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C'est la saison d'hivernage. Période ou les pépiniéristes sont sensés se frotter les mains du fait des activités de reboisement des entreprises, des structures étatiques et autres. Installés aux abords des barrages, ils accueillent peu de visiteurs. Pourtant, les plants qu'ils proposent font tous bonne mine, la saison pluvieuse aidant. Contrairement à janvier 2023, lors de notre passage, le marché semblait plus prolixe. « Le marché n'est pas ça », clame la majorité des pépiniéristes que nous avons visités ce mercredi 23 août 2023, aux abords du barrage de Tanghin.
Un pépiniériste, c'est avant tout quelqu'un qui est passionné des plantes, de la nature. Il cultive, sélectionne, développe des plants en pépinière et/ou qui dirige une pépinière. Parmi ceux-ci, il y a des multiplicateurs, des greffeurs, des éleveurs, des préparateurs de commandes, etc. Au Burkina Faso, plus précisément à Ouagadougou, beaucoup sont ceux qui se sont lancés dans cette activité. IIs sont, pour la plupart, installés aux abords des barrages et dans les basfonds. Pour cette année, les clients se font attendre. Le marché n'est pas trop ça, des dires de la majorité des pépiniéristes que nous avons visités dans la matinée de ce 23 août 2023, à Ouagadougou, contrairement à janvier 2023.
Boureima Zoéwingré propose toutes sortes de plants à ses clients. Des plantes fruitières en passant par les décoratrices de domiciles, etc. Le quinquagénaire a pris ses quartiers sur l'autre côté du canal jouxtant la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO). « Nous vendons des manguiers, des goyaviers, des citronniers, des orangers, etc. Je rends grâce à Dieu. Nous ne pouvons pas gâter le nom de Dieu. Mais le marché n'est pas pareil que les années précédentes », confie-t-il.
A la question de savoir combien il gagne par jour, c'est avec un large sourire qu'il décline poliment la question. Qu'à cela ne tienne, de ce métier qu'il mène depuis une quinzaine d'années, il prend soin de trois femmes et de plus de 15 enfants. D'après M. Zoéwingré, les plants qui sont prisés chez lui, ce sont les orangers et les citronniers. Avant, fait-il savoir, c'était les eucalyptus qui étaient beaucoup vendus. De ses dires, ses clients se seraient rendus comptent que cet arbre entraîne la sécheresse. De son entendement, la morosité du marché est due au fait que les gens n'ont pas l'argent et à la situation qui prévaut actuellement dans le pays.
A l'en croire, l'insécurité fait qu'ils n'arrivent plus à rentrer en brousse pour semer les plants. Cependant, il remercie les autorités car il n'est pas dérangé dans son activité. « Je prie Dieu qu'il aide le chef de l'État à pouvoir faire en sorte que le terrorisme finisse. Nous prions qu'il y ait la paix l'entente et l'harmonie. Deuxièmement, quand le Burkina Faso aura retrouvé la paix que les autorités ne nous oublient pas qu'elles nous aident avec un endroit sûr pour pouvoir poursuivre nos activités parce que nous adorons ce que nous faisons », prie-t-il.
38 ans dans les pépinières
Autre pépiniériste, même constat. Moussa Sambologho, a aussi la cinquantaine bien sonnée. L'allure sportive. Il a tenu d'abord à nous remercier pour l'initiative que nous avons prise de mettre en lumière le métier qu'il mène depuis 1985, soit 38 ans. Installé au côté sud du parc urbain Bangr-Wéogo, au pied du mini échangeur, dans son jardin, on trouve des manguiers (greffes, simples), des goyaviers, des flamboyants (rouge et jaune), des bombardiers, des bambous, etc. Chez lui, nous a-t-il laissé entendre, les plantes qui sont beaucoup demandées sont les manguiers. Le prix de ceux-ci varie entre 1 500 FCFA à 2 000 FCFA. « Le marché, je peux dire que ça va un peu. Ce n'est pas beaucoup mais ça va un peu », relativise-t-il.
Chez Mahamadi Kissou, en plus des autres plants, on trouve des cacaoyers, des cocotiers. Les prix de ces plants vont de 50 francs CFA à 15 000 francs CFA. Pour un eucalyptus ou un plant de fleur de bordure jaune, il faut débourser que 50 francs CFA. Selon M. Kissou, il n'y a pas le marché. « Cette année particulièrement, le marché est bizarre. Pourtant mes plants ont bonne mine. Les années précédentes, je gagnais quand même un peu. Par jour, je pouvais avoir 10 000 FCFA, sinon plus », a-t-il déclaré.
« J'aime bien la nature. J'aime bien les fleurs, les plantes grimpantes et de taille. Aujourd'hui je suis en train de faire le tour pour voir, sinon il y a deux semaines jetais là et j'ai pris des plants. Je penche aujourd'hui beaucoup pour le palmier et autres. Mais ça, ça sera pour le village. Je vais les offrir aux grandes mères », affirme Mme Kaboré née Yaméogo, une amoureuse de la nature qu'on a retrouvée chez un pépiniériste. Le pépiniériste, c'est un métier que dame Kaboré apprécie beaucoup. « J'aime vraiment ce qu'ils font. Le travail de surveillance d'observations, d'entretien de leurs plants. C'est un métier qui doit être passionnant », a-t-elle supposé.
