifs contradictoires. L'OCDE définit la croissance verte comme le fait de "favoriser la croissance économique et le développement, tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et les services environnementaux sur lesquels repose notre bien-être". Ce texte, coécrit par les professeurs Pierre-André Jouvet et Julien Wolfersberger, propose une liste non-exhaustive des enjeux pour la croissance verte en Europe.
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Le Parlement polonais modifie à la marge la réforme de la justice

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 10:03
La chambre basse du Parlement polonais a approuvé une modification de la réforme de la justice afin de répondre aux inquiétudes de Bruxelles, qui a ouvert en juillet une procédure d'infraction pour violation des principes communautaires à l'encontre de Varsovie.
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Barnier, prochain président de la Commission?

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 09:54
Le négociateur en chef du Brexit est sorti favori d'un sondage effectué auprès de la bulle européenne pour succéder à Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission. Mais ne bénéficie pas du soutien de Paris.
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Bruxelles promet la transparence sur l’évaluation des pesticides

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 09:34
Suite au tollé engendré par le renouvellement de l’autorisation du glyphosate, la Commission européenne s’est engagée à garantir la transparence des études menées par l’industrie sur les substances chimiques. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.
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La lutte contre l’excision avance en Guinée

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 09:32
En Guinée, 97 % des femmes ont subi des mutilations génitales, une pratique pourtant interdite par la loi. Pour lutter contre ce fléau, l’État et les ONG ont mis en place plusieurs initiatives. Un article de notre partenaire, Euroefe.
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Sous la pression de l’Est, Bruxelles interdit la double qualité des produits

Euractiv.fr - Fri, 13/04/2018 - 09:26
La Commission européenne a annoncé le 11 avril qu’elle interdirait les différences de qualité des aliments entre les pays de l'UE, à la suite de plaintes des États d’Europe centrale et orientale (PECO).
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Italie: la police française accusée de falsifier l'âge de mineurs migrants

RFI (Europe) - Fri, 13/04/2018 - 01:03
Dans une lettre adressée à la Commission européenne et aux autorités italiennes, sept ONG italiennes toutes présentes à Vintimille accusent la police aux frontières française et les autorités italiennes de bafouer les droits des migrants mineurs non accompagnés.
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Affaire Skripal: l'OIAC confirme l'identité du poison

RFI (Europe) - Thu, 12/04/2018 - 22:22
L'Organisation internationale contre les armes chimiques (OIAC) confirme que l’agent chimique toxique utilisé pour empoisonner l'ancien espion russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia est un agent innervant de la famille Novitchok. La Russie serait donc responsable de l’attaque pour le gouvernement britannique, qui demande une réunion du Conseil de sécurité.
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Xavier Bettel, sortir du bois

Coulisses de Bruxelles - Thu, 12/04/2018 - 18:35

Xavier Bettel est, à lui seul, une rupture épistémologique dans l’histoire politique du Luxembourg. On ne trouve aucune trace chez le Premier ministre du Grand Duché de cette bonhommie très radicale-socialiste IIIe République qui a assuré une étonnante longévité à ses deux prédécesseurs, les sociaux-chrétiens Jacques Santer (1984-1994) et Jean-Claude Juncker (1995-2013). Ce libéral qui a réussi l’exploit d’éjecter l’actuel président de la Commission européenne du pouvoir, mettant fin au passage à 40 ans de règne conservateur, est tout de componction et de retenue, là où Juncker embrasse et tutoie tout le monde (y compris les agents de sécurité ou l’auteur de ces lignes). Il ne boit pas, alors que Santer était surnommé « Sancerre » et que les rapports de Juncker à l’alcool défrayent régulièrement la chronique (« Juncker the druncker », son surnom dans la presse populaire britannique). Il ne fume pas (ou des cigarettes électroniques) alors que Juncker est, malgré ses efforts, resté une zone fumeurs ambulante. Il est accroc aux réseaux sociaux et à son smartphone alors que Juncker n’arrive toujours pas à utiliser un ordinateur. Xavier Bettel se veut une sorte de Macron luxembourgeois, jeune (45 ans tout juste), moderne, sain, tiré à quatre épingles, le côté jupitérien en moins, car le Luxembourg, l’ancien « département des Forêts, n’est pas la “Grande nation”.

