You are here

Afrique

Comment la hausse du prix du Hajj rend difficile le pèlerinage à la Mecque

BBC Afrique - Sun, 09/06/2024 - 13:22
Le hajj ou pèlerinage à La Mecque en Arabie Saoudite fait partie des cinq piliers de l'islam que tout fidèle se doit d'accomplir au moins une fois dans sa vie, s'il en a bien sûr les moyens financiers et l’aptitude physique et mentale. Au fil des années, les prix du Hajj ont connu une augmentation significative à travers le monde, rendant le pèlerinage de plus en plus inabordable.
Categories: Afrique

Le football international en Haïti est-il vraiment une mission impossible ?

BBC Afrique - Sat, 08/06/2024 - 17:20
Sébastien Migne est le nouveau sélectionneur d'Haïti, où une grande partie du pays se trouve en situation de non-droit. A-t-il donc accepté la mission impossible ?
Categories: Afrique

Le "dictateur" Eto'o et le chaos dans le football camerounais

BBC Afrique - Sat, 08/06/2024 - 10:08
L'ancienne star Samuel Eto'o est accusée d'agir comme un « dictateur » alors que la lutte pour le contrôle du football camerounais fait rage.
Categories: Afrique

Les « putschistes » qui ont raté leur coup jugés en RD Congo

BBC Afrique - Fri, 07/06/2024 - 18:24
La comparution des 51 personnes accusées de tentative de coup d'état se déroule devant un tribunal militaire.
Categories: Afrique

Les réfugiés envoyés au Rwanda le qualifient de "prison à ciel ouvert"

BBC Afrique - Fri, 07/06/2024 - 14:18
Les migrants, que les Nations unies considèrent comme des réfugiés, disent se sentir isolés et en danger dans le pays africain.
Categories: Afrique

L'économie russe est en croissance, mais cela peut-il durer ?

BBC Afrique - Fri, 07/06/2024 - 09:51
L'économie russe a été coupée du système financier mondial, mais elle continue de croître. Pourquoi ?
Categories: Afrique

Quels sont les pays où il est interdit de fumer, et est-ce que cela fonctionne ?

BBC Afrique - Thu, 06/06/2024 - 16:21
Le 31 mai est la journée mondiale sans tabac, au cours de laquelle les organisations de santé cherchent à prendre de nouvelles mesures contre le tabagisme.
Categories: Afrique

Jeter de l'argent en l'air, la coutume qui peut conduire les nouveaux mariés en prison au Nigéria

BBC Afrique - Thu, 06/06/2024 - 14:03
La célébration de mariage de nombreux Nigérians est menacé.
Categories: Afrique

Euro 2024 : voici le onze type des joueurs d’origine africaine

BBC Afrique - Thu, 06/06/2024 - 11:53
Parmi les joueurs sélectionnés pour disputer le championnat d’Europe des Nations de football (Euro 2024) , plusieurs d’entre eux ont des origines africaines et auraient pu disputer la Coupe d’Afrique des Nations avec leur pays d’origine.
Categories: Afrique

Des millions de personnes au bord de la famine au Soudan, avertissent les Nations-unies

BBC Afrique - Thu, 06/06/2024 - 09:39
Les Nations unies alertent sur le fait que près de cinq millions de personnes au Soudan, pays déchiré par la guerre, sont au bord de la famine.
Categories: Afrique

80 ans après le débarquement de Normandie : ces faits que vous ignoriez peut-être sur le D-Day

BBC Afrique - Wed, 05/06/2024 - 16:37
En juin 1944, des troupes composées principalement de Britanniques, d'Américains et de Canadiens ont envahi la France occupée par les nazis. Voici 10 choses que vous ne saviez peut-être pas sur ce jour, huit décennies plus tard.
Categories: Afrique

Euro 2024 : tout ce qu’il faut savoir sur la compétition

BBC Afrique - Wed, 05/06/2024 - 12:17
La 17e édition du Championnat d’Europe (Euro 2024) de l’UEFA se déroulera du 14 juin au 14 juillet 2024 en Allemagne. Les équipes qualifiées pour cette compétition affûtent déjà leurs armes.
Categories: Afrique

Ce qui va changer au Togo avec l'adoption de la nouvelle constitution

BBC Afrique - Tue, 04/06/2024 - 12:06
Après la promulgation de la nouvelle constitution qui bascule le Togo dans la 5e République, beaucoup de changements vont s'opérer dans le fonctionnement des institutions, notamment au niveau de l'exécutif et du législatif.
Categories: Afrique

Quelle est la quantité d'aide qui entre à Gaza ?