Ardjoum Tindano veut profiter de la saison d'hivernage pour reboiser sa ferme. Il est venu chercher quelques plants, notamment des manguiers, et quelques flamboyants. « J'ai une vingtaine de pieds de manguiers et quelques flamboyants. J'ai trouvé le prix abordable en tout cas. C'est pour reboiser ma ferme », indique-t-il.
Obissa Juste Mien
Lefaso.net
Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux par Ziyed, un jeune homme de 21 ans de double nationalité franco-algérienne, a suscité des réactions concernant les […]
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Le contrat de bail qui lie le locataire au bailleur, engage chacune des parties et lui confère des devoirs et des droits. Les obligations du bailleur et du locataire, ainsi que la nature des travaux de réparation qui incombent à l'une ou à l'autre partie, sont contenues dans la loi N°103-2015/CNT, portant bail d'habitation privée et explicitées dans le décret N°2018-0687/PRES/PM/MUH/MINEFID/MCIA. Le constat fait sur le terrain, laisse voir cependant que les dispositions de la loi ne sont pas toujours connues et respectées par les différentes parties.
Ce que prévoit la loi comme réparations à la charge du bailleur
Lorsqu'un tiers loue son bien immobilier à usage d'habitation, la loi prévoit qu'il prenne en charge un certain nombre de travaux, en cas de détérioration du bien. A cet effet, les grosses réparations sont celles qui reviennent au propriétaire du bâtiment. Elles concernent les murs et les voûtes, le rétablissement des poutres et des couvertures entières, l'étanchéité, le décollement et la fissuration du béton, et le ravalement des façades.
A cela s'ajoutent les installations et les équipements électriques, la plomberie, ainsi que les digues et les murs de soutènement et de clôture. Les travaux qui concernent l'entretien des installations tels l'adduction d'eau potable, le raccordement électrique extérieur, la tuyauterie et le câblage, le curage des puits, des fosses d'aisances et des canalisations servant à l'écoulement des eaux, les ascenseurs, la climatisation et des équipements altérés ou endommagés par la vétusté, le vice de construction, sont également à la charge du bailleur.
Les réparations qui incombent au locataire
Le locataire qui habite la maison, doit quant à lui s'occuper des petites réparations. Celles-ci ont trait aux travaux d'entretien et concernent les réparations portant sur les parties extérieures destinées à l'usage privatif du locataire telles que les portes, les fenêtres, les panneaux de verre, les boulons et les serrures. Sont aussi concernés, les travaux des parties intérieures telles les portes intérieures, les retouches de peinture et les travaux de ferronnerie, le remplacement des accessoires électriques tels que les ampoules, les prises et interrupteurs, sans oublier le remplacement ou la réparation des installations sanitaires du local telles que le mécanisme de la chasse d'eau du WC, le mécanisme de la baignoire et du lavabo, la robinetterie et la colonne de la douche.
Le locataire est aussi responsable de la dégradation du bien immobilier qu'il loue, s'il est à la base de cette dégradation. Il ne peut pas non plus réaliser des travaux visant à améliorer l'état du bien immobilier ou des équipements qu'il comprend, sans avoir au préalable obtenu l'accord écrit du bailleur.
Du respect des dispositions de cette loi par les bailleurs et locataires
A l'épreuve de la réalité, l'on se rend compte qu'ils sont peu nombreux, les locataires qui détiennent par devers eux, des contrats de bail dûment signés avec leurs propriétaires. Généralement, la location est conclue de façon verbale, sauf dans certains cas où les maisons d'habitation sont d'un certain standing ou encore gérées par des agences immobilières. Certains bailleurs, qui ignorent les dispositions de la loi sur le bail locatif, sont réticents à signer des contrats de bail et d'autres disent ne pas en voir l'utilité.
Souleymane Compaoré assure la gestion des mini-villas de son cousin vivant hors du pays. S'il dit ne pas être au courant de ce que prévoit la loi sur le bail locatif, il affirme tout de même être celui qui assure les gros travaux en cas de besoin. " L'année dernière pendant la saison des pluies, une de nos maisons en location avait des problèmes d'étanchéité. L'eau coulait dans les chambres quand il pleuvait. J'ai envoyé quelqu'un faire des réparations et j'ai payé. J'ai aussi fait installer des barbelés sur les murs pour plus de sécurité, parce qu'il y avait eu plusieurs tentatives de vol", nous confie-t-il.
Si Souleymane Compaoré semble se soucier du confort de ses locataires, il n'en est pas de même partout. Armand Sawadogo, loue une maison de trois chambres au quartier Balkuy. Las d'attendre une réaction de son propriétaire, il a dû payer de sa poche pour les réparations. " La construction de la maison n'a pas été bien faite, surtout au niveau de la cour. Ce qui fait que quand il pleuvait, l'eau stagnait au lieu de ruisseler et aller vers l'extérieur. Il y a même une algue verte qui se développait et c'était désagréable à voir. J'ai dû payer du ciment et appeler un maçon pour qu'il essaye de réparer les choses. Et quand à la fin du mois j'ai rappelé cela au bailleur, il m'a juste dit qu'il avait besoin de son argent au complet. Les fosses septiques des toilettes externes aussi se remplissaient presque chaque mois et c'était à moi de les vider. J'ai dû faire changer les cailloux sauvages de ma poche pour que cela prenne fin", nous relate-t-il.
