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Défense

Trois ans après l’annexion de la Crimée, l’UE maintient fermement son opposition

Bruxelles2 - Sat, 18/03/2017 - 18:10
(B2) Le 18 mars, un anniversaire pas comme les autres a lieu en Ukraine. Cela fait trois ans que la Russie a annexé la Crimée et la ville de Sebastopol. Occasion pour l'Union européenne de rappeler sa position, dans une déclaration solennelle de la Haute représentante « au nom des 28 ». Non-reconnaissance de l'annexion L'UE « demeure fermement […]
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Establishing nuclear disarmament

Mankind has been living for 72 years with the ability to dramatically change its existence, by merely pushing a button. Nuclear weapons and their history, as witnessed in Hiroshima and Nagasaki, Japan, in 1945 (and with more than 2,000 nuclear tests across the world), highlighted their immediate and long-term devastating effects, both with regard to populations and the environment. Although the worldwide arsenal has significantly decreased since the 1990s (from 80,000 to 15,000 weapons in 2017), these arms are still raising issues in terms of global security, while the multilateral process of nuclear disarmament has not progressed. A new way to reach better security seems achievable in 2017 with the negotiation of a legally binding instrument to prohibit nuclear weapons.

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Le renouvellement des F-16 belges engagé

Bruxelles2 - Fri, 17/03/2017 - 17:59
(B2) Le mouvement est lancé officiellement. Le gouvernement belge a donné son accord, ce vendredi (17 mars), pour lancer un programme d'achat pour 34 nouveaux avions de combat multirôle, destinés à remplacer à l'horizon 2023-2028, les avions F-16 existants (1). Un nombre suffisant Pour le ministère belge de la Défense, ce nombre permet « de […]
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La future filière industrielle de munitions de petit calibre baptisée au chouchen

Lignes de défense - Fri, 17/03/2017 - 17:06

Il y avait bien une odeur de poudre dans l'air. Et un goût de chouchen...

Jean-Yves Le Drian (voir mon post ici) a confirmé la création d'une filière avec trois partenaires industriels: Nobel Sport (qui accueillera la chaîne d'assemblage), Thales et Manurhin (qui fournira les machines de cartoucherie).

Objectif d’ici trois ans : fabriquer 100 millions de cartouches par an pour les fusils de militaires français. Lire aussi ici.

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Carnet (17.03.2017). MPCC (formalisation). OTAN-UE (réunion). EUFOR Altea (commandant). Gambie (sécurité). Produits de Défense (directive). Égypte (sanctions). Minerais de sang (contrôle). Défense (Gentiloni/Danjean). Turquie (campagne). Ouganda ...

Bruxelles2 - Fri, 17/03/2017 - 16:12
(B2) Parus récemment : Le navire Aris 13 libéré (blog) L’Arctique se réchauffe… et se militarise. Le Parlement européen alerte ! « L’UE tire, lentement, les leçons des missions PSDC » (Cremonini) Il est temps de mettre en oeuvre les dispositions du Traité de Lisbonne L’UE adopte une nouvelle stratégie pour la reconstruction de la Syrie Les pirates […]
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Gabian 17.1

ColBleus - Marine nationale (FR) - Fri, 17/03/2017 - 14:33
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Gabian 17.1

ColBleus - Marine nationale (FR) - Fri, 17/03/2017 - 14:33
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Nantes: le désert militaire a pourtant une longue histoire avec les armées

Lignes de défense - Fri, 17/03/2017 - 11:37

Lu dans notre édition de Nantes:

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Affrètements: F. Cornut-Gentille va présenter les conclusions de son contrôle fin mars

Lignes de défense - Fri, 17/03/2017 - 09:25

Dans une question écrite du 29 novembre 2016, le député Le Francois Cornut-Gentille a demandé au ministre de la Défense "d'expliquer les raisons qui amènent le ministère de la défense à poursuivre sa politique d'externalisation du transport stratégique selon des modalités et avec des acteurs qui font l'objet de vives critiques de la part de la Cour des comptes, celle-ci allant jusqu'à parler d'anomalie".

La réponse a été publiée au JO le 14 mars.