BBC Afrique - Tue, 04/06/2024 - 09:39
Les agences humanitaires affirment que la quantité d'aide qui entre à Gaza est si faible qu'il y a un risque de famine.
Categories: Afrique

En Afrique du Sud, l'ANC peut-il se réinventer après des résultats électoraux désastreux ?

BBC Afrique - Mon, 03/06/2024 - 14:21
L'ANC a dominé l'Afrique du Sud au cours des 30 dernières années, mais il doit désormais se tourner vers l'avenir.
Categories: Afrique

L'Afrique Réelle n°174 - Juin 2024

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 01/06/2024 - 22:57
Sommaire

Actualité
- Le Niger après la rupture avec la France et les Etats-Unis

Dossier Cameroun
- L’ethno-politique au Cameroun
- D’Ahmadou Ahidjo à Paul Biya

Dossier Sahara occidental
- Entretien avec Bernard Lugan
- Existe-t-il un « peuple sahraoui » ?  Y eut-il dans le passé un Etat du nom de « Sahara Occidental » ?


Editorial de Bernard Lugan

Pourquoi l’Afrique a rompu avec l’« Occident »

Le 16 mai 2024, lors d'un discours consacré aux relations entre l'Afrique et l'Europe prononcé à Dakar devant les étudiants de l'université Cheikh Anta Diop en présence de Jean-Luc Mélenchon, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a déclaré que la « promotion des droits des homosexuels alimente le sentiment anti-occidental en Afrique ».
Sur un continent où les deux tiers des pays criminalisent l’homosexualité, les injonctions occidentales en la matière sont en effet ressenties comme des attaques directes à l’ordre naturel africain. Ici, les peines contre les homosexuels vont en effet de l’amende à la condamnation à mort. L’ancien président de Gambie, Yahya Jammeh affirmait pour sa part que son pays « lutterait contre ces vermines gays de la même manière qu’il combat les moustiques responsables du paludisme, sinon plus agressivement ». Quant au défunt président Mugabe du Zimbabwe, ce fut à la tribune de l’ONU qu’en 2015, il déclara que « l’Afrique ne voulait pas de gays sur son sol » car l’homme noir se devait de « perpétuer sa race avec des femmes. »
C’est dans un ferme discours au ton très mesuré qu’Ousmane Sonko a condamné les « velléités extérieures d’imposer l'importation de modes de vie et de pensée contraires à nos valeurs et qui risquent de constituer un nouveau casus belli parce que, dans des pays comme le Sénégal, cela soulève énormément de tensions et d'incompréhensions tant cela met face à face des cultures, des civilisations et des systèmes politiques à la vision diamétralement opposée ».
Refusant ce nouveau diktat qui, à la différence des précédents, n’est ni politique, ni économique, mais « existentiel », Ousmane Sonko a déploré que « la question du genre revienne régulièrement dans les programmes de la majorité des institutions internationales et dans les rapports bilatéraux, jusqu’à se poser comme une conditionnalité pour différents partenariats financiers ».
Enfermés dans leur bulle sociétale, les dirigeants occidentaux ne mesurent pas le niveau d’exaspération, voire d’indignation et d’écœurement provoqué par la guerre morale qu’ils mènent actuellement contre les piliers des cultures africaines.
Ancrés sur leur arrogance, eux qui ne trouvent d’échos que dans le cap ouest de l’Europe et en Amérique du Nord, sont partout ailleurs balayés dans ce que le reste du monde considère comme un réflexe de survie. Cependant qu’en Afrique, sur les volutes de leur prétention morale, Russes, Chinois, Indiens, Indonésiens et Turcs tirent les marrons du feu…
Le message d’Ousmane Sonko est très clair :  l’Afrique qui ne cédera pas à l’oukase existentiel du Nord a donc décidé de redevenir africaine. Un écho à ceux qui, de plus en plus nombreux, demandent quant à eux que l’Europe redevienne européenne... Ici et là,  référence est donc faite à l’identité, ce qui annonce le triomphe de l’ethno-différentialisme sur les nuées de l’universalisme.
Categories: Afrique