Abdoul Razahagou Dene, est également locataire de maison au quartier Karpala. S'il affirme être celui qui a en charge les petites réparations comme changer les ampoules grillées ou les prises qui ne fonctionnent pas, il déplore cependant le fait que les bailleurs traînent le pas quand il s'agit de prendre en charge les réparations qui leur reviennent. "Nous avions entre temps des problèmes avec les fosses septiques parce qu'elles étaient pleines et bouchées. Avec les autres locataires, il a fallu appeler le bailleur à plusieurs reprises et même menacer de ne pas payer le loyer à la fin du mois pour qu'il se décide enfin à faire les travaux nécessaires. Je me retrouve également avec des impayés de factures d'eau du précédent locataire, qui tournent autour de 150.000 FCFA. Le bailleur avait promis s'en charger mais rien jusque-là. Ce qui fait que je cumule des impayés de consommation d'environ 50.000 FCFA", fait savoir Abdoul Razahagou Dene.
Si la méconnaissance de leurs obligations prévues par la loi justifie le comportement de certains bailleurs, il serait donc judicieux qu'ils soient informés et sensibilisés à cet effet, pour une amélioration des relations propriétaire-locataire.
Armelle Ouédraogo/Yaméogo
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Le nom du patron de Wagner, Evgueni Prigojine, figure sur la liste des passagers d'un avion qui s'est écrasé avec 10 autres personnes à son bord dans le nord de Moscou en Russie, ce mercredi 23 août 2023. L'information est donnée par BFMTV.
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Source : BFMTV
Depuis plusieurs années maintenant, l’Algérie figure parmi les pays qui octroient le moins de Visas dans le monde. Dans un élan de franchise, l’actrice libanaise […]
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Deux personnes, dont l'un est un repris de justice, ont été appréhendées par la brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité ( BCLCC). Avec des acolytes à l'étranger, ces jeunes étaient spécialisés dans l'usurpation d'identité suivie d'escroquerie et de complicité d'escroquerie sur les faux investissements via les technologies de l'information et de communication (TIC), selon la page Facebook de la BCLCC.
Huit cartes SIM dont trois SIM orange, trois SIM Moov, deux SIM Telecel, une carte Wave, huit reçus d'opérations dont quatre de Western Union, deux de MoneyGram, deux de Coris Bank International et quatre téléphones portables, tels sont les objets saisis des mains du groupe de présumés cyber délinquants.
En ce qui concerne le mode opératoire, le groupe faisait la promotion de l'investissement en ligne à travers des pages Facebook dénommées « Africa Investment S.A », « Global investissement budget » et « Forest Trading International » avec des promesses de gains très élevés aux adhérents. D.D et T.I, tous Burkinabés étaient chargés de convaincre et témoigner de la crédibilité desdites plateformes auprès des potentiels adhérents.
Dès lors qu'une victime manifeste son intérêt d'investir, elle est redirigée sur un compte WhatsApp pour les détails à propos du processus d'investissement. Les mises variaient entre 35 000 FCFA et 200 000 F CFA. Dès réception des fonds auprès des victimes, ils sont transférés par le groupe sur plusieurs comptes mobile money avant de les transférer via moneygram ou western union au profit des cerveaux en résidence dans un pays de la sous-région après avoir prélevé leur commission.
D.D et T.I ont reconnu les faits au cours de leurs auditions et déclarent avoir escroqué plusieurs personnes. Le préjudice causé est estimé à dix (10) millions de FCFA après seulement trois (03) mois d'activité.
Au terme de l'enquête, le groupe de présumés cyber délinquants interpellés a été conduit devant le procureur du Faso du pôle spécialisé dans la répression des infractions économiques et financières et de la criminalité organisée pour répondre des faits qui leur sont reprochés.
La brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité salue la collaboration de la brigade territoriale de gendarmerie de Ziniaré qui a permis d'atteindre ces résultats.
Elle invite par ailleurs la population à observer une grande prudence face aux investissements en ligne et à toujours collaborer tout en dénonçant tout cas suspect via les numéros 25 39 58 42 ou d'écrire à l'adresse cybercrime@securite.gov.bf.
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Source : BCLCC
Dans un communiqué, le centre de développement des énergies renouvelables (CDER) a annoncé que sa branche commerciale a atteint la phase finale de la compétition […]
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Les équipes nigériennes engagées en ligue des champions de la CAF et en coupe de la confédération ne pourront pas prendre part à ces deux compétitions continentales. Ce désistement est motivé par les sanctions de la CEDEAO suite au coup d'état perpétré le 26 juillet 2023 contre le Président Mohamed Bazoum. C'est ce qu'a annoncé, dans un communiqué, la fédération nigérienne de football (FENIFOOT), ce mercredi 23 août 2023. Un renoncement qui profite à l'AS DOUANES, l'un des clubs burkinabè engagés en campagne africaine.