En voici le texte:
"Le centre du soutien des opérations et des acheminements (CSOA) est l'organisme de l'état-major des armées chargé de mettre en oeuvre les acheminements et le soutien au profit des opérations. Dans le domaine de l'affrètement, il remplit cette mission en tenant compte de deux impératifs : la satisfaction du besoin opérationnel et la recherche de la performance économique.
Il convient d'observer que l'intensité des engagements sur les théâtres d'opérations extérieurs et des besoins logistiques qui en découlent confronte actuellement l'armée française à un déficit capacitaire s'agissant du transport aérien stratégique.
Pour faire face à cette situation, le ministère de la défense a retenu plusieurs solutions externalisées qui prennent la forme :
- d'un accord-cadre d'affrètement en urgence qui comporte trois lots relatifs aux passagers, au fret et au fret hors gabarit. Cet accord permet de couvrir, au moyen d'un marché subséquent, un besoin inopiné qui ne peut être satisfait par les autres outils d'affrètement aérien. Sept candidats sont présélectionnés et consultés pour chaque lot. Les offres proposées par les titulaires lors des consultations comprennent un prix global de la prestation, qui, au-delà des aspects techniques, tient compte de la difficulté éventuelle à trouver le vecteur de transport adéquat ;
- d'un marché national d'affrètement d'avions cargos : ce marché à bons de commande, notifié à la société ICS « International Chartering Systems » le 6 janvier 2015, avec une date d'effet au 9 février 2015, permet d'affréter différents types d'aéronefs selon des catégories prédéfinies (capacités d'emport et présence ou non de rampes d'accès). Il offre la possibilité d'accéder aux avions de type AN124 (l'un des plus gros porteurs au monde), mais aussi à d'autres appareils (IL 76, B747, C17, AN 225, B777, B767, B737 et AN12). Ce marché a été conclu pour une durée totale de 4 ans comprenant 4 périodes de reconduction expresse. La 2ème reconduction, intervenue en novembre 2016, couvre la période du 1er janvier au 31 décembre 2017. Les 3ème et 4ème reconductions sont respectivement prévues avant les 31 décembre 2017 et 31 décembre 2018 pour les périodes allant du 1er janvier au 31 décembre 2018 et du 1er janvier 2019 à la veille de la date anniversaire de la prise d'effet du marché, soit le 8 février 2019. Il est à noter, à cet égard, que les marchés de transport sont généralement construits selon cette architecture périodique, avec reconduction expresse et non tacite, afin de limiter l'engagement financier dans le temps. Par ailleurs, le principe général appliqué pour ce marché est celui d'un coût à l'heure de vol, complété par des frais variables sur justificatifs ou forfaitisés. Seules les heures de vol durant lesquelles l'aéronef transporte effectivement le chargement correspondant à la commande passée sont payées. Dans le cadre du premier marché de ce type passé en 2011, le délai de commande était de plus de 60 jours. Ce délai très contraignant a pu être ramené à 20 jours lors du renouvellement, par avenant, de l'accord-cadre, puis au titre du nouveau marché d'affrètement d'avions cargos applicable depuis février 2015 ;
- d'un marché dit SALIS « Strategic airlift interim solution ». Dans le cadre de ce contrat multinational, les prix sont fixés et négociés par l'agence de soutien et d'acquisition de l'OTAN (NSPA). Ils dépendent de différents critères comme le volume global d'heures prépayées par les pays, les besoins effectivement exprimés ou les frais de fonctionnement de la NSPA. Toutes les heures de vol sont facturées depuis le départ de la base opérationnelle de Leipzig (ou du terrain sur lequel se trouvait l'avion au moment de la commande) jusqu'au retour sur cette base (ou sur un autre terrain à partir duquel l'avion pourra effectuer une autre mission), que l'avion transporte ou non le fret objet de la commande passée. En 2016, 591 heures de vol d'appareil de type AN124 ont été consommées, soit 550 heures prépayées et 41 heures additionnelles.
Le choix de recourir en priorité à l'un de ces contrats, dont les caractéristiques opérationnelles et financières sont différentes, est d'abord dicté par la recherche de l'efficience économique. Une étude amont est ainsi systématiquement réalisée afin d'évaluer le coût de chaque scénario envisageable. Au-delà de l'aspect strictement économique, ce choix est également commandé par des impératifs d'ordre opérationnel tels que l'urgence de la mission. D'autres critères sont pris en compte comme les contraintes techniques, la garantie de pouvoir accéder à la flotte des plus gros porteurs, toujours fortement sollicitée par plusieurs pays en cas de crise et la nécessité de diversifier les moyens d'accès à une ressource comptée pour s'assurer de la disponibilité de ces porteurs.
Les trois marchés d'externalisation correspondent donc chacun à un périmètre propre de validité, et donnent globalement satisfaction."