Il affiche d’ailleurs son admiration pour Emmanuel Macron, son cadet de 5 ans : “on s’est rencontré lorsqu’il s’est porté candidat à la présidence de la République et une vraie amitié est née. On se parle toutes les semaines”, raconte-t-il. “Brigitte s’entend très bien avec mon mari”, le Belge Gauthier Destenay. Il montre, très fier, sur son smartphone, un article de Paris-Match, paru fin mars, au lendemain de la visite d’État du Grand Duc Henri et de la Grande-Duchesse en France, la première depuis 40 ans : “Regardez, Brigitte dit qu’elle adore Gauthier, que c’est son préféré parmi les ‘premières dames’”. Son homosexualité, qui le distingue de tous ses prédécesseurs, Xavier Bettel en parle comme s’il s’agissait d’un non-évènement.

Pourtant, c’en est un dans un pays profondément catholique comme le Luxembourg où la séparation de l’église et de l’État n’a été inscrite dans la loi qu’en juillet 2016, un siècle après la France. Mais la population de ce micro-État est moins conservatrice qu’elle n’en a l’air. N’a-t-elle pas élu successivement cet homosexuel tranquille, né d’un père luxembourgeois et d’une mère Française d’origine russe, bourgmestre de la ville de Luxembourg en 2011, avant de le propulser, deux ans plus tard, à la tête du Grand Duché, une première dans un pays de l’Union (depuis, Bettel a été rejoint dans ce club très exclusif par son homologue irlandais). En 2014, il a obtenu la légalisation du mariage gay ainsi que le droit à l’adoption, un vote acquis à la quasi-unanimité du Parlement. En 2015, il a épousé à son compagnon, une nouvelle première pour un chef de gouvernement en exercice : les images de son mariage ont d’ailleurs fait le tour du net.

Pour autant, il ne se définit pas comme “un militant de la cause homosexuelle. Mon père est décédé à 60 ans d’une crise cardiaque et je sais qu’on n’a qu’une vie. Je veux donc vivre avec l’homme que j’aime sans me cacher, voilà. Je ne dis pas que cela a été facile : il a d’abord fallu que je m’accepte, puis que les autres m’acceptent”. Il se souvient avec émotion des lettres reçues quand il est devenu Premier ministre : “des parents m’ont dit : on peut réussir en étant gay, merci de l’avoir montré”. Certes, il subit de temps à autre des “attaques, parfois de très mauvais goût, mais ça n’est pas grave et je pardonne”. Une allusion au récent dérapage de Marc Spautz, le président du parti chrétien-social (CSV), qui a ironisé dans un meeting sur les “uniformes roses” que pourrait imposer aux policiers Xavier Bettel qui venait de changer le look de leurs voitures… Mais, curieusement, lorsqu’on lui demande de citer les réformes dont il est le plus fier, il oublie de citer le mariage pour tous préférant s’attarder sur les droits des femmes : “j’ai supprimé tous les aspects discriminant dans l’avortement et créé un congé parental pour que les femmes ne soient pas obligées de démissionner pour s’occuper de leurs enfants”. Lui n’a pas d’enfant : “je n’aurai pas le temps de m’en occuper”.

Son amitié avec Macron va-t-elle au-delà de l’aspect personnel? Xavier Bettel se définit instinctivement par référence non à En Marche, qui reste toujours un objet idéologiquement non identifié en Europe, mais aux partis libéraux néerlandais : “économiquement je me reconnais dans le VVD”, celui de Mark Rutte, le Premier ministre, qui professe un libéralisme à l’anglo-saxonne, “et sociétalement dans D66”, ce qui le rapproche des Verts allemands. On est donc assez loin d’En Marche. Mais il y a l’Europe : “je suis à 99 % sur les positions de Macron, comme lui je veux une Europe qui marche”, proclame-t-il. Par exemple, je pense aussi que les “Spitzenkandidaten” (la tête de la liste arrivée en tête aux élections européennes devient automatiquement président de la Commission) est totalement idiot ». Il faut dire que c’est ce système qui a permis à Juncker d’atterrir à Bruxelles après avoir été mis à la retraite au Luxembourg, privant ainsi Bettel de la possibilité d’envoyer un membre de sa couleur politique siéger à la Commission, puisque chaque pays n’a droit qu’à un commissaire... « Le 1% restant, c’est par exemple son idée d’un parlement de la zone euro dont je ne vois pas l’utilité ».