"La Fédération Nigérienne de Football ( FENIFOOT) informe la famille du football nigerien et l'opinion nationale, que suite à un cas de force majeure et après concertation avec toutes les parties prenantes ( Ministère de la Jeunesse et des Sports et clubs concernés), il a été notifié à la Confédération Africaine de Football (CAF) du désistement de nos représentants en compétitions interclubs Ligue des Champions et Coupe de la Confédération 2023-2024.
Cette décision est motivée par les effets néfastes de l'embargo de la CEDEAO contre notre pays qui entrave la libre circulation, en ce qui concerne notamment la fermeture des frontières terrestres et aériennes entre les pays de la CEDEAO et le Niger, et l'établissement d'une zone d'exclusion de la CEDEAO pour tous les vols commerciaux à destination et en provenance du Niger.
La FENIFOOT, après avoir étudié tous les voies et moyens possibles pour permettre à l' AS GARDE NATIONALE et à l' AS DOUANES d'honorer leurs rendez-vous africains , s'est résolue à cette difficile décision car les différentes solutions envisagées n'ont pas prospéré , comme par exemple de l'utilisation de l'avion militaire C130.
La FENIFOOT rappelle que la CAF avait déjà décidé de la délocalisation des matchs à domicile de nos représentants à l'extérieur du Niger vu la situation socio-politique prévalant dans notre pays, créant ainsi une difficulté supplémentaire quant à la recherche de stades de la sous région qui voudraient bien mettre à notre disposition leurs installations", peut-on lire dans le communiqué.
Ce désistement permet au représentant burkinabè l'AS DOUANES qui devrait affronter le club nigérien de l'AS GARDE NATIONALE en tours préliminaires, de la ligue des champions de la CAF, de se qualifier directement pour le tour suivant. Les Burkinabè affronteront au tour suivant le géant tunisien de l'Espérance Sportive de Tunis.
Mamadou ZONGO
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Le 8e « Refresher Program » des journalistes et communicateurs catholiques de l'Afrique de l'Ouest réunis au sein de l'Union Catholique Africaine de la Presse (UCAP) s'est tenu du 9 au 17 août 2023 au Centre Saint Jean Eudes d'Atrokpocodji dans la commune d'Abomey-Calavi, en République du Bénin. Co-organisé par l'Association béninoise des communicateurs et journalistes catholiques du Bénin (ABCJ/KTO) et l'Union Catholique Africaine de la Presse du Burkina Faso (UCAP-Burkina), le Refresher Program Bénin 2023 a réuni quatre-vingt (80) participants venus de neuf (9) pays que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, le Ghana, la Guinée, le Mali, le Nigéria, le Sénégal et le Togo. Il s'est tenu sous le thème : « Dialogue interreligieux et promotion de la paix en Afrique de l'Ouest : Contribution des communicateurs et des professionnels des médias ».
La cérémonie d'ouverture de cette importante rencontre annuelle des journalistes et communicateurs catholiques de l'Afrique a été présidée, le 10 août 2023, par Mgr Bernard de Clairvaux TOHA WONTACIEN, évêque du diocèse de Djougou et Président de la Commission épiscopale en charge du Dialogue interreligieux du Bénin. Elle a également connu la présence des représentants du ministère de l'Intérieur, du Secrétaire général de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) du Bénin et d'autres invités de l'Administration et de l'Eglise Catholique du Bénin.
La délégation de l'UCAP-Burkina (la plus forte des 9 pays avec 23 participants) était conduite par son Président, Monsieur Alexandre Le Grand ROUAMBA, qui a dit toute sa reconnaissance à chacun des participants pour l'engagement et le sacrifice consenti pour rallier le Bénin afin de garantir la réussite de cette activité. Alexandre Le Grand ROUAMBA a rappelé que toutes les religions aiment la paix et il est indispensable que les uns respectent la culture et la religion des autres pour une société de concorde.
De riches communicateurs autour d'importants sous-thèmes ont été développés par plusieurs communicateurs. Une journée d'excursion à Ouidah et la célébration de la fête de l'Assomption à Abomey avec le Président de la Commission épiscopale des Moyens de communications sociales du Bénin, Mgr Eugène Cyrille HOUNDEKON, ont agrémenté le séjour des UCAPiens de l'Afrique de l'Ouest au Bénin. Le partage d'expériences des différentes UCAP nationales, l'adoption des recommandations et l'évaluation ont mis un terme à cet important rendez-vous qui a connu tous les succès.
Afin de préserver la paix et la cohésion sociale, les UCAP des 9 pays ont pris trois recommandations. Une première recommandation a été adressée aux leaders religieux de l'Afrique de l'Ouest pour un dialogue interreligieux sincère. Une deuxième recommandation, adressée aux Chefs d'Etat de la sous-région, appelle à une application adéquate de la laïcité dans notre différents pays.
La troisième recommandation interpelle les hommes et femmes de média pour une presse plus responsable quand on sait le rôle combien important que joue la presse dans l'éducation et la sensibilisation des populations et le danger que peut véhiculer une presse partisane.
La Guinée Conakry a été désignée pour abriter le 9e Refresher Program qui se tiendra du 9 au 17 août 2024.