Commentaire de François Cornut-Gentille qui "remercie le ministre pour ces éléments" et qui précise que "le rapport de la Cour des comptes les mentionnait déjà, dans des termes quasi-identiques". Et le député d'ajouter: "Par contre, sur les anomalies et la précipitation à reconduire les contrats, silence radio ministériel."

Depuis le dépôt de cette question, le député a poursuivi ses investigations, entendu un certain nombre d'acteurs et suscité quelques réflexions ou prolongations de réflexions. Il va d'ailleurs, d'ici à la fin du mois de mars (le 28 précisément), présenter "à la commission des finances de l’Assemblée nationale une communication sur les conclusions de son contrôle qu’il effectue actuellement à la suite du rapport de la Cour des comptes sur le transport stratégique et tactique militaire".

Tactique aussi? Bien sûr, parce que la Défense est confrontée au même type de déficit et que le député, sans encore que l'on puisse parler d'anomalies comme la Cour de comptes pour le stratégique, s'interroge sur certains marchés.

Dans le domaine du tactique, par ailleurs, des réflexions sont en cours, au sein de l'Institution, pour clarifier des pratiques. Les prestations que l'on peut qualifier de "tactiques" méritent certainement que l'on s'y intéresse en vue, pourquoi pas, d'un encadrement ("regulation" diraient les Anglo-Saxons) qui ne laisserait pas la place à la critique.

 

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Combattants volontaires étrangers : le spectre de l'ennemi universel

EGEABLOG - Thu, 16/03/2017 - 22:58

Voici un article tiré d'une intervention donnée au Forum de Sécurité de Marrakech, de laquelle j'ai tiré un article récemment publié par le dernier opus de la RDN.

Source

Lors du récent Forum sur la sécurité en Afrique, tenu à Marrakech, une table ronde s’intitulait : « Combattants volontaires étrangers : le spectre de l’ennemi universel ». Le titre est l’occasion de s’interroger sur l’idée même de « Combattant volontaire étranger », qui n’est en fin de compte pas si évidente, malgré son usage courant dans les médias.

À travers l’histoire en effet, il y eut de multiples sortes de combattants volontaires étrangers : on pense bien sûr aux brigades internationales en Espagne ; éventuellement aux mercenaires de tout poil, en Afrique, à l’issue de la décolonisation ; plus récemment aux différents contractors employés par les compagnies anglo-saxonnes, ici en Irak, là en Afghanistan. Mais remontez plus loin dans l’histoire et vous observerez que pas une armée d’un grand chef militaire (Alexandre, Hannibal, César ou Napoléon) n’a été une armée seulement « nationale ». Il y a toujours eu des combattants étrangers, plus ou moins volontaires. Pourquoi, dès lors, la question prend-elle une actualité singulière ? Et surtout, pourquoi en faire le « spectre » d’un ennemi universel ? (suite ->)

 

Les combattants étrangers, caractéristiques du djihadisme

L’expression de combattant volontaire étranger prend un tour particulier si on la relie à l’objet de ce forum qui a pour thème le terrorisme et, soyons précis, du terrorisme islamique. On la comprend alors dans le contexte de l’actuel conflit se déroulant en Irak et en Syrie : on pense bien sûr à l’État Islamique (EI) mais pas seulement, puisque les différentes franchises d’Al Qaida à travers le monde recrutent elles aussi universellement, que ce soit pour les théâtres moyen-orientaux (Syrie, Yémen) ou africains (AQMI, Shebabs).