C’est à l’Algérie de rembourser ce qu’elle doit à la France et non le contraire…

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Thu, 30/05/2024 - 11:58
Madame Rima Hassan, candidate LFI aux élections européennes, vient d’oser déclarer que « La France rende à l’Algérie ce qui lui appartient ». Or, si madame Rima Hassa avait un minimum de culture, pour ne pas parler de simple décence, elle devrait tout au contraire crier « Vive l’Algérie française », tant ce pays doit en effet tout à la France. Jusqu’à son nom qui lui fut donné par elle en 1839…

Au moment de l’indépendance de juillet 1962, tout ce qui existait en Algérie y avait en effet été construit par la France à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé puisqu’il était directement passé de la colonisation turque à la colonisation française. Ce fut en effet la France qui créa l’Algérie en lui donnant ses frontières. Des frontières qui, à l’Ouest, furent tracées en amputant territorialement le Maroc. Le Tidikelt, le Gourara, le Touat, Tindouf, Colomb Béchar etc…furent ainsi arrachés au Maroc pour être généreusement offerts à Algérie française dont l’Algérie algérienne est l’héritière directe. Une héritière qui, sans le moindre remords, a conservé le legs exorbitant fait par la France aux dépens du Maroc.

Une Algérie que la France ouvrit vers le Sud en lui offrant un Sahara qu’elle n’avait, et par définition, jamais possédé puisqu’elle n’avait jamais existé…Une réalité historique résumée en une phrase par le général de Gaulle : « (…) Depuis que le monde est monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne. Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays sans qu’il y ait eu à aucun moment, sous aucune forme, un Etat algérien » (Charles de Gaulle, 16 septembre 1959, déclaration à la RTF).

Dans l’ancienne Régence turque d’Alger, l’ouest reconnaissait l’autorité spirituelle du sultan du Maroc. Ce dernier avait d’ailleurs un représentant, un khalifat, dans la région, l’un d’entre eux ayant été le propre père d’Abd el-Kader. Quant à l’Est, il était tourné vers Istanbul. Nulle part, la prière n’était donc dite au nom d’un chef « algérien » car, à l’époque, la « nation algérienne » n’existait pas puisqu’il s’agissait d’un « non concept ».

Ferhat Abbas (1899-1985), l’ancien chef du GPRA écrivit lui-même en 1936 : « Si j’avais découvert la nation algérienne, je serais nationaliste (…) je ne mourrai pas pour la patrie algérienne parce que cette patrie n’existe pas. Je ne l’ai pas découverte. J’ai interrogé l’histoire, j’ai interrogé les morts et les vivants ; j’ai visité les cimetières : personne ne m’en a parlé… ».

En 1962, la France légua à sa « chère Algérie » selon la formule de Daniel Lefeuvre, un héritage composé de 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), de 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, de 4300 km de voies ferrées, de 4 ports équipés aux normes internationales, de 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots),  de 34 phares maritimes, d’une douzaine d’aérodromes principaux, de centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), de milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, de 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, d’une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., de milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), d’un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, de trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, de 14 hôpitaux spécialisés et de 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants.

Sans parler du pétrole découvert et mis en exploitation par des ingénieurs français. Ni même d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance. A telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer jusqu’à du concentré de tomate, des pois chiches et même de la semoule pour le couscous… Quant à sa seule exportation agricole, celle de ses succulentes dattes, elle ne sert même pas à compenser ses achats de yaourts fabriqués à l’étranger…

Or, tout ce qui existait en Algérie en 1962 avait été payé par les impôts des Français. En 1959, l’Algérie engloutissait ainsi 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce ! 

Pour la France, le fardeau algérien était donc devenu impossible à porter car, en soulageant les misères, en soignant, en vaccinant et en faisant reculer la mortalité infantile, elle avait créé les conditions de la catastrophe comme l’a écrit René Sédillot en 1965 :

« (En Algérie), la colonisation française a poussé l’ingénuité – ou la maladresse- jusqu’à favoriser de son mieux les naissances : non seulement par le jeu des allocations familiales, mais aussi par la création d’établissements hospitaliers destinés à combattre la stérilité des femmes. Ainsi, les musulmanes, lorsqu’elles redoutaient d’être répudiées par leurs maris, faute de leur avoir donné des enfants, trouvaient en des centres d’accueil dotés des moyens les plus modernes tout le secours nécessaire pour accéder à la dignité maternelle ».