L'UCAP-Burkina
Dans le souci de disposer des données exhaustives et d'apporter une amélioration significative à la qualité du service, le Directeur général de la CNSS porte à la connaissance du public, la réalisation d'une activité dénommée : « enquête de satisfaction auprès des clients de l'Institution ».
Cette enquête se déroulera du 1er au 14 septembre 2023 aux sièges des cinq (05) Directions régionales à savoir Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Ouahigouya, Fada N'gourma et Dédougou.
Des agents enquêteurs munis de signes distinctifs de la CNSS vont administrer un questionnaire au personnel, aux employeurs, aux assurés des trois (03) branches des prestations ainsi qu'aux bénéficiaires de l'action sanitaire et sociale.
Le Directeur général vous remercie par avance pour l'accueil que vous voudrez bien réserver aux enquêteurs.
Pour le Directeur général en mission,
la Secrétaire générale chargée de l'intérim
Laurentine ZIDA/KINDA
Chevalier de l'Ordre national
A l'attention de Mesdames et Messieurs les Directeurs régionaux et centraux de la CNSS
Dans le cadre de la réalisation de l'enquête de satisfaction auprès des clients de l'Institution, vous êtes invités à prendre toutes les dispositions nécessaires pour le bon déroulement de l'activité prévue pour se tenir du 1er au 14 septembre 2023.
Je sais compter sur votre bonne collaboration pour la réussite de cette enquête qui je n'en doute pas sera bénéfique non seulement pour les clients mais aussi pour l'Institution.
Pour le Directeur général en mission,
la Secrétaire générale chargée de l'intérim
Laurentine ZIDA/KINDA
Chevalier de l'Ordre national
Ampliation :
SG/CNSS
Ouagadougou est toujours en attente du nouvel ambassadeur français. Selon Le Monde, une proposition a été faite mais le pays des hommes intègres a opposé une fin de non recevoir. Une décision qui jette un voile sur l'avenir des relations entre les deux pays, lesquelles ne cessent de se dégrader, surtout avec les récents événements suscités par le coup d'Etat au Niger.
Le 26 janvier 2023, Luc Hallade, ancien ambassadeur de France au Burkina, était rappelé au Quai d'Orsay pour "consultations". Depuis, le remplaçant de celui qui était en poste à Ouagadougou depuis 2019 et dont les derniers instants n'ont pas été des plus reluisants, se fait toujours attendre.
Selon Le Monde, c'est Mohamed Bouabdallah, ancien conseiller culturel et directeur de l'Institut français d'Égypte qui était presenti pour lui succéder. Mais toujours selon la même source, les autorités burkinabè auraient opposé une fin de non-recevoir à cette proposition.
"Chaque pays est libre d'accréditer ou non les représentants étrangers proposés. Nous vous renvoyons vers les autorités burkinabè de transition...Pour notre part, nous continuons d'adapter notre dispositif diplomatique à la situation sécuritaire qui se dégrade au Burkina Faso. Le nombre des agents déployés à l'ambassade a, de ce fait, été réduit" peut-on lire sur le site du media qui cite une source diplomatique, indiquant que cette décision des autorités burkinabè est jusqu'ici restée confidentielle.
Notons au passage que cette situation suscite des interrogations, quant à l'avenir des relations entre les deux pays qui, on le sait, sont loin d'être au beau fixe. En effet, depuis l'arrivée au pouvoir du capitaine Ibrahim Traoré, les deux pays se regardent en chiens de faïence et progressivement se multiplient les points de désaccord entre les deux Etats. L'une des plus récentes date de pas plus tard qu'il y a un mois, avec le coup d'Etat au Niger.
La France a condamné le coup de force du général Abdourahamane Tchiani, soutenant du même coup la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (CEDEAO), pour que le président déchu, Mohamed Bazoum, soit réinstallé dans son fauteuil. Le Burkina Faso lui, de son côté, a applaudi le coup d'Etat et même menacé de quitter la CEDEAO en cas d'intervention militaire au Niger. Cela sans oublier la suspension de la délivrance de visas au Burkina Faso, celle de l'aide au développement et de l'appui budgétaire au Burkina Faso, qui s'élevait à environ 65 milliards fcfa par an.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Sur les antennes de la Télévision nationale, le ministre de l'économie, des finances et de la prospective du Burkina Faso, Aboubakar Nacanabo est revenu sur la raison pour laquelle le gouvernement de transition a décidé de dénoncer la convention fiscale de non double imposition signée le 11 août 1965 entre le Burkina Faso et la France qui est entrée en vigueur le 15 février 1967. Il a en outre abordé la suspension de l'aide française au développement.
Cette convention avait pour objectif d'éviter la double imposition entre ces deux Etats, la lutte contre la fraude fiscale et les échanges de renseignements. « Au regard de la convention, si une entreprise de l'Etat A exerce une activité dans l'Etat B, l'Etat B décide de ne pas prendre l'impôt et donne le droit d'imposition à l'Etat A. Quand une entreprise établie en France vient exercer une activité au Burkina, elle ne paye pas l'impôt au Burkina parce qu'elle va la payer en France. Si une entreprise burkinabè exerce en France, elle ne va pas payer l'impôt en France parce qu'elle va la payer au Burkina » a expliqué Aboubakar Nacanabo. Il a notifié que cette convention qui est restée en vigueur pendant une cinquantaine d'années a surtout profité à l'Etat français.