La notion d’universalité (l’ennemi universel) prend dès lors un double sens : celui de l’origine de ces combattants (ils viennent de partout : d’abord du monde musulman mais pas seulement) et celle de leur destination puisqu’ils vont partout (d’abord en Irak et en Syrie, point de fixation le plus visible, mais pas seulement).

Paradoxalement, force est de constater le sentiment mitigé que pourraient susciter les combats actuels en Irak-Syrie. Ils voient, lentement mais sûrement, les terres tenues par les djihadistes céder devant les assauts des uns et des autres, que ce soit en Irak ou en Syrie. Pour beaucoup, cela constitue bien sûr une bonne nouvelle puisque la réduction de l’État Islamique mettra terme, espère-t-on, à un mode de gouvernement particulièrement sauvage. Pour autant, on peut y voir aussi un motif d’une certaine inquiétude puisque l’on sait déjà que de nombreux cadres ou combattants ont fuit la zone des combats. Autrement dit encore, les attentats déjà connus ces derniers mois risquent de se multiplier, les ex-combattants pouvant décider d’aller rejouer ailleurs le combat qu’ils auraient perdu sur l’Euphrate.

Le risque est alors celui de l’effet mercure. Chacun connaît ce métal liquide qui, naturellement, se regroupe en masse après qu’on l’a dispersé. Car voilà aussi à quoi servait l’EI : être le foyer de fixation des terroristes djihadistes du monde entier, l’aimant de leur vindicte, le lieu d’expression de leur colère. Ils s’agglutinaient « là-bas » dans ce qui était devenu un fourneau, dense comme une boule de plomb ou plus exactement de mercure, trou noir aspirant toutes les énergies négatives. Essayez de réduire le mercure : il va éclater en une multitude de gouttelettes qui vont  s’échapper dans toutes les directions mais, peu à peu, vont se regrouper à nouveau en une masse. Réduire l’EI en Irak-Syrie, c’est donc prendre le risque de disperser les gouttelettes (puisqu’on ne pourra pas réussir à tous les neutraliser) et donc à subir, plus que jamais, des effets retour.

Car l’inquiétude est de savoir où ces gouttelettes vont se regrouper : là-bas ou ici ? chez l’autre ou chez soi ?

Le risque de la double peine

On comprend mieux le dilemme auquel sont confrontés tous les États qui s’opposent à l’État Islamique et, au-delà, au djihadistes de toutes obédiences et de sectes les plus compliquées : comment traiter ces individus qui peuvent revenir « chez eux » alors qu’ils dénient justement la nationalité au nom de laquelle nous les voyons revenir ?

D’un côté en effet, beaucoup reviennent, tout d’abord parce qu’ils n’ont plus de foyer d’adoption et que la solution la plus facile consiste à revenir auprès des leurs. Mais ce faisant, ils n’abandonnent pas pour autant les idéaux qui ont suscité leur départ. Faut-il donc les traiter selon nos propres principes (vous êtes des nationaux et vous obéissez aux lois de mon pays) ou au contraire selon les leurs (vous refusez mes lois, vous devez donc avoir un traitement particulier) ?

Le plus souvent pourtant, les États « reprennent » leurs concitoyens, d’une part parce qu’ils rejettent l’apatridie, d’autre part parce qu’ils dénient à l’État Islamique son caractère étatique. Leur crainte est alors que les « revenants » le soient en nombre assez grand pour constituer un foyer préalable à la venue d’autres djihadistes, étrangers ceux-là. Les nombres jouent ici à plein. Plus un pays a « exporté » de djihadistes, plus nombreux ceux-ci risquent de revenir, donc de constituer un abcès de fixation, notamment si le territoire du pays comporte des zones imparfaitement tenues. Dès lors, ces abcès peuvent devenir de nouveaux foyers de contestation que pourraient rejoindre des djihadistes de tout poil et de tout lieu. Il y a donc une double malédiction : plus on a exporté de djihadistes, plus on risque d’en importer et subir ainsi l’effet mercure…

Au fond, c’est parce qu’il a une prétention universelle que le djihadisme nous est radicalement étranger. S’opposant à l’universalité du moment, proposant d’ailleurs une autre universalité, celle du califat (musulmans de tous les pays, unissez-vous, les autres, convertissez-vous), il présente une altérité radicale. L’autre nous est radicalement étranger et partant, ennemi. Il est combattant parce qu’étranger. Et il est étranger par choix et par volonté.