Chaque année à partir du lendemain du second conflit mondial, 250 000 naissances étaient ansi comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population, d’où un doublement tous les 25 ans. Or, la France s’était elle-même condamnée à nourrir ces bouches nouvelles et à créer ensuite autant d’emplois puisqu’elle considérait l’Algérie comme une de ses provinces, au même titre que la Bretagne ou que l’Alsace...

En 1953, comme les recettes locales ne permettaient plus de faire face aux dépenses de fonctionnement, l’Algérie fut en faillite. Au mois d’août 1952, anticipant en quelque sorte la situation, le gouvernement d’Antoine Pinay (8 mars 1952-23 décembre 1952), demanda au parlement le vote de 200 milliards d’impôts nouveaux, tout en étant contraint de faire des choix budgétaires douloureux. Pour aider encore davantage l’Algérie il fallut alors faire patienter la Corrèze et le Cantal.

L’addition des chiffres donne le vertige : durant les seuls 9 premiers mois de 1959 les investissements en Algérie atteignirent 103,7 milliards de crédit dont 71,5 milliards directement financés par le Trésor français. De 1950 à 1956 la seule industrie algérienne reçut, hors secteur minier, en moyenne 2 395 millions anciens francs annuellement. En 1959 et en 1960 cette somme atteignit en moyenne 5 390 millions (Lefeuvre, 2005). Entre 1959 et 1961, pour le seul plan de Constantine, les industries métropolitaines investirent 27,40 milliards d’anciens francs, gaz et pétrole non compris.

La France s’est donc ruinée en Algérie alors qu’elle n’y avait aucun intérêt économique réel. Qu’il s’agisse des minerais, du liège, de l’alpha, des vins, des agrumes etc., toutes les productions algériennes avaient des coûts supérieurs à ceux du marché international. Or, toujours généreuse, la France continua d’acheter à des cours largement supérieurs au marché des productions qu’elle avait déjà largement payées puisqu’elle n’avait jamais cessé de les subventionner !

Au bilan, l’Algérie a donc été placée sous « assistance respiratoire » par la France qui n’a cessé de l’alimenter artificiellement. Année après année, la France remplissait donc le « tonneau des Danaïdes », algérien, nourrissant les bouches nouvelles, bâtissant hôpitaux, écoles, routes, ponts et tentant de créer artificiellement des milliers d’emplois.

Non seulement la France n’a donc pas pillé l’Algérie, mais, plus encore, c’est elle qui serait fondée à lui « présenter la facture » …En effet, les demandes de Madame Rima Hassan ne valent pas davantage que celles faites au mois de janvier 2021 quand les médias officiels algériens exigèrent de la France un « dédommagement » pour le « pillage » du fer « algérien » qui, selon eux, aurait servi à fabriquer la Tour Eiffel !!!

Or, le minerai de fer ayant servi à édifier l’emblématique monument fut extrait de la mine de Lurdres en Lorraine, département de Meurthe-et-Moselle…Quant aux pièces métalliques composant la Tour, elles sont, comme ses visiteurs peuvent le constater, estampillées à la marque des aciéries de Pompey, également en Lorraine, là où elles furent fondues…
Au verbe et à l’idéologie, l’histoire oppose donc les faits. Des faits qui font l’objet de mon livre argumentaire Algérie, l’Histoire à l’endroit.





















Table des matières
- Chapite I : L’Algérie est-elle Berbère ou Arabe ?
- Chapitre II : Comment des Berbères chrétiens sont-ils devenus des Arabes musulmans ?
- Chapitre III : Pourquoi Bougie et Tlemcen n’ont-elles pas créé l’Algérie alors que Fès et Marrakech a fondé le Maroc ?
- Chapitre IV : L’Algérie, Régence turque oubliée ou marche frontière de l’empire ottoman ?
- Chapitre V : Abd el-Kader, une résistance « nationale » ou arabe ? Mokrani, une résistance « nationale » ou berbère ?
- Chapitre VI : Que s’est-il passé à Sétif et à Guelma au mois de mai 1945 ? Sétif au-delà des mythes
- Chapitre VII : 1954-1962 : la « révolution unie », un mythe ? La revendication berbériste
- Chapitre VIII : Le FLN a-t-il militairement vaincu l’armée française ? La guerre d'Algérie ne s'est pas terminée le 19 mars 1962
- Chapitre IX : Le 17 octobre 1961 à Paris : un massacre imaginaire ?
- Chapitre X : La France a-t-elle pillé l’Algérie ?