« Dans les faits, nous n'avons pas d'entreprises burkinabè qui exerce en France. C'est plutôt les entreprises françaises qui viennent exercer ici. En fin de compte, c'est le Burkina en réalité qui cède son droit d'imposition » a-t-il renchéri. Le ministre de l'économie, des finances et de la prospective a rappelé qu'en matière de fiscalité internationale, le modèle de convention a été réadapté par les Nations-Unies et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Les Nations-Unies par exemple ont développé un modèle de convention qui est adapté aux pays développés et ceux en voie de développement. « Par exemple quand un pays développé veut négocier avec un pays sous-développé, le modèle adapté est celui de l'ONU. Mais notre modèle avec la France n'est ni conforme au modèle des Nations-Unies, ni à celui de OCDE et encore moins au modèle que les pays africains ont voulu développer eux-mêmes avec le Forum de l'administration fiscale africaine » a-t-il martelé.
Il a souligné que le Burkina Faso a un manque à gagner de 40 à 50 milliards de FCFA par an à cause de cette convention. Il faut dire que le gouvernement de la transition a prévenu la partie française que la dénonciation prend effet dans un délai de trois mois suivant la réception de sa note.
« Ne pas s'inquiéter »
En ce qui concerne la suspension de l'aide au développement de la France à travers l'Agence française de développement (AFD), Aboubakar Nacanabo a affirmé qu'il ne faut pas « s'inquiéter si la France a décidé de ne pas octroyer son aide au Burkina. C'est vrai que l'aide française au Burkina était utile sur un certain nombre d'aspects. Mais nous pensons qu'aujourd'hui, si la France suspend son aide, cela nous interpelle sur la nécessité de mieux nous réorganiser pour mobiliser davantage nos ressources. Nous pensons qu'au regard des montants qui étaient en jeu, il n'y a pas de très grandes inquiétudes à se faire. Si vous regardez entre 2022 et 2023, si je prends la situation arrêtée au mois de juillet, la mobilisation des ressources propres s'est accrue de près de 100 milliards de FCFA. Cela veut dire qu'à l'interne, nous avons fait des efforts supplémentaires par rapport à ce qui était fait l'année passée. L'aide qui va venir est peut être un plus, mais cela ne devrait pas remplacer les efforts que nous devons faire » a-t-il conclu. Rappelons que le 6 Août 2023, la France a annoncé avoir suspendu l'aide au développement et 'appui budgétaire au Burkina Faso.
SB
Lefaso.net
Source : RTB
L'Organisation non-gouvernementale (ONG) Human rights watch (HRW) a récemment publié un rapport faisant état de centaine de migrants éthiopiens tués par les garde-frontières saoudiens, de mars 2022 à juin 2023. Un rapport qui consterne la communauté internationale avec en premier lieu le pays concerné, l'Ethiopie, qui annonce d'ailleurs une enquête conjointe avec les autorités saoudiennes, pour faire toute la lumière sur cette affaire.
Composé de 73 pages, le document s'appuie sur des entretiens avec 38 migrants éthiopiens ayant tenté de pénétrer en Arabie saoudite depuis le Yémen, ainsi que sur des images satellites, des vidéos et des photos publiées sur les réseaux sociaux ou recueillies auprès d'autres sources. Mais pour l'Arabie Saoudite, non seulement le contenu de ce rapport est infondé mais les sources elles-mêmes, laissent à désirer. De quoi susciter quelques interrogations du côté d'Addis Abeba, qui annonce une enquête conjointe avec l'Arabie Saoudite, ce afin de tirer au clair cette affaire. "A ce stade critique, il est fortement recommandé de faire preuve de la plus grande retenue et de ne pas faire de déclarations inutiles, jusqu'à ce que l'enquête soit terminée" a indiqué le gouvernement, avant d'assurer que "les deux pays, malgré cette malheureuse tragédie, entretiennent d'excellentes relations de longue date".
Comme il fallait s'y attendre, ce rapport a provoqué une vague de réactions de la part de la communauté internationale. Et face à cette situation contrariante, l'Organisation des nations unies se garde de tout commentaire quant à la véracité des faits relatés dans ce rapport. Toutefois, condamne t-elle l'utilisation de la force a des fins de maintien de l'ordre. "L'utilisation d'une force potentiellement létale à des fins de maintien de l'ordre est une mesure extrême à laquelle il ne faut recourir qu'en cas de stricte nécessité...La tentative de franchissement d'une frontière, même si elle est illégale au regard du droit national, ne répond pas à cette exigence" a déclaré à l'Agence France-presse (AFP), la porte-parole du Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme, Liz Throssell.
Même constat du côté de la France qui attend de l'Arabie Saoudite, la transparence dans l'enquête liée à ce rapport. "La France suit étroitement le respect des droits de l'Homme en Arabie Saoudite et au Yémen...Nous abordons ces questions avec les autorités saoudiennes, y compris au plus haut niveau, et les appelons au respect du droit international et à la protection des populations civiles" à laissé entendre la ministre des affaires étrangères de Paris.