« Xavier Bettel, en cultivant ses liens avec Macron ou avec Theresa May, essaye de se construire une stature internationale avant les élections d’octobre prochain », analyse l’un de ses ministres. Il sait qu’il n’a pas la stature de son prédécesseur, Juncker à qui on le compare en permanence, ce qui l’agace. Certes, il a des points communs entre les deux hommes : ils sont devenus Premiers ministres à 40 ans, ont suivi des études de droit à Nancy (puis à Thessalonique pour Bettel), sont polyglottes (français, allemand, anglais, luxembourgeois) et sont tombés dans la politique dès l’adolescence avec un avantage à Bettel qui a « manifesté à 7 ans pour obtenir une plaine de jeux dans son école », comme il le raconte en riant. Mais « Bettel manque d’épaisseur, ce n’est pas un homme de dossiers, il ne travaille pas beaucoup », regrette un responsable de sa majorité : « pour compenser, il mise beaucoup sur son entregent, son côté sympa, son humour léger ». Ce qui ne veut pas dire qu’il n’ait pas un « caractère de tueur quand c’est nécessaire », comme le montre la façon dont il a débarqué la vieille garde du parti libéral représenté par l’ancien bourgmestre de Luxembourg ville, Paul Helminger : « il ne faut vraiment pas le sous-estimer, c’est une bête politique », souligne l’un de ses ministres.

Ce qui ne l’a pas empêché de se planter gravement en juin 2015, lorsqu’il a organisé à la va-vite un référendum constitutionnel qui a stoppé net ce qui ressemblait à une irrésistible ascension : l’octroi du droit de vote à 16 ans n’a obtenu que 19 % de oui, celui pour les résidants étrangers 22 %, et la limitation des mandats publics à 10 ans 30 %… « Ça été un référendum fatal, une catastrophe qui a déstabilisé le gouvernement et donné des ailes aux nationaux-populistes », se désole un responsable socialiste. Bettel, lui, ne « regrette rien », même s’il reconnait que la consultation « n’a pas été assez préparée dans un pays sans tradition référendaire ce qui a permis aux populistes de jouer sur les peurs ». Reste que depuis, il rame et les sondages pour les élections législatives d’octobre prochain ne sont pas très bon pour sa coalition composée des libéraux, des socialistes et des verts.

Le meilleur moyen de rebondir quand on est en difficulté sur la scène intérieure, c’est l’international. C’est pour cela que Bettel a besoin de Macron, car « la famille libérale européenne est trop divisée pour constituer une base solide et le Benelux n’existe plus comme force de proposition », décrypte l’un de ses ministres. Surtout, Bettel ne peut pas compter sur l’appui des chrétiens-démocrates allemands de la CDU : « il ne faut pas oublier c’est le chancelier Helmut Kohl qui a créé Santer et surtout Juncker dont il a fait son fils spirituel », rappelle une ministre. Bref, le seul allié possible, c’est Macron, « ce qui tombe bien, car le chef de l’État a besoin de tous ceux qui sont proches de lui, car il n’a, lui non plus, aucune force politique qui le soutienne dans l’Union : l’Europe en marche reste à construire », analyse un ministre socialiste. Bettel, en bon politique, veut chevaucher cette vague qui pourrait lui permettre de rebondir à domicile.

N.B.: version longue de mon portrait paru dans Libération du 9 avril

Photo: Pascal Bastien pour Libération

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L’Agence française de développement monte en puissance

Euractiv.fr - Thu, 12/04/2018 - 17:20
L’Agence française de développement a financé plus de 10 milliards d’euros de projets en 2017, soit une hausse de 11%. Mais la part de don dans le bilan de la banque de développement demeure encore très réduite.
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45/2018 : 12 avril 2018 - Informations

Cour de Justice de l'UE (Nouvelles) - Thu, 12/04/2018 - 15:50
La finale européenne du concours de la « European Law Moot Court » se tiendra le 13 avril à la Cour de justice de l'Union européenne à Luxembourg

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Citoyenneté : quels enjeux pour l'Europe ? (vidéo)

Toute l'Europe - Thu, 12/04/2018 - 14:00
Français, Hongrois, Maltais, Irlandais... tous les citoyens d'un Etat membre de l'Union européenne sont également citoyens de l'Union européenne. Un statut qui confère de nombreux droits.
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La Finlande confirme sa sortie du charbon en 2029

Euractiv.fr - Thu, 12/04/2018 - 11:39
Helsinki interdira l’utilisation du charbon dans la production d’énergie en 2029. Le gouvernement envisage aussi de récompenser les entreprises du secteur qui abandonnent les combustibles fossiles avant cette date.
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Les détenus européens au Royaume-Uni scandalisent les pro-Brexit

Euractiv.fr - Thu, 12/04/2018 - 11:20
4 024 ressortissants de l’UE étaient incarcérés en Angleterre et au Pays de Galle en 2017, selon le ministère britannique de la Justice. Des prisonniers qui imposent une lourde charge financière au contribuable britannique, selon une organisation pro-Brexit.  
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