C’est une réalité, non un spectre.

 

Olivier Kempf

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La filière navale française s’expose au salon LIMA en Malaisie

MeretMarine.com - Thu, 16/03/2017 - 19:01

Partenaire de la Malaisie depuis 1993, la France présentera au salon LIMA une large offre en matière de technologie navale et aéronautique de Défense

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Le MSC Meraviglia sera exploité aux Etats-Unis en 2019

MeretMarine.com - Thu, 16/03/2017 - 18:05

Premier d’une série de quatre unités, le nouveau paquebot de MSC Cruises, en construction en France et qui sera inauguré début juin et exploité en Méditerranée, rejoindra les Etats-Unis en 2019. C’est ce qu’a confirmé l’armateur à l’occasion du Seatrade Cruise Global. Le MSC Meraviglia s’ajoutera au MSC Divina, exploité à l’année au départ de Miami et qui sera rejoint fin 2017 par le MSC Seaside, réalisé en Italie.

 

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Changement de tête étoilée aux écoles de Coëtquidan

Lignes de défense - Thu, 16/03/2017 - 10:53

Le général Blachon va quitter Coëtquidan. Il avait pris le commandement des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan et de la Base de Défense de Vannes-Coëtquidan le 1er août 2015. Il pourrait être nommé à la tête d'une grande unité de l'armée de terre (la 1e division?).

C'est le général de brigade François Labuze (photo ci-dessous) qui prendra, cet été, le commandement des Écoles de Saint Cyr Coetquidan.

Actuellement commandant la 9e brigade d'infanterie de marine, il est aussi délégué militaire départemental de la Vienne et commandant d'armes de la place de Poitiers.

Saint-cyrien de la promotion "Cadets de la France libre" (1985-1988), le général Labuze est issu de l’arme des Troupes de Marine. Il a commandé le Régiment d’Infanterie Chars de Marine (RICM) basé à Poitiers entre 2008 et 2010.

Au cours de sa carrière, il a notamment occupé la fonction d’aide de camp du Président de la République entre 2003 et 2007. Il a effectué plusieurs missions à l’étranger, à Djibouti, en Somalie, en Ex-Yougoslavie, en République Centrafricaine, en République de Côte d’Ivoire.

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Les Canadiens de DADS en piste pour le programme britannique "Air Support to Defence Operational Training"

Lignes de défense - Thu, 16/03/2017 - 08:02

Trois groupements d'entreprises se sont déjà déclarés pour répondre à l'appel d'offres du ministère de la Défense britannique (MoD) portant sur le programme ASDOT (Air Support to Defence Operational Training).

Les trois groupements sont:
- Thales, QinetiQ et Textron AirLand
- CAE, Draken International et Babcock International
- Inzpire et Discovery Air Defence Services

Ce dernier duo s'est déclaré fin février. Voir leur communiqué ici.

On s'attend aussi à ce que Textron Airborne Solutions (ATAC) annonce sa participation à l'appel d'offres qui sera attribué en septembre 2018.

Le programme ASDOT qui va remplacer le marché détenu par Cobham (qui utilise ses Falcon 20) est piloté par le UK Military Flight Training Systems Project Team (UKMFTS PT).

Il sera lancé en 2020; la première phase aura une durée de 15 ans et sa valeur est estimée à 750 millions £ (952 millions €), celle de la phase deux étant estimée entre 300 et 500 millions sur 8 ans.

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Mise en oeuvre des premières mesures d’attractivité de la garde nationale

Lignes de défense - Wed, 15/03/2017 - 16:38

Intérieur et Défense ont conjointement diffusé ce mercredi un communiqué de presse relatif aux mesures pour "entretenir l’élan des Français et leur intérêt" pour la garde nationale.