Pour les Organisations non-gouvernementales (ONG), Riyad est connu pour ces graves violations des droits humains. Et dernièrement, l'arrivée des stars du football tels que Cristiano Ronaldo, Sadio Mané, Riyad Marhez, etc n'est que pure mise en scène pour se donner bonne figure. Elles souhaitent par là que soit prise au sérieux cette affaire et que justice soit rendue.
Erwan Compaoré
Lefaso.net
Sources : Le Figaro, Le Monde, Lexpress.fr, BFMTV
Une délégation de la faîtière unique des transporteurs routiers du Burkina Faso a rencontré ce mardi 22 août 2023 à Ouagadougou, le directeur général des transports terrestres et maritimes (DGTTM), colonel Kanou Coulibaly pour s'engager à mettre fin aux transformations anarchiques des véhicules.
Pour le colonel Kanou Coulibaly, on parle de véhicules anarchiquement transformés, lorsqu' en charge, pour un camion isolé, la longueur dépasse 12 mètres, la largeur 2,5 mètres et la hauteur 4 mètres.
" La réglementation donne les dimensions des différents types de véhicules, que ce soit un véhicule isolé ou un véhicule articulé.
Pour un camion isolé, la longueur ne doit pas dépasser 12 mètres et la largeur ne doit pas dépasser 2,5 mètres, mais il y a des gens qui vont transformer le véhicule au-delà de 12 mètres en longueur et au-delà des 2,5 mètres en largeur et quand ils font la charge, la hauteur ne doit pas dépasser 4 mètres mais il y en a qui sont à 6 ou 7 mètres, d'où la qualification d'anarchique", a expliqué colonel Kanou Coulibaly.
Selon lui, une délégation de la faîtière unique des transporteurs du Burkina est venue s'engager à mettre fin aux véhicules anarchiquement transformés tout en demandant l'accompagnement du gouvernement.
"La délégation de la faîtière unique des transporteurs du Burkina estime qu'il y a en tout un millier de véhicules qui sont concernés. Ils demandent qu'un mécanisme de prise en charge pour la normalisation et l'harmonisation soit fait. Avec l'équipe sur place il y a eu des pistes de solutions et nous allons rendre compte à l'autorité et si elle valide, elles vous seront communiquées. Les mauvaises pratiques, dans un Etat où il y a des lois, découlent du non-respect de ces lois", a laissé entendre colonel Kanou Coulibaly.
Pour le président la faîtière unique des transporteurs routiers du Burkina Faso Issoufou Maïga , dans le souci du ravitaillement complet du pays, ils se sont engagés à approcher le gouvernement en vue d'avoir un dialogue franc et un engagement sincère pour l'harmonisation des véhicules hors normes.
"Les infrastructures routières sont la matière première des transporteurs et nous devons tous les préserver. Il y a eu un dérapage mais nous sommes conscients que quand vous faites ou quand vous êtes en erreur vous essayez de vous repentir tout en vous engageant à la normalisation et c'est cette démarche auprès du gouvernement pour étaler les préoccupations et demander leur accompagnement. Nous sommes venus pour chercher des solutions pérennes. Nous demandons la compréhension pour une mise en route d'un programme consensuel pour réformer nos véhicules", a laissé entendre Issoufou Maïga.
Carine Daramkoum
Lefaso.net
Communiqué N° 2023___________/MESRI/SG/UJKZ/P
Le Président de l'Université Joseph KI-ZERBO porte à la connaissance du public, en général, et des acteurs du développement en particulier, qu'il est ouvert, au titre de l'année académique 2023-2024, un test d'admission de la huitième promotion en Master Développement et Education des Adultes (DEDA), option Pédagogie du Changement Social et du Développement (PCSD).
Le nombre de places est limité à trente (30).
La durée de la formation est de deux (2) ans. Elle est organisée sur le modèle d'alternance : un (1) mois de formation intensive (bloc de cours) en présentiel et en journée à l'Université Joseph KI-ZERBO, suivi d'environ trois (3) mois sur le terrain professionnel de l'étudiant.
Le nombre total de blocs de cours pour les deux (2) années est de six (6), répartis en quatre (4) semestres.
A. Conditions de candidature
Pour faire acte de candidature au Master, le candidat doit :
être titulaire d'une licence d'université ou de tout autre diplôme jugé équivalent par les services techniques du Ministère en charge de l'enseignement supérieur du Burkina Faso ;
justifier d'au moins trois (3) ans d'expériences professionnelles.
La sélection se déroule en deux phases :
présélection à partir d'un examen de chaque dossier de candidature ;
un entretien avec un jury d'admission.
B. Composition du dossier de candidature
Le dossier de candidature, pour être recevable sur la plateforme Campusfaso, doit comprendre les pièces suivantes :
1. un extrait de naissance ;
2. un certificat de nationalité pour les candidats étrangers.