Pour commander le livre :
Livraison France metropolitaine 34,00 € EUR Europe 38,00 € EUR Monde 52,00 € EUR



OFFRE SPECIALE !

Pour la commande de 5 livres (France métropolitaine) : 100 euros port colissimo compris au lieu de 135 euros.

Categories: Afrique

Mariage collectif au Nigeria : Mieux vaut marier ma fille plutôt que de voir des bandits l'emmener gratuitement

BBC Afrique - Tue, 28/05/2024 - 11:58
Un mariage collectif de 100 jeunes filles dans un État du nord du Nigeria a été interrompu après qu'il a été allégué que certaines d'entre elles n'avaient pas l'âge requis. Mais les protestations de l'opinion publique pourraient ne pas suffire cette fois-ci.
Categories: Afrique

Comprendre la question du Sahara occidental

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Fri, 17/05/2024 - 22:23


Durant la période coloniale le Maroc fut  territorialement amputé, à la fois à l’Est, et au Sud :
- A l’Est, la France rattacha à l’Algérie les provinces marocaines du Touat, de la Saoura, du Tidikelt, du Gourara et  la région de Tindouf.
- Au Sud, l’Espagne occupa les provinces marocaines de la Saquia el Hamra et de l’Oued ad Dahab dont elle fit la colonie du Sahara espagnol (le Sahara occidental).
 
En 1956 quand il recouvrit son indépendance, l’Etat marocain millénaire fut contraint d’entériner la perte de ses provinces de l’Est et d’accepter leur rattachement à l’Algérie, Etat créé en 1962 par le colonisateur français. Une Algérie qui, s’affirmant l’héritière de la France, refusa toute restitution territoriale au Maroc.
Plus encore, en 1975, au moment de la décolonisation du « Sahara espagnol », l’Algérie chercha à faire de cette région historiquement marocaine un « Etat sahraoui », pseudopode qui lui aurait permis de s’ouvrir sur l’océan atlantique.
L’explication  de l’artificielle question du « Sahara occidental » est que, enclavée dans une Méditerranée fermée par le détroit de Gibraltar, l’Algérie a inventé la fiction d’un « Etat sahraoui » vassal dont la création lui aurait permis de disposer d’une ouverture sur le grand large atlantique.

Plan du livre

Question 1 : Qu’est-ce que le Sahara occidental ?
Question 2 : Existe-t-il un « peuple sahraoui » ? Y eut-il dans le passé un Etat du nom de « Sahara occidental » ?
Question 3 : Le Sahara occidental est-il  historiquement marocain ?
Question 4 : Comment la colonisation détacha-t-elle le  Sahara occidental du Maroc ?
Question 5 : Le Sahara occidental n’est-il qu’une partie des amputations sahariennes subies par le Maroc ?
Question 6 : Avant le démembrement colonial, la marocanité du Sahara occidental était-elle internationalement reconnue ?
Question 7 : Comment le Sahara occidental est-il redevenu marocain ?
Question 8 : La question des frontières est-elle le coeur du contentieux algéro-marocain ?
Question 9 : L’Algérie est-elle à l’origine de la question du Sahara occidental ?
Question 10 : Le plan d’autonomie est-il l’unique solution possible au conflit du Sahara occidental ?
Chronologie
Table des cartes et des documents
Bibliographie
Index des noms propres
Index des peuples et des tribus
 
Prix du livre :
- France métropolitaine :  32 euros port colissimo compris
- UE  : 36 euros port compris
- Reste du monde : 50 euros port compris
         Livraison France metropolitaine 32,00 € EUR Europe 36,00 € EUR Monde 50,00 € EUR

OFFRE SPECIALE (uniquement valable en France métropolitaine)














Le Sahara occidental en 10 questions (32 euros) + Histoire du Maroc des origines à nos jours (29 euros) :
Au prix de 50 euros port colissimo inclus au lieu de 61 euros
 
Categories: Afrique

Pages