En voici le texte:
"La garde nationale compte à ce jour 65 700 volontaires, dont 6 000 sont mobilisés quotidiennement aux côtés des unités d’active des armées et des forces de sécurité intérieure. L’objectif du Gouvernement est de porter cet effort à 85 000 femmes et hommes dont plus de 9 000 seront engagés quotidiennement pour notre sécurité d’ici fin 2018.
Pour atteindre ces objectifs, le Président de la République a décidé la mise en oeuvre de mesures d’attractivité destinées à encourager l’engagement de la jeunesse dans la garde nationale, fidéliser les réservistes et inciter les employeurs à l’engagement de leurs salariés.
Le décret concernant la mise en oeuvre de trois de ces mesures est publié aujourd’hui au Journal officiel. Il instaure :
- une prime de fidélité de 250 € versée annuellement à tout réserviste renouvelant son contrat initial d’engagement pour un contrat de 3 ans minimum et effectuant au moins 37 jours d’activité de réserve par an ;
- une allocation d’études spécifique mensuelle de 100 € versée aux étudiants de moins de 25 ans qui ont signé un contrat d’engagement initial de 5 ans dans la garde nationale et qui effectuent plus de 37 jours d’activité par an dans la réserve ;
- une participation au financement du permis de conduire B à hauteur de 1 000 € versée à tout jeune de moins de 25 ans ayant effectué au moins 50 jours d’activité de réserve dans la garde nationale et étant à plus de deux ans du terme de son contrat.
L’instruction fiscale relative à la réduction d’impôt pour les entreprises facilitant l’engagement de leurs salariés dans la réserve est entrée en vigueur le 8 février 2017."

 

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Débat présidentielles 2017: Guerre et Paix

Pour mieux comprendre les programmes sur les enjeux de défense et de relations internationales des futurs candidats à la présidentielle… Rendez-vous à cette conférence organisée par l’Association d’étude sur le droit international et la guerre.

(lire la suite…)

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Cadeau US au Koweït: un navire de soutien capable d'accueillir un hélicoptère Caracal

Lignes de défense - Wed, 15/03/2017 - 10:16

Le Naval Sea Systems Command a diffusé une demande d'informations. Il planifie l'achat dans le cadre d'une FMS ("foreign military sales") au profit du Koweït d'un navire de soutien ("multimission or auxiliary vessel") de 80/90 m de long, capable d'opérer dans les eaux du golfe Persique, en mer d'Oman et en mer d'Arabie.

Il pourrait s'agit d'un navire neuf ou d'occasion (mais de moins de 8 ans d'âge).

Les spécifications sont les suivantes:
- 20 jours d'autonomie,
- vitesse de 15/20 nœuds,
- capable de franchir 3000 nautiques
- disposant d'un deck pour un EC725 Caracal, avec capacité de ravitaillement  (60 m3 de carburant),
- capable d'accueillir un équipage de 31 personnes, 35 marines, 2 VIP et 10 lits pour des patients,
- capable de transporter 160 tonnes de munitions (dont des Exocet MM40, des obus de 30 et 76mm etc)
- capable de mettre en œuvre des robots téléopérés
- armement: une pièce de 27mm et six postes pour des 12,7mm,
- IFF et AIS, transmissions etc.

On se souviendra qu'en août 2016, le Koweït a signé un contrat pour la livraison de 30 Caracal produits par Airbus Helicopters, pour 1,070 milliard d'euros. Des Caracal seront utilisés par l'armée koweïtienne pour des missions de "Combat search and rescue".

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Les Glénan fêtent leurs 70 ans

MeretMarine.com - Tue, 14/03/2017 - 18:47

Fort Cigogne, Penfret, Bananec et même La Tête de Mort… Ces noms semblent sortis d’un roman d’aventure mais c’est bien d’un petit archipel perdu au large de Concarneau qu’il s’agit. C’est dans ce décor de sable fin, d’eaux turquoises et d’îles parfois désertes que débute la grande histoire de la première école de voile en France, il y a tout juste 70 ans. 1947, la date ne doit rien au hasard car Les Glénans sont le fruit de l’après-guerre.

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La BAP est une BAP (officiel)

Le mamouth (Blog) - Tue, 14/03/2017 - 18:27
Depuis le 1er mars dernier, la base aérienne projetée (BAP) de Niamey est officiellement une BAP,
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