3. une copie légalisée du diplôme du baccalauréat ;
4. une copie légalisée du diplôme de la licence ou de tout autre diplôme jugé équivalent par les services techniques du Ministère en charge de l'enseignement supérieur du Burkina Faso ;
5. une/des attestation (s) ou arrêté ministériel (intégration/titularisation) justifiant que le candidat possède au moins 3 ans d'expériences professionnelles ;
6. un curriculum vitae détaillé (avec photo), daté et signé faisant ressortir les parcours scolaire, universitaire et professionnel/extraprofessionnel. Les expériences menées et les compétences acquises ;
7. une lettre de motivation d'une page maximum datée et signée, renseignant à l'en-tête outre les coordonnées (lieu de résidence y compris), l'emploi et la fonction actuels ;
8. une attestation de présence (service) ou le contrat de prestation/consultation le plus récent pour les non-salariés.
C. Frais de gestion de dossier
Les frais de gestion du dossier (non remboursables) sont fixés à quinze mille cinq cents (15 500) F CFA payables sur la plateforme Campusfaso par Coris Money, Moov Money ou Orange Money.
D. Soumission des candidatures
La soumission des candidatures se fera en ligne sur la plateforme Campusfaso par le lien : https://www.campusfaso.bf/formations/candidature.
E. Calendrier de déroulement du recrutement
Du 26 juillet au 07 septembre 2023 à 23 h 59 GMT : dépôt des dossiers de candidature sur campusfaso.
Le 15 septembre 2023 : résultats de la pré-sélection disponibles aux adresses e-mail des candidats et au secrétariat de la Filière DEDA.
Du 25 au 26 septembre 2023 : entretiens oraux à l'Université Joseph KI-ZERBO.
Le 06 octobre 2023 : résultats d'admission disponibles aux adresses e-mail des candidats et au secrétariat de la Filière DEDA.
1er bloc de cours : janvier 2024.
F. Droits d'inscription et de formation en FCFA
NB : les informations détaillées de la formation (objectifs, programme, blocs, diplôme…) sont contenues dans un dépliant téléchargeable sur le Site Web de l'Université Joseph KI-ZERBO www.ujkz.bf ou en prenant attache avec le Secrétariat de la Filière DEDA.
Pour tout renseignement complémentaire, veuillez contacter :
Secrétariat de la filière DEDA : (226) 25 30 04 76 / 61 47 97 01 / 79 99 26 49 / 66 11 45 74
E-mail : uo.deda@gmail.com
P. Le Président et par délégation,
Le Vice-Président chargé des Enseignements
et des Innovations Pédagogiques
Dr Bernard ZOUMA
Maître de Conférences
Chevalier de l'Ordre des Palmes Académiques
Diffusion générale.
L'Observateur Paalga, le Faso.net
Ampliations :
UFR/SH
DAOI
VP/EIP
AC
DSI
Le TAMPELGA NABA à Laye Tampelga,
La grande famille ZONGO à Laye, Ouagadougou, Koudougou, Gabon (Bitam),
ZONGO Tiga Mathieu à Laye,
ZONGO Raogo Etienne à Ouagadougou,
ZONGO Sibiri Patrice à Ouagadougou,
ZONGO Sidwaya Albert à Ouagadougou,
Madame ZONGO/KANGABEGA Nopoko Odile, à Ouagadougou,
Madame OUEDRAOGO/ZONGO Augustine à Ouagadougou,
ZONGO Léonard à Ouagadougou,
Madame OUEDRAOGO/ZONGO Clarisse à Koudougou,
ZONGO Konlobgué à Ouagadougou,
ZONGO Gilles à Bitam (Gabon),
Madame OUEDRAOGO/ZONGO Jeanne à Ouagadougou,
Madame KABORE/ZONGO Céline à Ouagadougou,
ZONGO Nawallabé Géoffroy à Ouagadougou,
ZONGO Nadine à Ouagadougou,
ZONGO Réné à Ouagadougou,
Les familles alliées KAGAMBEGA, OUEDRAOGO, TAPSOBA, MANDO, KIBA et KABORE ont la profonde douleur de faire part du décès de leur fils, frère et oncle, ZONGO Koudougou Marcellin, des suites d'une longue maladie ce jour 23 août 2023.
Le programme des obsèques est le suivant :
JEUDI 24 AOUT 2023
10 heures : Levée du corps à la morgue de l'hôpital Yalgado OUEDRAOGO pour le domicile familial à Nonsin.
13 heures 00 mn : Prière au domicile familial suivi de l'enterrement au cimetière route de Kamboinssin.
Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit afin qu'ils se reposent de leurs travaux car leurs œuvrent les suivent : Apocalypse 14 : 13
23 Août 2018- 23 Août 2023
Au nom de Dieu, le tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux « Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons » Coran Sourate 2 verset 156
El Hadj Birahima NACOULMA
Voici déjà cinq années qu'il a plu à Allah de rappeler son serviteur El Hadj Birahima NACOULMA à lui. A l'occasion de ce triste anniversaire, nous demandons à tous ceux qui l'ont connu d'avoir une pensée pieuse pour lui. Que Dieu dans son infini bonté lui fasse miséricorde afin qu'il continue à reposer en paix.
« Nul ne disparaît si sa mémoire reste toujours gravée dans nos cœurs et dans nos esprits »
UNION DE PRIERE